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Le dimanche où tout a basculé

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Cette histoire est réelle, ce qui fait que les noms et les lieux ont été bien entendu changé.
Nous en avions parlé de temps en temps, mais sans aller plus loin....Je m’appelle Jacques et je suis marié avec une blonde opulente que tout le monde appelait Maryline à cette époque, c’est vous dire, vous voyez donc a quoi elle ressemblait à ce moment là de notre vie, après 15 ans de mariage et deux enfants......On la remarquait, c’est le moins que je puisse en dire.
Ce dimanche après-midi, après déjeuner, nous prenons la voiture pour faire un tour, nous en profitons car les enfants sont chez ma belle mère, elle pleure assez pour les avoir et nous pour une fois nous serons au calme. Je me souviens que c’est une période ou notre libido était relativement exacerbée, nous avions ça à fleur de peau, il suffisait que je lui touche le bras pour qu’elle mouille disait elle à ses copines...Nous voilà donc parti dans la ville de T. distante d’une quarantaine de kilomètres, voir une sorte de défilé sur la Place de l’hotel de ville.Il fait un super temps, et il y a plein de monde, on prend un verre en terrasse après le défilé, le pied quoi....
Il est 18 heure— on y va ?Dis-je en laissant un pourboire sur la table.-oui, si tu veux.Répondit Maryse, d’ailleurs il était bien rare si ne n’est jamais , de l’entendre contester quelque chose venant de ma part, soumise Maryse, avec un caractère rentré, mais du caractère quand même.
Nous voilà sur l’autoroute et je doit dire que j’ai ma petite idée.— j’ai envie de pisser, ça t’ennuie si on s’arrête au prochain parking ?— non, si tu veux, fais toi plaisir...Elle est de bonne humeur depuis ce matin, faut dire que je lui ai fait le grand jeu, devant , derrière , pendant une bonne vingtaine de minutes que je l’ai besognée ma petite chérie, les enfants n’était déjà pas là, partis hier soir, alors elle ne s’est pas retenue comme d’habitude et elle à gueulée et plus elle crie plus ça m’excite elle le sait , bref je lui en est mis plein son cul comme on dit.
Je met le clignotant et m’engage dans ce parking avec les toilettes sur le coté nord , on s’arrête un peu avant car je n’aime pas ces toilettes d’autoroute qui puent.Il y a quand même pas mal de voitures et une dizaine de types vont et viennent à droite et à gauche, je devine toute de suite à quels genre on a faire, à cette époque ce genre d’endroit n’étaient pas réservé comme maintenant aux homos, il s’agissait pour la plus grosses partie, d’hétéros.
Je descend et fait quelques pas vers un buisson et je fais ma petite affaire en deux minutes puis je revient vers la voiture.En revenant je l’observe à travers le pare brise, elle est belle dans sa quarantaine, vendeuse de bonbons de son état, elle a ses long cheveux blonds qui cascadent sur ses épaules, elle a un chemisier blanc , ouvert comme d’habitude sur ses gros globes laiteux et on voit ses tétons pointer à travers, je n’en revient pas, elle est excitée comme une puce c’est pas possible me dis -je ?
Je monte dans la voiture et je matte ses cuisses, elle porte une jupe de tailleur, la veste est derrière et quasiment comme tous les jours, je sais qu’elle a un porte jarretelle , un vrai , des bas noir et un boxer rose bien large mais en dentelle et en soie, très doux quand on met la main dessus.
Je ne parle pas, me penche vers elle et l’embrasse doucement en commençant à la peloter car elle est très sensible des seins, ma main descend et la voilà sous la jupe, à se frayer un chemin, jusqu’à sa grotte humide dans laquelle j’enfonce un doigt puis deux, elle a les yeux fermés et gémit de plus en plus fort.Comme on s’est mis un peu à l’écart la plupart des types sont du coté des toilettes, sauf un , je le voit s’approcher doucement l’air de rien, Brigitte l’a vu aussi.Je continue à la caresser, elle gémit toujours et elle a fermé à nouveau les yeux mais je sais qu’elle a vu le type à coté de sa portière, je le voit d’ailleurs se malaxer le sexe à travers son pantalon et au bout de trois minutes, je n’y tient plus, je baisse la vitre de son coté.Il se penche et pose la main sur le renflement des seins de ma femme, elle frémit mais n’ouvre pas les yeux.Je n’en revient pas et m’attend à une réaction violente de sa part quand je m’aperçois qu’après lui avoir bien malaxé les seins, le type lui met d’un seul coup, en se penchant un peu dans l’habitacle, carrément la main sous la jupe, elle frémit encore plus fort et se met à trembler un peu.D’un seul coup elle sursaute brusquement et en voyant tout le bras de son violeur sous la jupe, je devine qu’il lui a enfoncé un doigt, ou deux.Au mouvement de va et vient de son bras poilu je devine qu’il la besogne en entrant et sortant ses doigts, il va de plus en plus vite et j’ entend Brigitte gémir et ça me fait bander terriblement.Du coin de l’œil je voit d’autres types s’approcher et je casse le charme:— tu voudrait pas aller plus loin pour avoir la paix et la baiser ?Je m’attend à ce que Brigitte réagisse mais elle est impassible, elle a rabattu doucement sa jupe sur ses cuisses quand j’ai parlé et qu’il a retiré sa main, son bras devrai-je dire.— Non, on peut aller dans un chemin, derrière un champ à 5 minutes, tu me suit ?Et nous voilà prenant la première sortie tout en jetant un coup d’œil derrière mais on est parti si vite que personne n’a eu le temps de réagir, pour une première fois je ne veut pas lui faire peur, il sera bien temps de la faire grimper par une dizaines de mecs en rut, patience, je connaît ses dispositions et son insatiable appétit, je ne pensait pas si bien dire.
Nous voilà derrière le champ, on peut voir loin s’en être trop vu, je me gare derrière , il descend.— Salut, tu vient souvent ici pour voir des couples ?— Oui et de temps en temps j’en entraîne un ici, nom d’un chien, qu’est ce qu’elle est belle en contemplant ma femme et je devine une bosse énorme qui déforme son pantalon , Brigitte aussi l’a vu et ne peut s’empêcher de sourire.— tu monte derrière avec elle ?j’ai à peine finit ma phrase qu’elle descend et va s’asseoir sur la banquette arrière de la voiture, je n’en reviens pas.Elle est impassible, il monte et l’enlace, lui roule une pelle monstrueuse et elle ne se dérobe pas même quand il lui remet la main sous la jupe.Je la voit s’affairer entre eux deux , elle s’énerve un peu et d’un seul coup elle s’écarte, lui ouvre la ceinture avec laquelle elle se battait depuis plusieurs minutes puis lui ouvre le pantalon et en sort une belle bite bien dure.Je suis devant et ne perd pas une miette du spectacle de ma femme qui d’un seul coup se penche en ouvrant grand la bouche.Et l’engloutît presque entièrement.Je le voit se raidir au bout de trois minutes de pompage acharné, Brigitte est une vrai suceuse et je la voit se relever en se pourléchant les lèvres un filet de sperme coulant sur le coté qu’elle rattrape avec sa langue......Je la connaît, elle se régale ....Je n’en peu plus, je bande comme un âne , je descend rapidement et me présente de son coté , elle sait ce que je veut, elle se met à genoux sur la banquette et avale toute la longueur de ma bite .....Le type est encore affalé mais il se redresse et se met derrière Brigitte, il lui remonte la jupe sur son cul et écarquille les yeux devant le spectacle , il rebande comme un turc, se redresse, pose sa bite sur sa chatte toute trempée après avoir écarté le boxer, se positionne et s’enfonce jusqu’aux couilles de toute ses force, elle crie ..........Et elle crie encore même si ses cris sont étouffé par ma bite qui d’un seul coup lui envoie plusieurs giclées de sperme bien chaud, il l’a prise par les hanches et baise comme une bête , 5 minutes, 10 minutes, je devine qu’après lui avoir juté dans la bouche il va la besogner longtemps, 5 minutes encore et il se colle a son cul en poussant un feulement et je le sent ou du moins je sent Brigitte qui jouit en tressaillant et en beuglant comme la grosse salope qu’elle est en train de devenir.— C’était bon ?On est en train de fumer une cigarette pendant que Brigitte est assise les pieds nus dans l’herbe, les cuisses écartées, la jupe relevée, les yeux fermés...Elle écoute et il y a un sourire sur ses lèvres, elle a bien jouit et elle est contente, je sais maintenant qu’elle recommencera, je suis content, on a pas loupé sa première fois.....Le type est sympa.— Oui, c’était drôlement bon, sa chatte était brûlante, quelle chance tu a, on se reverra ?-Aucun soucis.Je tend le bras et prend le bout de papier ou il a mis son numéro de téléphone.On se serre la main, il se penche sur Brigitte qui lui tend sa bouche, ils s’étreignent en s’embrassant et il la colle tellement sur la voiture que je voit celle ci bouger....Elle se retourne pour monter à sa place et on voit une grosse tache humide sur sa jupe , il a un petit sourire en coin, il lui a mis une sacrée quantité de sperme au fond de la chatte, il lui a bien mouillé le ventre à ma petite salope blonde......Nous partons , vingt minutes après on est à la maison, je la prend par la main et je la tire dans l’escalier, la renverse sur le lit comme une pute, lui soulève les jambes et lui enfonce ma bite un grand coup dans la chatte que je sent trempée , je sent sur mes cuisses le sperme froid tout humide encore qu’elle a encore à l’intérieur des siennes et au bout de quelques minutes je lui en remet une seconde couche par dessus le sperme de l’inconnu que l’on a jamais revu.Après avoir bien jouit, on a rien dit mais on s’est regardé en pensant la même chose: vivement dimanche prochain.......
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