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Divine compagnie

Chapitre 4

Que notre vie de débauche continue !!!

Avec plusieurs femmes
Pascal se décidait à me montrer sa menuiserie. Il prit deux laisses et sa femme, comme sa sœur, vinrent se mettre à quatre pattes près de lui. Il accrochait les laisses aux colliers. De mon côté, les laisses entre les jambes, mes délectables donzelles adoptèrent la même position. Dans l’atelier, Pascal me fit un topo sur sa petite entreprise. S’il fabriquait surtout des meubles, ce n’était pas là que son unique occupation. Passant derrière une porte coulissante, il me fit visiter son petit musée. Chevalet, carcan en tout genre, croix de Saint-André, il y avait tout pour immobiliser et châtier la plus tordues des petites soumises afin de la convaincre de se soumettre définitivement. Il y avait même de quoi fustigé.
— Ça c’est la partie préférée de mes femmes et de nos copines. Ce sont elles qui me fabriquent ces jouets. Et non seulement elles les fabriquent, mais elles les testent sur leur corps et toujours devant moi. Choisis celui que tu veux, c’est cadeau vu que t’as réussi à faire de ma fille, une superbe petite docile. T’as même mes femmes pour l’essayer. À moins que tu préfères tes jolies coquines.

Je ne savais que choisir. Ces cravaches faites à la main étaient sublimes avec leur manche en forme de bite. Je la comparais même à la mienne en en posant une tout contre mon zob. La taille de celui de la cravache était sensiblement plus étroit et un poil plus court. Je me suis rabattu sur une cravache longue, fine et rouge sang. Je l’agitais quand j’ai vu ce double carcan. Je le caressais, imaginant déjà Alexia face à Caroline, toutes deux emprisonnées, moi en baisant une et le chien l’autre.
— Je vois à quoi tu penses mon gars. Les mettre en face l’une de l’autre. Venez les filles, prenez place.

Mes amours vinrent glisser leur cou et leurs mains en ces carcans. Pascal se mit derrière Caroline, lui léchant son cul et le dilatant par la même occasion. Je fis de même avec Alexia. Et Pascal de me défier en me lançant :
— C’est à la première qui prend son pied. Celle qui perd aura un gage, mon chien à sucer. Ça te va mon gars.— Aucun souci maintenant que je sais que mes petits amours sont prêtes à tout pour prendre leur pied.

Ma bite devant le cul de mon Alexia, c’est Martine qui donnait le départ. Je m’enfonçais d’un coup sec en ma chérie qui se mit à glousser d’entrée de jeu. Caroline n’était pas en reste. Les deux femmes pouvaient s’embrasser tellement leurs visages étaient proches. Par-dessus leurs têtes, deux autres femmes se positionnèrent, leurs chattes bien devant les bouches. Quel ne fut pas ma surprise quand elles se mirent à pisser sur les visages. Je pinçais le nez de ma chérie. Elle en recevait plein la bouche et se retrouvait forcée d’avaler. Alexia jouit presque sur le champ. Peu après, ce fut Caroline qui nous chantait son orgasme. J’explosais dans la croupe de ma douce Alexia, tombant à genou, cette fois vidé de toutes mes forces. Pascal éjaculait lui aussi, se cramponnant à sa fille de toutes ses forces. Pascal reconnait sa défaite, il me dit :
— La vache, t’as gagné mon gars. Bravo ! Mes femmes, superbe idée que vous avez eue. — Ça va ma chérie, t’as aimé ?— Oh que oui mon chéri. Là, je me sens des ailes pour aller plus loin encore. — Le chien ?— Ben oui, me répond ma douce Alexia en baissant les yeux.

Je relevais sa tête pleine de pisse et l’embrassais à pleine bouche en massant sa mignonne petite chatte.
— Tu sais, j’étais très heureux le soir où t’es revenue dans le parc, ma belle.— Et moi de t’avouer ce que j’avais fantasmer sur toi. — Merci pour ton amour, ma chérie. Et toi, ma belle Caroline, heureuse ?— Et comment, je gagne sur toute la ligne. Toi, pour commencer et mon père. Mais si je devais en choisir qu’un, c’est toi. Maintenant je sais que je ne risque qu’une chose avec toi, jouir. Comme te l’a dit mon amour, je t’aime et du même amour que pour Alexia, ma douce compagne. Dis, t’étais sérieux en donnant ton accord à mon père ?— Ben pourquoi, ça ne te plairait pas de vivre ici ?— Ben maintenant… en fait, j’avais peur en arrivant ici. Mais depuis, je me suis sentie emportée dans mes fantasmes. — Tu sais que tu dois sucer le chien de ton père après.

Caroline prit une mine renfrognée avant de me sourire et de me déclarer :
— Et tu crois que je vais me défiler maintenant que je t’ai trouvé, que tu m’as libérée de mes angoisses, de mes peurs. Ça non, je suis comme Alexia, j’ai envie d’aller plus loin et par amour pour toi si tu veux tout savoir. En fait, j’ai envie de vous appeler Maître, mon amour d’homme. — Maître, mais…— Ne te demande pas pourquoi, accepte, mon gars. C’est si rare une femme qui décide d’être ta soumise et de ne plus vouloir que votre bonheur à tous les trois. Regarde-moi, avec mes femmes, je vis un rêve que peu d’homme et de femme vivront un jour ailleurs que dans leurs rêves. Me fait Pascal, sa main sur mon épaule.— Et toi, mon amour ?— Maître, comme l’a dit Caroline, je me mets à vos pieds. Je ne veux plus être qu’heureuse avec vous et Caroline.

La messe était dite. Je faisais involontairement un calcul pendant que Pascal emmenait Caroline sucer son chien. Avec Alexia, presque une années s’était écoulée depuis cette première nuit dans le parc. Avec Caroline, cela faisait à peine quatre jours. Et encore, en comptant large. Devant Caroline, Pascal arrivait avec le chien. Il bandait déjà devant cette sublime femme. Caroline me fixait, fixait Alexia. Elle se mettait à genou devant le chien. Elle se penchait, caressant la bite du chien. Elle ne tardait pas à se tendre davantage.
Caroline reçut l’ordre de sucer sans tarder. Penchée, appuyée sur une main, elle engloutit ce vit jusqu’à son nœud, ce renflement sur la bite du chien. Pascal m’invitait à posséder sa fille. Je lui montrais ma bite toute molle, il comprit que je ne pouvais plus pour le moment. Cela dit, j’avais encore mes mains et ma bouche. Aussi, je me mis à caresser Martine et Agate. Alexia se posait derrière son amour de femme et lui léchait tout de son sillon. Pascal quant à lui, un peu seul dans son coin à tenir son chien, se branlait lentement. Il tournait autour du chien et de Caroline quand passant devant son chien, celui-ci se mit à lécher sa queue. Il devait jouir en me fixant, l’air complètement stupide. Il m’avouait que c’était la toute première fois. Il ajoutait même que c’était loin d’être désagréable.
Alors que tous jouirent, moi avec, force fut de reconnaitre que nous ne tenions plus la forme. Il nous fallait du repos. Agate me tendit sa laisse et avançait à quatre pattes devant moi. Elle grimpait d’un étage et m’ouvrait la porte d’une vaste chambre.
— Mon Maître vient tout juste de la terminer. Cela sent encore le vernit, mais ce n’est rien par rapport à il y a une semaine. Le lit a été monter ici même, il est au dimension de la chambre, prévu pour quatre. — C’est juste superbe. Et même que cela peut me donner des idées à l’avenir. Mais dis-moi, pourquoi Pascal et pourquoi être sa soumise. — Parce qu’il me baise depuis que j’ai eu une cruelle désillusion avec mon tout premier petit ami et que j’aime quand il me baise par tous mes trous. Quand je lui ai présenté ma meilleure amie, Martine, c’est un peu de ma faute s’ils se sont aimé et marié. Pendant pas mal de temps, je me suis retirée du monde jusqu’à ce que Martine débarque et me fasse l’amour. Et puis elle est revenue, mais avec mon frère. Tous deux m’ont fait l’amour. De partie de baise en partie de baise, je me suis senti l’envie de devenir la chienne de mon frère. Pascal l’a très vite compris que je ferais tout pour ne plus les quitter. Mais si je ne voulais pas venir vivre ici, y a une semaine, Pascal m’a durement fessée et obligée à venir. Ce jour-là, je me suis offerte comme sa soumise. Je savais que Martine l’était déjà. Et puis, il y a Hunk 4, lui, quand je suis venue le nourrir sans rien en dessous de ma petite robe, il m’a léchée et je n’ai pas osé bouger. Quand j’ai joui, Martine me regardait en me souriant. Elle est venue et Hunk 4 nous a baisé toutes les deux. Maintenant tu sais presque tout de ma vie. Si tu viens vivre ici, je compte sur toi et Pascal pour me prendre en sandwich, c’est un de mes grands fantasmes. Pascal le connait, il a mon journal intime. Tu devrais obliger tes deux soumises à en tenir un, c’est parfois terriblement jouissif.

Je l’écoutais religieusement. Elle me donnait des idées sans le vouloir ou presque. Mais l’idée du journal intime était excellente, elle. En revenant en bas, deux mains m’attrapèrent, la main gauche de ma Caroline et celle tout aussi douce de mon Alexia. Elles m’entrainèrent sous une douche vivifiante. À quatre mains, telles de merveilleuses soumises, elles me lavèrent de partout, jusqu’à me sodomiser de leurs doigts exquis. Je me surprenais à bander à nouveau sous ces douces actions. Je me refusais de jouir pourtant, voulant me préserver pour aimer Martine tendrement. Je me fis encore sécher tendrement avant que mes deux petite coquines ne retournent se laver ensemble.
Dans le salon, Agate avait son visage sur la cuisse de Pascal. Martine me regardait venir, m’assoir tout contre elle. Comme mes deux anges, cette femme m’attirait par son physique. Je me mettais à la caresser, l’embrasser, la masturber avec amour et tendresse. Je la couchais pour lui lécher son sillon d’amour. Elle devait jouir de mes attouchements. Je la possédais, concentré sur mon érection que je voulais longue afin que Martine puisse jouir plusieurs fois. Devant son mari, je l’aimais longuement. Elle devait jouir plus d’une fois avant que je ne jouisse à mon tour. Oh je ne la remplissais pas de mon sperme, il ne m’en restait pas une goutte.
Bien plus tard, après un dernier verre, je guidais mes deux charmantes dans notre chambre. Cette chambre qui pourrait devenir notre d’ici quelque temps. Nous n’avons pas tardé à sombrer. La journée avait été riche en orgasme en tout genre.
Il devait se passer quelques séjours chez Pascal avant que nous ne débarquions avec armes et bagages. Si je continuais à dessiner mes chalets pour de riches clients, je dessinais aussi les meubles de contraintes pour Pascal. D’un côté, mon patron me versait un excellente salaire, de l’autre, en guise de salaire, j’avais quatre femmes à ma disposition. Je n’en oubliais pas les amies, celles qui viennent, chaque jour de la semaine, confectionner les cravaches et autres instruments de douleur.
Toutes s’étaient déclarées, auprès de Pascal, comme étant de dociles épouses en manque de bonnes queues pour les bourrer. Alors pourquoi tergiverser quand on peut choisir l’une ou l’autre, la baiser et l’obliger, un bien grand mot, à tester ces instruments sur leur corps qu’elles m’offrent. Ces gourgandines sont toutes mariées et, pour une majorité, mères de famille.
Pascal ne se gêne pas quand il a envie d’en baiser une. Alors autant en profiter et faire coup double en les rendant heureuses !
Alors, je vous le demande, parfois, n’est-elle pas belle la vie ?
Fin.
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