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Ce qu'on dit est vrai...

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Pendant la coupure entre la saison d’hiver et la saison estivale, je suis allée passer quinze jours de vacances en Martinique avec mon amie Cheryl.Depuis deux ans maintenant, nous sommes animatrices dans des cabarets des stations de sports d’hiver ou sur les stations balnéaires où nous dansons à la barre de pôle dance et faisons des spectacles de striptease en simple ou en double.Le circuit est bien rodé et notre patron fait tout pour que nous ayons un maximum de contrats.
Que ce soit Cheryl ou moi, nous avons des origines mélangées...Je me prénomme Céline, je suis métisse de père italien et de mère thaïlandaise. J’ai hérité de ma mère une taille plutôt menue puisque, à mon grand regret, je mesure à peine 1.60 m et tout le reste de mon corps est à l’avenant... Un joli visage aux traits résolument asiatiques avec des pommettes légèrement aplaties et des yeux en amande dont j’allonge le contour avec un maquillage approprié. Ma poitrine est bien ronde, haut perchée sur mon buste avec des tétons saillant au milieu des aréoles... Ma taille est mince et souple, héritage de longues séances de danse classique et mes hanches sont en rapport avec des fesses pommées sous une cambrure prononcée...
Cheryl est tout mon contraire... D’origine afro-cubaine, elle a la peau brune qui prend des reflets dorés sous la lumière de projecteurs. Elle a une abondante chevelure légèrement crêpée qu’elle laisse libre la plupart du temps... sinon, elle réussit à plaquer et lisser ses cheveux. Elle a des grands yeux de biche marron avec des cils démesurés. Le nez est un peu épaté et elle a un petit anneau doré dans la narine droite. Ses lèvres légèrement négroïdes trahissent son origine, mais cela reste discret.
Elle a une abondante poitrine qui fait baver les mecs... Ses seins naturels taillent un bonnet C ou D selon la marque du soutien-gorge ! Le reste du corps est à l’avenant : des hanches et des fesses callipyges... sous une taille presque aussi mince que la mienne et un piercing au nombril...
De ce côté, je suis assez douillette... donc pas de tatouage ni de piercing ! J’aime même du mal à me faire épiler la toison pubienne...
Ce n’est pas parce que nous nous produisons dans les mêmes lieux que vous devez en déduire que nous vivons ensemble et que nous avons une relation homosexuelle... Nous avons bien assez avec les sollicitations des mecs qui cherchent à nous mettre dans leur lit après la soirée cabaret !Personnellement, j’ai un « ami de cœur et cul » que je vois de temps en temps et il me suffit... C’est juste « pour l’hygiène » comme nous avons coutume de dire quand nous nous retrouvons ! Je sais que pour Cheryl, c’est la même chose...

Nous avons retenu deux chambres contiguës dans un établissement aménagé dans une maison typique des planteurs et dont les photos vues sur Internet nous ont séduites. Nous aurons même une piscine...
Débarquées de l’avion de Paris à Fort-de-France sur l’aéroport Aimé Césaire, un taxi nous conduit à Sainte Luce qui est distante d’une petite quinzaine de kilomètres...Nous nous installons rapidement et le décalage horaire nous tombe dessus... Heureusement... nous avons l’habitude de la vie nocturne et après une petite sieste, nous sommes en forme pour la soirée...Le lendemain et les deux jours qui suivent, nous les consacrons à la visite de l’île avec une voiture de location... et nous tombons sous le charme exotique de ce petit bout de France perdu entre l’océan et la mer des Antilles...
C’est le printemps, partout, il y a une profusion de fleurs toutes plus belles et colorées les unes que les autres... Les champs de canne à sucre et de bananes s’étalent un peu partout quand la forêt tropicale veut bien les laisser s’étendre... La route du tour de l’île nous permet de découvrir d’immenses plages de sable fin et les petits villages de pêcheurs nichés au fond des criques... Nous ne manquons pas non plus la visite guidée sur les pentes de la Montagne Pelée dont le sommet est malheureusement caché par les nuages... et c’est au cours de cette excursion que nous découvrons les différentes zones de végétation qui nous font passer de la forêt tropicale luxuriante à une zone de savane puis au sommet dénudé après les éruptions volcaniques du début du XXème siècle... Là, la végétation malgré un climat humide ne reprend que difficilement.
Notre guide antillais nous explique tout cela avec un bagout digne d’un camelot... il nous montre les différentes espèces et type de plantes dont il cite en riant le fameux « bois bandé » dont les vertus aphrodisiaques sont bien connues des femmes et des hommes des Antilles.
Achevant son propos, il nous explique en se tournant vers nous comment on le prépare et quels sont ses effets...Il ajoute :
— Vous... les miss, si vos en buvez trop, aucun mâle ne suffira à vous satisfaire... Vous serez insatiables...
C’est ainsi que je rétorquai :
— Je veux bien y goûter, juste un petit verre...— Moi aussi... je veux bien essayer...— Alors, rendez-vous à 21 heures au Caribean... Je vous ferai goûter ensuite si vous aimez le poisson et les fruits de mer, vous pourrez vous régaler...
Cheryl, enchantée de cette proposition, rétorque aussitôt :
— OK... ça marche... on aura le temps de prendre une douche et de se changer !
Comme le restaurant n’est pas éloigné de notre hébergement, nous décidons de nous y rendre à pied. Notre guide nous attend à l’entrée en compagnie d’un autre martiniquais, tout aussi canon que lui... Ils sont si semblables qu’on pourrait les croire jumeaux !Lorsque je fais la réflexion à Amadom, il éclate de rire :
— NON... Keenan est juste mon cousin... Nos mères sont sœurs ! Je l’ai invité pour que nous soyons à quatre... ça ne vous dérange pas ?— Non... c’est cool ! Bien... Si nous goûtions ce fameux « bois bandé » ?— Entrons... ça va nous servir d’apéritif... Celui que prépare la patronne est très bon... vous m’en direz des nouvelles.

Le repas à base de poissons et de crustacés se déroule rapidement (il y a peu de monde dans le restaurant, car la haute saison est terminée), mais les deux verres d’apéritif et la bouteille de bon vin blanc vidés au cours du repas m’ont quelque peu échauffé les sens... D’ailleurs, à voir les yeux brillants de Cheryl, je pense qu’elle est dans la même euphorie que moi...
Nous ne refusons pas la promenade sur la plage que nous proposent nos compagnons... l’air est doux, la lune brille... et sur la côte est, nous sommes à l’abri des alizés. Nous marchons sur la plage et le ressac modéré nous berce...
Amadon a passé son bras sous le mien et nos hanches sont collées l’une à l’autre... Avec un accent inénarrable teinté d’expressions typiquement créoles, il me fait une cour pressante à laquelle j’ai soudainement envie de céder... Est-ce les effets du « bois bandé », mais je sens comme une boule de feu dans mes entrailles... le désir de faire l’amour m’embrase... quand je nous arrête et que je fais face à Amadom en lui tendant mes lèvres, il m’élève jusqu’à lui avec une facilité certaine...
Mes 50 kilos ne pèsent pas lourd entre ses bras puissants... Je noue mes bras derrière sa nuque et je me presse contre son corps... Je sens ses mains s’emparer de mes fesses au travers de ma robe légère et quand il me presse contre lui, je sens son sexe... Je m’enflamme aussitôt...
— Viens... trouvons un endroit discret et baise-moi !— Pas besoin... le sable de la plage est doux !— Si tu veux...
Amadom me pose à terre et je me laisse glisser pour avoir son sexe à la hauteur de ma bouche... Je dénoue les cordons de son pantalon de toile qui s’accroche à son sexe à moitié bandé... Ce coquin ne porte rien en dessous... aussi est-ce facile pour aller cueillir ce beau bâton noir que je distingue aisément malgré l’obscurité de la nuit...
Avant de l’emboucher, je joue un peu avec lui, je le masturbe entre mes mains comme pour en prendre la mesure puis je pars chatouiller les bourses imberbes... et je fais rouler les testicules l’un contre l’autre...
Le mandrin que j’ai entre les mains me sidère... Je n’en ai jamais vu d’aussi volumineux... je peine à en faire le tour avec mes doigts et lorsque j’introduis le gland entre mes lèvres, j’ai des difficultés à le faire entrer... mais, une fois la hampe bien humectée de ma salive, elle coulisse entre mes lèvres... Quand Amadom est au fond de ma gorge, il reste au moins une largeur de main à l’extérieur...
Humm... je sens que je vais me régaler... J’ai complètement oublié Cheryl et son compagnon... et mon compère de baise resté en Métropole !Je suce ce beau sucre d’orge pendant quelque temps, mais c’est dans ma chatte que je veux le sentir !Je m’allonge sur le sol et j’ouvre mes bras à mon futur amant !
— Viens... Baise-moi... J’ai le feu dans mon ventre !
Amadom me domine de sa haute stature (il mesure au moins 30 centimètres de plus que moi) et l’œil coquin, il couvre son sexe en disant :
— Toi... ma belle, le « bois bandé » te fait de l’effet... Moi, j’y suis habitué, mais je vais bien te baiser !— Qu’attends-tu ? Éteins le feu qui bouffe ma chatte !
Il s’agenouille entre mes cuisses puis relève mes jambes qu’il pose sur ses épaules, en amenant mon sexe à la hauteur du sien...Dans cette position, je suis complètement ouverte, offerte à la pénétration de ce dard qui pointe... Brièvement, je pense que s’il veut me sodomiser, je vais sentir le passer... Mais non, c’est lentement que je le sens entrer dans mon sexe qui bave d’envie... Je le sens plein de cyprine, ce qui facilite cette pénétration hors norme... Mon compère de baise me dit toujours que je suis étroite comme une pucelle et là, ce pal immense entre en moi comme un couteau bien aiguisé couperait de la viande tendre.
Je sens le gland buter contre ma matrice et cela me fait frissonner... Amadom entreprend de me baiser à longs traits, sortant puis rentrant dans ma chatte de plus en plus vite, mais sans aucune violence... Sa baise est savante et lorsque j’ose regarder ses yeux, j’y vois comme un feu qui brûle...
Je suis si excitée par le « bois bandé » et ce que me fait mon amant que je ne tarde pas à jouir une première fois... ça me déchire et je jouis de longues minutes, le sexe d’Amadom planté au plus profond de moi où il reste immobile jusqu’à ce que mes spasmes s’apaisent...
Puis, dans un mouvement quelque peu acrobatique, il se retrouve allongé sur le sable sans être sorti de moi qui désormais, suis empalée sur son sexe !Je le sens encore plus et là, c’est moi qui vais mener la danse... Je prends position les jambes fléchies sur mes pieds de chaque côté du corps de mon amant... je monte et descends, faisant aller mon bassin dans un mouvement alternatif qui colle nos deux pubis l’un contre l’autre... Sentir le bas-ventre de mon amant nu de toute pilosité contre la mienne me fait fantasmer... et je sens une nouvelle fois la jouissance monter dans mon ventre...
Oohh ! Que c’est bon... Mon amant caresse ma poitrine et fait rouler les tétons entre ses doigts... Mes petits seins sont entièrement couverts par ses immenses mains... Je sens que je vais encore jouir une nouvelle fois... et Amadom a dû le pressentir, car il place ses mains sous mes fesses et je sens de puissantes giclées frapper le fond de mon sexe au même moment où le plaisir m’emporte dans un rugissement qui doit s’entendre à des dizaines de mètres...
Je m’allonge sur son torse, pressant ma petite poitrine contre la sienne et je lui demande :
— Encore... j’ai encore envie de jouir ! Encore ! Encore !— Mais oui ma jolie... Je n’ai pas fini avec toi !— Oui... baise-moi encore et encore... toute la nuit si tu veux !
Amadom me désarçonne, retire la capote et s’essuie le sexe avec sa chemisette qui est roulée en boule à quelques mètres de nous... Il bande encore à moitié... et je me précipite à nouveau sur ce sexe qui semble me narguer : « Tu vois ma belle... c’est pour toi ! ».
Lorsqu’il est à nouveau bien bandé, mon amant me guide vers un rocher qui est à la limite de l’eau et me place les bras en appui sur le haut arrondi... Je sens la houle de la mer venir lécher mes cuisses et parfois mon pubis... Nous allons faire l’amour à moitié dans l’eau... Humm... ça va être bon !
Je suis excitée au possible et lorsque je sens mon amant se positionner derrière moi pour me baiser en levrette, je l’invite à « me baiser fort et profond ».Pas besoin de préparatifs autres... je suis tellement pleine de cyprine que le sexe de mon amant pénètre le mien avec une facilité déconcertante... Il est vrai qu’il y a à peine quelques minutes qu’il en est sorti...
Bientôt, je sens le pubis d’Amadom se coller contre mes fesses que j’ouvre le plus possible sans m’aider de mes mains qui maintiennent mon équilibre... Sa bite immense frappe à nouveau contre ma matrice et lorsque mon amant entreprend de me baiser à longs traits je pars à nouveau dans un délire de folie... J’ai déjà eu des amants... mais celui-là les bat tous et ce n’est pas forcément la longueur et la grosseur de sa queue qui y sont pour quelque chose...
Je sens que je vais encore jouir, mais lorsque je sens un pouce tenter de s’introduire dans mon sphincter, je m’écrie :
— NON... Pas toi... tu es trop gros !— OK... Je sais qui te prendra le cul ! On va changer de partenaire !
Et au même moment, je jouis pour la troisième fois de la soirée.
Quelque temps plus tard, Cheryl et Keenan s’approchent de nous et se tiennent par la main... Pas besoin de mots... Ces deux là viennent de s’envoyer en l’air ! Ils sont nus tous les deux et ils nous chambrent gentiment. Keenan me demande en riant si j’ai apprécié l’organe de son cousin !
— Oh oui... il est TOP... mais je crois que nous allons changer de partenaire... Il est trop gros pour mon petit cul d’Asiatique !— Oui... c’est moi qui vais te sodomiser...
Tous les quatre, nous remontons vers la lisière boisée et après avoir pénétré sous les branches, nous découvrons une petite clairière au sol tapissé de palmes et d’une couverture aux couleurs vives.
— Voici ma chambre d’amour ! Elle en a vu passer des touristes en manque...
La lune a du mal à percer les frondaisons, mais il y a quand même assez de clarté.Lorsque je me tourne vers Keenan, je découvre véritablement son sexe... Lui aussi a les bourses et le pubis rasés (cela semble être la mode sous les tropiques ?), mais ce qui me frappe, c’est la longueur du son appendice... à vue de nez, il doit approcher le 25 centimètres sinon plus... mais le diamètre est effectivement moindre... et plus acceptable pour ce qu’il projette...Je m’approche encore et embouche ce sexe qui attend... Il ne me faut pas longtemps pour qu’il soit déployé et raide...Keenan s’allonge sur le dos et me dit :
— Tu vas me chevaucher... comme cela, tu sentiras mieux quand ma bite va entrer dans ton petit cul... C’est toi qui conduis !— OK... sois doux, car nous n’avons pas de gel !
J’ai moi-même placé le gland de Keenan à l’entrée de ma chatte où je l’ai humecté de cyprine puis je l’ai introduit doucement dans mon sphincter... Dire que je n’ai pas eu mal serait mentir, mais je me suis rapidement habituée à la taille de la bite de mon nouvel amant. Les mains en appui sur ses cuisses un peu au-dessus des genoux, je me suis empalée, absorbant son mandrin au plus profond de mes boyaux... Après un temps de répit, j’ai commencé les mouvements alternatifs, montant et descendant sur le sexe de Keenan dont je sentais les mains sous mes fesses.
Je commençais à me sentir bien et ressentir les prémices du plaisir qui se diffusaient jusqu’au niveau de mes reins quand Amadom s’est approché de nous et m’a commandé d’ouvrir ma bouche et de le sucer ! J’avais deux bites en moi, mais bientôt, j’ai compris ce que voulaient ces deux coquins qui ne devaient pas en être à leur coup d’essai !
Keenan a remonté ses mains sur mes épaules et m’a attirée en arrière jusqu’à ce que mon dos soit allongé sur son torse. Prise par-derrière, je devais offrir une vue imprenable sur mon entrejambes et l’orée de mon sexe !
Amadom s’est approché, prenant son sexe dans une main, il l’a guidé jusqu’à l’entrée de ma chatte puis il m’a pénétré en douceur !
— Ooohhh ooouuuiii ! Un double... Génial ! C’est boooooooon !
J’avais presque roucoulé cette appréciation, mais je n’étais pas au bout de mes surprises...Cheryl est venue se placer au-dessus de ma tête et de celle de Keenan pour nous offrir sa chatte à butiner...Ce n’était guère facile de coordonner nos mouvements, mais les effets du « bois bandé » étaient encore bien présents dans nos corps si bien que j’ai joui en même temps que Keenan et Amadom s’est lâché quelques minutes plus tard en inondant mon ventre de son sperme après avoir arraché la capote !Je n’avais pas pu terminer de faire monter le plaisir de Cheryl avec laquelle pour la première fois, j’avais une relation homosexuelle, mais elle s’est achevée en plantant quatre doigts de sa main droite aussi profonds qu’elle pouvait dans sa chatte.

Nous avons regroupé nos vêtements dispersés sur la plage et nous tenant tous les quatre par la main, nous nous sommes précipités dans la mer pour nous débarrasser du sable et apprécier ce bain de nuit...

Nos amants d’un soir nous ont accompagnées jusqu’à notre gîte et souhaité un bon séjour...Le lendemain matin, après une grasse matinée tardive, Cheryl et moi, nous avons pris notre petit déjeuner ensemble sur la terrasse face à la mer des Caraïbes et évoqué notre soirée coquine ! Keenan l’avait baisée deux fois et sodomisée une fois pour finir par se vider dans sa bouche...L’une et l’autre, nous avions été copieusement servies par des Antillais aux bites de compétition... Nous avions découvert que le fantasme des bites surdimensionnées était une belle réalité !
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