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Un dimanche de pluie

Chapitre 1

Erotique
A 50 ans, un genou qui bloque quand le temps est à la pluie : me voici, ce dimanche, incapable de promener mon chien, un berger australien. J’appelle la fille d’amis du village, Lola. Elle est étudiante et cherche de petits boulots. Elle toque à ma porte en fin de matinée. Il y a plusieurs années que je ne l’avais pas vue. Elle a maintenant 20 ans. Menue, jolie de sa jeunesse, d’une beauté un peu fade, mais souriante. Nous discutons sur le pas de la porte. Je lui explique deux ou trois trucs concernant le comportement du chien. Quand elle se baisse pour lui passer son collier, son bustier à bretelle me révèle ingénument deux seins de taille modeste, mais bien formés, d’une fraîcheur blanche tout à fait plaisante. Ah, si j’avais 20 ans moi aussi ! Je lui dis qu’il va sûrement pleuvoir, est-elle sûre de vouloir y aller maintenant ? Elle part.
Un quart d’heure après, une averse, une grosse averse. Pas de chance pour Lola ! Je prépare une serviette de bain pour qu’elle s’essuie les cheveux quand elle rentrera. Lola arrive, je la vois mettre le chien dans sa niche, je lui ouvre la porte. Dans quel état elle est ! Son bustier est une éponge qui moule sa poitrine, son jean est détrempé. Elle va prendre froid. Je lui dis qu’on va mettre ses habits au sèche-linge. Elle semble hésiter. Se cachant tant bien que mal derrière la serviette, elle enlève le haut, le jean, me les tend.
— Tes sous-vêtements, aussi.— Vous croyez ?— Oui, ils doivent être bien mouillés, tu vas attraper la crève.
Elle s’exécute, rougissante, et je vais mettre tout cela au sèche-linge. Sa culotte et son soutien-gorge sont de la dentelle bon marché, noire, si je ne me retenais pas, je humerais tout cela. Je reviens dans la cuisine, elle est emmitouflée dans la serviette. Ses cheveux ont frisé sous la pluie. Elle est à croquer.
— Tu tiens vraiment à être malade ? Sèche tes cheveux !
Je prends un coin de la serviette et je commence à la lui passer sur la tête, délicatement. Elle se laisse faire, tête baissée. Nous sommes si près l’un de l’autre, maintenant. A un mouvement d’elle, la serviette glisse, et voilà ses seins en liberté.
— Ils sont tout petits, murmure-t-elle comme pour s’excuser. — Tout petits ? — Oui, je ne les aime pas.— Ils ne sont pas « tout petits ». Disons qu’ils sont petits. Et tu dois les aimer, parce que tels qu’ils sont, ils sont ravissants. L’homme qui saura les apprécier ne le regrettera pas, à mon avis. Et quoi qu’il en soit, ils méritent eux aussi d’être séchés.
Je les masse avec la serviette. Les tétons sont durcis par la fraîcheur et, peut-être, son excitation ? Lola rosit. Qu’ils sont beaux ! Nos lèvres se joignent. Je me sens bander contre elle. Je l’allonge sur la table, ouvre la serviette, dévore sa poitrine, son ventre, lèche son minou taillé court. Toute l’humidité de la journée semble s’être concentrée là. Je m’y attarde. Ce parfum... Un concentré d’aphrodisiaques. Je sors mon sexe. Je pourrais vous dire qu’il fait 20 centimètres, etc., mais non : 14 centimètres. Pas très épais. Moi aussi, j’aurais presque envie de m’excuser. Je m’enfourne tout en douceur en la regardant dans les yeux. Elle est étroite. Elle gémit. Je la besogne tendrement en lui parlant de ses seins, en lui disant qu’ils sont magnifiques, qu’il faut qu’elle me promette de les aimer. Elle promet. Le rythme s’accélère, heureusement la table est solide. Mon genou bloqué ? Il ne fait plus parler de lui. Comme quoi...
Lola vient tout en douceur et s’accroche à mon cou au moment de jouir. Je vais jouir aussi.
— Pas en moi !
Je me retire et trois grands jets partent. Elle est balafrée de sperme, du ventre jusqu’aux cheveux. Ça lui va bien. Je le lui dis. Elle en rit. Je prends la serviette et l’essuie, puis avec une certaine audace, elle me prend la serviette des mains et nettoie mon sexe avec soin. Elle joue avec. Je ne débande pas. Je la saisis par les hanches, la fais tourner, la penche en avant, et la pénètre debout. Elle s’appuie maintenant sur le buffet. Je la tiens par les seins, adorables « petits seins » qui m’offrent une belle prise malgré tout, et dont je pince les tétons. C’est moins tendre que précédemment, ma queue me fait mal tellement je bande. Je défonce Lola. Elle n’est plus étroite du tout, bien ouverte. Elle crie. Elle prend son pied. Sa mince chute de reins ondule, ses adorables petites fesses sont bien secouées. Combien d’hommes les ignoreront sous les vêtements ? Ne sauront pas percevoir leur beauté ?
J’ai toujours eu ce petit talent secret de deviner des trésors là où beaucoup d’autres ne voient rien.Je me retire et j’éjacule sur cet adorable petit cul dont elle ignore sans doute le charme. Nous restons quelques minutes debout, elle dans mes bras, moi embrassant son cou, ses joues. Puis elle me demande où sont les toilettes, elle veut faire pipi. Si j’osais, je lui demanderais de la regarder pisser, un de mes fantasmes. Mais je n’ose pas, je me contente d’écouter son jet bouillonner, il ajoute une belle note humide au bruit de la pluie maintenant plus tranquille.
Quand Lola revient, je l’emmitoufle dans la serviette. Ses vêtements ont encore quelques minutes de séchage. Elle est plus à l’aise que tout à l’heure, avec un reste de timidité assez craquante.
— Vous aurez besoin que je promène le chien, d’autres week-ends ?— Oui sûrement. Il faut d’ailleurs que je te paye.— Non, laissez...
Me voilà obligé d’insister pour qu’elle prenne l’enveloppe que j’avais préparée.
— Tu m’as rendu service, c’était convenu comme ça, insisté-je. Ça n’a rien avoir avec... enfin tu vois, quoi...
Une fois rhabillée, elle me jette un baiser mutin sur les lèvres, part sous la pluie fine. Je lui crie :
— N’oublie pas ta promesse, Lola !
Elle tourne son visage vers moi avec un sourire, et s’en va. Vivement que mon genou se bloque de nouveau.
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