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Divine compagnie

Chapitre 2

Alexia veut reconquérir le cœur de sa Caroline.

Avec plusieurs femmes
Les semaines passent, les jours s’égrènent. Par contre, il ne se passait pas un jour sans qu’Alexia ne vienne me rejoindre chez moi, amenant à chaque fois un peu de ses affaires.
    Ce vendredi soir, je lui ai préparé son petit corset à balconnet, une paire de bas de soie autofixants, une paire de talons aiguilles, des escarpins. Je lui dépose aussi son serre-cou que je pose près du corset. Il y a aussi la laisse qu’elle devra accrocher à son anneau clitoridien. Pendant que je me douche et me rase, je la sais en chemin, sortant de chez son esthéticienne après une totale épilation de son corps. En arrivant, elle allait devoir se maquiller, faire son chignon avant de se vêtir sous ma surveillance. Pour moi, j’avais sorti mon smoking et un loup noir, vieux souvenir d’une soirée très chaude. J’avais l’impression de me transformer en Sir Grey, celui des « 50 nuances » quand je me regardais dans le miroir.
    Et elle arrive. À peine la porte franchie et refermée, elle retire son manteau, pour me rejoindre nue et à quatre pattes, bandante à souhait. D’un geste désinvolte, je lui montre sa tenue vestimentaire pour cette nuit. Après m’avoir arrangé mon nœud de cravate, elle file se doucher. Elle revient, son chignon fait. Devant moi assis confortablement, elle enfile ses bas avec une sensualité poussée à son paroxysme, tout ce que j’aime. Puis elle met son corset que je viens serrer sans que cela ne soit trop. Enfin, elle enfile ses escarpins avec toujours cette sensualité que j’apprécie. En tout dernier, elle écarte ses jambes afin que je puisse fixer sa laisse à son anneau très intime. Je me relève, l’embrasse tendrement. Derrière la porte, elle enfile son manteau qu’elle ne referme que par sa ceinture.
    Prête, je l’inspecte une dernière fois sans vergogne et nous quittons ce qui était devenu notre appartement. Dehors, le temps était encore clément. Nous nous dirigeons chez son amie de cœur.
    Un peu plus tard, nous y sommes. Elle défait la ceinture de son manteau qu’elle retire et me tend. Sur le sol, je prélève quelques gravillons qui traînaient là et les lance contre la vitre du salon de cette demoiselle. Dès qu’une ombre s’approche, Alexia joue son rôle de docile soumise. Vu l’heure et le jour, il n’y avait déjà plus personne dans la rue. Alors, à genoux, elle ouvre mon pantalon, en sort délicatement mon sexe qu’elle embouche immédiatement. Du revers de ma veste, je sors mon petit martinet. Derrière sa fenêtre, il en est une qui ne manque rien du spectacle. Je peux la voir se dessiner contre la vitre. Même, je peux aisément voir qu’elle se branle et pas en douceur.
    Alexia continue sa fellation, un pur bonheur vu le lieu. Caroline semble sur le point de jouir quand je la fixe carrément, sévèrement même. Je pense même qu’elle me reconnaît malgré mon loup. Et puis, prenant le chignon d’Alexia, je la force à se relever, à se coller contre l’immeuble. Caroline reconnaît son amie, et à moitié nue, elle sort sur son petit balcon. Elle nous fixe sans un mot, éberluée par ce qu’elle découvre. Je l’interpelle :
— Tu l’aimes ton amie ?— Je… je ne sais pas, je ne sais plus.— Ce n’est pas une réponse. Donne-moi une réponse claire !

    Je fustige ce corps qui me proposait son dos et son cul. Je ne flagelle pas très fort, tout juste si cela rougissait le corps d’Alexia. Mais Alexia est bonne actrice quand elle pousse des cris de douleur. Elle dose même le volume de sa voix, jubilatoire. Je fixe Caroline une fois de plus, en arrêtant de fouetter mon aimée. Je lui repose la question, mais si sa tête faisait oui plusieurs fois, c’est par sa bouche que je voulais l’entendre. Je l’avertis même que si elle ne me répondait pas clairement, j’allais fouetter son amie jusqu’à la faire hurler et réveiller tout le quartier. Devant son mutisme, je fixe brièvement Alexia qui me fais oui de la tête. Et j’en remets une couche, un peu plus fort même. Je ne cesse de fixer Caroline, entre les coups que j’espace volontairement.
    Caroline disparaît subitement après le petit cri de son amie. À l’instant suivant, elle débarque dans la rue, comme folle. Elle s’interpose entre moi et Alexia, me faisant face et nue sous sa nuisette trop courte. Je lui assène un petit coup de martinet sur son ventre. Elle s’agenouille en protégeant son amie de cœur, m’implorant de cesser tout supplice. « Alors regarde, caresse sa chatte, elle mouille ton amie. Cela coule entre ses cuisses. Oui, tu l’as compris, elle aime ça. Relève-toi, Caroline et approche ! »
    Elle se relève, vient à moi. Je lui prends ses longs cheveux et force sa bouche. Elle ne résiste guère longtemps, avant de m’enlacer et de répondre à mon baiser furieux. Puis, je la pousse vers l’entrée de son immeuble. Nous nous retrouvons rapidement dans l’appartement de Caroline. Je les fais asseoir l’une contre l’autre sur le petit canapé. Je n’ai guère besoin de les pousser l’une contre l’autre qu’elles s’embrassent déjà amoureusement.
    Je file dans la chambre de ce deux pièces et la fouille sans pour autant foutre le bordel. Je découvre ce que je pensais déjà y trouver. Caroline possédait aussi sa valise à malices. Des godes, une petite cravache, des pinces et quelques cordes. Je reviens avec ces trésors, m’assois sur la table basse, et lui dit :
— Caroline, Alexia est folle de toi comme elle est folle de moi et que je suis folle d’elle. Si tu ne te souviens pas de moi, j’étais l’homme sur le banc, le soir de votre promenade avec cet homme. (Je retire mon loup) Je n’ai qu’une question à te poser, l’aimes-tu autant que je l’aime ?— Oui, Monsieur, j’en suis folle. Et si je me suis fâchée, ce n’est pas du tout de sa faute, mais entièrement de la mienne. Je n’ai été qu’une sotte égoïste quand j’ai refusé de refaire cette balade.— C’est bien mon avis. Tu étais si fière quand je vous ai vues toutes les deux.

    Seule Alexia m’a souri et adressé le plus coquin des clins d’œil et Caroline de répondre:
— Moi je n’ai pas osé vous regarder. Il y avait une sorte de honte en moi.— Honte ou humiliation ?— C’était un mélange entre honte et humiliation du fait qu’un inconnu me voit nue.— Et tu te souviens comment était ton minou ?— Oui, trempé car je me suis imaginée fessée par vos mains.— Tout comme Alexia alors !

    Je l’attire sur mes cuisses avant de relever sa nuisette et je la fesse, comme j’avais fessé Alexia la toute première fois. Alexia, qui s’agenouille devant le visage de son amour de femme et l’embrasse bien plus que simplement par amour. Non, il y a nettement plus dans ce baiser. Comme si elle exigeait de Caroline de la suivre.
    Après cette jouissive petite fessée, Caroline me fixe un long moment. Alexia lui caresse ses seins, pas annelés, eux. Caroline se racle la gorge, me demande si mon offre est un ordre. Ma tête lui fait oui. Elle me sourit, comme si je venais de la délivrer d’un enfer, celui de sa colère éprouvée après avoir quitté Alexia. De ma poche, je sors une de mes cartes de visite et la poser sur la table basse. Je relève Alexia, lui enfile son manteau et nous laissons Caroline à ses démons, ses dilemmes aussi.
    Sur le chemin du retour, je ne peux m’empêcher de bander. Non loin de chez Caroline, il faut cette ruelle sans issue pour que j’entraîne ma compagne pour lui faire l’amour couchée sur son manteau. Je n’ai qu’une envie et une furieuse envie, qu’Alexia ameute tout le voisinage au moment de prendre son pied. Si je jouis, ce ne sera qu’un extra de plus pour moi. Et elle répond à toutes mes attentes. Pire que tout, des lumières s’allument tout autour de nous au moment où moi j’éjacule dans le corps somptueux et agrippé à moi, en poussant mon râle.
    À peine sortons-nous de cette impasse qu’une sublime femme arrive complètement paniquée. C’est Caroline toujours aussi peu vêtue. Devant le visage d’Alexia toujours illuminé de son orgasme, Caroline l’enlace tendrement. Alexia réagit
— Tu vois, il ne m’a fait que jouir ma chérie.— J’ai eu peur qu’il te batte.

Je proteste :
— Moi, la battre, jamais de la vie. Je ne veux que son plaisir, un point c’est tout. Mais toi, que veux-tu ?— Aimer mon amour, la chérir.— C’est exactement ce que je veux aussi. Viens, dans ce cas, mais chez moi.

    Caroline prend la main de son amour et me suit, sans ne plus avoir peur. Chez moi, je pousse Alexia sur mon canapé. À genoux sa poitrine sur le dossier, ses bras étendus sur ce même dossier, je n’ai pas été long à la pénétrer sèchement. Caroline ne savait que faire, se joindre à nous ou s’asseoir et regarder bêtement son amie prendre son pied. Elle s’est approchée de nous, s’est mise à me retirer ma tenue de soirée en la pliant avec grand soin.
Je lui saisis la taille, la colle tout contre moi, et l’embrasse tendrement. Puis je la pousse près de son amie sur le canapé, dans la même position. Je relève son peignoir, caresse son superbe cul avant de la pénétrer tout en douceur. Dans sa chatte étroite, j’allais et venais lentement. Alexia se met à lécher et masser la poitrine de son amour. Peu après, Caroline me fixe, avec un petit sourire niais. Je la devine sur le point de jouir. Peut-être un poil pervers, je change de partenaire pour reprendre Alexia et la faire jouir.
Devant son amie, Caroline se caressait son minou et moi, je me mets à dilater son superbe cul. Elle ne refuse pas, écartant ses fesses d’une main. Je la possède encore, toujours avec deux ou trois doigts dans son cul. Elle jouit en se lâchant totalement et je m’empresse de la sodomiser tout en douceur. Alexia se glisse sous elle, sa bouche sur la chatte, qu’elle lèche, quand ce ne sont pas mes testicules. Caroline jouit encore et je lui remplis son cul avec ce qui me restait dans mes couilles. Je tombe alors sur mon fauteuil, fatigué, en fixant la croupe indécente de Caroline.
Je suis alors persuadé que, cette fois, ces deux superbes femmes se sont rabibochées et pour de bon. Je me branle lentement en les regardant s’aimer de manière aussi vorace que lascive. Elles jouissent encore et ensemble, d’une seule voix, et moi je jouis de les voir prendre plaisir.
Caroline, cherchant certainement à se faire pardonner, colle son visage sur l’anus de sa chérie. Je vois sa langue aller et venir dans ce cul. Je m’approche pour appuyer sur cette tête.
— Tu l’aimes tant que ça ?— Bien plus encore. Je m’en veux de m’être énervée contre moi en lui faisant croire que c’était de sa faute. Je me suis rongé les sangs de cette bourde.— Tu ne crois pas que cela mérite au moins une bonne petite fessée ?— Oui, une méchante fessée même ! me dit-elle en me fixant brièvement.

    Je ceinture sa taille de mon bras sans qu’elle ne s’arrête de lécher tout l’entrecuisse d’Alexia. Je me mets à la fesser, très méchamment, alternant claques et douces caresses. Parfois elle me fixait, comprenant que je ne voulais uniquement que son bonheur, le même que pour Alexia. Elle me fait un bref oui de la tête et je la fesse encore de plus belle, sans ne jamais être un tortionnaire sadique. Alexia parvient à se retourner vers moi. Sa bouche toujours gourmande se met à aller et venir sur ma queue encore un peu molle. Elle fait de sacrés efforts pour me la rendre dure et tendue. Elle me guide vers la chatte de son amour, que je me mets à pilonner, sauvagement cette fois. Caroline, sa bouche collée à celle d’Alexia, ne parvient plus à glousser. Je la pilonne sans faiblir, sans chercher le plaisir de Caroline. Oui, cette fois, je ne voulais que mon plaisir, devant ces deux perles.
Je ne jouis que quelques gouttes de sperme sur le dos de Caroline, avant de retomber sur mon fauteuil, crevé. Caroline s’achève de ses mains et, me fixant, jouit en un long soupir de bonheur. Alexia lui dit :
— Tu vois ma chérie, tu as pris ton pied avec un mec.— OK, il est différent des autres. Mais ça reste un homme.— Et alors, s’il te disait qu’il t’aime, fuirais-tu encore et toujours ?— Je ne crois pas, non.

    Puis s’adressant à moi :
— Écoute, je ne sais pas si elle te l’a raconté. L’autre soir, avec ce mec, j’avais peur qu’il ne cherche à nous violer.— Ben si cela était arrivé dans le parc, il n’aurait pas aimé que je lui explique que ça ne se fait pas devant moi. Et crois-moi, il aurait eu beaucoup de peine à s’en remettre.— Je sais oui. Parce quand il t’a vu, il s’est calmé très vite. Merci d’avoir été là, Alain. Sache quand même qu’en te voyant, comme Alexia, j’ai eu une furieuse envie que tu me fesses pour ma bêtise.— T’as aimé que je te fesse ?— Oh oui, ça m’a fait jouir bien plus fort.— Alors je suis heureux de t’avoir fessé. Oh ! les filles, il est presque trois heures du matin. Si on allait se coucher ?— Euh…— Caroline, viens, y a assez de place pour nous trois, lui ordonne presque Alexia en lui saisissant sa main.

    Dans mon lit, Caroline se voit imposer de se coucher entre moi et Alexia. Tourné contre elle, je cherche sa bouche que j’embrasse en massant ses seins. Je la vois s’endormir paisiblement, avec son petit sourire coquin. En me soulevant légèrement, je vois Alexia qui dormait déjà.
    Au matin, en m’étirant, je découvre, un peu ému, Caroline enroulée à Alexia qui me regardait. Nous nous sommes souri et je me suis levé sans bruit, très lentement. J’ai fait le tour du lit sur la pointe des pieds et me suis penché à l’oreille de mon amour de femme.
— Je te laisse ma chérie. Je bois un café et je file faire des courses pour le week-end.— Tu sais la dernière ?— Euh non !— Je t’aime mon amour.

    Un doux baiser et je file me fringuer. Dehors, je regarde le ciel, respire un grand coup et me dirige vers mon épicier favori. Puis je me pilote vers mon boulanger-pâtissier avant de boire un café sur sa terrasse et me rentrer d’un pas tranquille. En montant, à pied pour une fois, il me semble bien entendre jouir deux exquises femmes. Devant ma porte, ma main sur la poignée, celle-ci s’ouvre sur une Caroline en joie, dans une de mes chemises. Elle me débarrasse de mes sacs, les dépose et se jette sur moi, comme folle.
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