Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 48 J'aime
  • 2 Commentaires

La dispute

Chapitre 11

Sourires et chaleur de l'amour.

Travesti / Trans
Cela faisait quarante-huit heures qu’il n’y avait pas eu d’évènement notable. Éliane se sentait parfaitement détendue et appréciait chaque moment passé en compagnie de sa dulcinée. Sandra n’avait plus abordé le sujet et elle lui en était reconnaissante. Comme le moment n’était pas venu de reprendre le travail, elle occupait son temps aux tâches ménagères. Être nue en permanence, au départ cela lui avait semblé un peu déplacé. « Hihi ! Finalement, j’aime le naturisme. » Tout en passant l’aspirateur Éliane se remémorait la séance d’épilation de la veille. Cela avait duré longtemps, auparavant, elle n’aurait pu imaginer que cela soit aussi long. L’esthéticienne avait travaillé minutieusement sous le regard attentif de Sandra. En partant, la jeune femme avait assuré à Éliane qu’elle n’aurait plus à se préoccuper du système pileux. Pensant à ce qui lui avait été dit la veille, d’un geste malencontreux elle venait de faire tomber un gros vase sur le tapis. En se traitant mentalement de gourde, sans fléchir les jambes, elle se pencha pour redresser l’objet. À peine, ses doigts effleurèrent l’objet qu’elle sentit une pression sur sa rosette brune.
- C’est un plaisir de te voir ainsi offerte mon amour. J’adore te voir travailler, simplement vêtue de ce joli tablier.- Ah ! Coquine ! Tu es insatiable, ce n’est pas le moment.
En guise de réponse, Sandra lui saisit les hanches pour l’attirer contre elle. Aussitôt, des mains entreprirent de la caresser, visitant tous les plis, lentement et avec douceur.
- Oui, c’est nettement mieux, cette femme connaît son travail. Ta peau est lisse comme celle d’un bébé. Je n’y ai pas pensé hier, j’espère que cela n’a pas été trop douloureux.- Non ! Pas plus qu’une autre épilation. L’avantage c’est que je n’aurais pas à recommencer. Il me semble que tu es revenu plus tôt que prévu.- En effet, j’avais du mal à me concentrer. J’ai donc écourté le conseil d’administration et me voilà ma toute belle.
Éliane qui s’était abandonnée à l’étreinte de Sandra se disait que cette rencontre fortuite devait être inscrite dans son destin. Elle avait le sentiment qu’elle avait perdu la notion du temps. Étrangement, ce bonheur ressenti, cette quiétude, effaçait la durée et lui donnait une impression d’intemporalité. Pourtant la réalité était bien présente, elle sentait contre sa peau les vêtements de son amie. Les mains qui la tenaient fermement, mais avec douceur n’étaient pas inactives. Ces caresses qui ne la laissaient pas indifférente provoquaient déjà les vagues annonciatrices du plaisir. Instinctivement, son bassin ondulait contre ce qu’elle sentait au travers de l’épaisseur du tissu. Les petits soupirs accompagnés de gémissements incitaient Sandra à persévérer dans cette direction. Pourtant, contre toute attente Éliane se libéra de l’étreinte amoureuse. Son amante la fit se tourner vers elle pour savoir ce qui venait de provoquer cette réaction.
- Que se passe-t-il ? Ma chérie, quel est le problème ? J’avais pourtant l’impression que tu y prenais beaucoup de plaisir. T’ai-je contrariée ou blessée ?- Non, non ! Bien au contraire, je suis sur un petit nuage. Depuis que nous nous connaissons, nous n’avons pas eu le plus petit désaccord.- Ah ! Bien, alors pourquoi cette réaction ?
Il se passa plusieurs secondes avant qu’Éliane lui fasse une réponse. Elle regardait attentivement son amie, comme pour sonder son âme. Affichant un sourire timide comme si la réponse risquait d’être négative, donc décevante.
- Heu ! C’est que je n’ai pas envie d’aller au Canada. Premièrement parce qu’il y fait trop froid en hiver. Ensuite, nous sommes bien ici.- Hahaha ! Ce n’est que cela ! Je ne vois pas ce qui t’inquiète mon amour. Nous allons faire comme tu voudras.En voyant le franc sourire sur le visage de son amie Sandra, lui déposa un baiser sur la bouche. Aussitôt, une de ses mains se plaça sur la fesse nue et rebondie comme pour sceller ce nouvel accord.
- Hihi ! Coquine ! Ce n’est pas une raison pour me peloter les fesses.- Ha, mais ! Là ! Tu exagères. Hum ! À voir ton regard, j’ai l’impression que tu n’as pas terminé. N’hésite pas, ma chérie, dis-moi tout.
- Je ne veux pas que nous partions, j’aurais l’impression de fuir.- Oui, je comprends mieux, tu fais allusion à l’autre garce. Mais c’est certainement pour cela que je t’aime que je suis folle de toi et de ton corps.
Sandra venait de prendre avec fougue la bouche de son amie, forçant le passage des lèvres. Éliane s’abandonna sans réticence et les langues entamèrent un doux combat. Tout en l’embrassant, sa partenaire se défaisait rapidement de ses vêtements. Bientôt, les deux corps nus purent se frotter l’un contre l’autre et entamer une joute amoureuse. Les mains se croisaient, caressantes, se frôlant, s’en allaient et revenaient dans un ballet incessant. De sentir le désir de son amie, Éliane ondulait de plaisir, se pliant à la volonté de son amante.
- Mon amour, je t’aime, prends moi.
Sandra venait de la déposer sur le large dossier du grand fauteuil. Face à face, les yeux dans les yeux, elle la pénétra avec vigueur. Le membre en érection entra sans difficulté dans ce qu’Éliane nommait son puits d’amour.
- Hum ! Oui, je t’aime aussi. J’adore ton clitoris et ta chatte bien accueillante.- Aaaah ! Ouiii ! C’est bon continu !
Dans un coin de la pièce, le ronronnement de l’aspirateur se faisait entendre se mêlant aux divers petits bruits qu’elles émettaient ensemble. Sandra alternait les baisers langoureux et les coups de reins.
- J’adore tes jolis petits seins.- Aaah ! Ouii ! Merci, je..., je viens, je jouis ! Aaaaah !
Sandra venait d’accélérer le mouvement et la puissance de ses coups de bassin. Cette fois encore la jouissance fut commune et les cris de plaisirs se mélangèrent. Les deux corps emmêlés chutèrent sur l’assise du large fauteuil. Ce changement brutal de situation déclencha un fou rire. Le sexe fouineur se retrouva éjecté en émettant un bruit de succion humide.
- Hihi ! Un jour ou l’autre, tu me feras mourir !
Éliane, la tête en arrière riait en regardant son amante. Elle la vit se lever pour changer de position et venir vers sa tête.
- Hoho ! Oui maîtresse, je vais nettoyer votre bel oiseau.- Maîtresse ? C’est une drôle d’idée, mais oui, il a besoin de ta langue, de ta bouche, de ta gorge.
Sandra venait de se positionner pour lui offrir son sexe à sucer. Sans attendre, s’aidant de ses mains Éliane prit en bouche ce qui lui était présenté. Elle commença par lécher le sperme et le mucus mélangé. Avec ce nettoyage, la verge qui avait ramolli reprit rapidement de la vigueur. Pour diriger un tant soit peu la manœuvre, elle avait placé ses mains sur les jolies fesses de sa compagne. La fellation pouvait se poursuivre. - Hum ! Ma jolie coquine, tu sais vraiment y faire. En plus, j’ai une vue imprenable sur ton joli corps. Tu es très désirable... Aaaaah !- Mmmmm !
Les caresses buccales commençaient à faire leur effet et Sandra venait de projeter son bassin en avant au contact des lèvres offertes. Sous ses doigts, Éliane sentit les fesses de son amie se contracter. Le plaisir était là et la verge venait de franchir la luette. Quelques instants plus tard, les jets en saccades rapides se répandaient dans la gorge.
— Houaa ! Tu sais vraiment y faire mon amoureuse. À chaque fois, tu te donnes, tu me donnes vraiment tout. Je t’aime !
En toussant un peu Éliane s’était redressée en souriant. Sandra se pencha pour l’embrasser langoureusement, pendant que ses mains pétrissaient la poitrine. Pendant quelques minutes supplémentaires, quelques caresses s’échangèrent.
- Merci beaucoup ma chérie. Que suis-je ? - De quoi veux-tu me parler ?- Ne fais pas l’idiote, tu sais de quoi je parle.- Hihi ! Oui, tu es très bandante. D’ailleurs, tu viens d’en avoir la preuve.
En guise de réponse, en souriant Éliane distribua plusieurs claques bien assénées sur les fesses de son amie.
- Encore heureux que je te fasse bander comme tu le dis. Je suis surprise, tu ne m’as pas habituée à ce genre langage. Bon, je vais aller me laver parce qu’une cochonne m’a fait des cochonneries. Je me dépêche pour ne pas en mettre partout.- Je te rappelle que les fessées me sont réservées. Oui, fais donc ça ma petite chérie, j’ai envie de voir ton petit cul bouger. Je vais donc te suivre pour ne pas en perdre une miette.
En riant, les deux jeunes femmes quittèrent la pièce l’une derrière l’autre. Éliane précisant que cette fois il ne s’agirait que de mesures hygiéniques.

La semaine s’était terminée sans la moindre anicroche. Comme convenu, Sandra avait entrepris de modifier quelques détails devant faciliter leur vie de couple dans la région. Le chalet québécois ne serait utilisé qu’à de rares occasions. Il fut aussi décidé que des employés de maison seraient embauchés. Ces nouvelles dispositions ayant pour but de permettre à Éliane d’avoir une vie sociale et professionnelle. En véritable chef d’entreprise, la jeune femme organisait touche après touche tout ce qui pouvait l’être.
- Bonjour ma beauté. Bouge ton petit cul, il est temps de te lever et d’enfiler une tenue décente.
En émergeant de son sommeil, Éliane s’étirait langoureusement. De voir le sourire enjôleur de son amie la rassurait chaque fois. Elle se sentait aimée et soutenue, ce sentiment la rendait heureuse.
- Bonjour mon petit cœur. Tu t’es encore levée aux aurores. Oui, oui, je me lève..., m’habiller ? Pour quelle raison ? Tu me dis toujours que tu préfères me voir nue.- Petite coquine effrontée, je sais que tu as pris goût au naturisme. Oui, j’aime quand tu te trimballes à poil. Ceci dit, je garde ces belles visions pour mon usage personnel. Dépêche-toi, file à la douche !- Oups ! C’est vrai, c’est ce matin que se présentent les postulants.
Éliane se leva précipitamment pour aller dans la salle de bain. Au passage, Sandra lui administra une claque sonore sur la fesse. Il n’y avait eu aucune retenue dans le geste. Le picotement ressenti fit qu’Éliane se massa la peau rougie.
- Aïe ! Ça brûle, tu es une brute.- Tu l’as bien cherché, fait bouger tes jolies fesses tu vas être en retard.
Moins d’une heure plus tard, les deux jeunes femmes, vêtues du même ensemble se préparaient à recevoir les candidats.
- C’est fou que tu aies fait en sorte que nous portions le même tailleur. Je dois dire qu’il te va à la perfection. Il te met vraiment en valeur.- Oui ma petite chérie, j’ai trouvé cette idée amusante. Nous ressemblons à deux sœurs. Je te retourne le compliment, tu es magnifique. Il me suffit de fermer les yeux pour imaginer tes sous-vêtements transparents.
Installées dans le salon, les deux jeunes femmes, assises l’une à côté de l’autre échangeaient des sourires. Elles évitaient de se toucher, de se frôler, de peur que comme à l’accoutumée cela ne dégénère. Depuis leur rencontre et leur vie en commun c’était la première fois où elles étaient aussi sages et réservées.
- Hihi ! Je pense que si ces gens tardent encore un peu, il va y avoir un feu d’artifice.- Éliane ! Je te jure que tes fesses vont s’en souvenir...
La phrase fut interrompue par la sonnerie de l’interphone. Ce fut Éliane qui décrocha l’appareil et mit en route le système vidéo.
- Bonjour, Madame, je viens pour l’emploi de gouvernante.- Bonjour, je vous ouvre
Sur l’écran, Éliane avait découvert le visage d’une femme plutôt quelconque et relativement jeune. Après avoir coupé la communication, elle adressa un regard interrogateur à Sandra.
- Elle m’a l’air revêche. Bon, je descends lui ouvrir.- Du moment où elle fait son travail, cela m’ira. Vas donc ma boudeuse.
En sortant de la pièce, Éliane sentait dans son dos le regard de son amoureuse. Elle s’amusa donc à marcher en se déhanchant. Aussitôt, elle entendit le rire de Sandra. Tout en se dirigeant vers l’entrée, elle se disait que cette venue changeait les choses. Une fois dans le hall, elle aperçut derrière la porte vitrée la silhouette se détacher sur le verre mat. La nouvelle venue de taille moyenne et peut-être légèrement enrobée. Elle se donna le temps avant d’ouvrir le battant. Une fois la porte ouverte, elle se rendit compte que la jeune femme était plutôt mal fagotée. Ce qui maintenant lui donnait une autre impression que celle ressentie lors de l’échange vidéo. Le côté revêche était certainement dû à l’appréhension de l’entretien à venir. Le visage figé, Éliane fit signe à la jeune femme d’entrer, puis l’invita à la suivre. Une fois de retour dans la pièce, elle retourna s’asseoir auprès de Sandra. En face d’elles la nouvelle arrivante semblait surprise de la similitude de vêtements. Le regard de la jeune femme passait de l’une à l’autre, son attitude gauche indiquait qu’elle était intimidée.
Diffuse en direct !
Regarder son live