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À disposition

Chapitre 3

Trash
Alors que mon index continuait ses va et viens dans la bouche d’Alice, Célia, qui se montrait clairement être la leader du groupe de filles, repris les reines :
« - Je crois qu’elle a assez goûté son propre cul pour aujourd’hui, pas vrai ? » dit-elle en regardant ma petite-amie.
Alice émit un gémissement en hochant la tête et Tess enchaîna :
« - Alors qu’est-ce qu’il lui reste à apprendre maintenant ? » 
Célia sembla réfléchir durant quelques secondes, puis finit par se retourner vers moi :
« - Dis, elle prend soin de tes besoins correctement au moins ? »
« - Qu’est-ce que tu veux dire par la ? » rétorquais-je, un peu surpris.
« - Elle veut dire, est-ce qu’elle te satisfait sexuellement ? En tant que ta petite-amie, elle devrait être à disposition et exaucer tes moindres souhaits, est-ce que c’est le cas ? » répondit Clémence.
Je n’avais jamais vraiment eu à me plaindre de ma vie sexuelle avec Alice, pour autant beaucoup de choses que j’aurais aimé lui faire m’avait toujours été interdites et l’envie de les lui faire malgré tout n’avait que peu de poids face à mon désir de ne pas la brusquer. Ce soir là cependant, il était pour moi hors de question de répondre honnêtement à Clémence car excité comme je l’étais, je n’avais qu’une seule envie : voir où tout ça allait nous mener. Je pris alors un faux air triste et répliquai :
« - ..Pas vraiment, c’est vrai qu’elle m’a beaucoup laissé frustré... »
« - T’entends ça ?! » s’offusqua Tess tout en fessant à nouveau Alice. « T’es vraiment bonne à rien, tu devrais t’estimer heureuse qu’il soit resté avec toi aussi longtemps ! »
« Et surtout, tu devrais te montrer reconnaissante d’avoir des amies comme nous prêtes à t’apprendre comment traiter ton mec. » repris Célia.

« - C’est clair, je l’ai carrément laissé lécher mon cul pour l’aider, tu te rends compte ? » ajouta Clémence avant de se retourner vers la petite brune et d’ordonner :
« - Remercie-moi ! »
« - Vous êtes complètement ma.. »
Alice n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’une claque frappa sa joue.
« - Elle t’a dit de la remercier. » lança Tess qui en était l’auteure.
Les yeux à nouveaux baissés, Alice balbutia :
« - M..Merci. »
« - Voila, tu vois quand tu veux ? » l’interrogea Célia d’un ton moqueur tout en caressant ses cheveux.
L’air de révolte qui ornait précédemment son visage avait définitivement quitté Alice et elle n’objecta pas quand Célia repris :
« - Il faudrait qu’on la douche, mais je peux pas m’empêcher de le plaindre. » elle continua sa phrase en me pointant du doigt : « Il ne doit pas avoir pris de plaisir depuis tellement longtemps avec cette incapable, on devrait arranger ça avant. »
Tess et Clémence acquiescèrent, et alors que cette dernière vint se placer juste en face de moi, Tess soulagea mes genoux d’Alice en la relevant pour l’agenouiller sur le sol quelques secondes plus tard.
Célia vint se placer juste à côté de Clémence et, alors qu’elles se tenaient debout en face de moi, elle conclut :
« - Toi, » dit-elle en pointant Alice du doigt, « tu regardes et tu apprends. Et toi » dit-elle d’un ton plus doux tout en se retournant vers moi, « tu peux nous faire tout ce que tu veux, on est toutes à toi. »
La chaleur dans mon ventre dépassait tout ce que j’avais connu auparavant. Alors que je détaillais la petite blonde et son amie brune qui se tenaient face à moi, je mis quelques secondes à répondre. Après ce court instant de paralysie cependant, je repris mes esprits et décidai une bonne fois pour toutes d’assumer le rôle qui m’avait été donné :
« - Célia a raison, j’ai cruellement besoin de me faire sucer. » Déclarais-je avant d’ajouter : « Mais la sensation de toucher le corps d’une vraie femme me manque aussi.. je veux la bouche de Tess, mais je jouirais plus facilement si l’une de vous deux m’aidait.. » suggérai-je en direction de Clémence et Célia.
Clémence fut la première à réagir :
« - Tout ce que tu voudras. » dit-elle en ôtant définitivement sa robe.
Elle se tenait à présent entièrement nue devant moi, et Célia, qui portait toujours ses vêtements, ne tarda pas à la rejoindre. Après avoir fait tomber son haut et sa jupe noire sur le sol, celle-ci avança à ma hauteur et fit glisser son tanga jusqu’à ses pieds avant de me le tendre et de murmurer :
« - C’est cadeau » avec un clin d’œil.
Aucune des deux ne portait de soutien-gorge et je pus donc détailler leurs poitrines respectives.
Clémence était plus petite que Célia, et pourtant, ses seins étaient de loin les plus gros. Ses mamelons pointaient fièrement et ses tétons étaient d’une taille parfaite pour conclure la vue splendide qui s’offrait à moi. Bien que la poitrine de Célia était loin d’être désagréable à regarder, j’avais toujours préféré ses fesses, et une partie de moi avait attendu depuis que je la connaissais le moment où je pourrais enfin les malaxer. Alors que Tess avait laissé Alice sur le sol pour venir s’agenouiller devant moi, j’ordonnais donc à Clémence de venir s’asseoir sur mon ventre, face à moi, de sorte à ce que ses seins soient juste en face de mon visage et que ses fesses soient juste au-dessus de mon sexe, laissant à Tess assez de place pour en prendre soin.Cette dernière abaissa donc ma braguette et Célia vint la rejoindre à genoux.
Très rapidement, mon jean et mon caleçon furent à mes chevilles et Tess me prit en bouche. Pendant que cette dernière s’appliquait sur ma bite, Célia pris l’initiative de s’occuper de mes couilles avec délicatesse, alternant entre coups de langues et massage.
Alice regardait toujours la scène d’un air médusé et, remarquant son air hagard, Clémence enfonça le clou en pressant lentement l’arrière de ma tête pour l’enfouir entre ses seins.
Cette fellation dura environ une dizaine de minutes, après quoi Tess s’interrompit pour m’interroger :
« - Alors ? C’est mieux qu’avec ta chienne mal dressée hein ? 
— C’est clair ! Mais je crois que j’ai besoin de pénétrer l’une de vous pour jouir..
— Il suffit de demander ! » rétorqua Célia qui agrippa immédiatement les hanches de Clémence pour l’empaler sur ma queue.
La sensation fut divine, cette dernière étant plus que trempée, elle fit disparaître ma verge entière au fond d’elle sans me laisser le temps de réagir, et je ne pus émettre qu’un grognement appréciatif. Tess, qui était toujours à genoux, se mit donc à s’occuper de mes couilles à la place de Célia qui accompagnait désormais les va et viens de Clémence de ses mains.
Après quelques minutes seulement, je sentis la pression monter et murmurai :
« - Je vais jouir.. 
— Vas-y ! » m’encouragea Célia. « Je viens d’avoir une idée ».
Les fesses de Clémence s’aplatirent une dernière fois sur mes cuisses et dans un râle de plaisir, je déchargeai donc ma semence directement en elle. Quelques secondes plus tard, Célia me sortit de ma transe en apostrophant Alice dont j’avais presque oublié la présence :
« - Viens la » lui ordonna-t-elle.
Alors que celle-ci s’apprêtait à se lever, Célia la coupa à nouveau dans son élan :
« - À quatre pattes, pour qui tu te prends ? »
Toujours silencieuse, Alice reprit sa position initiale et avança lentement, la tête baissée et les genoux au sol. Quand elle arriva à la hauteur de mes jambes, Célia lui fit relever la tête et déclara :
« - Clémence t’a rendu service en donnant du plaisir à ton mec, alors tu vas te montrer reconnaissante en la nettoyant, ça me parait honnête, non ? 
— Et t’as intérêt de te montrer plus enthousiaste que tout à l’heure, tu te rends pas compte de tout ce qu’on fait pour toi ! » ajouta Tess.
Célia et Tess prirent donc Clémence par les hanches pour la surélever et me laisser le temps de retirer ma queue, et dans un élan de perversité, j’attrapai les cheveux de ma copine pour lui plaquer la bouche contre la chatte de Clémence.
« - Montre-nous comme tu es reconnaissante, je veux te voir laper tout mon sperme comme la petite chienne que t’es » lui lançai-je.
Alice se mit donc à laper, goute par goute, le sperme qui s’écoulait du vagin de son amie, amie dont les gémissements semblaient suggérer qu’elle trouvait les coups de langue plus qu’agréable. Après quelques minutes de ce traitement, il était clair qu’Alice avait désormais avalé tout le sperme que j’avais laissé au fond de Clémence, mais personne ne l’autorisa à s’arrêter jusqu’à ce que Clémence ne se crispe et atteigne l’orgasme une bonne dizaine de minutes plus tard.
Cette dernière se retourna alors, caressa les cheveux de ma petite-amie toujours à genoux avant d’annoncer :
« - Ahhh, ça c’est une gentille chienne. Tu vois comme tu peux être utile quand tu obéis ? Aller, à la douche ! »
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