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La dispute

Chapitre 8

Le bonheur est au bout.

Travesti / Trans
Le silence était revenu dans la pièce, Éliane reposa l’appareil sans prendre la peine de savoir qui tentait de la joindre. En haussant les épaules, elle fit demi-tour et aperçut le regard de son amie.
— Oui, je viens de me rendre compte que depuis que nous nous connaissons nous ne salissons pas trop de vêtements. Je suis pratiquement toujours à poil, pardon, je devrais dire toute nue, des poils nous n’en avons guère.
— Hihi ! Je regardais ton joli petit cul. J’aime le voir bouger quand tu te déplaces. Des poils tu n’en avais pas beaucoup, mais c’est vrai, je te préfère comme ça. De plus, j’aime ton sourire, et j’adore te voir détendue comme en ce moment. Je ne sais pas pour toi, mais j’ai un petit creux, nos activités ludiques m’ont ouvert l’appétit.
— Tu as raison, ma chérie, allons-nous préparer à manger. Enfin, je devrais dire je t’accompagne et je vais te regarder faire, passe devant, hihi, j’aime aussi te voir bouger. Profitons-en, la neige semble fondre très vite.
À peine, le déplacement entamé, le téléphone retentit à nouveau. En prenant l’appareil, elle n’eut plus aucun doute, l’appel émanait de Danielle. En voyant la contrariété s’affichant sur le visage de son amie Sandra, lui fit signe qu’elle s’en allait par discrétion. Éliane d’un geste lui demanda de rester dans la pièce. En prenant la communication, elle actionna le haut-parleur.
— Bon sang ! Où es-tu ? Cela fait des heures que je te cherche. Tu pourrais au moins répondre à mes messages. Je vois que tu es toujours aussi con, mon pauvre vieux.
En décrochant, elle savait par avance que l’échange ne serait pas amical. Elle avait déjà parlé à Sandra des relations parfois houleuses, mais en voyant le regard de son amie elle y perçut de l’étonnement. Elle prit une profonde inspiration avant de répondre.
— Heu, oui, bonjour, où voudrais-tu que je sois ? Je suis à la maison.
— C’est ça, prends-moi pour une conne. Tu es le dernier des abrutis. Tu n’es pas à la maison puisque moi je m’y trouve.
La situation était gênante, elle regrettait un peu d’avoir mis l’amplification. Sandra lui fit des grimaces pour la détendre et vint lui caresser les fesses et les tétons. Ce petit geste affectueux lui permit de se rasséréner un peu pendant que sa femme continuait à lui débiter sa litanie.
— Alors, quand vas-tu te décider à me dire où tu es ?
— Je suis chez une amie qui m’a dépannée quand la neige a tout bloqué. Oui, j’ai fait le réveillon avec elle. Non, je n’étais pas à la maison.
— Bon ! Ça suffit, passez-moi Alexandre, je n’ai pas envie de rigoler.

— Mais…
— Houai ! C’est une mauvaise imitation.
Éliane écarquillait les yeux, complètement perdue, elle se demandait où Danielle voulait en venir. Elle s’était adressée à elle sur un ton normal et posé comme à son habitude. Elle interrogea son amie du regard pour savoir ce qu’elle en pensait. Sandra lui sourit et déposa un baiser sur la bouche puis lui dit dans l’oreille qu’il n’y avait pas lieu de s’en faire.— Allô ! j’attends ! Bouge ton cul !
— Je viens de te dire que c’est moi. N’aurais tu pas un peu bu avant d’appeler ?
— D’après toi, j’aurai bu ! Connasse ! Passe-moi mon mari, ou je viens te péter la gueule. Une voix de fille, ce n’est pas une voix de mec.
Elle voyait Sandra danser devant elle se déhanchant et lui faisant des grimaces. De voir la jeune femme nue faire des mouvements osés pendant qu’elle essayait de répondre au téléphone la fit rire. Elle avait eu juste le temps de placer sa main sur le téléphone pour masquer le micro.
— Écoute, c’est bien moi, je vais rester quelques jours chez mon amie. De toute manière, j’ai programmé une dizaine de jours avec mon employeur. Je pense que je vais le rappeler pour en rajouter cinq.
— Une voix de gonzesse, quelqu’un t’a coupé les roubignoles. Déjà qu’elles n’étaient pas bien grosses. Je ne te parle pas de ton spaghetti totalement inefficace. Je te dis ça, parce que je sais qu’il m’écoute cette couille molle. Se cacher derrière une femme cela lui ressemble bien.
— Merci de ne pas me rappeler, je ne te répondrais plus.
— Conn…
Éliane venait de couper la communication d’un doigt énergique, un petit bruit de craquement lui fit craindre d’avoir endommagé l’appareil. Elle était tendue et laissa échapper un rire nerveux. Son amie s’était rapprochée d’elle pour lui caresser le visage.
— Viens mon amour, allons faire ce que nous avions prévu avant que cette folle ne nous interrompe. S’il te plaît ne regarde pas trop mon cul pendant ce temps.
Cette dernière répartie les fit rire toutes les deux. Quelques minutes plus tard, l’atmosphère était à nouveau détendue et elles plaisantaient tout en préparant le repas.

Une bonne nuit de sommeil lui avait redonné le tonus, en s’éveillant elle découvrit qu’elle était seule dans le grand lit. La veille au soir, il y avait eu une belle joute amoureuse dont il restait quelques traces. Éliane entreprit de remettre un peu d’ordre dans la chambre avant d’aller dans la salle de bain. Pas un instant elle songea à se vêtir, elle se trouvait bien dans la tenue d’Ève. À l’extérieur, le soleil brillait et elle put voir que la neige avait pratiquement disparu. Sandra ne s’était pas manifestée de toute la matinée, ce qui lui avait permis de mettre de l’ordre partout dans la maison. Tous ces petits travaux lui permirent de se rendre compte qu’il n’y avait aucun vêtement masculin. Une constatation qui ne la chagrina pas le moins du monde, elle avait franchi le pas. Une nouvelle vie s’annonçait, la seule ombre au tableau était son emploi. « À chaque problème, il y a sa solution. » L’heure du repas approchant, elle s’était mise à la préparation ou plutôt à la mise en œuvre de plats préparés. « Hi hi ! C’est donc cela être femme au foyer. » La table était dressée, les douze coups de midi s’égrenaient dans le carillon. Pour se protéger, elle avait mis un petit tablier en dentelle. Sans impatience, elle attendait l’arrivée de son amie, elle se pencha pour regarder comment évoluait la cuisson dans le four. C’est à cet instant qu’elle sentit un doigt lui chatouiller la rosette brune.
— Hum ! Ma coquine ! Tu es vraiment affriolante dans cette tenue. Ce petit tablier te va à ravir. Si je n’avais pas aussi faim, je te remplirais ta jolie chatte.Le contact inattendu l’avait fait sursauter et frissonner en même temps. Une main ferme venait de l’attraper pour lui éviter de se cogner la tête contre le meuble. Elle se redressa avant de se retourner pour faire face à son amoureuse.
— Bonjour, mon amour, comme tu peux le voir je me suis occupée en t’attendant. Hum ! Tu es belle et bien habillée, tu ressembles à une directrice de société. Je ne t’ai pas entendue arriver, tu m’as surprise en plein travail.
— Bonjour mon petit cœur, je suis désolée, j’ai omis de te laisser un mot et je pensais pouvoir revenir un peu plus tôt. Je suis ravie de voir que tu es en tenue légère. Tu es craquante comme ça. Qu’as-tu fait de bon ? J’aime l’odeur qui flotte dans l’air. Je suis affamée, j’ai besoin de nourriture, mais j’ai aussi envie de toi.
Sans plus attendre, Éliane avait sorti le plat du four et le posa sur l’îlot central de la cuisine. Au passage, Sandra en avait profité pour pousser un doigt entre les fesses rebondies.
— Patiente un peu ma coquine. Tu dis avoir faim, nous allons donc passer à table.
Son amie la félicita pour avoir pris la peine de remettre en ordre la maison et le travail effectué en cuisine. Installées l’une à côté de l’autre, elles s’échangèrent de multiples caresses. Le repas se déroula dans la meilleure ambiance possible. Naturellement, Éliane se chargea de débarrasser et de mettre la vaisselle dans l’appareil. Ensuite, elle effectua un petit nettoyage rapide. Sandra la regardait faire en souriant et ne la quittait pas des yeux.
— Ma chérie, je m’aperçois que tu es une perle. Une vraie petite femme d’intérieur. Je me régale à te voir bouger les fesses. J’adore te voir nue, même tes petits seins bougent. Tu as bien fait de ne pas passer de vêtement, c’est un régal de te voir ainsi.
— Merci, madame est trop bonne. Voudrais-tu un café ? Installe-toi au salon, je te l’apporte.
Éliane avait répondu en souriant sur le ton de la plaisanterie. Cette répartie fit rire son amie qui sortit de la cuisine pour aller au salon. Quelques minutes plus tard portant un plateau, elle pénétra dans le salon. La cafetière fumante diffusait une bonne odeur de café. Le poids et la position des bras faisaient ressortir la petite poitrine.
— Hum ! Cela sent très bon ! Ma chérie tu es une fée du logis. Hihi ! Dans cette position, tes seins pointent bien. Mon amour tu es vraiment magnifique. Pose donc ce plateau, je vais nous servir le café. Pendant ce temps, regarde dans les sacs, je t’ai apporté quelques petites bricoles.
Éliane fit ce qui lui était demandé. Pour déposer le plateau sur la table basse, elle tourna le dos à son amie et se pencha en avant. Une position qui offrait son postérieur au regard de son amoureuse. Cette attitude lui valut une claque sur la fesse.
— Coquine, tentatrice, fais donc ce que je viens de te dire.
Sans répondre, en se massant la fesse Éliane se dirigea vers le fauteuil où les sacs étaient posés en évidence. Le fait de se frotter lui fit accentuer son mouvement de hanche. Une attitude qui fit rire son amie, qui tout en remplissant les tasses la regardait du coin de l’œil.
— Petite sorcière, tu es terrible. Tu ne peux pas t’empêcher de m’aguicher sans cesse. Ouvre donc ces paquets au lieu de minauder.
L’ouverture du premier sac fit apparaître de la belle lingerie, fine et transparente. Elle trouva le contact avec le tissu soyeux très agréable. À l’évidence, ces sous-vêtements n’étaient pas prévus pour cacher quoi que ce soit, bien au contraire. Éliane entreprit de les passer, en commençant par le string. Ensuite, ce fut le tour du soutien-gorge, qui sans surprise était à sa taille. En souriant, elle se tourna pour faire face à son amoureuse.
— Merci, ma chérie, c’est magnifique, un peu transparent, mais magnifique.
— Mais de rien mon amour. Ce n’est pas fait pour cacher, mais te mettre en valeur. Arrange un peu ton clitoris. Voilà, c’est parfait, tes tétons pointent bien, le tissu les excite. Ce n’est qu’un début, le meilleur est à venir, mais continu donc à déballer le reste.
Dans les paquets suivants, Éliane découvrit plusieurs robes et jupes parfaitement adaptées à sa morphologie. Le tout accompagné de haut assorti aux différents vêtements. Dans l’un d’eux, elle y trouva des bas autofixants. Dans le dernier, elle ne fut pas surprise d’y trouver quelques paires de chaussures. Un bel assortiment pour diverses situations.
— Mon petit cœur, tu as fait des folies pour moi. Je ne sais pas comment je vais pouvoir te rendre la pareille. Tu es vraiment un amour.
— Oh ! Pas grand-chose, je veux simplement que tu sois belle. Je me contenterais de t’avoir à mes côtés en toutes circonstances.
Cette dernière phrase fit rougir Éliane et battre son cœur. Elle ne savait pas trop comment prendre ce qui venait de lui être dit.
— Hmmm ! Merci, je devrais pourtant à un moment où à un autre reprendre le travail. Non, je n’ai pas l’intention de revenir en arrière, je suis bien comme je suis. C’est pourquoi je devrais changer d’entreprise. Ceux qui me connaissaient seraient peut-être surpris ou le prendraient mal.
— Hahaha ! Ce n’est que cela, je pense que j’ai réglé le problème. Tu travaillais chez X.. T.. Z.. Import, c’est bien ça.
— Heu, oui, mais je ne comprends pas.
— C’est très simple, j’ai passé quelques coups de fil et ton contrat a été transféré dans une de mes entreprises au Canada. Tu fais maintenant partie de mes employés. Tu pourras donc, si tu le désires reprendre une activité dans le secteur qui est le tiens.
Éliane avait écouté avec attention, elle se doutait que Sandra disposait de bons revenus, mais pas à ce point. Machinalement, elle avait rangé les vêtements dans leur emballage. Elle était rouge d’émotion, ses jambes tremblaient.
— Ne t’en fais pas ma douce, je t’aime. Tout ce que je veux c’est que tu restes avec moi. Nous allons vivre ensemble comme un vrai couple qui s’aime. J’ai déjà chargé le cabinet d’avocats des modifications administratives. Hihi ! Tu peux enlever tout ça, je te préfère nue.
Les yeux d’Éliane venaient de s’embuer. Obéissante, elle retira un à un les vêtements. Sandra s’approcha et la prit tendrement dans ses bras et l’embrassa.
— Je pense que le café est froid, j’aimerais que ma petite souris en fasse un autre. Ensuite, nous referons l’amour comme des folles.
En s’essuyant les yeux, Éliane se dirigea vers la cuisine pour refaire du café. Elle avait failli éclater en sanglots, mais maintenant elle était heureuse. Une nouvelle vie allait débuter, l’idée d’aller à Québec lui plaisait. En s’éloignant, elle se mit à chantonner.
— Éliane ! Revient vite mon amour, voir ton petit cul bouger m’émoustille.
Sandra sourit en entendant le rire de son amoureuse, elle était impatiente de lui faire l’amour.
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