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Divine Leïla

Chapitre 1

Hétéro
C’est un matin comme il en existe des milliers dans une vie. Le réveil sonne, un épais brouillard s’est emparé de la ville, et le soleil peine à relayer la nuit. Hors du lit, il fait excessivement froid, mais le réveil du téléphone, dont j’ai pourtant choisi la sonnerie avec soin, me casse les oreilles et me pousse à sortir de mon lit chaud et douillet. Mais seulement le temps d’attraper le téléphone. Deux secondes, rien de plus, et me revoilà sous la couette. J’éteins le réveil et contrôle mails et messages. Mais ce matin, une chose est différente. Les yeux pâteux, je n’arrive pas bien à identifier ce petit icône. Puis ça me revient, me procurant confusion et plaisir. Une notification d’une application de rencontre que je pensais avoir désinstallée. C’est peu flatteur, ça veut dire que depuis tout ce temps, je n’ai tapé dans l’oeil de personne. Quoi qu’il en soit, la notification m’indique que j’ai marché avec Leïla. Double tap, et l’application s’ouvre.
Au début, je crains que ce ne soit un faux profil, parce que mince alors, elle me plaît cette Leïla ! Heureusement pour moi, elle a téléchargé presque une dizaine de photos d’elle. Sacrée femme, de ce que je peux en voir. Elle semble grande. On voit essentiellement son visage sur ses photos. Point positif, ça me permettra de découvrir le reste si rencard il y a. Mate de peau, elle a un visage presque rond, mais qui s’allonge de façon ravissante au menton, lui donnant une mâchoire affirmée tout en restant douce. Ses lèvres pleines et presque retroussées attirent mon regard... Je les trouve sublimes, et sincèrement, je ne peux faire autrement que de l’imaginer en train d’embrasser un gland bien gonflé - séquelles de tant d’années à regarder du porno. Mea culpa. Je vois qu’elle s’applique souvent à mettre du rouge à lèvres, de couleurs et textures différentes. Mat ou hyper humide, uni ou avec des paillettes, sa bouche semble être le centre de gravité de ce magnifique visage. Au dessus, un nez droit et taillé au couteau. Très élégant. Les pommettes sont hautes, fières, soutenant de grands yeux en amande, aux pupilles sombres. Les sourcils ont un petit coude, semblent broussailleux, et de ce fait bien peignés. Le front est basique et fait naître une magnifique chevelure brune aux reflets caramel, tout en boucles, coiffées en une énorme boule à facettes qui l’auréole, lui donne un aspect cool et sympathique, mais surtout la distinguent de la masse, la rendent royale. Je passe ses photos au peigne fin. Mon coeur joue du tambour. Je suis déjà totalement sous le charme de cette femme, mais par expérience, crains que ce profil soit une arnaque.Un message d’elle.
— Matinal !
Je souris.
— Il faut bien, je fais partie du service de chambre. Qu’est ce qui vous ferait plaisir pour le petit déjeuner, Leïla?— La totale ! Mon bus est dans 45 min, ne tarde pas !
Et là, coup de poker énorme, elle me donne son adresse.
Panique totale, mêlée à une délicieuse poussée d’adrénaline. Coup de chance, elle habite le quartier. Dix minutes max, la moitié si je cours. Mais je fouette! Merde. Vite, à la douche. Je m’habille en vitesse, saute dans la cage d’escalier, déboule chez mon boulanger, lui règle croissants et pain au chocolat en laissant la monnaie (qui représente un pourboire monumental) et cours jusqu’à Leïla l’inconnue de l’automne. Quand j’arrive, je suis bloqué, je n’ai pas son nom. Je sors mon téléphone pour le lui demander sur l’appli quand j’entends une voix qui m’appelle derrière moi. Je me retourne et la vois, debout, splendide, à l’arrêt de bus tout proche. Je m’avance, moitié défaitiste, moitié fier d’y être presque parvenu. Elle me sourit, amusée par ma dégaine et mon souffle que je ne retrouve pas.
— Vous êtes en retard, j’irai me plaindre à la réception.— On peut s’arranger... Voici votre petit-déjeuner, livré avec seulement deux minutes de retard.— Je vais étudier ça...Le bus arrive, elle s’empare du sac de viennoiseries.— Je vous enverrai mon rapport ce soir.Et victorieuse, elle monte dans le bus. Je suis totalement déboussolé, épaules basses, mais derrière la vitre, elle me sourit en me faisant un signe de la main.Quelle matinée !
Merde! L’heure tourne, je suis pas du tout habillé pour aller au boulot. Nouvelle course pour rentrer. Je transpire en arrivant, mes fringues me collent au corps. Nouvelle douche. Costume propre, et me voilà en route pour le boulot.
J’arrive juste à temps. Je bosse dans un office notarial, je fais un peu de travail administratif, rien de fou, le temps de trouver mieux. Pause café, clope, et passage aux toilettes. J’ai encore du temps. Je contrôle mon téléphone : l’icône de l’application est là, fier. Anxieux mais joyeux, je l’ouvre. Leïla m’a juste envoyé son numéro. Joie! De suite, je lui écris.
"Si vous avez été satisfaite par le room service, n’hésitez pas à partager votre expérience !".
Je m’en veux. C’est lamentablement banal. Quel crétin. Mais elle répond presque du tac-o-tac.
"Les viennoiseries sont délicieuses, mais beaucoup de miettes. Pensez à envoyer quelqu’un pour les nettoyer."
Mouais. Sa réponse est au niveau de mon message... Mon téléphone vibre. Une photo... Oh!Je tape pour l’agrandir : elle a pris en photo son décolleté - et quel décolleté ! - et ses seins sont recouverts de miettes de croissants... Je n’avais rien vu d’aussi excitant depuis des semaines ! Je suis aux toilettes et mes yeux louchent sur la photo de Leïla. Ses seins ébènes sont ronds et imposants. Quelle incroyable poitrine! Je sens ma verge s’allonger dans ma jambe de pantalon, et je n’ai absolument pas envie de la réfréner. Bordel, quels seins ! Ils semblent lourds et fermes à souhait, j’en salive, je voudrais me téléporter, sauter dans mon écran de téléphone pour tomber dans son décolleté et nettoyer ses miettes à la langue... Mon téléphone vibre de nouveau.
"Dans combien de temps pensez-vous que le room service pourra intervenir?"
Bordel de merde. Quelle femme!
"Nous avons un créneau d’intervention à 13h."
"12h30, la situation est hors de contrôle"Avec une nouvelle photo. On dirait bien qu’elle a attaqué le pain au chocolat, car elle en a écrasé une pépite sur son sein, le maculant d’une traînée de chocolat terriblement sexy... De ce que je vois, vu la profondeur de son décolleté, et la taille de son bonnet, qui doit avoisiner le E, Leïla semble avoir une poitrine d’une perfection divine. Et ce qui m’excite encore plus, c’est que ce matin, elle ne l’exhibait pas au monde entier. Là, en regardant de plus près, on voit que de deux doigts, elle tire sur le bord de son haut pour déshabiller sa poitrine et me la dévoiler. J’aime les femmes qui ne dévoilent pas toutes leurs cartes d’entrée de jeu. C’est une grande joueuse, je le sens.
"Un agent sera sur place à 12h30."
Elle me demande de la retrouver dans un troquet que je connais. Il va falloir que je négocie mon après-midi car je n’aurai pas le temps de déjeuner là-bas et de revenir à temps. Heureusement la journée est calme, j’invente un rendez-vous médical auquel je dois accompagner ma grand-mère. Étant irréprochable en temps normal, ma boss me l’accorde.Je suis nul à ce que je fais. Je reluque les seins de Leïla dès que j’en ai la possibilité. Ma queue est tendue depuis bientôt deux heures, elle est moite, je le sens. Pour essayer de tuer le temps, je me rassure en me disant que je risque de prendre la poitrine au menu ce midi.
Je ne sais comment, le temps file à toute vitesse et midi sonne. Je sors du bureau en courant, saluant mes collègues. Mon sang fait des bulles sous ma peau. J’arrive au troquet en un rien de temps, j’ai couru comme un dératé. Je suis un peu en avance, le temps de me remettre en état avant qu’elle n’arrive. Je pisse, ma queue est toujours en alerte. Moite, à demi-bandée, lourde. Je me rafraichis le visage et retourne en salle. Surprise, elle est là, attablée, à m’attendre en me souriant. Aucune trace de ses énormes seins, un gilet les recouvre. J’adore ça. J’aurais tout le loisir de les imaginer, d’observer le tissu du pull tomber sur sa poitrine. Quel délice que d’imaginer, de fantasmer.
— Encore en retard... attaque-t-elle pour me déstabiliser. Elle est taquine.— Excusez-moi, j’étais en ligne avec le président.— Ah, alors je n’ai rien dit.
Nous nous sourions. Le serveur arrive. Nous commandons allègrement et buvons du vin rouge. Le repas est succulent, peu cher, et nous passons un moment simple, fluide, plein de promesses. Elle est d’une beauté remarquable, sa plastique est parfaite, c’en est déconcertant, mais j’aime ce côté poupée - rapport à mon goût du porno. Les hanches peu évasées - dommage - mais le fessier bien dessiné, le genre qu’on remarque de profil. Des jambes longues, des cuisses puissantes, et cette poitrine qui étouffe sous son gilet. Mais j’ai en tête des photos qui me harcèlent. Nous nous approchons du bar pour payer, elle s’impose.
— Tu m’as offert le petit déjeuner, laisse-moi t’offrir le déjeuner.
Je m’incline, et alors que je pense que sa main gauche va plonger dans son sac à main, c’est vers ma braguette qu’elle va. Comme nous sommes collés au bar, personne ne peut nous voir. Elle garde son sérieux et son sourire pour le serveur qui l’encaisse. Elle paye de la main droite avec sa carte bleue, tandis que sa main gauche malaxe ma queue qui se réveille sous ses doigts experts... Je n’en reviens pas. C’est divin. Ça dure une éternité, intérieurement je suis au paradis, quand elle se tourne vers moi, triomphante, me demandant :— On y va ?Avant de poser un baiser sur ma joue et de sortir.Penaud, je la suis, tentant de dissimuler mon érection...Dehors, elle s’excuse en me disant qu’elle doit s’échapper pour reprendre son boulot, m’invite à la retrouver au bar 42 vers 21h, si je suis libre. Elle part en me souriant. Quelle beauté...La queue entre les jambes, je rentre chez moi.
Arrivé chez moi, le vibreur relance mon coeur à 180 bpm. C’est Leïla.
"Mince, je me suis tachée..."C’est une photo de son haut, de face cette fois-ci, où l’on voit effectivement une tâche de gras, avec juste à côté, la bosse de son téton qui pointe fièrement. Une grosse tétine, avec un piercing. C’en est trop...
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