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La dispute

Chapitre 5

Petite évolution

Travesti / Trans
Allongé sur le dos, Alexandre se contentait d’apprécier le moment. En quelques jours, sa perception des choses avait beaucoup changé. À présent, c’était comme si tout ce que Sandra lui avait dit avait pénétré son subconscient. Ce qui au départ, l’avait choqué, contrarié, surpris, était maintenant accepté. La veille, de se voir dans un miroir entièrement vêtu en femme l’avait fait frissonner. Sandra l’avait incité à se mouvoir dans le dressing en observant son reflet dans les glaces. À sa grande surprise, cela l’avait émoustillé. De percevoir maintenant qu’il n’était pas le mâle qu’il pensait être ne le choquait pas non plus. « Pourquoi veut-elle me donner un prénom ? D’ici un jour ou deux, ma femme sera de retour. »
— Qu’es-tu en train de dire ma chérie ?— Hein, heu..., non rien, désolé de t’avoir réveillée,— Menteuse, tu viens de parler de Danielle. Avec la neige qui est encore tombée pendant que nous dormions cela nous laisse un répit. Je vais profiter du temps qui nous est accordé pour te perfectionner.— Sandra, ma belle, que veux-tu encore ? Je suis complètement épilé, je t’ai tout donné, je ne vois pas ce que je pourrais faire de plus.
La jeune femme ne lui fit pas de réponse, elle se contenta de placer ses lèvres sur le sexe tout lisse qu’elle caressait depuis quelques minutes. La caresse le fit taire, il sentit qu’elle venait de tout prendre en bouche. Dans un même temps, une autre caresse débutait, des doigts venaient de s’introduire dans sa rosette. Le plaisir montait et de temps à autre il émettait de petits gémissements. Son corps répondait aux sollicitations, son bassin bougeait, ondulant sous les vagues de sensations ressenties. Alexandre se sentait totalement possédé, d’un côté la bouche le dévorait et de l’autre la main était entrée.
— Aah ! Je vais jouir !
Il venait de se rendre compte qu’il aimait être possédé de la sorte. Il se sentait totalement rempli. Les mouvements de succion et les caresses internes conjugués déclenchèrent un puissant orgasme. La succion s’amplifia, Sandra ne laissa rien perdre de ce qu’elle appelait le nectar d’amour. Dès qu’il se détendit, elle vint l’embrasser pour partager un peu du sperme qu’elle venait de boire.
— Hum, ma chérie, j’adore ton sperme, il a bon goût.
— C’est pour ça que tu t’es empressée de venir m’embrasser. Je pense que je vais finir par l’aimer moi aussi. J’ai senti que tu m’as complètement avalé. Même mes...
— Oui, même tes couillettes, elles ne sont pas bien grosses. Tout est petit et mignon, elles ne pendent pas, j’adore ça. En plus, ton petit trou est bien souple. Ta rosette me fait penser à un sexe féminin, tellement il est facile d’y entrer. Et en même temps si tonique, on se sent bien enserré, un régal. Allez, à ton tour j’ai envie d’une bonne fellation, viens au-dessus de moi.
— N’exagère pas, ce n’est pas une chatte tout de même.
— Chut ! Mange-moi !
Visiblement, l’heure n’était pas aux discussions, il se plaça dans la position demandée. En se tenant aux cuisses de son amie, il entreprit d’avaler le sexe lisse qu’elle lui offrait. Avant de l’enfourner, il avait vu que déjà du liquide séminal suintait du prépuce. En utilisant uniquement ses lèvres, il fit glisser la peau pour atteindre le gland. Avec la langue, il récupéra ce liquide qu’il avait appris à apprécier. De s’entendre dire quelques minutes plus tôt que son anus était comparable à un sexe féminin ne l’avait pas choqué. Pendant quelques secondes, il essaya de faire comme elle et prendre en bouche la totalité.
— Hi hi ! Tu n’y arriveras pas. Mmm, c’est bon tout de même, ta bouche fait des merveilles. Dans cette position, je vois bien tes tétons. Aïe ! Vilaine, tu viens de me mordre le bout.
Pendant qu’elle se moquait, il venait de lui mordiller le gland. Deux claques bien assénées sur les fesses l’incitèrent à reprendre la fellation interrompue. Sandra accompagnait les mouvements avec son bassin. La première fois que la verge pénétra sa gorge, il y eut un réflexe nauséeux. Ensuite, il dut adapter sa respiration aux mouvements successifs. De temps à autre, elle gémissait de plaisir. Il sentait ses mains sur ses fesses, elle le maintenait fermement. À nouveau, il sentit les lèvres de Sandra se refermer et aspirer l’ensemble. En même temps que l’air sur son anus ouvert il sentait les dents qui l’enserraient. Le pubis frappait maintenant sa bouche avec force, les fesses qu’il tenait se crispaient.
— Haaaa ! Oui ! C’est bon ! Je jouis !
Il sentit le liquide frapper en saccades au fond de sa gorge. En même temps, il sentit la pression des dents sur son sexe, il ressentit un mélange de plaisir et de douleur. Il se surprit à penser qu’il aimait ce qu’elle lui faisait. Le sperme et la salive mélangés coulaient sur la verge offerte. Il s’appliqua à tout avaler. En riant, elle l’avait poussé sur le côté.
— Vilaine ! Tu ne m’as rien donné. J’ai eu du mal à ne pas te manger l’escargot, pourtant cela ne m’aurait pas rassasiée.— Arrête ! Tu es agaçante, je n’y peux rien, oui mon sexe est petit. Ce n’est tout de même pas de ma faute si je n’ai pas éjaculé.— Hi hi ! Ne fais pas la boudeuse. Le fait est que j’ai l’impression que tu as produit une moins grosse quantité de cet élixir que j’aime.
Tout en parlant, Sandra caressait le corps allongé et offert. En souriant, elle l’observait guettant les réactions de son partenaire. Ils étaient silencieux, les mains de la jeune femme restaient actives. Il frissonnait en sentant les doigts parcourir son corps. Les sensations étaient agréables, les petits pincements sur les tétines les avaient fait s’ériger. Des vagues de plaisir lui parcouraient le ventre. Pourtant son sexe restait mou malgré les sollicitations. Un pincement un peu plus rude lui tira un gémissement. En réponse au regard interrogateur, il y eut un sourire.
— Dis-moi, ma belle, j’ai l’impression que tu aimes ce que je te fais. Plus je te regarde et plus je te trouve mignonne. Tu es mince et élancée, oui, c’est cela comme une liane. Oui ! c’est ça ! Éliane ! Ce prénom te va comme un gant.— Heu..., tu penses vraiment..., Danielle va bientôt revenir.— Arrête avec ça ! Oublie-la ! Éliane lève toi, nous allons au restaurant.
Sans réfléchir une seconde il s’était levé, puis il lui adressa un regard interrogateur. La neige à l’extérieur empêchait la réalisation de ce que Sandra venait de projeter.
— Hi hi ! Je vois que tu as déjà accepté le joli prénom qui est maintenant le tien. Ton escargot me fait penser à un clitoris. Viens, nous allons nous préparer pour cette sortie improvisée.
Il la regardait en écarquillant les yeux, il se disait qu’elle perdait la tête. Cela faisait plus de deux jours qu’ils étaient enfermés dans la somptueuse villa. Sandra lui asséna une forte claque sur les fesses. Le picotement l’incita à se masser le postérieur. Pendant qu’il avançait vers le dressing rom, il sentait le regard qui le suivait.
— Hum ! Tu es vraiment belle, mon amoureuse. Tes fesses bougent joliment, ton bassin ondule à la perfection. Avec des talons hauts, tu seras divine.— Tu m’avais dit avoir des vêtements pour moi.— Bien sûr que j’en ai.— Ah ! Bien d’accord, tu oublies que les routes sont impraticables. Les restaurants sont fermés.
Il s’était tourné vers elle pour attendre la réponse à ses arguments. La réponse tardait à venir, il la regardait pendant qu’elle le regardait en souriant. Il rendit compte que ses yeux parcouraient son corps.
—..., ah ! Oui...,— Tu ne m’as pas écouté une seconde. Je t’ai dit que la neige et les restaurants fermés nous empêchaient de sortir.— Mais non mon petit cœur, rien ne nous empêche de sortir. Ne me regarde pas comme ça, je ne suis pas en plein délire. Je te rassure, je n’ai jamais pris la moindre substance illicite. De la même manière, je ne me suis jamais saoulée.
Sans s’en rendre compte il venait de placer ses mains sur les hanches les jambes légèrement écartées. Il fixait son regard, attendant la suite de l’explication.
— Hi hi ! Tu es vraiment belle dans cette position. Tes petits seins sont mis en évidence, nous les ferons un peu grossir, mais pas beaucoup. J’adore tout ce que tu me montres. Bon, bon, je vais t’expliquer, ensuite nous nous habillerons.
Elle lui dit qu’à la suite d’une confusion entre deux adresses, la motoneige commandée pour la maison à côté de Québec avait été livrée ici. Un incident contrariant au départ était bien utile à présent. Immédiatement, il lui vint à l’esprit que le grand portail automatique était bloqué par la neige.
— Non mon amour, nous ne sommes pas coincés ici. L’arrière de la propriété donne sur la forêt et en passant par là nous gagnerons même du temps. Cela me fait penser que je dois téléphoner au restaurant « Chez Gino », juste pour m’assurer qu’il est ouvert.— En admettant que nous puissions sortir, ce gars est certainement tranquillement chez lui, bien au chaud.— Ne t’en fais pas, cherche des vêtements qui te plaisent, fais-toi belle. Je reviens très vite.
En se retrouvant seul dans la pièce, il ne lui restait qu’à faire ce qui était demandé. En moins d’une minute, il se rendit compte qu’il n’y avait que des vêtements féminins à sa disposition. Contrairement à ce qu’il aurait pu croire, cette découverte ne le déstabilisa pas outre mesure. L’idée en elle-même l’émoustillait, cependant cela ne provoquait pas d’érection. « Je pense que nous avons trop fait l’amour ces dernières heures. Elle m’a pompé jusqu’à la dernière goutte. » Après avoir sélectionné des vêtements, il sortit de la pièce pour aller dans la salle de bain et prendre une douche. En se remémorant toutes les étapes, il fit tout ce qu’elle lui avait recommandé. « Éliane, ce n’est pas vilain comme prénom. » De prononcer ces quelques mots le fit rougir, il ne savait pas pourquoi cela le faisait réagir émotionnellement. Il s’était penché en avant quand il sentit une main lui caresser la rosette.
— Hum, ma douce, tu as fait une toilette complète, j’aime ça, tu es adorable.
Le doigt furtif qui venait de s’introduire était rapidement ressorti. Il se tourna pour faire face à la main, une bouche vint se poser sur la sienne.
— Éliane, je vois que tu as choisi un bel ensemble. Nous allons devoir un peu rembourrer les bonnets de ton soutien-gorge. Je t’ai apporté la perruque qui te va si bien.— Tu sais, je ne suis pas certaine de pouvoir me produire en public ainsi vêtu. Des gens risquent de me reconnaître, je vais mourir de honte. Je m’inquiète peut-être à tors, le restaurant sera certainement vide. À moins qu’il ne soit fermé pour intempéries.— Hi hi, ma toute belle, je constate que tu utilises déjà le féminin. Ne t’en fais pas, tu seras méconnaissable. Ho ho ! Non, il est ouvert, en plus Gino avait organisé une soirée entre amis. Donc le restaurant est plein et nous y avons une table réservée. Hum, tu as de si jolies fesses.
Pour appuyer ses paroles, elle lui administra une grande claque sur la fesse. Une fois encore il ressentit ce petit mélange de douleur et de plaisir accompagné de bonnes sensations. Pendant les minutes qui suivirent, ils s’occupèrent à se vêtir. Alexandre venait de se transformer en Éliane. Dans le miroir, il pouvait voir une tout autre personne. Il fut surpris de constater qu’il la trouvait belle. La robe fourreau suivait les courbes de son corps et le mettait en valeur. Le petit apport dans les bonnets du soutien-gorge rendait parfait le galbe de sa poitrine. Une petite poitrine, mais très agréable à regarder. En se voyant sourire dans le miroir, il rougit. Il avait souri parce qu’il trouvait belle la fille qui lui faisait face. « Éliane est belle, je suis belle. » Un baiser sur la joue interrompit sa réflexion.
— Cela fait des jours que je te le dis. Tu es belle. Vient Éliane, il est temps d’y aller.
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