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Chapitre 2

Trash
Le choix de ma prochaine action allait probablement déterminer beaucoup de choses dans mon futur proche, mais il allait sans dire que dans l’instant présent, un choix me paraissait beaucoup plus alléchant qu’un autre. Après cinq bonnes secondes de conflit intérieur, mes arguments rationnels finirent noyés sous mes pulsions et je levais mon bras d’un air décidé :Soit je perdais ma petite-amie maintenant, soit le futur de notre relation s’annonçait très intéressant.
Elle avait enfoui sa tête dans les coussins du canapé, de honte probablement, et ses jolies fesses cachées sous sa jupe se courbaient juste devant moi.
Clémence lui agrippa les bras pour la tenir en place et m’encouragea une dernière fois à me lancer. Sans plus d’hésitation, la paume de ma main claqua contre ses fesses, le bruit du choc s’étouffant dans le tissu de sa jupe et celui de son cri de douleur dans un des coussins.
— Attends, quelque chose me va pas là. M’arrêta Célia alors que je m’apprêtais à la fesser une deuxième fois.— Tu vas pas la fesser par-dessus sa jupe quand même, il faut qu’elle se sente humiliée si tu veux qu’elle apprenne sa leçon.
Je me surpris à me prendre au jeu en acquiesçant d’un hochement de tête, avant de soulever la jupe d’Alice pour la replier sur son dos. Cette dernière voulut protester, mais Clémence lui tenait toujours fermement les bras et elle n’eut d’autre choix que de laisser sa culotte noire apparaître à la vue de tous.
— Sérieux ? C’est ça tes sous-vêtements pour ton homme ? Il va falloir la relooker aussi je pense. Se moqua Tess.— C’est clair. Mais pour l’instant il va falloir rougir ces fesses. Répliqua Clémence, avant de se tourner vers Alice, dont la tête était toujours enfouie dans les coussins, et d’ajouter :— Et toi, je veux t’entendre compter à haute voix et remercier ton maître, compris ?
Elle ne reçut pas de réponse, mais quelques secondes plus tard, le bruit de la seconde claque se fit entendre.
— Deux ! Merci maître.
Puis de la troisième.
— Trois ! Merci maître.
La voix d’Alice déraillait un peu plus à chaque nouvelle fessée, et Célia ne me fit signe de m’arrêter qu’à la quinzième, après que ses fesses eurent été suffisamment marquées par mes mains. L’espace d’un instant, j’eus la sensation que c’était peut-être la fin de toute cette situation rocambolesque, que la soirée reprendrait son cours et qu’Alice et moi aurions une discussion probablement très houleuse le lendemain. L’excitation était cependant montée en moi et je ne fis plus qu’à moitié surpris de ressentir une certaine tristesse à cette idée.

Alors que Clémence avait enfin lâché ses bras, Alice s’apprêtait à se relever quand Célia la coupa dans son élan :
— Je pense que ça devrait te faire retenir la leçon, mais ne pense pas qu’on en a fini là avec toi, il va falloir tout revoir depuis le début, je suis certaine qu’on risque de trouver des dizaines de choses à redire.
Alice plongea alors à nouveau sa tête dans des coussins et j’eus juste le temps d’apercevoir une larme sur sa joue.
— Commençons par l’hygiène ! proposa Tess.— Bonne idée ! rétorqua Célia, avant d’écarter les deux fesses de ma petite-amie de ses deux mains.— Clémence, ajouta-t-elle. Tu veux bien venir inspecter son odeur ? Je suis sûre qu’elle n’a même pas pris de douche avant de nous accueillir.
Clémence vint se placer derrière Alice, un sourire aux lèvres, avant de plonger son nez entre ses fesses et de renifler. Elle releva le visage et s’écria :
— Uh, je crois que t’as raison, Tess viens me donner ton avis.
Tess s’approcha à son tour, plaqua son nez contre l’anus d’Alice et inspira à son tour.
— Je suis formelle, elle devrait avoir honte de se présenter à son homme dans cet état, il va falloir la doucher rapidement. Déclara-t-elle en regardant Célia.— T’entends ça ?! sermonna cette dernière. Tu devrais avoir honte. — Je suis pas sûre qu’elle retienne la leçon si on la douche juste, elle risquerait de ne pas savoir se tenir propre régulièrement, je crois il lui faut un exemple. s’interrogea Clémence.— T’as raison, fais lui sentir le tien, qu’elle sache reconnaître l’odeur des fesses propres. répliqua Célia.
Elle retourna donc devant le visage de ma petite-amie en prenant soin de se mettre dos à elle, avant de soulever sa jupe et de se cambrer pour placer ses fesses juste en face du visage de cette dernière. Pendant ce temps, Tess s’était levée et tenait Alice par les cheveux, lui relevant le visage à la hauteur des fesses de son amie. Mais à l’instant où elle allait lui pousser la tête en avant, Célia la coupa :
— Attends, elle risque de rien sentir avec la culotte, et je veux que notre invité profite du spectacle.
Elle se pencha donc et fit tomber la culotte bleue de Clémence juste à ses pieds, avant d’à nouveau utiliser ses deux mains pour écarter les fesses. De ma position, je pus admirer l’anatomie de la petite blonde et, son petit anus qui m’avait l’air encore vierge ne manqua pas de provoquer un début d’érection entre mes jambes.
À ce stade, Alice était résignée, elle ne résista pas quand Tess enfonça son visage entre les fesses de Clémence, et elle s’exécuta quand Célia lui ordonna de renifler.Après l’avoir vu inspirer puis grimacer trois fois, Tess tira sa tête en arrière et lui lança :
— Elle sent bon pas vrai ? C’est comme ça que tu devrais sentir, tout le temps, tu sauras retenir ?
Alice allait répliquer quand Célia lui coupa la parole :
— Tu sais quoi ? dit-elle en regardant Tess. Je crois qu’elle retiendrait plus facilement si elle avait le goût. — Mais carrément ! T’es pas d’accord ? Interrogea cette dernière.— S... Si ? répliqua timidement Alice.— C’est ce que je pensais, alors lèche. Rétorqua sèchement Tess tout en plongeant de nouveau son visage entre les fesses de Clémence.
Après un court moment d’hésitation, Alice laissa apparaître sa langue et entreprit de lécher timidement l’anus de son amie.
— Plus vite que ça, mets-y de l’envie, imagine-toi comme une chienne en train de renifler des fesses ! L’encouragea Célia.— Il faut la dresser, lui apprendre à rester propre... c’est pas si différent d’une chienne finalement plaisanta Clémence.— C’est clair ! Il faudra penser à lui mettre un collier tant qu’elle sera bien éduquée ! surenchérit Tess.
De mon côté, le début d’érection s’était transformé en barre de fer tant l’humiliation que subissait ma copine m’excitait, et je laissai définitivement tomber mes barrières.
— Elle t’a dit de lécher mieux que ça, applique-toi petite chienne ! lançai-je.
Célia se retourna vers moi, s’armant d’un sourire toujours aussi rassurant avant de me féliciter :
— Voilà, c’est comme ça qu’il faut lui parler si tu veux qu’elle t’obéisse, tu commences à prendre le pli !.
Parallèlement à ce dialogue, Alice continuait de lécher l’anus de Clémence, avec moins de dégoût qu’au début, et cette dernière se mit à gémir de plaisir.
— Pour conclure la leçon, il va falloir qu’on l’aide à comparer la bonne odeur du cul de Clémence et celle du sien. Déclara Célia après deux bonnes minutes d’annulingus.
Enthousiasmé par ses encouragements précédents, je répliquai :
— Je m’en charge.
D’un ton ferme.
Je n’obtins pour réponse qu’un hochement de tête approbateur et entreprit donc de baisser la culotte noire d’Alice jusqu’à ses genoux, exposant ainsi ses parties intimes. Je tendis alors mon bras jusqu’à son visage, fermant ma main à l’exception de mon index et, quand Tess tira sur ses cheveux pour faire sortir son visage d’entre les fesses de Clémence, j’ordonnai à ma petite-amie :
— Suce.
Le visage fermé, elle me lança le regard le plus noir que je n’avais jamais vu dans ses yeux, mais elle s’exécuta.
Après une dizaine de secondes, je sortis mon doigt de sa bouche chaude avant de le presser doucement contre son anus. Je la laissai dans l’anticipation, profitant pleinement du moment insensé que j’étais en train de vivre, puis finit par me décider. Doucement mais fermement, j’enfonçais une première phalange en elle. Puis une deuxième, une troisième, et déjà, mon index entier trônait au fond de son cul. Je fis quelques aller-retour avec, puis le ressortit pour le tendre à nouveau devant son visage.
— Qu’est-ce que t’attends ? Suce, on a pas de temps à perdre avec tes caprices ! lança Clémence qui s’impatientait devant la grimace d’Alice.
Alors celle-ci approcha ses lèvres, timidement, puis prit en bouche mon index souillé pour effectuer de lents va-et-vient.
— Tu sens comme tu pues ? l’interrogea Célia.— Regarde comme elle suce mal, surenchérit Tess. Il va falloir l’éduquer là-dessus aussi, c’est plus de travail que ce que je pensais.— T’en fais pas on a tout notre temps, conclut Célia, ce à quoi Clémence s’empressa d’ajouter :— C’est clair, on te la laisse pas tant qu’elle est pas parfaitement dressée ! tout en me regardant.— Je compte sur vous, répondis-je simplement, sourire aux lèvres, en fixant des yeux ma copine dont la langue tournait toujours autour du même index qui avait visité son anus quelques secondes auparavant.
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