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Un dîner qui se termine en débauche

Chapitre 1

Un oubli qui risque de nous coûter cher

Voyeur / Exhibition
Alexandra vient d’enfiler, sur ses jambes galbées, ses bas noirs. Elle s’admire dans la glace de la salle-de-bain et est satisfaite de l’image que lui renvoie le miroir. Elle est toujours très belle et d’ailleurs ne laisse pas indifférente la gent masculine, comme elle le remarque quotidiennement lors de ses sorties. Elle se tourne, constate que la couleur des bas accentue la blancheur sensuelle de sa peau et que le tanga met en évidence ses fesses bombées et encore fermes grâce à la pratique d’une heure de gymnastique quotidienne. Ce soir, elle décide de ne pas mettre de soutien-gorge car la jolie robe noire qu’elle a choisie lui serre suffisamment le buste pour maintenir sa poitrine à la perfection. Pour son maquillage elle se contentera d’un rouge à lèvres et de faire ressortir ses yeux verts, grâce à un fard à paupières, un eye liner et du mascara.
Alexandra devrait avoir le sourire aux lèvres, pourtant ce n’est pas le cas, on devine même de la tristesse sur son visage.
Alors qu’elle tente désespérément de refermer la fermeture éclair de sa robe, elle sursaute en sentant les mains de Christian, son époux, venir l’aider. Mariés depuis plus de 15 ans, ils vivent en banlieue lyonnaise ; lui est médecin généraliste et elle travaille dans une agence immobilière comme secrétaire. Actuellement ils sont descendus, pour deux jours, chez leur fille Lisa, qui termine ses études d’infirmière à Grenoble, afin de l’aider à déménager son petit deux-pièces.
Ce soir, Lisa étant sortie avec des copines, ils allaient se retrouver seuls dans l’appartement à moitié vide. Aussi, Christian a cru bon de faire une surprise à sa femme, un dîner dans une auberge "bucolique" à une vingtaine de kilomètre de Grenoble. Il l’a repérée grâce à un encart alléchant sur un journal, louant la qualité de la cuisine proposée par la patronne dans une ambiance intimiste mais conviviale et dans un cadre typique de chalet de montagne. Il s’est dit que cela serait l’occasion de déguster des spécialités culinaires de la région et d’essayer de renouer les liens avec son épouse.
Leur couple ne va pas bien depuis que la routine s’est installée insidieusement dans leur vie. Ils ne font quasiment plus l’amour. Alexandra soupçonne même fortement son époux d’avoir une liaison avec sa secrétaire médicale, ce qui entraine chez elle jalousie et rancœur. Depuis quelques semaines, elle pense même sérieusement à demander le divorce et un rien peut déclencher une crise qui mettrait un terme à leur vie conjugale.
Aussi, rien d’étonnant à ce qu’elle n’ait pas le cœur à sortir. Elle n’en comprend pas l’utilité et ne l’accepte qu’avec regrets, pour éviter une nouvelle dispute qui laisserait des traces et serait gênante vis-à-vis de Lisa. Elle s’est donc apprêtée, presque machinalement, plus par habitude que dans le but de plaire.
— J’espère que cette auberge n’est pas trop loin. Je te préviens, je suis exténuée, ce déménagement m’a épuisée et je veux me coucher tôt. — Tu vas voir, cela va nous faire du bien de sortir pour dîner mais ne t’inquiète pas ma chérie, on mange et on revient. Comme ça, nous ne rentrerons pas trop tard.— J’ai des doutes… T’as vu, ton auberge est quand même à une vingtaine de kilomètres, comme si nous n’aurions pas pu trouver un petit resto à côté ! Je te comprends de moins en moins.
Après avoir fini de nous préparer, nous descendons pour récupérer la voiture. En branchant le GPS pour afficher l’itinéraire, Alexandra regarde machinalement l’écran : impossible de nier l’évidence, l’auberge est perdue en pleine montagne iséroise. Ceci ne manque pas de la faire grommeler.
— Pffffff... c’était trop simple et trop te demander de manger tranquillement en ville !— Tu l’as déjà dit !— Et bien comme ça, je suis sûre que tu as compris. — Moi qui voulais te faire plaisir, je sens que ce dîner va être d’un gai.— C’est ça oui, me faire plaisir... Je veux bien donner le change devant Lisa, mais ne me prends pas pour une idiote. Arrête de faire comme si tout allait bien entre nous, tu sais que ce n’est pas vrai… De toute façon, je n’ai plus envie de parler. Démarre et laisse-moi tranquille.
L’auberge n’est située qu’à une vingtaine de kilomètres de Grenoble, dans le massif de la Chartreuse, mais il nous faut quarante-cinq minutes pour l’atteindre car impossible de rouler très vite sur les routes de montagne. Pendant le trajet nous n’échangeons aucune parole et, malgré le printemps et la douce chaleur pour la saison, le climat dans la voiture reste glacial. Enfin nous arrivons ; le cadre est magnifique, le restaurant est au centre d’une clairière entourée de sapins au pied d’un sommet voisin. Je remarque qu’il n’y a que deux autos sur le parking visiteurs me laissant penser que nous ne serons pas très nombreux à dîner.
A l’intérieur, je suis heureux de constater que l’annonce reflète la réalité. La salle est toute en bois avec de magnifiques poutres, une belle cheminée mais est relativement petite et ne contient que cinq tables. La décoration est composée de photos de la région et d’anciens matériels de montagne ou de ski accrochés aux murs.
Nous sommes en pleine semaine et seules deux tables sont occupées ce soir par un couple qui en est déjà au plat principal et trois hommes qui prennent l’apéritif. Le serveur, un homme d’une trentaine d’années, grand et d’allure sportive, nous conduit à notre emplacement. Sur le trajet, je remarque que les hommes ne se gênent pas pour dévisager mon épouse qui, comme pour me m’énerver, passe près d’eux en leurs adressant un grand sourire.
Je propose à Alexandra de débuter par un apéritif mais, comme je m’y attendais, elle refuse. En entrée, nous choisissons une salade avec du Bleu du Vercors coupés en petits cubes et des noix de Grenoble suivie, pour ma femme, d’une truite accompagnée de riz et de côtes de bettes à la voironnaise et, pour moi, d’une bonne entrecôte avec l’incontournable gratin dauphinois. J’essaye tant bien que mal de détendre un peu l’atmosphère mais rien n’y fait, Alexandra ne mettant aucune bonne volonté pour participer à la conversation. Je renonce à poursuivre, me focalisant sur la dégustation de mon repas qui est, heureusement, un régal.
Je suis cependant énervé de constater que si elle me fait la gueule, son visage s’éclaire quand le serveur vient nous resservir en vin ou apporter nos plats. Je la surprends même échanger quelques sourires avec au moins l’un des trois hommes attablés à côté de nous. Ceux-ci ont dû bien arroser leur repas car ils rient bruyamment et parlent très fort. Quant au couple présent à notre arrivée, ils viennent de quitter la salle, ayant terminé leur repas bien avant nous.
Nous en sommes au dessert quand la patronne, une grande et plantureuse femme, nous demande si le dîner nous a plu et nous propose de déguster un verre de Chartreuse. Très avenante, elle parle avec nous un long moment ; Alexandra participe à la conversation, ce qui me réjouit. J’accepte bien volontiers de goûter à la célèbre liqueur verte, à la recette connue de trois moines seulement.
Mon épouse préfère s’abstenir, malgré l’incitation de la maîtresse des lieux, et sa voix me ramène bien vite à la réalité :
— Bon, maintenant il est temps de demander l’addition afin de pouvoir rentrer. Je t’ai dit que je voulais me coucher tôt. — Oui, ma chérie, j’appelle le serveur et nous partons.
Peu après, ce dernier m’apporte la note qui est tout à fait raisonnable au vu de la qualité du dîner et de la bonne bouteille dégustée. Je vais pour sortir mon portefeuille mais je m’aperçois que je ne l’ai pas sur moi, pourtant je fouille consciencieusement chacune de mes poches.
— Oh non Alexandra, j’ai oublié mon portefeuille avec tous mes papiers et surtout la carte bleue. Donne-moi la tienne que je puisse régler.— Mais je ne l’ai pas, j’ai laissé mon sac chez Lisa en partant. C’est de ta faute aussi, tu m’avais trop énervée avec ce dîner en pleine montagne.— Ce n’est pas vrai ! Je ne peux jamais compter sur toi. — J’le crois pas ! Maintenant, c’est de ma faute. Tu ne m’épargnes décidément rien. Tu m’invites au restaurant et à la fin tu me fais le coup du " resto-basket ", tu es vraiment nul !
C’est vrai que ce n’est pas très malin de ma part d’avoir oublié mon portefeuille. Je demande au serveur d’appeler la patronne afin d’essayer de m’arranger avec elle.
— Je suis vraiment navré mais vous avez compris la situation très embarrassante dans laquelle nous nous trouvons. Avec mon épouse, nous n’avons rien sur nous pour vous payer, ni CB, ni chéquier, ni liquide. Serait-il possible de repasser à la première heure demain pour régler l’addition ? — Ben voyons ! Presque 150 € de repas. Vous croyez que vous êtes les premiers à me faire ce coup-là ? Si je vous laisse partir, je risque de ne plus vous revoir. Ne me prenez pas pour une imbécile en plus ! — En aucun cas madame, mais que pouvons-nous faire ? Nous n’allons quand même pas faire la plonge ! rajoute Alexandra, presque en colère. — Non ma petite dame, j’ai une meilleure idée : je vais appeler les gendarmes. Vous savez ce que c’est qu’une grivèlerie ? Et combien cela peut vous coûter ? — Non, pas les gendarmes ! Il y a certainement une autre solution. Et toi, Christian, propose quelque chose au lieu de rester assis sans rien dire. Pour une fois, rends-toi utile !
Malheureusement, je n’ai pas d’idée. Je remarque alors que les trois hommes de la table voisine ont arrêté leur dîner et profitent de la conversation qui semble beaucoup les amuser. Devant mon mutisme, un sourire se dessine sur le visage de la patronne qui nous demande, sur un ton qui en dit long :
— J’ai bien une idée mais je ne suis pas sûre qu’elle vous plaise. — Dites toujours, au point où nous en sommes. — Madame est une très belle femme, seriez-vous opposé à ce qu’elle nous fasse profiter de ses charmes ? Un petit strip-tease pour commencer ?— Non mais, quelle proposition scandaleuse ! Hors de question que mon épouse joue à ce petit jeu.— J’aurais aussi apprécié l’avis de Madame mais, aucun problème, j’appelle les gendarmes.— Non, attends Christian… Si cela peut nous éviter d’être menés à la gendarmerie, pourquoi pas.— Cela ne va pas Alexandra, tu es tombée sur la tête !— Au moins, eux, ils apprécieront sans doute le spectacle, pas comme toi qui préfères ta pouf ! C’est d’accord Madame, j’accepte la proposition.
Je ne réagis pas, trop abasourdi par la décision de ma femme. Par contre, la patronne ne se le fait pas dire deux fois et s’adresse aussitôt à l’un des trois hommes :
— Roger, va verrouiller la porte de l’auberge. On ferme car il est temps de s’amuser un peu ! Puis s’adressant à mon épouse : allez Madame, montrez-nous vos talents que votre homme ne sait manifestement pas apprécier à leur juste valeur.
Je n’en reviens pas. Alexandra se lève sans hésitation, se dirige vers les hommes et passe devant chacun d’eux en laissant sa main négligemment caresser leurs épaules. Roger est le plus excité des trois hommes et s’adresse à elle sans détour :
— Allez, ma petite dame, ne nous faites pas languir et désapez-vous !— Tout arrive à point à qui sait attendre… Soyez gentleman et aidez-moi plutôt à défaire ma robe.
Alexandra vient carrément sur les genoux de Roger, dos à lui. Le visage de ce dernier devient rouge d’excitation mais il obéit et défait le haut de la fermeture éclair avant de poser sans détour ses deux mains sur ses seins. Mais il en faut plus à ma femme pour la mettre mal à l’aise et elle les retire immédiatement puis se relève. Elle s’éloigne alors un peu et commence, d’une manière très sensuelle à retirer sa robe, dos tourné vers les spectateurs qui l’encouragent de la voix. Même le serveur et sa patronne s’y mettent. Le vêtement tombe au sol, Alexandra se retrouve quasiment nue, ne portant que son tanga et ses bas. Quand elle se retourne pour faire face au public, ses mains cachant ses seins, tous les hommes applaudissent et sifflent.Je suis le seul à ne pas manifester mon intérêt pour ce strip-tease. Au contraire, je rumine dans mon for intérieur, la maudissant de se donner ainsi en spectacle. C’est alors que retentit la voix de la patronne :
— Votre épouse est très belle, mais moi ce sont les mecs que je kiffe, pas les meufs. Il n’y a aucune raison qu’elle soit la seule à donner de sa personne pour réparer votre erreur. Alors, mon bon monsieur, vous aussi allez participer. Otez vos vêtements, tous !
Je ne me reconnais plus. Je viens de me déshabiller, me donnant en spectacle, sans aucune pudeur, devant des inconnus et me voilà presque entièrement nue. Mais ce qui me trouble le plus, c’est que je découvre aimer me sentir regardée, appréciée et désirée. Je jette un coup d’œil amusé et moqueur vers Christian, je le sens fou de colère. Pourtant m’exhiber ainsi, sous ses yeux, ne fait que décupler mon désir. Je ne me reconnais plus car je n’ai jamais ressenti un tel sentiment d’excitation.
Voilà que maintenant c’est la patronne qui ordonne à mon homme de se mettre nu. Moi qui souhaitais être le centre des attentions, je ne m’attendais pas à cette nouvelle tournure des évènements et me voilà devenue, à mon tour, spectatrice. Christian hésite, me regarde et je lis dans ses yeux comme un défi. Il se lève, retire d’abord ses chaussures puis ses chaussettes, déboutonne sa chemise et dévoile à l’assistance son torse viril. La patronne, assise sur une chaise face à lui, admire ce strip-tease improvisé, un sourire pervers aux lèvres. Puis mon mari fait tomber son pantalon. En quelques secondes, il se retrouve quasiment nu, face à nous, simplement porteur d’un boxer moulant qui laisse deviner son trouble, par la forme bombée que fait son sexe sous le tissu.
Je vois alors la main de la patronne glisser entre ses cuisses, grandes ouvertes, et sa langue humidifier ses lèvres tout en fixant la protubérance face à elle. - Ouah, pas mal du tout ! Regardez-moi cette jolie bosse, manifestement cela excite Monsieur de se donner en spectacle. Je pense que nous allons bien nous amuser ce soir ! Avant toutes choses, messieurs, faites asseoir madame sur une chaise et attachez-lui les mains. Je veux qu’elle regarde ce que je vais faire à son homme, mais je la veux immobile !
Sans même avoir eu le temps de dire quoi que ce soit, me voilà assise de force sur une chaise, les mains retenues dans le dos par des liens bien serrés. Je n’essaye même pas de me débattre, trop excitée par le déroulement des évènements. Je contemple le corps de mon mari et, étonnement, je le trouve beau et désirable. Je n’avais pas ressenti cela depuis des années. Je devine la suite, cette pétasse va pouvoir profiter de lui devant moi, impuissante, ne pouvant pas bouger.
Alors que Christian se trouve debout, face à elle, la patronne lève sa jambe, retire sa chaussure et, tout en me regardant en souriant, pose délicatement son pied nu sur son sexe. Dès que cette garce le lui masse à travers le tissu tendu de son boxer, mon homme gémit et sa respiration s’accélère. Mon Dieu, quelle torture d’assister à cela sans pouvoir intervenir.
Il faut dire qu’elle est très agile de son pied. J’en suis presque jalouse mais, également, très échaudée. Je dois bien admettre qu’il y a très longtemps que je n’ai pas autant mouillé. Mais je ne suis manifestement pas la seule ! La patronne pousse de longs soupirs, tout en se caressant sous sa jupe et en s’occupant de mon mari.
- Ouaaah, votre homme bande comme un taureau. Regardez, sa queue sort de sa prison de tissu, ne croyez-vous pas qu’il faudrait complètement la libérer ?Tout en prononçant ces mots, elle se tourne et s’adresse à moi en me tutoyant :- J’le crois pas, ta culotte est bonne à essorer ! Madame fait la bourge mais c’est une belle salope qui mouille à la vue de mon petit jeu et de la queue de son homme. Avoue que cela te plaît.- …- Plus fort, je n’ai pas compris ta réponse.- Oui… continuez… sucez-le, cela m’excite !- Vous avez entendu, vous autres, Madame a des penchants candos, dit la patronne en s’adressant aux trois hommes et au serveur. Pas de problème, ici le client est roi ! Elle se retourne alors vers Christian et, d’un geste d’une grande souplesse et habileté, parvient à baisser avec son pied le boxer à mi-cuisses, libérant la queue emprisonnée. Celle-ci est tendue au maximum, laissant voir un gland rougeâtre et turgescent par le désir. La patronne ne peut s’empêcher de pousser un cri de plaisir à la vue de cette magnifique verge. Moi-même, je n’ai jamais eu autant envie de la prendre dans ma bouche et de la sucer. Je mouille de plus en plus et je sens ma cyprine couler sur mes cuisses.
(A suivre)Cette histoire a été écrite à quatre mains avec une partenaire du site avec laquelle j’avais déjà collaboré.
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