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La directrice générale suce aussi

Chapitre 1

Première partie

Histoire médaillée
Trash
Abdoulaye Ajikle regarde sans vraiment leur porter attention les façades qui défilent derrière les vitres teintées de la grosse berline. Sa main caresse machinalement le cuir blanc de la confortable banquette arrière sur laquelle il se laisse aller, bercé par le ronronnement étouffé du moteur. Il se dit qu’il préférerait prendre son temps. Marcher le nez au vent, jusqu’aux Invalides qu’il devine, là-bas, à quelques pâtés de maisons devant lui. Ou s’arrêter dans un bistrot, lentement siroter un café en terrasse. Prendre son temps...
Au terme d’une carrière brillante et bien remplie, c’est pour la dernière fois en tant que Premier ministre de son pays d’Afrique de l’Ouest qu’il est aujourd’hui en visite officielle à Paris. Durant les quelques minutes que dure le trajet entre l’hôtel Matignon, où il vient de s’entretenir avec son homologue, et l’hôtel de Brienne, qui abrite le ministère des Armées, c’est avec un peu de lassitude qu’il laisse une douce mélancolie l’envahir. Assis à sa droite, son secrétaire particulier tente d’attirer son attention sur un point sans doute important de l’évènement qui les attend, mais Ajikle lui fait comprendre d’un geste, et sans même un regard, qu’il souhaite rester seul avec ses pensées. Sa courte et banale discussion avec le Premier ministre français, une visite de pure politesse protocolaire, avait aussi pour but de lui annoncer sa démission, qui ne sera rendue publique que dans quelques jours.
Derrière son bureau, un meuble massif du dix-neuvième fermé sur l’avant par un très beau panneau sculpté, l’homme semblait souffrant. Avachi sur son siège, en sueur, il s’exprimait avec difficulté, prétextant sans conviction une migraine passagère pour excuser l’apathie de leur entrevue. Le pouvoir consume, lentement mais sûrement...
La voiture pénètre dans la cour de l’hôtel de Brienne et vient s’immobiliser devant le perron. La portière s’ouvre. Le Premier ministre extrait son double mètre et son imposante carrure du véhicule. Il ajuste la veste de son costume anthracite tout en parcourant du regard l’ensemble architectural qui l’entoure. Son secrétaire le rejoint en trottinant, un épais porte-document à la main, mais reste en retrait au moment de gravir les marches. Madame Constance Marly, ministre des Armées, l’attend sur la dernière, immobile, les bras le long du corps, sous les drapeaux de l’Europe et de la France qui flottent doucement dans la brise. Comme lui, elle vient tout juste de franchir le cap de la soixantaine et, comme lui également, elle ne fait pas son âge. Seuls les quelques cheveux blancs qui éclaircissent sa bouffante mise en plis châtain trahissent une certaine maturité.
Elle porte un blazer croisé bleu roi, une chemise blanche dont le col s’ouvre sur un discret, mais très beau collier de perles, et une jupe gris clair plutôt moulante. Perchée sur des talons aiguilles de douze bons centimètres assortis à sa veste, littéralement au garde-à-vous, elle bombe le torse, comme pour offrir à ceux qui montent vers elle la monumentale poitrine dont la nature l’a dotée.
La poignée de main est longue et chaleureuse. Aucune caméra ne l’immortalise, car aucun journaliste n’a été convié pour cette très discrète rencontre. Les accords commerciaux portés par l’état se traitent souvent dans l’ombre, surtout lorsqu’il s’agit d’affaires militaires avec une ancienne colonie. C’est donc dans une cour inhabituellement déserte et silencieuse que Madame Marly invite monsieur Ajikle à entrer dans son antre ministériel.
— Mesdames Del nous attendent... Votre ministre de la Défense et votre cheffe d’Etat-Major des Armées viennent également d’arriver... Je tiens à vous dire que je suis particulièrement heureuse et honorée de recevoir, au nom de la France, une si prestigieuse délégation pour un évènement aussi important pour nos deux pays.
Abdoulaye Ajikle continue à ruminer ses pensées pendant que Constance Marly lui parle, tout en marchant dans les couloirs du magnifique hôtel particulier du dix-huitième siècle qui abrite aujourd’hui les bureaux de l’administration ministérielle. Son secrétaire, un jeune homme de vingt-cinq ans pleins d’avenir, les suit à distance. Maigre et élancé, il flotte un peu dans son costume et semble, malgré son mètre quatre-vingt, bien petit à côté de son colossal patron. Ses pensées à lui sont un peu plus mesquines : derrière ses petites lunettes de premier de la classe, ses yeux fixent le joli derrière de madame Marly qui se dandine devant lui. Ajikle, lui, reste apparemment insensible aux courbes voluptueuses de la ministre. Il est ailleurs. Stéphanie Del...
La présidente du groupe du même nom est, en coulisses, la véritable architecte des accords de coopération qui vont être signés dans quelques minutes, même si le chef de l’état français en revendique souvent, en privé, le glorieux aboutissement. Des accords historiques dans leur ampleur, qui portent sur de l’armement, mais aussi sur divers équipements militaires, du combat à la logistique. Des accords qui, bien sûr, bénéficieront très largement au groupe Del à travers plusieurs contrats pharaoniques portés par la nouvelle directrice générale du joyau du CAC40, Alizée Del, digne fille de sa mère, à son tour grande patronne de classe internationale à moins de 40 ans. Abdoulaye et Stéphanie se connaissent depuis longtemps. Très bien, même...
Certains diront en profondeur...Il sait qu’elle l’a mené par le bout du nez, ou plus exactement par le bout de la queue, mais l’intérêt du pays et son compte en banque y ont gagné. Ses bourses, elles, y ont en revanche plusieurs fois tout perdu. Son ministre de la Défense, Anthony Ekouyu, est une brute sans la moindre finesse et sans intérêt, un pion docile et opportuniste qui l’a beaucoup et bien servi, mais qu’il n’aime pas. Il se serait passé de son inutile présence aujourd’hui, mais le protocole est ce qu’il est...
Quant à la cheffe d’Etat-Major, il s’agit d’une jeune militaire particulièrement brillante dont la carrière doit elle aussi beaucoup au travail de lobbying de madame Del mère, et qui a porté bien haut, en gagnant ses galons et ses étoiles, les espoirs d’épanouissement de la condition féminine de sa nation. La générale Malya Ajikle n’est autre que sa propre fille. La génération montante. Oui, il se dit que le temps de prendre le temps viendra bientôt pour lui...
Mais pour l’heure, il reste l’homme aux commandes qui, au nom de son président, va signer avec le groupe Del ces contrats si décisifs pour l’avenir de son pays.
— Madame la ministre des Armées Constance Marly, monsieur le premier ministre Abdoulaye Ajikle.
L’aboyeur qui annonce leur entrée ramène Ajikle à la réalité alors que les portes du salon s’ouvrent devant eux. Cette pièce aux hauts plafonds et aux angles arrondis, décorée dans le plus pur style Empire, offre une vue splendide sur le parc. Les murs et le mobilier aux montants de bois doré à l’or fin sont habillés de blanc et de motifs en rosaces, dorés également, disposés en quinconce. Un immense tapis dans des tons rouges et blancs, reprenant les symboles napoléoniens de l’aigle et de la couronne de laurier, couvre une grande partie du parquet ciré. Au fond de la pièce, près du mur, un large bureau d’époque sert de support à deux ensembles de documents déposés solennellement sur des sous-mains de cuir noir, prêts à être paraphés. Sur l’avant, côté fenêtres, deux canapés et un fauteuil ont été placés autour d’une table basse. Au centre de la pièce, les premiers arrivés se tiennent debout pour accueillir les nouveaux venus.
On se serre poliment la main dans un brouhaha feutré de formules toutes faites, mais de rigueur.
Les cheveux bruns mi-longs de Stéphanie Del grisonnent, ce qui n’enlève rien à la superbe de la belle sexagénaire. Sa taille fine et sa belle poitrine sont parfaitement soulignées par une veste de tailleur noire croisée très décolletée, impeccablement ajustée, et ses longues jambes moulées par la jupe assortie se terminent en fins talons aiguilles. Ses ongles et ses lèvres rouges apportent une touche de couleur à cet ensemble sombre bien sérieux. Du haut de son mètre soixante, la présidente impose par sa simple présence l’autorité et le respect de toute l’assistance, où qu’elle se trouve. Même parmi les plus grands. Alizée Del est la copie conforme de sa mère, superbe et incroyablement charismatique. On aurait pu les croire jumelles si la différence d’âge et quelques centimètres en faveur de la fille n’avaient permis de les différencier.
D’autant qu’elles ont curieusement choisi de porter aujourd’hui la même tenue, de se faire coiffer avec la même frange et d’arborer le même maquillage, sobre et élégant. Comme pour souligner la direction fusionnelle qu’elles assurent avec succès à la tête du groupe international qui porte leur nom. A côté d’elles, Anthony Ekouyu semble bien terne. Il est pourtant presque aussi grand qu’Abdoulaye Ajikle. Sa carrure est tout aussi imposante et on peut dire que c’est un bel homme. Tous deux portent admirablement leur costume cravate. Le Premier ministre a des cheveux bruns, courts et crépus, l’autre est chauve, mais ce n’est pas sur le physique que la comparaison s’effondre. Ekouyu est transparent, taciturne, peu loquace et peu engageant. En cet instant, il semble mal à l’aise et regarde le bout de ses pieds avec un profond ennui. Bizarrement, c’est la générale Malya Ajikle dans son strict uniforme d’apparat qui apporte un peu de fraîcheur à l’assemblée.
Sa veste à boutons dorés, sa chemise, sa jupe droite, la casquette qui arbore fièrement son insigne et ses talons hauts sont d’un blanc immaculé, jusqu’aux bas qui viennent éclaircir sa peau d’ébène. Seule sa cravate au nœud soigné apporte la touche de ce noir qui semble de rigueur autour d’elle. La cravate bordeaux de son père, maintenue par une fine pince en or, est, elle, l’un des rares points de repère colorés dans cette réunion tout en noir et blanc.
Reste le blazer bleu de madame Marly pour apporter un peu de gaîté au tableau. Elle semble d’ailleurs transfigurée, souriante et enjouée, un peu exubérante même, maintenant que les portes du salon se sont refermées sur l’intimité de cette visite ministérielle. Elle se lance, en guise d’introduction, dans le résumé de l’histoire passionnante de l’hôtel de Brienne. Le secrétaire du Premier ministre ne la quitte pas des yeux. Il se tient à sa place, à l’écart, derrière son patron. Ses yeux subjugués sont fixés sur l’incroyable poitrine qui tend la veste taillée sur mesure qui la contient. Plus encore, sa passion pour les grosses poitrines est doublement assouvie en ce jour béni de luxure : sa compatriote, la belle et jeune militaire qu’il connaît bien, est dotée d’attributs mammaires aussi développés que ceux de leur hôtesse. Du bonnet M pour les deux, à vue d’œil, selon sa longue expérience de fétichiste... ”M" comme magnifique, monumental, monstrueux...
Il en bande à faire exploser sa braguette, incapable de contrôler ses émotions.
L’œil averti de la ministre des Armées a aussi repéré cette excroissance qui déforme le pantalon du discret sous-fifre et se développe le long de sa cuisse. Car l’intérêt qu’il porte aux obus de gros calibre n’a d’égal que celui qu’elle porte aux engins d’assaut hors gabarit.
***
Près de quinze ans après s’être rencontrées pour la première fois à l’École Polytechnique, Alizée Del et Malya Ajikle se retrouvent toujours avec plaisir, même si les occasions laissées par leurs agendas surchargés sont plutôt rares. La sérieuse Alizée et l’extravertie Malya ont lié, pendant leurs études, une amitié solide construite sur leur goût commun et immodéré pour tout ce que la morale réprouve. Le moins que l’on puisse dire est que ces années d’école les ont comblées. Et par tous les orifices. Cela n’a pas empêché Alizée et Malya de sortir respectivement major et seconde de leur promotion, exploit remarquable dans un monde aussi masculin, noté par la presse à l’époque.
— Comment va madame la directrice générale ?— Comment va madame la générale en chef ?— On s’embrasse ?— Bien sûr... Vous ne voyez pas d’inconvénient à ce que je mette la langue, très chère ?
Ce qui s’annonçait comme une bise amicale, certes peu protocolaire en ces lieux, se transforme en une indécente et sauvage prise de bouche. Un baiser vorace dans lequel les deux femmes s’abandonnent frénétiquement en gémissant doucement. Lorsque les lèvres se séparent enfin, c’est pour laisser respirer ces dames et essuyer du revers de la main la salive qui coule sur leur menton et sur leurs joues.
Les deux femmes se décollent légèrement pour détailler leur mise.
— Superbe tailleur, dis-moi... Il te va vraiment bien... Et tu as tout ce qu’il faut pour faire se dresser toutes les queues du ministère, ma chérie !— Je vois que tu es en forme, Malya... Et je te retourne le compliment ; tu es toi aussi superbe dans ton uniforme...
Les doigts d’Alizée glissent doucement sur le revers de la veste blanche, descendant jusqu’aux trois barrettes qui portent les décorations étalées sur la poitrine de la générale. Elle commente à voix haute, appuyant son index successivement sur plusieurs d’entre elles.
— Et je vois là le ruban bleu de l’Ordre du Mérite, le ruban rouge de la Légion d’Honneur... Celle-là, je m’en rappelle, tu l’as gagnée il y a deux ans en vidant les couilles du Président de la République. Comme moi. C’était au dernier forum de Davos, juste avant son discours, et je peux me vanter de l’avoir inspiré... Tiens, celle-là ne me dit rien... Cette verte, là...— L’ordre du Mérite Agricole... Ne prends pas cet air étonné... J’ai été labourée et j’ai reçu plus de semence que toutes les terres cultivées de ton pays et du mien réunies !
Les deux femmes éclatent de rire.
— Aucun officier n’a fait autant couler de sperme pour ton pays, je suppose...— Que dire du nombre d’accords et de contrats de premier plan rédigés au rythme de tes magistrales pipes... Ou de celles de ta mère...
C’est précisément à cet instant que la mère en question les rejoint. Stéphanie Del, la femme qui se tient dans l’ombre des grands de ce monde, et parfois dans leur entrejambe, vient d’échanger quelques mots avec Abdoulaye Ajikle et Anthony Ekouyu. Elle vient maintenant, en suivant l’ordre de préséance, saluer la cheffe d’Etat-Major.
— Bonjour Malya...— Bonjour Madame Del...
La voix bien posée de la présidente assoit d’emblée son autorité naturelle de mère et de grande patronne. Le ton de la conversation se refroidit instantanément.
— C’est peut-être un peu prématuré, mais je me dois de te féliciter pour tes nouvelles responsabilités. Et je suis sincèrement convaincue que tu seras de plus en plus une immense source d’inspiration pour les femmes de ton pays.— Merci madame... Je vous suis infiniment redevable. Je ne serai pas là sans votre soutien. Ma mère non plus, d’ailleurs. J’avoue qu’elle a bien changé à votre contact. La militante féministe est devenue une vraie femme de pouvoir, la figure populaire une politicienne aguerrie...— Tu sembles dubitative, Malya.— Je pense à mon père, qui ne l’a pas vue évoluer et prendre l’ascendant... Le pouvoir rend peut-être aveugle ? Je me dis qu’il doit effectivement passer la main.
Stéphanie regarde les deux imposants ministres noirs qui discutent. Quelles banalités peuvent-ils bien échanger ? Elle sait qu’ils se détestent cordialement. Peu importe, après tout, cela n’a maintenant plus aucune importance...
***
Constance Marly s’approche du jeune homme à lunettes qui se tient à l’écart. Intimidé par la grande dame qu’il épie honteusement depuis un long moment, il baisse les yeux lorsqu’elle se plante devant lui. Il a tout du collégien surpris en pleine masturbation par la surveillante générale. C’est si touchant... Elle décide de jouer un peu avec lui, prenant l’air sévère et le ton glacial qu’un grand dirigeant sait adopter quand il faut s’imposer.
— J’ai bien remarqué votre petit manège, monsieur. Votre comportement à mon égard, en un tel lieu et en un tel moment, est inacceptable.— Mais madame, je... Enfin... Je ne comprends pas... Je...— Vous ne comprenez pas ?
Elle fait un pas de plus, et l’espace qui les sépare se réduit à quelques centimètres. Sa voix se fait plus dure, plus sourde.
— J’en croise tous les jours des regards comme le vôtre. Surpris, choqués, admiratifs, lubriques... C’est très flatteur, mais lassant à la longue. Vous comprenez ?— Je suis... Je suis désolé, madame... Je... Je...
Le jeune homme ne sait plus où se mettre. Pourtant, son érection continue à se développer malgré son immense détresse. La ministre interrompt encore une fois ses balbutiements.
— Je ne vous demande pas d’être désolé, monsieur. Je vous demande d’assumer !
Elle plaque sa main sur l’entrejambe du jeune homme et laisse descendre ses doigts le long de l’énorme sexe qui se cache sous le pantalon de costume noir. Elle laisse échapper un petit gémissement de surprise en imaginant la taille de l’engin, mais reste ferme.
— Allez... Je vous écoute...— Je vous demande pardon ?— Je vais vous aider un peu. Répétez ceci : "madame la ministre, vos gros nichons me font bander..."— Enfin, madame, je...
Elle hausse le ton, et il ne peut que s’exécuter lorsqu’elle exige en serrant les dents : "répétez" !
— Ma... Madame la ministre, vos... vos... vos gros nichons me font... bander...— C’est bien. Continuez : "et j’aimerais vider mes couilles dessus".— Je ne peux pas... Non... Je...— Répétez !— Et j’aimerais... vider... mes couilles dessus...
La voix de la ministre se radoucit.
— Vous voyez, ce n’est pas plus difficile que cela... Et vous m’avez presque contrariée ; pourquoi n’osez-vous donc pas demander ? Je vous en prie, vous pouvez toucher... Est-ce que je me gêne, moi ? Allons un peu d’audace jeune homme, que diable...
Elle le fixe d’un regard gourmand, et lui sourit tout en caressant son sexe à travers le tissu qui le retient prisonnier. Le secrétaire renonce à son devoir de réserve et de discrétion pour céder à ses bouillantes pulsions. Le sang afflue à son cerveau, cogne de plus en plus fort au rythme grandissant des battements de son cœur. D’un geste tremblant, il avance ses mains grandes ouvertes, hésite un instant, puis les plaque contre la poitrine ministérielle. Ses paumes s’enfoncent, le blazer se froisse autour des seins qui se déforment, souples, mais bien fermes. Une superbe poitrine qui se tient bien, se dit-il en érudit qui se retrouve pour la première fois confronté à la réalité de ses fantasmes. Et quelle première fois... Ses doigts se crispent sur la veste, l’agrippent, imprimant un léger mouvement de va-et-vient, de droite à gauche puis de haut en bas, pour deviner et sentir bouger les objets de son désir sous l’élégante tenue.
— C’est ça... Pelotez-moi... On peut lire l’émerveillement sur votre visage. Et la délicate maladresse de vos mains témoigne d’un manque d’expérience bien touchant. J’ose à peine vous le dire, mon cher, mais je mouille déjà !
Constance Marly ouvre sa veste et défait quelques boutons de sa chemise. Suffisamment pour en extraire ses deux énormes seins et les dégager des bonnets de son soutien-gorge blanc. Elle les soupèse avec fierté puis, les poings sur les hanches, offre au regard médusé du jeune homme la vision de cette poitrine enfin libre, jaillissant entre les revers de son blazer. Elle semble particulièrement ravie de son petit coup d’éclat.
— Ils sont tout à vous ! Ils vous plaisent ?
Le secrétaire perd pied. Il se saisit des deux mamelles, les presse, les tire, les pétrit sans ménagement. Il fait rouler les tétons entre ses doigts, les lèche, les suce, les aspire entre ses lèvres... Il ne sait plus où donner de la tête et finit par l’enfouir entre les deux monuments dans un gémissement rauque. Constance Marly rit, pousse de petits cris lorsque ses attributs mammaires sont un peu trop malmenés. Elle décide finalement d’interrompre l’assaut en le repoussant. Plusieurs tentatives sont nécessaires, mais le jeune homme se calme, se redresse et reprend ses esprits. Hagard, à bout de souffle, il fixe toujours la poitrine de la ministre, luisante de sa salive. Elle semble beaucoup s’amuser. Lui sent la honte l’envahir.
— Eh bien, eh bien... Quelle fougue... Calmez-vous, s’il vous plaît, petit sauvage ! Asseyez-vous donc là, sur le canapé. Je vais vous soulager...
Il s’exécute, machinalement. Elle se met à genoux entre ses jambes écartées, desserre sa ceinture, défait sa braguette et se met en devoir d’extraire son trésor caché. Elle se fige, les yeux écarquillés, bouche bée, lorsque celui-ci se dresse enfin devant elle. Une trique énorme, longue de plus de trente centimètres pour cinq ou six de diamètre. Au bas mot.
— Mon Dieu... J’en ai rarement vu d’aussi belles... Et pourtant, vous pouvez me croire, en trente-cinq ans de politique, j’en ai dégusté des bites ! Je me dois de vous proposer une cravate de notaire, mon cher. C’est mon péché mignon. Et comme vous pouvez le constater, je suis parfaitement équipée pour gérer les grandes tailles...
Sans attendre l’avis du jeune homme ébahi, elle s’avance pour presser ses seins autour du sexe déployé. Elle donne quelques petits coups de langue sur le gland gonflé, puis le laisse glisser entre ses lèvres. Commence alors la masturbation mammaire. Le secrétaire ferme les yeux et la bouche grande ouverte, laisse échapper un long soupir de satisfaction. La ministre s’applique, avale ce qu’elle peut du monstrueux engin au rythme des mouvements de sa poitrine. Elle redresse la tête au bout d’un moment, tout en maintenant la cadence de la branlette, pour s’adresser au bénéficiaire de ses bienfaits.
— J’espère que vous appréciez... Mais je manque à tous mes devoirs ; je ne vous ai pas demandé votre nom...
La réponse jaillit péniblement, entrecoupée de spasmes de plaisir extrême.
— Ajikle... Issah Ajikle...— Ajikle ? Tiens, comme...
A cet instant précis, un sexe noir aussi monumental que celui dont elle s’occupe s’avance devant les yeux de Constance Marly. La voix grave du Premier ministre, qui se tient sur sa droite et lui présente ainsi ses hommages les plus explicites, se charge de finir sa phrase.
— Ajikle comme son père, madame... Mon fils fait ses armes dans le monde de la politique internationale et de la diplomatie à mes côtés. Et j’avoue que je suis extrêmement heureux qu’il puisse se faire déniaiser par une personne de votre qualité. Si vous permettez...
Sans attendre sa réponse, il pousse son pénis entre les lèvres grandes ouvertes qui, la surprise passée, n’attendaient que ça. Les mains de madame Marly relancent le mouvement vertical de sa poitrine pendant que sa bouche s’empale sur le pieu qui écartèle ses mâchoires. Les doigts du sucé s’insinuent dans sa chevelure et pressent sur sa tête en accompagnant le mouvement de la fellation, de plus en plus profonde. Elle étouffe, la gorge obstruée, mais maintient sans faiblir le rythme de sa cravate de notaire. Des larmes coulent de ses yeux, entraînant avec elles de fins filets sombres de maquillage sur ses joues. D’écœurants borborygmes accompagnent ses haut-le-cœur. Lorsqu’Ajikle père relâche son étreinte, elle libère sur ses seins et sur la queue d’Ajikle fils un épais crachat de glaire et de salive avant de pouvoir enfin prendre une grande inspiration. Au bord de l’asphyxie, elle crache encore pour dégager ses voies respiratoires.
Lorsqu’elle relève la tête, un dégoutant filet de bave relie encore son menton à ses mamelles poisseuses. La masturbation continue, enrichie par ce gluant lubrifiant.
Et sous les yeux incrédules de Constance Marly, un nouveau sexe noir démesuré se présente, sur sa gauche cette fois. Celui du ministre de la Défense. Elle est aux anges, et rend grâce à ses messieurs en louchant sur ce troisième gourdin.
— Je me répète, mais je ne le dirai jamais assez, c’est un immense honneur pour moi de recevoir les membres les plus éminents de votre gouvernement... Bordel, qu’est-ce qu’ils sont éminents, vos membres !
Elle se lance alors avec voracité dans une nouvelle et extrême gorge profonde.
***
Alizée et Malya se sont assises sur l’autre canapé, côte à côte, pour papoter.
— Ce tailleur est superbe, Alizée. Vraiment superbe. Il te va à ravir. Et quel décolleté... On a l’impression que le moindre bâillement laisserait échapper un téton. Je suppose que ces messieurs n’attendent que ça !— Ne t’inquiète pas, le maintien est impeccable. Les vertus du sur mesure de grand couturier, ma chère...
Alizée fait un clin d’œil coquin à son amie. Il est vrai que le 90C hérité de sa mère, pourtant généreux, ne rivalise pas avec le tour de poitrine disproportionné de la générale ou de la ministre. Mais ses mensurations de mannequin font rêver et elle en est assez fière. Saisissant la petite perche provocatrice qui vient de lui être tendue, elle fait sortir ses deux seins nus de sa veste sans même la déboutonner. Pressés l’un contre l’autre entre les revers étirés, ils paraissent plus gros et pointent en avant.
— Voilà Malya... Pour satisfaire "ces messieurs" ! Comme tu peux le voir, la veste peut être aussi portée en présentoir à nichons. C’était d’ailleurs une consigne bien précise pour le couturier ; ça rend bien, non ?— Magnifique. Petite salope...— Salope ? Allons, comme tu y vas... Quand il s’agit d’une directrice générale dans un tailleur à 15 000 €, on parle d’élégance et d’audace. Ne sois pas vulgaire...— Vulgaire ? C’était un compliment, ma chérie ! Dis-moi, je suppose qu’il suffit de relever le bas pour le porter chatte à l’air ? Pour ça, nul besoin des talents d’un grand couturier...

Alizée se fait un plaisir de surenchérir. Elle se lève, trousse sa jupe et révèle, encadrée par le porte-jarretelles et les bas noirs, sa jolie vulve épilée dépourvue de culotte. Elle fait un tour sur elle-même en se déhanchant pour faire admirer sa silhouette et son indécente tenue, puis se campe devant Malya. Celle-ci se penche en avant, tend la main vers l’entrejambe qui lui fait face, et fait remonter son index le long de la fente humide. Elle porte son doigt à ses lèvres, sur lesquelles se dessine un petit sourire satisfait.
— Tu mouilles... Ca excite madame de jouer la salope pleine de fric dans des vêtements hors de prix, c’est ça ?
Son index réitère son approche et s’enhardit, cette fois pour une exploration plus profonde. Alizée ferme les yeux et, en guise de réponse, laisse échapper un petit gémissement. Malya commence à aller et venir dans le vagin déjà trempé.
— Ca gagne combien, une pédégette du CAC40 ? Un peu plus qu’une pute normale, je suppose ?
Alizée se dandine, se mord les lèvres et laisse échapper un petit rire dédaigneux.
— Tu veux me taquiner, Malya ? Une vraie pute tient les hommes à sa merci, elle les tient par leur sexe comme on tient un chien en laisse. Alors, quand une pute digne de ce nom pèse huit milliards d’euros et qu’elle s’en fait cinq millions tous les ans, lorsqu’elle jette une baballe à un toutou, fut-il Président de la République, il la ramène docilement en remuant la queue ! Vas-y... Plus fort... Fais-la bien jouir, ta pute...
Malya joint son majeur à son index et accélère le mouvement. Le bruit de clapotis qui accompagne la pénétration de plus en plus rapide témoigne de l’humidité du vagin de plus en plus ouvert et accueillant. La manchette de sa chemise blanche est littéralement imbibée de mouille... Alizée rend les armes, s’abandonne et hurle tout son plaisir au moment où sa chatte explose. Malya retire sa main. La directrice générale gicle et gicle encore, aspergeant le tapis sous elle et souillant ses bas noirs.
Alizée s’effondre sur le canapé, le souffle court. Elle prend quelques secondes pour retrouver ses esprits et sa respiration, mais ne tarde pas à relancer son amie.
— A ton tour, madame la cheffe d’Etat-Major. Montre-moi donc les gros machins que tu caches sous ton uniforme.
Malya éclate de rire et s’exécute. Elle ouvre sa veste, desserre son nœud de cravate, défait son col et quelques boutons de sa chemise, pour enfin dévoiler la poitrine d’exception qui fait sa fierté. Ses deux monumentaux seins noirs sont maintenus par les demi-bonnets d’une guêpière blanche qui souligne, en contraste, sa taille relativement fine. Ses tétons libres pointent, bien durs, tels deux petits bouchons.
— Alors madame la directrice générale, il a l’air de quoi, ton petit 90C, à côté de mon 100M ?— Les miens sont parfaits... Les tiens délicieusement obscènes... Et ces tétines... J’adorerai y prendre mon lait...— Ne te prive pas mon bébé, viens téter les belles mamelles de maman !
Alizée ne se fait pas prier, et se penche sur le sein droit de Malya. Elle commence par donner un petit coup de langue sur le gros téton dressé. Elle l’embrasse, puis referme ses lèvres rouges dessus. L’aspire. Le suce... Pendant ce temps, sa main s’occupe du sein gauche, faisant rouler la pointe jumelle entre son pouce et son index. Malya gémit. Ses mamelons sont particulièrement sensibles, et son amie le sait très bien. Combien de fois l’a-t-elle fait jouir juste en s’occupant d’eux... Elle se laisse aller en arrière, en appui sur l’accoudoir et remonte sa jambe droite contre le dossier, troussant sa jupe dans le mouvement pour mieux écarter ses cuisses. Alizée s’interrompt un instant pour se mettre à quatre pattes devant l’entrejambe offert. Elle parcourt du bout des doigts le corps de la générale en plein abandon tout en commentant son petit périple coquin.
— Un uniforme blanc... Une chemise blanche... Une guêpière blanche... Une culotte blanche... Un porte-jarretelles blanc... Des bas blancs... Des escarpins blancs... Dis-moi, ma chérie, c’est très virginal tout ça ! Un comble, pour un sac à foutre comme toi...
Ses doigts reviennent au cœur de l’entrejambe pour caresser la chatte velue aux grandes lèvres noires qui émerge de la lingerie fine.
— La culotte fendue, en plus des demi-bonnets... Tu es une belle salope toi aussi !— Salope ? C’est juste du sens pratique militaire de base : toujours avoir son équipement à portée de main, et de bite, prêt à servir ! Qui plus est, en bon soldat, je prends soin de mon matériel tous les jours, tu sais...— Tu es sûre ? Tu as le poil en bataille et je sens de l’humidité sous mes doigts... Une fuite peut-être ? Je ne suis pas plombier, mais j’ai un certain doigté pour bricoler les vagins.— Oui... Vas-y... Vas-y... Et occupe-toi de mes nichons, par pitié !
La mutine Alizée enfonce ses doigts dans la confortable moiteur de Malya tout en remobilisant sa langue et ses lèvres sur la poitrine. La générale en crie de plaisir.
— Oh oui ! Plus vite, branle-moi plus vite ! Plus fort ! Oui ! Bordel, qu’est-ce que tu suces bien ! Si tu t’occupes de la trique des mâles comme tu t’occupes de mes mamelles, tu dois en récolter du sperme !
Alizée accélère. Tous les doigts de sa main droite participent à la pénétration, à l’exception du pouce qui, tant bien que mal, frotte le clitoris dans le va-et-vient. Malya se cambre. Sa casquette tombe sur le tapis. Elle presse des deux mains la tête de la grande patronne qui s’enfonce dans son sein, comme pour lui signifier avec autorité que ce n’est pas du bout des lèvres qu’on déguste un tel morceau, mais à pleine bouche. Elle hurle.
— Fourre-moi ! Défonce-moi ! Va au fond, sale pute !
Alizée se déchaîne. C’est maintenant son poing tout entier qui entre sans effort. Le visage enfoui dans l’énorme masse mammaire, elle a du mal à respirer, mais c’est avec une énergie intacte, une véritable rage, qu’elle s’enfonce dans l’entrejambe de son amie. Son poignet et son avant-bras émergent, couverts de jus de chatte, avant de replonger à un rythme endiablé au plus profond d’une intimité dévastée.
Malya se cambre à nouveau, prise de convulsions, et lâche une longue plainte suraiguë. Alizée se retire rapidement pour laisser échapper un puissant jet de mouille. Puis un second, un troisième, un quatrième... Une véritable douche pour son beau tailleur et sa poitrine toujours exhibée. Elle reste étourdie un instant lorsque le flot s’arrête enfin, puis réalise l’ampleur de l’explosion qu’elle a provoquée. Elle est trempée comme une soupe. Les yeux mi-clos, vidée, Malya est dans un état second. Alizée vient se coucher sur elle, unissant leurs seins nus dans l’étreinte, pour l’embrasser tendrement sur les lèvres.
— Tu as aimé ? — A ton avis ?— Je suis sûre que ça ne vaut pas la bite de ton père... A en croire ma mère, se faire ramoner par un engin pareil, c’est une expérience unique. Même quand on a l’habitude de prendre du très gros.— Et tu verrais celle de mon petit frère... Le portrait craché de papa. Regarde-le, il est en train de se faire sucer par la ministre. C’est une grande professionnelle, celle-là... On sent qu’elle a eu une carrière bien remplie, pour avoir un tel savoir-faire... Prodiguer une fellation de cette qualité tout en se faisant détruire par mon père et ce connard d’Ekouyu en double pénétration, ça force le respect !— C’est donc ton frère, lui ? Le secrétaire de ton père ? Effectivement, l’apprenti a du potentiel ; il est aussi bien monté que le maître. Je serais enchantée de me faire introduire, si tu veux bien te charger des présentations !— Ce sera avec plaisir, dès que madame Marly lui aura lâché la queue. En attendant, que dirais-tu d’un petit 69 ?
Alizée, les yeux brillants, sourit avec gourmandise et entreprend d’opérer un demi-tour pour se mettre en position, pendant que Malya finit de s’allonger sur le canapé.

***
Assise dans le fauteuil épargné par les pervers élans qui éreintent l’inestimable mobilier du ministère, la présidente Del se délecte du spectacle surréaliste qui s’offre à ses yeux. Les seins de sortie au balcon et la chatte au grand air entre ses jambes écartées, à l’instar de sa fille, elle se caresse lentement, plongeant de temps à autre ses doigts dans son vagin pour les humidifier. Et se faire du bien. Elle regarde Alizée et sa copine, l’une sur l’autre, en train de se faire mutuellement gicler pour la énième fois. Les deux fontaines semblent inépuisables. Le canapé empire qui les supporte, inondé, ne s’en remettra probablement pas...
De l’autre côté de la table basse, tous les orifices de Constance Marly sont obstrués par les membres les mieux montés du gouvernement de monsieur Ajikle. Le Premier ministre, assis sous elle, se charge de l’empalement anal, tout en pétrissant ses gros nichons. Le ministre de la Défonce, en appui sur les cuisses ouvertes discrètement habillées de bas couleur chair, s’occupe du massacre vaginal. Enfin, le jeune secrétaire, debout contre l’accoudoir, bénéficie d’une somptueuse fellation et assure la destruction orale. A chaque coup de boutoir, les mamelles de madame Marly bondissent et retombent lourdement, entraînant son collier de perles dans une farandole hystérique. Il semble que son cul va éclater, sa chatte se déchirer, sa mâchoire se démettre et sa nuque se briser. Mais la grande politicienne expérimentée tient bon, pour sa plus grande jouissance.
Elle en a vu bien d’autres, avec un plaisir sans cesse renouvelé, et elle sait tout au fond de son intimité écartelée que ses messieurs et leurs gros engins sont ses jouets.
Ces femmes de pouvoir si élégantes, dépoitraillées, chatte béante et ruisselante. Ces dignes messieurs et leur énorme trique déployée hors de la braguette de leurs costumes. Grands de ce monde esclave de leurs vices et de sa volonté à elle, Stéphanie Del, qui les a habilement guidés jusqu’ici, sous les ors de la république où ils lui offrent les délicieuses prémices de sa victoire.
Elle jouit.
Ses yeux se ferment. Sa respiration se calme. Son pouls ralentit... Reprenant ses esprits, elle passe la main dans ses cheveux et regarde sa montre. Le protocole, c’est le protocole, et le timing est particulièrement important pour cette séance de signature. Il est temps de préparer tout ce petit monde au dernier acte de ces longs mois de négociations. Et à son ultime rebondissement.
Elle se lève, rajuste sa tenue, et telle une institutrice autoritaire rappelant sa classe à l’ordre, frappe dans ses mains pour réclamer l’attention de sa prestigieuse audience.
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