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Divine compagnie

Chapitre 3

Caroline se libère entièrement et sans plus aucune honte

Avec plusieurs femmes
Caroline m’interpelle :
— Alain, faut que je te demande quelque chose d’important. Avec Alexia, nous avons discuté de la suite. Nous désirons nous mettre en ménage. Mais pas rien que nous deux. On te voudrait avec nous. Elle m’a fait comprendre ce que je savais déjà à ton propos et, si j’avais un doute, il est entièrement dissipé désormais.— Et c’est chez moi que vous voudriez vivre ?— Ben si tu veux bien de moi, oui.— Approche que je t’embrasse.

    Je l’ai embrassée tendrement. Alexia était juste derrière son amour, tout sourire. Je lui ai pris sa main pour la coller à nous et l’embrasser à son tour. Je poursuis :
— Mes amours, vivre à trois était un de mes trop nombreux fantasmes. Voilà que celui-ci se réalise. Y a juste un os, va nous falloir un lit XXL pour faire l’amour.

Caroline tout sourire, nous explique :
— Oh pour ça, te fais pas de bile, mon père est menuisier, il va nous faire ça avec un grand plaisir.— Mais ça ne va pas le choquer ?— Oh que non, c’est un enfoiré de libertin. Il n’y a qu’une seule femme qui lui a résisté, moi !

Alexia crie presque et ajoute
— Bon, ben, dans ce cas, on pourrait aller le voir et en discuter autour d’une bonne bouteille de vin ! Il me connaît, il sait que j’aime ma douce Caroline. Il connaît aussi mes goûts pour les promenades nocturnes à poil et en laisse. Dis ma chérie, ça te dirait d’arriver chez ton père en laisse ? C’est juste histoire de le faire bander comme un âne !

    Pendant un bon moment, sans répondre, Caroline me fixe, un croissant à la main. Si ses yeux pétillent d’excitation, sa tête hésite visiblement. Enfin, son visage semble devenir radieux. Elle pose lentement son croissant, boit une bonne gorgée de son cacao sans jamais me quitter du regard et Répond :
— Il ne devrait pas s’en remettre cet enfoiré de paternel. Je sais qu’il rêve de nous sauter toutes les deux en plus. Alors s’il voit sa propre fille en laisse avec vous deux, il va nous faire une syncope à coup sûr !

Alexia rétorque :
— Hé ma chérie, il me semble que tu te lâches enfin ! C’est merveilleux ma belle !— C’est qu’avec vous deux, j’ai une folle envie de faire quelques délectables fantaisies, tu vois.— Je vois ça ma petite salope. Oh mon amour, je t’aime, oui je t’aime quand t’es comme ça, toute chaude à l’idée d’être exhibée. Alain, on pourrait y aller quand ?

Je réfléchis une seconde :
— Pour moi, sur l’heure. Seulement, il faudrait le prévenir, tu ne crois pas, Caroline ?— Bah, il sera certainement en train de baiser l’une ou l’autre de ses très nombreuses copines, tel que je le connais.— À ce point ?— C’est vrai que tu ne le connais pas. Quand il a épousé maman, la nuit de noces a vite passé de classique soirée à une gigantesque partouze si j’en crois ma mère. Alors imagine ma propre mère se donner à lui en se sachant cocue. Ben, tous les deux adorent baiser. Maman se prend parfois des amants et, parfois, elle rejoint mon père pour une baise à trois. Exactement comme nous trois. Bon, je les appelle, on verra bien...

Alexia la coupe :
— Mais ne dis rien pour le moment, juste que tu arrives avec un couple d’amis, OK ?— D’accord ma chérie...

*************

— Allo… Maman ? C’est Caroline…— Oui, très bien, super bien même. Dis, on peut passer aujourd’hui ?— OUI !!! je viens avec un couple d’amis. Ils voudraient commander un très grand lit à papa…— Nickel. Il fait quoi en ce moment ?— Oh, il te baise et ? J’ai pas compris…— Hein ? il y a tante Agate ! Je vois le tableau. On sera là pour dîner alors...— Hein ? Euh, huit heures pourquoi ? Oh, t’as assez ou faut qu’on amène ?— Super, on se douche et on arrive...

    Caroline repose mon portable et se glisse sous la table. Sa bouche sur ma queue, ses douces mains sur le minou de sa chérie, elle nous branle et nous lèche tour à tour. Alexia soupir :
— Je la savais fofolle parfois, mais depuis hier soir, c’est une Caroline comme je l’aime, mon amour.

Je lui confirme :
— Elle est devenue comme toi alors. Euh, Caroline, c’est loin chez tes parents ?— Miam… slup, slup, non, pas loin de la zone commerciale.— Vingt minutes alors. Oh la vache ! t’es en forme ce matin.

    Pensant pourvoir me doucher, je repousse Caroline. Alexia se lève et Caroline nous suit. Seulement, ma salle de bain ne se prête pas à ce genre de partie fine. Ma douche, on n’y tient qu’à une personne. Alors c’est chacun à son tour qu’on se douche. Oui enfin, quand je dis une, on peut à deux en se serrant un poil. Mais à trois, elle ne supporterait pas, la pauvre.
    Bref, je n’ai jamais vu deux femmes se préparer aussi vite. Prêt à sortir, je découvre une Caroline hyper sexy. Sa jupe est celle d’Alexia et sa fente est pile devant. Même topo pour Alexia qui agite deux belles laisses et son plus beau sourire enjoué. Dans la voiture, c’est Alexia qui émet un désir, celui de marcher devant avec Caroline et moi qui les suivrais en tenant les laisses. Je subodorais qu’elles ne portaient aucun sous vêtement. Ma main se fit curieuse en venant caresser le minou glabre de Caroline.
— Vous êtes à croquer mes petites chéries.

    La zone commerciale est là, Caroline me montre une rue avec de nombreux arbres qui la bordent. Tout au bout, je découvre une petite menuiserie et même de la place pour y mettre ma voiture.
    Nous quittons mon véhicule et chacune accroche sa laisse à l’anneau de son clitoris. En marchant derrière elles, je vois le visage de Caroline me fixer, rouge comme une tomate. Je m’arrête, elles m’imitent. Près de Caroline, je pose ses mains dans son dos et les menotte. Elle devient encore plus rouge quand je fais la même chose à Alexia et que je sors ma longue cravache de mon dos.
— Voilà comment je vous adore, de merveilleuses petites chiennes. Allez, en avant et gare à celle qui ne m’obéit pas.

    À un pas derrière elles, il me suffisait d’allonger mon bras pour que ma cravache se glisse entre les jambes de l’une ou de l’autre.
Près de la partie habitation, une superbe quadra s’avance vers nous. À la voir, elle ne porte visiblement qu’un grand tablier qui doit nous cacher son corps nu. Une autre femme sort à son tour, sauf qu’elle était comme mes amours, en laisse.
— Maman, papa, je vous présente Alain et Alexia. Ce sont mes amis et mes amours.— Bordel de merde, c’est bien toi Caroline ? Je t’avoue que j’ai de la peine à te reconnaître comme t’es fringuée. Je suppose que je dois ce changement de cap à ce couple. Soyez les bienvenus vous deux. Alain ?c’est ça ? Ben mon salaud, tu commences bien, toi. Il te plaît ma chérie ?— Il semble bien fait ! dit la mère de Caroline. Mais venez vous asseoir. Agate, apporte de quoi boire !— Papa, faut que je te raconte : ça a commencé avec Alexia mais ça, vous êtes déjà au courant. Pis…

    Et elle raconte, assise, toujours en laisse, que je tiens toujours dans ma main. Pascal, le père, me fixe. Il devait se souvenir de sa jeunesse. La tante me semble la plus docile des deux femmes avec son fin collier de cuir et la laisse qui y est accrochée. Devant un verre, Caroline est intarissable, commentant ses orgasmes, ceux d’Alexia et les miens depuis hier soir. Elle proclame même que je suis un mec bon, un baiseur de première et aussi un merveilleux petit vicieux. Je vois sa mère et sa tante se branler mutuellement, les bras croisés, le père écoute, très attentif, n’interrompant jamais sa fille. Il semblait heureux que sa fille se soit totalement décoincée.
    Quand il pousse la tante à le sucer, je comprends que j’allais rentrer les couilles vides. Alexia, devant cette mère et cette tante, me dégage mon sexe tendu à mort. Celles-ci se branlent ouvertement, dénudant leur majestueuse poitrine annelée et les seins reliés par une fine chaînette. Puis la mère se lève, vient voir ma pine entrer et sortir de la bouche de mon bel amour d’Alexia. Elle me sourit en se penchant sur moi pour me rouler une pelle bien lascive. Puis elle gagne sa cuisine. Avec Alexia, à son invitation, nous la suivons. Elle nous confie :
— Nous vous devons un immense merci à vous deux. Toi Alexia, pour l’avoir déniaisée et toi, pour lui avoir fait comprendre où se trouvait le bonheur. Je voudrais que vous nous considériez comme vos amis à l’avenir. Je sais, il n’y a pas une heure que vous êtes là. Mais c’est parce que notre trésor sait désormais où se trouve son bonheur, avec vous deux.— Merci madame, c’est très touchant ce que vous nous dites.— Moi, c’est Martine et ma belle-sœur se prénomme Agate. Oh, je vois que ça vous surprend. Il ne faut pas. Je l’ai connue bien avant mon sacripant de Pascal. Ça vous dit de me filer un coup de main ? Alexia, la vaisselle est devant toi, avec les couverts Pour toi, Alain, je crève d’envie que tu me trousses. Caroline est si… enfin tu me fais mouiller quoi !

    Un peu intimidé, je la vois venir vers moi, me coller son corps nu tout contre le mien, sa main sur ma queue vite mise à nu. Elle m’attire sur un canapé et s’y laisse tomber en m’emportant. Très vite, je suis en elle et je lui fais l’amour tendrement. Cela ne dure pas. Elle me voulait, mais version sauvage, comme Caroline le lui avait raconté devant la maison. Je m’exécute en me faisant plus sauvage encore que je ne l’avais été. Martine devait aimer se faire rudoyer, je ne me fais pas brutal, juste très sauvage. Je la retourne et m’enfonce dans sa chatte détrempée. Je me mets aussi à fesser son superbe gros cul. Gros oui, mais putain ce qu’il était ferme. Alexia, la table mise, est près de nous, caressant les lourdes mamelles de cette femme excitante.
    Derrière nous, avec la tante en laisse, Caroline et son père arrivent. Caroline avait son bras autour de la taille de son père et Agate était à quatre pattes. Caroline se met à branler son paternel en me fixant, là, tout près de nous. Son père regarde sa femme et il bande dur comme fer. Caroline affiche un sourire démoniaque, rempli de bonheur de se sentir enfin libre dans sa tête. Je montre cette belle bite à Caroline. Elle a une brève hésitation en me fixant telle une gamine prise en faute. Maintenant accroupie, ses genoux largement écartés, nous montrant sa nudité intime luisante, elle caresse ce pénis avant de le lécher avec un plaisir bien visible, me jetant de coquins clins d’yeux. Elle finit par l’enfouir dans sa bouche, peinant à tout y mettre. Pascal se met à me regarder, semblant réfléchir, mais à quoi ?
    La mère jouit, pire que sa fille, hurlant à qui voulait l’entendre que j’étais presque son meilleur coup. Je ne m’en formalise pas. Même être le dernier m’aurait convenu, tant que je baisais des femmes pour leur plaisir. Alexia et Agate roulent sur le sol, en se goussant. Superbes en gouines, elles avaient la grâce en elles. Sous moi, la mère impudique reçoit mon plaisir en elle. Je lâche un long râle de félicité. Et comme si cela ne suffisait pas, Pascal remplit la bouche de sa fille de son foutre en se cramponnant à sa tête fermement.
    Je me retire de cette chatte bien trempée. Sur ma queue poisseuse, et sur l’ordre de son époux, Martine vient me la nettoyer à la manière salope. Enfin quand je dis salope, c’est dans le feu de l’action. D’une main, Pascal la fesse durement et elle semble visiblement apprécier ce genre de pratiques. D’autant que Pascal ne lui gifle pas son cul en douceur. Ses claques résonnent dans toute la maison tellement elles sont puissantes. Et tout se calme quand, sur le sol, deux sublimes gouines jouissent lascivement.
    Nous passons à table, plus aucun d’entre nous ne porte le moindre vêtement. Et pour tout dire, cela me plaît. Je suis entre Agate et Martine, et Pascal est entouré de mes deux grâces. Tout le repas n’est que plaisir gastronomique et de la chair. Au dessert, Agate est couchée en travers de la table. Pascal renverse de la salade de fruits sur son corps et y ajoute trois ou quatre bombes de crème fraîche. Sans l’aide de nos mains, nous devons lécher ce corps jusqu’à ne laisser aucune trace de ce dessert, le meilleur jamais dégusté par ma personne.
    Puis la tante, docile, est emmenée par son frère derrière la maison, où il y avait une grande pelouse entourée de hauts panneaux de bois. Personne ne pouvait voir, ni même deviner ce qui s’y passait.    Devant une sorte de chevalet, Pascal en règle la hauteur à l’aide d’une petite manivelle. Il y pose Agate, la barre de bois sous son ventre. Il la fixe, ses avant-bras bien à plat et le bas de ses jambes écartées. Puis il va chercher son très gros chien. Il nous explique :
— Agate est notre salope. Elle adore se faire dominer en permanence. Le chien, il va la troncher et elle va prendre son pied.— Et toi, maman, tu ne te fais jamais baiser par ce chien ?— Si ma chérie. On pense même en prendre un second pour nous baiser pendant qu’on sucera ton père, ta tante et moi.

    Alexia et moi, on se regarde, en nous demandant où nous avons atterri. Quand le chien se met à lécher Agate, celle-ci se met à glousser, à supplier qu’on lui donne une bite à sucer. Caroline me pousse devant sa tante. Sa bouche au ras du sol, elle réussit à me l’emboucher entièrement. J’étais à genoux, le visage presque contre la gueule du chien, qui allait et venait en cette femme. Chien docile, il avait été visiblement éduqué à niquer ces deux femmes. Je ne peux nier que cela m’excite au plus haut point.
    Alexia, est dans le même état que moi. Penchée sur la croupe d’Agate, elle ne voit pas Pascal derrière elle. La seconde d’après, sa chatte était comblée d’une belle queue. Caroline et sa mère se glissent derrière moi et Pascal. Pour moi, la mère, et pour le père, sa fille. Chacune venait honorer nos culs de leurs langues. Je n’ai pas tardé à jouir, tellement mon excitation était immense. Dans la bouche d’Agate, cela dégoulinait, m’excitant encore davantage. Et puis de voir Alexia prise par ce plus que quadra, me mettait dans un état second.
    Le chien s’est retiré. Je le remplace. Le con bien fait par le chien, je n’ai aucune difficulté à baiser cette femme. Elle ne tarde pas à jouir une fois de plus, et moi de la suivre en poussant un râle plus puissant encore qu’à mon habitude. Je tombe à genoux derrière ce cul sublime. De cette chatte en fusion, coule le foutre du chien et le mien. Caroline a quitté le cul de son père pour se placer près de moi. Je ne sais ce qui me prend, je colle sa bouche contre la chatte béante et gluante d’Agate. Je la maintiens presque en la forçant. Jamais je ne m’étais montré aussi rustre envers une femme, fut-elle la pire des salopes. Mais j’entends la langue de Caroline lécher ce con, les mains posées sur la croupe offerte d’Agate.
— Caroline, si cela te plaît que je te traite ainsi, je t’en prie, dis-le moi.— Sale bâtard, t’es qu’un enfant de salaud, t’es pire que mon paternel. C’est entièrement de ta faute si je suis devenue ta salope, et j’adore ça, si tu veux tout savoir.

    Je repousse sa tête contre ce cul. Elle le dévore d’un bout à l’autre, plongeant même sa langue dans le cul d’Agate. Devant Caroline et en regardant Alexia se faire trousser par son père, je me mets à regarder ce père incestueux.
— Tu sais mon gars, ma fille, je te la donne. Seulement, j’y mets une condition, que vous veniez aussi souvent que possible chez nous.— Pour moi, ça ne pose aucun problème. Il faut voir avec Alexia et ta fille.— Oh elles, elles ne vont plus rien te refuser à l’avenir. Surtout que ta belle Alexia semble vouloir goûter à mon chien. N’est-ce pas ma jolie ?— Ben, peut-être que oui, après tout. Il semble si bien éduqué.— Ah pour ça, il a reçu la meilleure éducation. Il provient d’un chenil dans l’Ain. Pas très loin de la Suisse. Ce sont des amis qui m’ont filé l’adresse. La patronne du chenil adore se faire mettre quotidiennement par cinq ou six clebs à la fois. Elle et son mari les éduquent pour baiser des salopes comme ma sœur et ma femme. Oh oui, Caroline, depuis la semaine dernière, ta tante vit avec nous. Elle est devenue ma seconde soumise après ta mère.— Et tu me voudrais bien parmi ton cheptel je suppose ?— Ma foi, tu me connais, je ne dis jamais non. Mais bon, faut voir avec ton homme. Parce qu’il me semble bien que si t’es pas sa soumise, t’en prends le chemin, ma sale gamine.— Ben pour tout te dire, l’idée fait son chemin. Et pis telle mère, telle fille, hein papa !— T’es bien comme ta mère et ma frangine, une bonne petite salope qu’on ne peut qu’adorer. Bon, vu qu’on est sur la même longueur d’ondes, c’est à ton homme que je vais parler sérieusement. Mon gars, t’as vu ma bicoque, ça te dirait de venir crécher chez nous ? Oh et pis, tu fais quoi dans la vie, à part troncher ma fille et cette beauté ?— Je suis architecte spécialisé dans les chalets en bois. Sinon, vivre chez toi, ouais, pourquoi pas. Faut juste voir pour ton loyer ?— Rien, pas un rond si tu m’autorises à baiser tes deux petites et que tu me files un coup de main pour développer mon affaire.— Ta fille et Alexia, et te dessiner des meubles ? Mouais, ça me parait plus que correct. À les voir, ça n’a pas l’air de les déranger, s’pas les filles ?— Quoi, emménager ici ? Je suis partante, mon chéri, approuve mon Alexia.

    Et Caroline de jouir en un très long « ouiiiiiiiiii, moiiiiiiii aussiiiiiiiiiii. »
    L’après-midi se passe, sans que nous baisions comme des porcs. C’est plus calme. Est venu le soir, ni Alexia, encore moins Caroline et moi, n’avions envie de rentrer.
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