Il la serre dans les bras. Il est pensif, elle a un petit air contrarié, ils ne parlent pas, se regardent à peine. Il a essayé de l’embrasser mais elle s’est détournée. Pourtant elle grogne lorsqu’il fait mine de vouloir la lâcher. Silence tendu. Elle réagit mal également lorsqu’il laisse sa main descendre dans son dos. Il descend pourtant jusqu’aux fesses qu’il caresse doucement. Elle bouge pour qu’il cesse mais il n’en fait rien et continue à lui prendre les fesses à pleine main, les masse et les malaxe. Elle s’ébroue, essaye de se dérober mais il maintient le contact et ne cesse la caresse. Elle dit un "non" sec et énervé. Elle essaye de partir mais ne parvient qu’à se retourner. Elle est maintenant dos contre lui ce qui lui permet de mieux la tenir d’un bras juste sous la poitrine. La main qui était sur les fesses est passée sous le t-shirt et lui caresse le ventre avant d’essayer de passer sous le pantalon. Elle se débat mais sa prise est bonne et elle n’est pas de taille à lutter contre lui. La main qui n’a pas pu passer sous le pantalon est tout de même descendue sur l’entre jambe qu’elle comprime à travers le tissus. "Ouvre le" lui demande-t-il mais elle n’a qu’un "non" froid et définitif. Il n’a aucune intention de s’arrêter et continue les caresses à travers le jeans. Plus elle se rebelle et plus il appuie. Il profite d’avoir descendu l’autre main pour ouvrir le pantalon, remonter sous le t-shirt et se saisir d’un sein sous le soutient gorge. Elle sent des doigts lui caresser le pubis avant de se glisser dans son string. Malgré elle, elle est trempée et ne peut empêcher un petit râle rauque lorsqu’elle sent son index et son majeur s’enfoncer violemment dans son sexe. Un pouce vient les aider en comprimant son clitoris. Elle voudrait se dégager mais ses mouvement ne font qu’augmenter l’ampleur des assauts que son sexe subit. Les doigts vont et viennent dans son sexe. Elle ne veut pas lui céder et aimerait pouvoir dire que c’est juste l’effet mécanique de la caresse qui la met dans cet état. Elle est en colère et elle a chaud, très chaud. Elle continue à bredouiller des "non" mais elle descend le pantalon pour lui faciliter l’accès à son intimité. Toute en colère qu’elle soit, elle ne peut nier le fait qu’elle soit sur le point de jouir. Les doigts ralentissent. La main qui lui pétrissait le sein se retire. Il ne la retient contre lui qu’avec cette pince qu’il a entre son point g et son clitoris. Elle peut d’autant moins s’échapper qu’elle est presque plaquée au mur. Il a ouvert son pantalon et sorti sa verge qu’elle peut sentir frotter dans le bas de son dos. Il est très dur et très gonflé. "Cette phrase est horrible mais comme Mr Darcy dans Orgueil et Préjugés, j’ai envie de te dire: contre mon meilleur jugement je dois reconnaitre que je vous aime". "OH". Malgré la colère, elle rougit légèrement et souri délicieusement. "Maintenant mouille toi le cul, Je vais t’enculer" lui dit il à l’oreille en insistant sur le dernier mot car il sait qu’il la choque chaque fois. Le sourire s’estompe, les rougeurs augmentent. Elle se crache dans la main, se penche en avant et applique la salive entre ses fesses. "Tu sais que je n’aime pas". "Le mot où l’acte?" "Les deux". Répond elle d’une voix vaincue dans laquelle sa froide colère se mélange à autre chose. Elle ne pourra le repousser. Quelque chose en elle ne le veut pas de toutes manières. "Non, le mot surtout. Là tout d’un coup j’ai vraiment envie de te recevoir dans le derrière". Elle voudrait ne pas avoir ce frisson lorsqu’elle le sent entrer en elle. Elle a cessé de se débattre. Les doigts dans son sexe bougent à peine. Derrière, la préparation est bien insuffisante, la pénétration est douloureuse. "Pourquoi le laisse je faire?" se demande-t-elle alors qu’une larme descend le long de sa joue. Elle voudrait pouvoir dire qu’elle n’aime pas. Il la serre contre lui et continue à s’enfoncer en elle. Une chaleur frissonnante se diffuse à travers tout le corps. Ses mouvements se font plus longs. A mesure qu’elle le sent aller et venir en elle son esprit se dissocie peut à peu de la douleur pour ne plus gouter qu’au plaisir que les doigts lui procurent. Elle voudrait ne pas jouir aussi fort lorsque l’orgasme la frappe. Elle devrait se révolter contre ce traitement dégradant. Elle ne veut pas que cela cesse. Elle jouit encore lorsqu’il explose en elle. Il la serre toujours dans les bras. Cette fois c’est elle qui l’embrasse.
