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La dispute

Chapitre 20

Premiers pas vers la soumission sous la férule d'Anne

Travesti / Trans
Cette fois encore leurs ébats avaient conduit les deux jeunes femmes jusqu’à l’aurore. Elles s’étaient endormi l’une dans les bras de l’autre. C’était la deuxième fois qu’Éliane s’éveillait dans le lit d’Anne. Cette nouvelle partenaire pleine de ressources n’avait rien à envier à Sandra. Elle lui ressemblait sur beaucoup de points et notamment sa propension à être directive, dominatrice et exigeante. Des gestes identiques qui lui avaient imposé des positions très sportives. En s’éveillant, Éliane s’étira avec précautions, certains muscles lui parurent exister plus que d’autres. Tout contre elle, Anne semblait encore dormir. Son bras posé sur son flanc et la main qui lui tenait le sein gauche faisait sentir la pression des doigts. En même temps que l’étreinte, Éliane se rendit compte qu’elle avait un besoin pressant. Il devenait urgent de satisfaire la nature, il lui fallut plus d’une minute pour se libérer de cette étreinte amoureuse. Une fois extraite de cette couche accueillante elle se dirigea d’un pas rapide vers les toilettes. C’est en poussant un soupir de satisfaction qu’elle put enfin libérer ses sphincters. « Ouf ! Il était moins une. Hi hi ! » La demi-heure qui suivit fut utilisée à accomplir ce qu’elle nommait son rituel quotidien. Ce ne fut qu’après avoir tout accompli qu’elle sortit de la salle de bain dans le but d’aller voir si Anne dormait encore. Elle s’étonnait elle-même d’avoir pu s’échapper sans réveiller sa copine. À peine avait-elle franchi la porte qu’elle ressentit une forte claque sur sa fesse.
- Aïe ! Mais cela fait mal !- Que t’ai-je dit à plusieurs reprises ?- Mais, j’avais trop envie. Je ne voulais pas faire de dégâts sur la literie.
Elle n’avait pas vu Anne en entrant dans la pièce. Elle fit le geste de se frotter la fesse endolorie, une main autoritaire l’en empêcha. Une autre main lui fit une clef au bras gauche. Maintenant, la position du membre dans son dos l’obligeait à avancer, courbée vers l’avant.
- Tu es vilaine, cela fait mal...- Tu dois attendre que je te le dise avant de faire les choses. Attends un instant ! Reste dans cette position !
La tension sur son omoplate venait de disparaître, la sensation de brûlure sur la fesse l’incita à obéir. Éliane était penchée en avant avec les jambes écartées pour pouvoir garder l’équilibre, conserva la position. Son bras droit dans le dos et posé sur son bassin, elle garda le silence. Quelques secondes plus tard Anne, lui posa un bandeau sur les yeux, cette nouvelle situation fit apparaître une crainte qui augmenta quand son bras fut à nouveau sollicité.
- Aïe ! Méchante, tu m’as fait mal, qu’ai-je fait pour que tu me maltraites ?- Pourquoi me poses-tu la question ? Tu connais la réponse, avances !
Anne, après l’avoir fait se redresser elle la guida vers une pièce à proximité. Éliane se demanda où elle venait de la conduire. Elle connaissait toutes les pièces de l’appartement de fonction. Elles n’en étaient pas sorties et n’avaient pas changé d’étage. De ne pas pouvoir regarder autour d’elle cela l’inquiétait.
- Où me mènes-tu ? Que vas-tu faire ?- Ha ha ha ! Tu ne vas pas tarder à le savoir, voilà, nous y sommes.
Anne venait de lui étendre le bras tordu vers le haut, Éliane comprit rapidement que son poignet venait d’être enserré par un bracelet. Elle fit une tentative de rébellion ce qui lui valut de recevoir un coup sur la fesse opposée. Cette fois, ce n’était pas une main qui venait de heurter sa peau.
- Aïe ! Vilaine, tu m’as fait mal.
Pendant qu’elle réagissait, son bras libre venait d’être lié de la même manière que l’autre. De ne pas voir cela la faisait paniquer. Une main venait de la saisir à la cheville droite, elle tenta de résister, mais rapidement sa jambe se retrouva immobilisée.
- Arrête ! Ce n’est pas drôle !
Elle avait encore la bouche ouverte quand elle sentit qu’Anne poussait un objet dans sa bouche. Elle tenta de serrer les mâchoires, mais une main lui pinça le nez. Éliane se retrouva avec la cavité buccale remplie par une boule en caoutchouc. Dans les secondes qui suivirent, la jambe restée libre fut fixée de la même manière que la précédente.
- Ha ha ! Bon ! ma colombe, je vais aller prendre un bon petit déjeuner. Tout ceci m’a mise en appétit. Sois sage, ne bouge pas, je reviens dans un petit moment.- Mmmm...
Éliane venait de faire une tentative pour exprimer ce qu’elle ressentait. Le bruit de la porte se refermant la déstabilisa un peu plus. Elle ne pouvait voir, mais la position en extension de ses membres lui fit penser à l’homme de Vitruve. Avec les bras et les jambes écartés, elle était totalement offerte, elle se sentait vulnérable. Elle avait beau réfléchir, dans ses souvenirs, ce genre de pièce et avec ce genre d’équipement n’existaient pas. Le bandeau qui lui masquait les yeux laissait passer la lumière, cela avait un petit côté rassurant. Pendant quelques minutes, elle s’efforça de tirer sur ses liens. Au bout de quelques minutes, elle eut très chaud. Elle sentait de la bave qui s’échappait de la commissure de ses lèvres. « Mmmm ! » Elle se dit que le côté positif, c’est que malgré ses multiples tentatives les bracelets ne lui avaient pas écorché la peau. Au bout de quelques minutes, Éliane réussit à se calmer pour écouter. Elle dut se rendre à l’évidence, elle ne décelait aucun bruit. Elle se demandait depuis combien de temps elle se trouvait dans cette position.
- Mmmm ! Je vois que ma gazelle s’est calmée. Ha ha ha ! Dans cette position, tu es entièrement offerte. Tes jolis petits seins pointent en avant, on dirait même que les tétines sont bien érigées.
Anne était revenue et Éliane au son de la voix savait qu’elle tournait tout autour d’elle.
- Oui ! Ton puits d’amour attend que l’on s’occupe de lui. J’ai hâte d’y mettre ma langue, mais pas seulement.
Éliane sentit des coups redoublés sur chacune de ses fesses. Suffisamment fort pour qu’elle sente ses lobes fessiers entrer en contact. Cela la fit gémir de douleur et de plaisir, son corps réagissait.
- Mmmm...- Oui ! Je sais, je suis vilaine, mais pas autant que tu l’es. Oups ! J’ai failli oublier, il fait que je photographie ton clito si petit si mignon. Bon ! Actuellement, il est un peu défiguré par ces coucougnettes. Il faudra que nous remédiions à ça.
Elle ressentit un tapotement répétitif à l’endroit qui lui fit mettre son bassin en arrière. Pourtant cette fois encore ce mélange de sensation était équilibré. Éliane avait gémi, mais elle se rendait compte que cela restait supportable.
- Mais que vois-je ? Cette petite salope commence à mouiller sérieusement. Tu as un très feignant et joli clitoris. Attends ! Il faut que je voie !
Éliane sentit Anne passer derrière elle et aussitôt des coups répétés sur ses fesses.
- Oui ! Ta chatte elle aussi est humide. Ma colombe, c’est indéniable, tu aimes ce genre de traitement. Je suis certaine que bientôt c’est toi qui le réclameras.
Accompagnant, puis suivant les paroles Éliane reçut un bon nombre de coups bien appliqués. Elle ressentit bientôt les signaux habituels, la jouissance était proche. Elle percevait les mouvements d’Anne autour d’elle et en même temps l’objet qui entrait en contact avec son épiderme. D’être dans l’impossibilité de voir cela augmentait son plaisir. L’objet utilisé était maintenant différent, les picotements plus espacés pouvaient être ressentis n’importe où sur le corps. Une main venait de temps à autre lui titiller le bout des seins. Puis elle sentit d’eux se poser sur ses hanches. Presque aussitôt, Éliane se sentit pénétrée. Les mains venaient de la plaquer contre un pubis avec un claquement humide. Le contact la fit gémir et déclencha l’orgasme qui se préparait depuis quelques minutes. Elle avait été prise d’une manière presque brutale et pourtant le membre en érection se logea très facilement dans son anus.
- Ha oui ! Petite cochonne, c’est bien serré et bien lubrifié.
Éliane avait eu une forte jouissance qui la laissa pantelante. Elle avait aimé le traitement subi, elle se laissa aller telle une poupée de chiffon. Elle se sentait bien, elle était heureuse et finalement le sentiment qu’elle développait vis-à-vis d’Anne lui plaisait. Anne n’avait pas tardé à éjaculer dans ses entrailles, une fois son plaisir assouvi elle était venue gober le petit sexe mou.
- Hum ! Ma gazelle j’aime ta liqueur. Bon assez joué ! Je vais te libérer, ma biche, tu dois avoir très faim.
La jeune femme commença par lui ôter la boule qui prenait beaucoup de place dans sa bouche, puis ce fut le tour du bandeau. L’apport brusque de lumière lui fit plisser les yeux un long moment. Anne l’embrassa voluptueusement avant qu’elle n’ait pu prononcer la moindre parole. De retrouver le sourire et ce regard, Éliane se sentit fondre et elle répondit avec fougue au baiser. De se sentir liée et toujours entièrement offerte lui plaisait.
- Vilaine ! Tu viens de me faire découvrir des choses sur moi-même que j’ignorais.- Oui ma petite cochonne, as-tu aimé au moins ?- Bien sûr que j’ai aimé, même si quelquefois le mélange de ces deux sensations est un peu difficile à supporter au début.- Ha ha ha tant mieux ! Je me suis beaucoup amusée, j’adore que tu sois ma soumise.- Quand même, tu as été quelquefois brutale. Nous aurions pu nous passer du bandeau et de cette boule qui m’a fait baver comme un bouledogue.- Oh que non ! C’est cette sensation d’être dans l’incapacité de pouvoir échapper à ton sort qui t’a provoqué ce bel orgasme. Ton clito coulait comme une fontaine et ta chatte également. Quant à tes seins, ils pointaient comme jamais auparavant.
Tout en discutant Éliane regardait autour d’elle, elle ne reconnaissait pas la pièce où elle se trouvait. Pourtant en regardant au travers des grandes baies elle pouvait voir le jardin. L’endroit était donc attenant à l’appartement de fonction. Cela lui parut invraisemblable qu’elle ait pu passer à côté sans voir ce local. D’autant plus que cette pièce était vraiment bien équipée pour avoir ce genre d’activité. Un contact bref et piquant su son périnée lui fit baisser la tête, elle découvrit dans la main d’Anne un martinet avec des lanières de cuir. Sur le sol entre ses jambes, elle y vit un objet qui ressemblait à une grosse spatule en cuir noir. En voyant l’objet, elle put aussitôt faire une relation avec les multiples sensations ressenties au cours de cette séance. En repensant à ce qu’Anne lui avait dit quelque temps plus tôt, elle était vilaine et visiblement avait beaucoup de connaissances en la matière.
- Aïe ! Méchante !- Tu ne m’écoutais plus.- Euh... oui, c’est vrai, pardon ! Pendant un long moment, j’ai eu l’impression que nous n’étions pas seules.- Ha ha ha ! Quelle imagination ! Il n’y a que nous deux.- Pourtant, je me demande comment tu as pu prendre des photos tout en faisant mon éducation. C’est que tu m’as dit.- Ha ha ha ! J’ai deux mains. Quant au mot éducation, je ne l’ai jamais employé, c’est toi qui l’utilises. Je dois dire qu’il correspond bien à la situation. Tu m’appartiens, tu es ma chose, il est normal que je t’éduque.
Éliane regardait sa copine qui lui souriait tout en pressant son scrotum. La pression brutale venait de faire remonter les testicules à l’intérieur. Cela avait occasionné une douleur qui l’avait fait grimacer.
- Il faut sérieusement penser à s’occuper de cet appendice disgracieux. N’est-ce pas ma colombe ?- Aïe ! Tu es une brute ! Pourquoi ?- Ce n’est pas beau et en plus, nous n’avons pas l’intention de faire des moutards ma petite chérie.- Que tu dises ne pas aimer la vue de mon scrotum c’est une chose. Pourtant je ne comprends pas le rapport avec les enfants.- Ha ha ha ! Petite idiote. Les bourses servent à la régulation de la température pour les spermatozoïdes. À l’intérieur du corps, ils ont moins de chance d’être efficaces, donc moins fécondants.- Ouais ! Je le savais, et puis tu m’énerves !- Oh ! madame est énervée.
Anne accompagna la fin de phrase par une tape sur le petit sexe mou, ce qui fit gémir sa prisonnière. En suite tout en faisant quelques caresses ici où là elle la détacha en lui souriant.
- Allez viens, allons à la douche ensuite nous déjeunerons. Cette fois, tu auras droit à un bon repas gastronomique. Cependant avant nous ferons un crochet par la salle de bain. Je dois dire que tu as quelques traces de spermes et autres liquides poisseux. Ceci dit, ce n’est pas désagréable, mais j’aime bien que nous soyons propres au moment de passer à table.
Anne l’avait prise par la main pour l’entraîner vers la sortie. En franchissant le seuil, elle fut surprise de voir qu’elles passaient par l’atelier photographique. Elle comprenait pourquoi elle n’avait pas découvert cette pièce. Ce local étant fermé par un panneau coulissant, l’ouverture était dissimulée par des moulures. Le voir disparaître en silence et se remettre en place venait de lui donner quelques réponses à ses questions. Une claque sur la fesse la sortit de sa réflexion.
- Hum ! J’adore te caresser ton petit cul de cette manière. Je suis jalouse que Sandra t’ait découverte avant moi.- Merci, mais le tien est tout aussi joli. Dépêchons-nous, j’ai faim et j’ai hâte de découvrir le bon repas que tu m’as promis.- Oui, oui, d’abord la douche et ensuite nous nous occuperons de nos papilles pour remplir nos ventres affamés.- Ceci dit, je t’aurais bien mangé quelque chose, pour ça aussi j’ai très faim. Avalez une grosse saucisse bien juteuse. Hum ! Quel régal en perspective !
En riant, les deux jeunes femmes pénétrèrent dans la salle de bain pour y faire leurs ablutions. Ce qui fut malgré tout l’occasion d’avoir quelques échanges amoureux.
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