— Nous ne pouvons sortir dans cette tenue.— Oui Éliane, c’est vrai, ta petite bosse se voit, remonte ta robe que j’arrange ça. Le ton ferme lui imposait l’obéissance, deux mains firent remonter le fin tissu jusqu’au-dessus des hanches. En quelques gestes caressants, Sandra venait de faire disparaître la petite protubérance. — Mais ma douce, ce n’est pas de cela que je te parlais. Je faisais allusion à la légèreté de nos vêtements, il fait froid à l’extérieur.— Ne t’en fait pas ma beauté, j’ai de quoi nous équiper dans le garage. Garde ta robe dans cette position et suis-moi. Oui, je sais, il n’y a aucun problème pour la taille. Je pense que cela sera légèrement grand, Une fois dans le garage Sandra lui montra l’engin qui allait les conduire jusqu’au restaurant. Sans plus attendre, elle sortit d’une armoire deux combinaisons adaptées et lui en tendit une. En quelques minutes, elles furent métamorphosées et prêtes à affronter la neige et le froid. Alexandre était surpris de se laisser ainsi conduire par le bout du nez. Malgré la douceur de la température du garage, il trouva frais le contact du tissu sur la partie de ses fesses restées découvertes. Le bout de ses seins s’était érigé, une sensation qu’il trouvait surprenante et qui lui fit plaisir. Cette aventure lui plaisait et il commençait vraiment à aimer d’être ainsi vêtu. Elle le commandait et il obéissait, pas un seul instant, il avait eu l’idée de mettre en doute la féminité de son amie. Une amoureuse équipée tout de même d’une belle verge, longue est épaisse en érection. De la même manière, l’idée de se laisser renommer et d’accepter la nouvelle situation faisait tranquillement son chemin. Par instant, il se disait qu’en peu de jours il avait fait un énorme chemin. Pendant qu’il finissait de fixer les snow-boots, Sandra avait ouvert la porte basculante du garage et sortit le « skidoo ». Sur les instructions de la jeune femme, il s’installa derrière elle pendant que la porte se refermait lentement. Tout naturellement, ses bras enserrèrent la taille de la conductrice. L’air ambiant était froid, mais leur équipement les protégeait. Comme elle l’avait annoncé, le trajet fut cahoteux, il n’y avait d’autre ressource que de se tenir fermement et de se coller contre Sandra. La course se poursuivit pendant une vingtaine de minutes pendant lesquelles il n’y eut pas d’échanges. Secoué, trimballé, il ne se détendit qu’en apercevant les lumières du restaurant. Sandra stoppa la motoneige à côté d’autres véhicules recouverts par la neige. Il était évident que les gens étaient dans l’établissement au moment des premières chutes. — Hihi, nous sommes arrivés, Gino doit avoir une pièce pour que nous puissions retrouver une apparence convenable.— Ouf ! Cela a secoué tout le long. Je trouve que le siège de ta moto est un peu dur, j’ai mal aux fesses.— Oh ! Ma pauvre chérie, dès que je peux j’y ferais plein de bisous. Je suppose que tes tétons ont bien sauté et que les bouts sont bien durs.— J’avais entendu parler de cet endroit, mais je n’y suis jamais venu. Mes..., oui c’est vrai, mais j’étais très occupé à me tenir à toi. Elle lui prit la main pour l’entraîner vers une porte sur le côté. De toute évidence, elle connaissait bien les lieux. À peine étaient-ils entrés que leur hôte se manifesta. — Sandra ! Je suis content de te savoir enfin arrivée. Avec cette couche de neige, j’étais un peu inquiet. Viens, je vais vous montrer la pièce où vous allez pouvoir vous refaire une beauté. Ce n’est que mon bureau, donc ne t’attends pas à quelque chose d’extraordinaire.— Merci, mon mignon, je n’en attendais pas moins de ta part. Tout en parlant Gino venait d’embrasser sur les joues les nouvelles arrivées. — Tu ne me présentes pas ton amie, je suis Gino, le patron de ce restaurant. Comme Sandra, j’ai vécu au Québec.
— Laisse-moi un peu souffler, c’est Éliane, mon amie, ne te fait pas d’illusion, c’est mon amoureuse. L’échange avait été rapide, Éliane, puisqu’il s’agissait d’elle n’avait pas eu le temps d’ouvrir la bouche. C’était la première fois que ce prénom, son prénom était cité en présence d’un étranger. Cela occasionna une petite accélération cardiaque, qui causa un rougissement des pommettes. L’homme qui lui faisait face lui parut relativement jeune, la quarantaine tout au plus, et très à l’aise. — Haha ! Elle rougit la mignonne. Bon, allez ! Je vous laisse, je dois m’occuper des autres convives. Après avoir ouvert la porte du bureau, il tourna les talons pour s’en aller. Sans plus attendre, Sandra lui prit la main pour la faire entrer dans la pièce. « Oui, Éliane me plaît.?» — Que dis-tu ? Je n’ai pas compris. — Rien du tout, — Petite menteuse, je n’ai pas rêvé. Allez, retire ta combinaison, ensuite tu remettras tes chaussures.— Bon, d’accord ! J’ai dit que j’aime ce prénom, De l’avouer ainsi à voix haute fit revenir le rouge sur le visage. Dans le même temps, ce fut comme si son corps acquiesçait lui aussi. Son esprit venait encore de progresser dans le sens demandé et acceptait ce côté féminin qui grandissait. Elle se pencha en avant pour retirer les jambes du vêtement offrant ainsi sa croupe à la vue de son amie. Presque aussitôt, deux claques retentissantes s’abattirent sur ses fesses. — Aïe ! Cela pique, pourquoi as-tu fait ça ?— Ma petite chérie, parce que j’aime tes fesses et que tu as un peu trop regardé Gino. Ta culotte est un peu mouillée, mais ton escargot est toujours dans la bonne position. En plus, j’aime te voir rougir. Bon, maintenant il faut se préparer. Les mains de son amoureuse venaient de lui caresser les fesses et son entrejambe avant de l’embrasser à pleine bouche. Une embrassade qui faillit dégénérer en pugilat amoureux.
Quelques minutes plus tard, elles sortirent du bureau en se tenant par la main. Le c ?ur d’Éliane battait maintenant à tout rompre. Elle avait pourtant suivi à la lettre les recommandations du premier jour. Même sans maquillage il n’était pas possible de voir la moindre trace de poil sur le visage. À leur arrivée dans la salle de restaurant, Gino vint les chercher pour les conduire à la table que Sandra avait réservée. Bien qu’elle se soit entraînée longuement entre deux assauts amoureux, Éliane avait peur de trébucher avec ses chaussures à talons. Accrochée au bras de son amie, elle essayait de ne pas trop onduler. Leur entrée passa inaperçue, les gens attablés discutaient entre eux. Cette lente évolution dans la pièce lui permit de voir que ces gens lui étaient inconnus. Une constatation qui lui permit de se détendre. — Ma douce Sandra, merci pour cette soirée qui me semble débuter sous les meilleurs auspices.— Mais c’est avec un grand plaisir ma belle, nous allons faire comme pour le soir du réveillon. Nous allons faire la fête, jusqu’au bout de la nuit. Elles étaient à quelques mètres de la table que leur désignait Gino, Sandra venait de la prendre dans ses bras pour l’embrasser goulûment. Une initiative qui ne passa pas inaperçue des gens attablés à proximité. — On dirait que la jeune dame meurt de faim. Dépêche-toi de leur donner à manger Gino. Une répartie qui fit éclater de rire quelques couples alentour. L’un d’eux fit remarquer que les deux jeunes femmes étaient bien mises en valeur dans leurs robes. D’entendre ces compliments Éliane répondit avec fougue au baiser. Elle se sentait émoustillée par cette situation. La crainte d’être démasquée venait de s’envoler, elle appréciait pleinement sa tenue. Oui, elle laisserait pousser ses cheveux pour ne plus avoir à endurer le port d’une perruque. Gino venait de les tirer par le bras pour les inciter à s’asseoir. — Dis donc Sandra, j’ai senti comme une bosse. Cela doit te gêner de la sentir ainsi prisonnière. Merci encore, je suis ravie d’être venue.— Hi hi ! Coquine ! Je suis certaine que ta culotte est trempée maintenant. J’étais certaine que cela te plairait. Penche-toi un peu pour que je t’arrange ton nichon droit. Oui, quelques hormones combleront ce petit espace. Je te rassure très peu. Je n’aime pas les gros nibards. Tu es fine et je t’aime comme ça. Sans aucune réticence, Éliane se prêta au jeu. Ce qui permit à Sandra de lui pincer un peu les tétons au passage avant d’arranger ce qui s’était légèrement déplacé. Bientôt, le repas fut servi, à l’issue duquel la piste de danse fut mise en service. Ce fut l’occasion de découvrir que Sandra était bonne danseuse et que là aussi elle dirigeait. Comme promis, la fête s’étira jusqu’aux premières lueurs de l’aube. Peut-être était ce dû à l’alcool ingurgité, mais le trajet du retour parut moins cahoteux à Éliane. En entrant dans la maison, grisées par la soirée, elles riaient à propos de n’importe quoi. Une fois dans la chambre, après s’être dévêtu mutuellement le jeu amoureux s’interrompit. La fatigue eut raison d’elles et Morphée les prit entre ses bras.
En s’éveillant Éliane, sentit dans son dos Sandra lovée contre elle. Son amie devait rêver de choses intéressantes, contre son sillon fessier elle sentait un membre bien dur. Il suffisait d’attendre, mais ce n’était pas son choix, elle déplaça sa main pour venir caresser le beau sexe lisse. — Hum, mon amour, j’aime être réveillée de cette manière.— Ne serais-tu pas en train de me raconter un mensonge ? Il est tellement dur qu’il traverserait ma culotte si j’en avais une.— Hi hi ! Tu as raison, j’attendais que tu te réveilles pour faire des cochonneries avec toi mon amour. En attendant, je repensais à notre soirée. Je trouve que tu danses très bien et que ton corps m’a fait l’effet d’une bombe.— Arrête avec tes compliments, je sais que ce n’est pas vrai.— Mais si c’est vrai, il y en a plus d’un qui aurait aimé te sauter cette nuit. Et pendant ce temps, mon sexe était comprimé, par moments c’était douloureux. Je suppose que c’était pareil pour toi.— Heu ! Moi ? Non, cela a été. Pourtant de me frotter contre toi m’a beaucoup excitée.— Hihi ! Tu as quand même eu ta culotte bien mouillée. Hum ! Tu as vraiment beaucoup changé ma petite chérie. Je vais te manger ton clitoris et tout le reste.— Non ! Plus tard ! Pour le moment, je vais d’abord bien m’occuper ce gros truc bien dur. Il ne demande qu’à être utilisé. Ensuite quand je me serais préparée, tu feras tout ce dont tu as envie. Éliane fit face à son amie pour pouvoir prendre en bouche le sexe triomphant qui jusque-là lui chatouillait les fesses. Lentement, elle avala complètement le membre durci jusqu’à ce qu’il tape au fond de sa gorge. En même temps, elle caressait les bourses bien remplies et collées contre la verge. Le goût et cette peau bien lisse lui plaisaient. De sa main libre elle caressait tantôt les fesses, tantôt la poitrine, faisant quelquefois un passage sur le petit trou. Le corps offert répondait sans cesse à ses sollicitations. Le liquide séminal se mélangeait avec sa salive. Sandra était déjà bien excitée, elle tendait son bassin à chacune des sollicitations. Que les caresses soient buccales ou tactiles, la jeune femme vibrait comme un instrument de musique sous les manipulations du musicien. Les gémissements de plaisir s’enchaînaient les uns aux autres. Éliane sentait que son amie était au bord de l’explosion, elle accéléra le mouvement. — Hmmm... Oui ! Je viens... Je vais jouir ! Aaaah ! Dans le même temps, Éliane reçut dans sa bouche la semence tant attendue. Elle en avala la plus grande partie. Quand son amoureuse se détendit un peu, elle l’embrassa avec passion pour partager un peu de la liqueur. Une liqueur qu’elle avait appris à aimer et dont maintenant elle ne pouvait plus se passer. Ensuite, elle s’allongea à côté tout en continuant à caresser la jeune femme. Cela était devenu une évidence, elle était amoureuse. Un sentiment qu’elle ne croyait plus possible. — Ma chérie, tu es une bonne amoureuse. J’ai joui comme jamais, j’ai cru mourir tellement c’était bon.— Hi hi ! Ce n’est pas pour rien que l’on appelle ça la petite mort. Mais c’est vrai, j’ai fait de mon mieux parce que je t’aime. Oui, j’ai découvert ça aussi, je suis amoureuse de toi Sandra.— Coquine ! Tu ris comme moi. Tu es... amoureuse de moi. Mon amour, c’est magnifique, je t’aime aussi. C’est un grand bonheur de t’entendre dire ça. Je vais te dévorer toute crue, ma toute belle.— Hi hi ! Pas tout de suite, Éliane se leva et sortit en courant de la pièce pour échapper à l’assaut qui se préparait.