Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 82 J'aime
  • 5 Commentaires

À disposition

Chapitre 5

Trash
Une fois la photo prise, les filles se relevèrent et Célia prit à nouveau la parole :
— Je sais pas ce que vous en pensez, mais faire preuve d’autant de pédagogie avec cette cruche, ça m’a donné sacrément faim !
Ses deux amies acquiescèrent, et la brune surenchérit :
— On a même pas touché aux pizzas qu’Alice avait commandées, on devrait les manger avant qu’elles soient froides, et puis ce sera l’occasion de lui donner une nouvelle leçon !
A ces mots, Tess claqua les fesses de ma copine toujours à quatre pattes et lui lança :
— Tu l’as entendu ? En avant la chienne !
Ma petite amie sursauta sous la fessée puis obéit immédiatement. Alors que nous descendions les escaliers, Clémence, qui marchait juste derrière Alice, prit la parole :
— Au final, je crois qu’on devrait vraiment lui mettre un collier et une laisse. Tout à l’heure, je disais ça pour rire, mais je commence à avoir l’impression qu’elle est trop conne pour prendre soin d’elle-même, j’ai peur qu’on la perde sans ça. — Tu sais quoi, je crois que t’as raison, surenchérit Célia. " Ses parents ont emmené son chien avec eux, mais il doit toujours rester son ancien collier et sa laisse dans un des placards de l’entrée. Allez manger, je vous rejoins ! "

Nous reprîmes donc nos places autour de la table basse du salon à l’exception de Célia et de Tess qui s’était emparée des cartons de pizza pour les faire réchauffer au micro-ondes. Voyant qu’Alice, toujours à quatre pattes, ne savait pas trop où s’asseoir, je pris l’initiative de lui ordonner de venir à mes pieds en pointant le sol du doigt. Elle obéit à nouveau avec une docilité presque déconcertante et Clémence, qui observait la scène avec un sourire en coin, ne manqua pas de me féliciter pour mon autorité nouvellement acquise.
C’est à ce moment que Célia revint dans le salon, le visage teinté d’enthousiasme, en proclamant :
— J’ai trouvé tout ce qu’il nous faut pour notre petite chienne !
Sans perdre une seconde, elle joint la parole au geste en étalant sur la table un collier en cuir vert, une laisse rétractable et, à ma surprise, une gamelle pour chien.
La brune fit tendre le cou à ma copine qui ferma les yeux tandis que sa meilleure amie soulevait la culotte qui trônait encore sur sa tête pour y faire passer le collier. Elle attacha ensuite la laisse au dit collier avant de me la tendre et d’ajouter solennellement :
— A toi l’honneur !
Je ne me fis pas prier pour attraper la laisse et, alors que je caressais les cheveux de ma nouvelle chienne de ma main libre, Tess réapparut à son tour avec assez de pizza pour tout le monde. Elle déposa une boîte devant chacun d’entre nous, avant d’arriver devant Alice et de s’arrêter quelques secondes. Cherchant Célia du regard, elle s’exclama :
— Attends, mais c’est génial, tu lui as même trouvé une gamelle ?!
Celle-ci acquiesça en riant, puis jeta dans le réceptacle quelques morceaux de pizza qu’elle avait auparavant coupés avec ses doigts. Elle déposa ensuite la gamelle à mes pieds, tira sur la culotte à pandas de sorte à laisser un trou au niveau de la bouche d’Alice et lança :
— A table !
Contrairement à ce que j’aurais pu penser quelques heures auparavant, ma petite amie n’eut pas l’air si déconcertée à l’idée de manger dans une gamelle et entreprit presque immédiatement de se pencher en avant, relevant ainsi ses fesses à hauteur de mes genoux, afin d’attraper les morceaux de pizza avec sa bouche.
Après quelques rires et commentaires sur la brune, les filles se mirent à leur tour à dévorer leurs repas, et entre deux bouchées, à discuter de la suite du programme pour la soirée.En me pointant du doigt, Célia mentionna :
— On s’est occupées de lui tout à l’heure, mais on n’a pas appris à sa chienne à le faire. Il faudrait qu’on s’en charge avant de partir vous croyez pas ?
Clémence et Tess acquiescèrent aussitôt et cette dernière ajouta dans ma direction :
— C’est à toi de dicter la suite, qu’est-ce que tu voudrais qu’elle fasse pour toi ?
A ces mots, mon cerveau dérailla complètement. Le champ des possibilités était si vaste, et le temps imparti pour en profiter me semblait si court. Je ne réussis qu’à balbutier :
— Je... ne suis jamais passé par derrière avec elle. — Sérieux ?! s’exclamèrent les trois amies d’une même voix.— T’as pas honte ? dit Clémence en s’adressant à ma copine qui resta muette.— T’en fais pas, on va arranger ça, conclut Célia, avant de se débarrasser de son carton de pizza et d’appeler Alice à ses pieds en sifflant.

Cette dernière obéit alors que je lâchais sa laisse pour la libérer, et elle fut tout aussi docile quand son amie lui ordonna de se mettre à quatre pattes sur la table du salon. Après avoir tiré une chaise en face des fesses de ma copine, Célia me fit signe de venir m’asseoir. Elle passa derrière moi, plaça ses mains sur mes épaules et murmura :
— Une chance qu’on l’ait lavée juste pour toi hein ? Je te propose de te régaler avant de la sodomiser, elle est toute à toi.
Elle releva ensuite la tête en ajoutant d’un ton sec en direction d’Alice :
— Pas vrai salope ? — Oui, bégaya cette dernière.— Je veux t’entendre lui dire. — Je suis tout à vous Maître, dit-elle en se retournant vers moi.

Il ne m’en fallut pas plus pour me convaincre d’écarter les fesses de la petite brune avant d’y plonger la tête. D’une grande inspiration, je m’imprégnai de ses odeurs les plus intimes. L’occasion était si belle, j’aurais voulu profiter de chaque instant, mais l’excitation était trop forte et je ne pus m’empêcher de coller ma bouche à son anus. Après quelques secondes à la goûter, je me mis à faire des va-et-vient de haut en bas, puis à faire tournoyer ma langue sur son petit trou, ce qui ne manqua pas de la faire gémir. Obsédé par ma dégustation, je ne vis ni Tess sortir son téléphone pour filmer la scène, ni Célia s’éclipser de la pièce puis revenir quelques minutes plus tard avec une bouteille d’huile dans les mains. Alors que je m’employais encore à lécher chaque recoin du cul d’Alice, son amie plaça de nouveau sa main sur mon épaule pour m’interpeller, avant de me murmurer dans un sourire :
— Je pense qu’elle est prête.
A moitié déçu, j’interrompais donc mon dessert pour me relever et suivre la direction de Célia.
— Il va quand même falloir la dilater un peu avant, annonça cette dernière, ce qui fit frémir ma copine.— T’en fais pas ma belle, on va commencer doucement, surenchérit Clémence tout en claquant la fesse d’Alice. Elle s’empara ensuite d’un pot de stylos qui traînait sur une étagère du salon avant de me le tendre et de me suggérer d’en tremper un dans l’huile. Une fois m’être exécuté, je repris ma place sur la chaise et entrepris de faire glisser le stylo dans l’anus de ma petite-amie. Mon index y étant déjà passé plus tôt dans la soirée, le premier ne fût qu’une formalité et très vite, je répétais le processus pour en entrer un deuxième.
À côté de moi, les filles se mirent à pouffer de rire quand, dans un élan de créativité, je décapuchonnais le troisième afin d’écrire sur les fesses d’Alice :
— Chienne en chaleur. Propriété de Mr. XXXX.— Je crois que tu viens de lui trouver une idée de tatouage assez chouette, suggéra Tess.

Ce manège continua encore quelques minutes, le temps de rentrer deux stylos de plus dans le cul de ma copine, après quoi Célia déclara :
— Je pense que ça devrait être assez pour aujourd’hui, à toi de jouer.
Tout en terminant sa phrase, elle retira un à un les stylos de l’anus d’Alice puis fit le tour de la table pour les placer dans sa bouche. Pendant ce temps, je m’étais déjà levé pour faire face à Clémence qui, la main enduite d’huile, s’était proposé de me branler pour me lubrifier. Je me laissais aller quelques dizaines de secondes à ce traitement avant de me retourner pour faire face aux fesses de ma copine. Anticipant le moment avec délectation, je frottais mon gland contre son anus dilaté alors que Célia lui ordonnait :
— Et toi, je veux pas t’entendre. Tu vas encaisser comme une bonne chienne, compris ?
Malheureusement pour elle, Alice n’eut pas le temps de répondre, car je m’étais inséré si soudainement en elle qu’elle ne put retenir un cri.Voyant ça, le regard de Célia devint noir et elle gifla ma petite-amie, qui ne savait plus si elle criait par humiliation ou parce que je limais son anus vierge de toutes mes forces. Clémence avait placé l’une de ses mains sur mes couilles et, tout en les massant, m’encourageait à grand recours de :
— Vas-y, vide-toi dans le cul de ta salope. Elle mérite que ça, regarde-la cette pauvre pute.
Tess quant à elle, s’était approchée pour offrir un meilleur angle à sa caméra, et elle ne manqua rien du spectacle quand, quelques minutes plus tard, je déversais finalement tout mon jus dans le cul d’Alice.
Célia ne laissa pas une seconde de répit à cette dernière et, alors que je profitais encore de l’extase, elle prit ma copine par les cheveux pour la retourner vers moi et lui ordonna :
— Maintenant, sois une bonne chienne et nettoie-lui la queue.
La brune s’exécuta, non sans grimacer, et se mit à lécher ma verge de bout en bout, la nettoyant d’un mélange de mon sperme et de sa propre transpiration anale.
Une fois qu’elles furent satisfaites de ses efforts, les filles m’invitèrent à reprendre ma place dans le canapé, laisse en main, pour traîner Alice à mes pieds, puis s’interrogèrent :— Encore une bonne chose de faite. Et maintenant ?
Diffuse en direct !
Regarder son live