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La dispute

Chapitre 15

La gouvernante

Travesti / Trans
En s’éveillant, Éliane sentit qu’une main lui caressait l’entre-jambes, elle émit un grognement de plaisir.
- Bonjour ma chérie, tu dormais vraiment bien. Cette nuit je t’ai entendue gémir de plaisir, tu as dû faire des rêves très excitants.- Ah bon ? C’est étrange, je ne m’en souviens pas.
Elle s’étirait tout en répondant à son amie pour essayer de cacher le rosissement de ses pommettes. Elle avait le sentiment d’être prise en faute. Elle se souvenait parfaitement de ses rêves. Utilisant son incursion chez Anne son esprit avait construit une histoire.
- Pourquoi rougis-tu ma petite menteuse ?- Euh...
N’ayant pas de réponse à donner, Éliane saisit la tête de Sandra pour embrasser avec fougue les lèvres pulpeuses. Immédiatement, un duel opposa les deux langues, il n’était plus question d’apporter des réponses. Sandra n’aimant pas être dirigée reprit rapidement la maîtrise de la situation. Seuls les petits bruits mouillés et les petits cris de plaisir brisaient le silence. Les mains s’activaient sur les corps offerts qui partageaient le plaisir de ces échanges amoureux. Sandra s’était installée entre les cuisses ouvertes pour prendre Éliane. En souriant, elle regardait son amie tout en lui caressant les seins.
- Hum ! Même au réveil tu es magnifique. Je t’aime.- Merci mon amour, je t’aime aussi.- Ton clitoris est vraiment fainéant, mais je l’aime comme ça.
En sentant le membre durci la pénétrer d’un seul coup, cela fit frémir Éliane. Pour en faciliter l’entrée, elle écarta un peu plus ses jambes.
- Oui, viens, prends-moi, je veux bien te sentir.- Coquine, tu sais y faire, je vais être en retard. Comme je ne sais rien te refuser, je vais essayer de te donner ce que tu demandes si gentiment.
Sandra s’activait avec vigueur pour augmenter le plaisir naissant. Elle avait placé les jambes d’Éliane en appuis sur ses épaules. Pendant qu’elle pénétrait avec force son amie, elle lui malaxait la poitrine. En observant le sourire affiché par sa compagne, ce traitement énergique ne lui déplaisait pas.
- Oh oui ! Continue, c’est bon. Je t’aime ! Aaaah... !
Le cri de plaisir avait agi comme un signal, Sandra fut saisie par un fort orgasme. Elle gémit de plaisir quasiment en même temps. Les deux corps ne faisaient plus qu’un. Les mains d’Éliane avaient saisi les fesses de Sandra pour la plaquer contre elle. Elle sentait le pubis humide collé contre son périnée.
- Je t’aime ! J’adore quand tu me remplis comme ça. — Hi hi hi ! Moi aussi, j’aime te sentir jouir. Les contractions autour de ma verge augmentent le plaisir. Mince ! Tu as vu l’heure ! Je vais avoir beaucoup de retard à mon premier rendez-vous, cela mérite une fessée, je déteste être en retard.Hi hi !- Tu ne perds rien pour attendre...
Sandra continua de parler tout en s’éloignant, le rire d’Éliane couvrit les mots prononcés. Restée allongée sur le lit, elle vit son amie se diriger vers la salle de bain. Pendant quelques secondes, elle resta dans la position du dernier assaut. « Pfiou ! Hi hi ! C’est vrai que ma coquine n’aime pas être en retard. Je vais aller prendre un bain. »
Le passage dans la salle de bain avait duré un peu plus d’une heure. Ce ne fut qu’après avoir choisi et enfilé quelques vêtements qu’elle s’en rendit compte. Ce constat lui fit toucher du doigt qu’elle s’était rapidement habitué à sa situation de femme au foyer. Elle pensait de moins en moins souvent à reprendre une activité professionnelle. Bien que Sandra lui en ait parlé, elle avait le sentiment que cela ne faisait pas partie des objectifs importants et urgents. En descendant les escaliers, elle pensa à nouveau à l’échange amoureux. Cette idée la fit rire, au bas des marches elle vit apparaître Anne dans son uniforme impeccable de gouvernante.
- Bonjour madame !- Tss tss ! Qu’avions-nous convenu ?- Oui, c’est vrai, bonjour Éliane. Vous me paraissez d’excellente humeur. Si je puis me permettre, ce tailleur vous va à la perfection.- Hi hi !Oui, je suis heureuse, Sandra en est la responsable. Petite flatteuse, je vous dis tout de même merci. Votre arrivée dans la maison m’a imposé quelques petits changements, ce qui n’est pas bien grave.
Anne sur le pas de la porte de la cuisine la regardait d’un air interrogateur tout en lui souriant. Tout en continuant à descendre les dernières marches Éliane détaillait son employée. Elle aimait son sourire et se disait que même si elle n’était pas bien épaisse, elle la trouvait gracile. Oui, elle la trouvait jolie, cette pensée lui fit monter le rouge aux joues.
- Ha bon ? Qu’est-ce que je suis bête, il est naturel qu’un couple puisse être heureux. Je vous..., je nous ai préparé un bon petit déjeuner. Comme vous avez une préférence, le prendre dans la cuisine, j’ai dressé le couvert sur l’îlot central.
Éliane pénétra rapidement dans la pièce pour dissimuler sa réaction épidermique. Pourtant elle se rendit compte que le changement n’était pas passé inaperçu, le regard de l’employée venait de lui en donner la confirmation.
- Hum ! Cela sent bon, mais cela me semble beaucoup pour un petit déjeuner. Il va falloir se démener pour éliminer l’excès calorique.
Elle avait parlé sur un ton rapide pour tenter de centrer la conversation sur le repas en attente.
- Hi hi !Non, pas du tout, mais en raison de l’heure déjà tardive j’ai opté pour une solution britannique. J’ai préparé un brunch, cela tient du breakfast et du lunch. Vous sentez vous bien Éliane ? Je vous trouve un peu rouge.- Hrmm ! Oui, oui, une idée saugrenue m’a traversé l’esprit. Vous m’avez souri tout en me complimentant.
Tout en faisant la réponse, Éliane avait la sensation d’avoir les joues en feu. Elle avait la sensation que les yeux bleus de son interlocutrice fouillaient jusqu’au fond de son âme. La sensation de malaise s’accentuait, elle tituba un instant. Anne se précipita pour éviter qu’elle ne s’affaisse. Deux mains bien fermes venaient de la saisir caressant ses fesses d’un frôlement rapide.
- Hé ! Appuyez-vous sur moi, voilà, asseyez-vous.
Quelques instants plus tôt, elle l’avait trouvé gracile. Ce simple geste qui lui avait évité une chute venait de lui montrer que la jeune femme était musclée. En quelques secondes, elle l’avait soutenue et installée sur le tabouret tout en lui tapotant les joues. Ces divers petits gestes étaient accompagnés du même sourire qui venait de la chambouler.
- Ha ! Voilà ! Maintenant, vous me semblez aller beaucoup mieux, votre visage a repris une couleur normale. Il est temps de grignoter quelque chose, c’est certainement la faim qui a occasionné ce petit souci.- Oui Anne, vous avez raison, j’ai une grosse fringale, mais je ne m’explique pas ce petit malaise.
Installées côte à côte, elles mangèrent en silence pendant quelques minutes. Cela l’arrangeait que la gouvernante ait mis l’incident sur un malaise. Elle avait la sensation d’avoir un appétit d’ogre que rien ne pouvait rassasier.
- Alors ?- Comment ça, alors ?- Hi hi ! Qu’avez-vous failli me dire tout à l’heure ?
Éliane leva les yeux pour regarder Anne qui affichait une fois encore ce sourire assorti d’un regard malicieux.
- Ben..., heu..., ce n’est pas bien méchant, mais j’ai failli vous dire que vous avez un sourire enjôleur. Il doit faire tourner bien des têtes. Je me suis tue parce que je trouve cela incongru, voire déplacé.- Ha ha ha ! Ce n’est que cela, ce n’est pas grand-chose. En attendant, merci beaucoup pour ce compliment. Le vôtre est tout aussi beau. En tous cas, je ne vois rien de gênant dans ce que vous venez de me dire.
De voir Anne lui répondre en riant sur un ton badin la rassura. Elle était contente de ne pas avoir rougi. Cette nouvelle employée lui semblait de moins en moins revêche qu’elle l’avait pensé. Peut-être allait-elle pouvoir s’en faire une amie ? Pendant qu’Éliane était plongée dans ses réflexions, Anne avait continué de lui parler.
-  Hi hi !Je constate que vous êtes une rêveuse. Je parie que vous n’avez pas entendu la moitié de ce que je vous ai dit.- Oui, c’est vrai pardon, que disiez-vous ?- Je vous remerciais de m’avoir embauchée et surtout de me permettre de loger dans la villa. Je dispose en plus d’un véritable appartement totalement indépendant.- C’est amusant, j’allais vous poser la question. Cela fait plaisir d’entendre votre satisfaction à ce propos. Si vous ressentez le besoin d’améliorer la décoration, n’hésitez pas.
Éliane, en souriant venait visiblement d’apporter des précisions attendues par son interlocutrice. De voir le sourire franc qui s’affichait le lui confirmait. En même temps, elle se rendit compte qu’elle trouvait beau ce visage. Elle eut l’impression qu’elle allait se noyer dans le bleu de ce regard pétillant. Elle émit un petit rire en imaginant ce que pourrait penser Sandra si elle avait pu lire à cet instant dans son esprit. Elle eut la sensation de ressentir un picotement au niveau de ses fesses. Cette illusion la fit rire à nouveau, oui, elle aurait certainement reçu une belle correction. En s’en allant, son amoureuse lui en avait promis une pour l’avoir mise en retard. Comme pour effacer l’idée, inconsciemment Éliane venait de passer sa main sur son front. Ce geste anodin fit changer l’attitude d’Anne, qui s’approcha d’elle le visage sérieux et interrogateur.- Vous allez bien ? J’espère que vous n’allez pas à nouveau avoir un malaise.- Hi hi !Oui, oui, je suis en forme. Pardon, je pensais à autre chose, rien d’important. Allez, je vais vous donner un coup de main pour remettre la cuisine en ordre.- Ne vous tracassez pas je vais m’en charger, c’est pour cela que je suis payée.- J’insiste, cela sera plus rapide et ensuite vous me montrerez comment vous êtes installée. Je suis curieuse de le découvrir.
En prononçant cette dernière phrase, Éliane se souvint de son incursion dans cet appartement. Bien qu’elle ait veillé à ne rien déplacer lors de sa visite, elle craignait d’avoir été découverte. Cette idée lui faisait palpiter le cœur. Elle se rassura en regardant son employée qui à nouveau lui sourit. Tout en discutant, elles remirent en ordre la cuisine, quelques minutes plus tard Anne la conduisit dans sa résidence. La gouvernante la précéda durant le court trajet, ce qui lui permit d’apprécier les courbes de la jeune femme. Après avoir ouvert la porte, Anne la fit visiter les pièces les unes après les autres. Cette fois, elle pouvait sans crainte prendre le temps de tout découvrir sans se presser. Les lieux avaient changé, partout il y avait une petite touche personnelle. Ce qui donnait à l’appartement une atmosphère agréable. La jeune femme ravie de lui montrer son domaine s’adressait à elle d’une manière très amicale. Plus le temps passait et plus Éliane se sentait détendue et en confiance.
- Je ne sais comment vous avez fait, mais vous semblez avoir un don pour tirer le meilleur d’un endroit. Ce n’est plus froid et fonctionnel, c’est devenu doux et accueillant.- Merci beaucoup, c’est très gentil de ta part, j’ai fait de mon mieux. Pardon, j’avais peur que cela ne vous plaise pas.- Vous êtes chez vous, donc dès l’instant où cela vous plaît, tout va bien.
Éliane avait remarqué le tutoiement, mais elle le passa sous silence. Ce petit écart ne lui avait pas déplu. Elle se dit encore une fois qu’Anne ferait une bonne amie avec qui elle pourrait parler.
- Voilà ! Vous avez fait le tour de mon domaine. Pour..., je ne sais comment dire ? .., fêtons cela, que diriez-vous d’un thé ? Installons-nous au salon, ensuite je nous prépare cette décoction.- Je boirais volontiers une tasse de thé. Et qu’en est-il de la grande pièce ?
Elle se mordit la lèvre pour n’avoir pu se retenir de poser la question. Après tout Anne avait le droit de disposer des pièces comme bon, il lui semblait. Pour une personne seule, l’appartement mis à disposition était grand, peut être un peu trop. Le sourire affiché dissipa ses craintes.
- Hi hi !C’est encore un peu..., bordélique. Je n’ai pas encore eu le temps de finir.- Pardon, je ne voulais pas être indiscrète. Vous avez le droit d’avoir un jardin secret.- Ce n’est pas un secret, j’ai simplement un violon d’Ingres.- Ha ! vous êtes musicienne.- Ha ha ha ha ! Pas du tout j’aime faire de la photographie. Je me suis donc aménagé cette pièce pour m’adonner à ce petit plaisir. Enfin, quand j’aurai tout mis en place. En matière de bricolage, je ne suis pas capable pour certaines choses.
En invitant Éliane à s’asseoir d’un geste Anne se dirigea vers la cuisine pour préparer le thé. En prenant place dans le fauteuil confortable, Éliane pensait que cette jeune femme correspondait de moins en moins à l’idée qu’elle s’en était faite. La vibration du téléphone la sortit de ses pensées.
- Ha ! Ma chérie ! Je suis contente de t’entendre....Un contretemps..... Ha ! .... D’accord.... Je n’aime pas..... Bon ! D’accord, rentre quand tu pourras, bisous, je t’aime.
Anne venait de revenir dans la pièce en poussant la servante devant elle.
- Je viens d’avoir un appel de Sandra. Il semblerait qu’il y a quelques complications avec certains partenaires de son entreprise.- Du moment qu’il n’y a rien de grave, je pense que votre compagne est en mesure de régler les problèmes.- Ho ! Pour ça oui, en affaire je ne sais pas si quelqu’un est capable de lui tenir tête. Je n’aime pas quand elle est absente trop longtemps. Mais bon, voyons le bon côté des choses, je vais pouvoir profiter de votre hospitalité un peu plus longtemps.
En souriant, sans lui répondre Anne servit le thé avant de s’asseoir sur la large banquette en face de la table basse. Sans réfléchir une seconde Éliane vint s’installer à côté de la maîtresse de maison qui lui adressa un large sourire.
- Merci, il sent très bon, le goût doit être à la hauteur des effluves.
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