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Dix ans de relation avec ma sœur

Chapitre 4

Quand Ariel minimise ses limites

Inceste
Les jours suivants, je retrouvai Ariel chaque soir sur MSN et la conversation prenait toujours une tournure où je terminais nu et pendant laquelle ma sœur me regardait prendre du plaisir. Cependant, elle n’osa jamais se faire du bien lorsque son copain n’était pas loin. Mais un soir, elle m’offrit ce magnifique spectacle en retour car elle était totalement seule dans l’appartement de son copain.
Quelques jours avant la rentrée des classes, les parents étaient au travail et moi je profitais des derniers jours de tranquillité avant la reprise des cours. Quand quelqu’un sonna à la porte, je me levai pour aller ouvrir. Je vis ma sœur, seule. Elle me fit la bise puis entra. Je ne savais plus quoi penser. La veille au soir, elle me regardait me masturber en webcam et là, elle semblait reprendre une simple relation frère-sœur classique. Et la situation ne sembla pas s’arranger lorsqu’elle alla simplement s’asseoir sur le canapé. Je fis de mon mieux pour éviter de montrer ma peine face à une relation qui n’aura pas duré aussi longtemps que je l’aurais voulu.
— Tu veux boire quelque chose ? lui demandai-je.— Un Coca s’il te plaît.— D’accord, je t’apporte ça.
Je fis un tour dans la cuisine et je pris deux verres que je remplis de Coca et je les apportai ensuite dans le salon. Je tendis son verre à Ariel qui me remercia normalement. J’étais un peu perdu. Si elle voulait mettre un terme à ce que nous faisions, elle pouvait simplement me le dire. Elle but quelques gorgées et entama une conversation assez banale.
Après environ une demi-heure, je me décidai de tenter une approche risquée. Si vraiment Ariel voulait tout arrêter, j’en aurais la confirmation après ça. Je pris ses mains délicatement et je fis entrlacer nos doigts. Ma sœur ne chercha pas à retirer ses mains. J’approchai ensuite mon visage du sien et je déposai un baiser sur ses lèvres.
— Eh bien, tu prends les initiatives plus rapidement quand on est en webcam, me dit-elle en rigolant.
Elle vint cette fois m’offrir un nouveau baiser en mêlant sa langue à la mienne. Rassuré, je continuai de l’embrasser encore et encore. Et après cinq ou dix minutes, ma sœur interrompit nos baisers. Elle se leva du canapé et sans rien dire, me tendit la main. Je la saisis sans vraiment savoir ce qu’elle comptait faire. Je la vis prendre la direction de ma chambre et mon pantalon se déforma davantage.
Même si nous étions seuls dans la maison, elle referma la porte derrière elle. Elle vint ensuite se plaquer contre moi et m’offrit ses lèvres une fois de plus.
— Déshabille-moi, me murmura-t-elle à l’oreille. Tu ne dois laisser aucun vêtement sur moi.— D’accord.
Un peu fébrilement, je commençai à retirer son haut. Puis ce fut au tour de son soutien-gorge. Je fis ensuite descendre sa jupe et son string en même temps. Ariel s’assit sur mon lit pour me permettre de retirer ensuite ses chaussettes. Je ne savais pas encore ce que ma sœur me réservait, mais une fois nue, elle me déshabilla à son tour. Elle ne sembla pas choquée par mon érection. Elle me fit m’allonger sur le lit et s’allongea ensuite à mes côtés. Elle m’embrassa tout en passant ses mains sur mon corps. Je fis la même chose, me concentrant davantage sur ses seins magnifiques.
Tout en caressant mon corps, Ariel effleura régulièrement ma barre tendue, allant même, souvent, jusqu’à la prendre dans sa main. Après dix ou quinze minutes, elle retira sa bouche de la mienne et déposa plusieurs baisers sur mon corps. Après ma bouche, elle commença par embrasser mon torse, puis elle descendit de plus en plus bas. Elle arriva maintenant au niveau de mon nombril et continua encore sa descente. Sa tête s’approcha encore plus près de mon chibre. Dans ma tête, j’imaginais déjà ma barre dans sa bouche et cette image me suffit à être au bout de ma résistance, fortement déçu de ne pas avoir pu résister à l’excitation. Ma sœur reçut le premier jet sur son cou. Surprise, elle se releva et les deux jets suivants atterrirent au niveau de sa poitrine.
Elle quitta le lit sans se revêtir et alla chercher quelque chose dans son sac à main. Elle sortit un paquet de mouchoirs en papier et elle essuya mes traces laissées sur son corps. Puis elle essuya les traces de mon sperme sur moi avant de se rallonger.
— Désolé, dis-je. Je me suis dit que tu allais me sucer et ça a suffit à me mettre dans tous mes états.
Elle resta silencieuse quelques instants, semblant réfléchir à quelque chose. Puis elle m’embrassa tout en caressant mon corps.
— Tu sais, tu ne dois pas oublier que je suis ta sœur, m’annonça-t-elle.— Oui, je sais, répondis-je.— Et parce que tu es mon frère, tu dois savoir qu’il y a des barrières que je ne franchirai jamais avec toi. Je suis désolée si tu as cru que j’allais t’offrir une fellation. Ce n’était clairement pas mon but. Ça fait partie des barrières que je ne franchirai pas avec toi.— D’accord, désolé, dis-je un peu déçu.
Je ne le savais pas encore, mais Ariel venait de me mentir en minimisant ses limites pour éviter que l’excitation m’emporte trop tôt à nouveau. Elle resta allongée à côté de moi pendant une quinzaine de minutes supplémentaires, caressant toujours mon corps et mon sexe. Puis lorsque je me raidis à nouveau, elle recommença à embrasser mon corps tout en descendant à nouveau. Une fois de plus, elle arriva rapidement à proximité de ma barre et son baiser s’arrêta à la base de mon dard. Pensant sincèrement qu’elle ne comptait pas franchir ses propres barrières, je fus moins excité, même si ses baisers sur mon corps me faisaient beaucoup d’effet.
Après avoir déposé un baiser à la base de ma barre, ma sœur confirma ses propos en remontant ses baisers le long de mon corps. Elle s’arrêta un peu plus plus haut que mon ventre et redescendit ses baisers, s’arrêtant une fois de plus à la base de mon dard. Elle recommença son opération encore une fois ou deux. Mais cette fois, au lieu de s’arrêter à la base et de remonter, elle releva la tête avant de me prendre en bouche. Finalement, Ariel avait décidé de franchir une barrière avec moi. Tout du moins, c’était ce que je croyais car en réalité, il s’agissait de son intention depuis le début.
Ma sœur faisait aller et venir sa tête sur mon membre dressé dans sa bouche. La sensation était divine. Mais beaucoup trop rapidement à mon goût, je ne pus me contrôler et je me vidai dans cette bouche accueillante après une quinzaine ou une vingtaine de secondes seulement.
— Merde. Désolé Ariel. C’était trop bon, je n’ai pas eu le temps de te prévenir.
Mais au lieu de se redresser pour recracher mon sperme, elle garda sa position et attendit jusqu’à la dernière goutte de mon liquide pour se redresser. Elle garda ensuite la bouche fermée et quitta la chambre sans se rhabiller. Quelques secondes plus tard, j’entendis le robinet de la salle de bain. Ma sœur avait donc été recracher mon sperme et s’était rincée la bouche. Elle revint dans la chambre quelques secondes plus tard et referma à nouveau la porte derrière elle.
— Ce n’est pas grave, me dit-elle en venant s’allonger sur le lit et en m’embrassant.— Tu ne m’en veux pas ?— Non, absolument pas.— Merci. En tout cas, je ne m’attendais vraiment pas à ça mais c’était génial.— Je suis contente que ça t’ait plu.
Nous nous embrassâmes à nouveau durant de nombreuses minutes, passant nos mains sur le corps de l’autre. Puis, après un moment, ayant ma main au niveau de la vulve de ma sœur, je lui fis une proposition.
— Ariel. Je peux te lécher ?
Elle me regarda et sembla hésiter.
— Ce n’est pas grave si tu ne veux pas. Je comprends. Comme tu me l’as dit tout à l’heure, tu as tes limites.— Ce n’est pas ça. C’est juste que je ne veux pas que tu le prennes mal si je te guide et que tu ne parviens pas à me procurer d’orgasme.— Je suivrai chacune de tes directives, comme l’autre jour. Et je suis prêt à rester aussi longtemps qu’il le faut pour te procurer un orgasme. — Je n’en doute pas, mais tu risques de manquer d’endurance et de ne pas être capable de me lécher suffisamment longtemps pour ça. Parfois, ça peut prendre plus de vingt ou trente minutes pour faire atteindre l’orgasme à une femme de cette façon et peu d’hommes restent aussi longtemps. Je ne veux pas que tu sois déçu.— Je peux toujours essayer. Mais tu dis que peu d’hommes restent aussi longtemps, ça veut dire que c’est le cas de ton gars ?— Oui, avoua-t-elle un peu déçue.
Je l’embrassai pour la réconforter puis, tout comme elle auparavant, je déposai des baisers le long de son corps en descendant de plus en plus. Ses cuisses s’ouvrirent naturellement et je vins y caler ma tête et surtout ma langue. Je découvris ainsi le goût de ma sœur.
Les premières directives arrivèrent après seulement quelques secondes et je m’appliquai au mieux pour les suivre. Et les appréciations de ma sœur me confirmèrent que dans ce domaine, j’étais un élève très consciencieux. Et ma première récompense fut de sentir le doux breuvage qui s’écoulait dans ma gorge, me poussant à continuer de suivre chaque demande de ma formatrice.
Le temps s’écoula, tout comme sa cyprine au fond de ma gorge et même si ma sœur semblait se rapprocher de plus en plus de l’apothéose, je commençais à comprendre ce qu’elle redoutait. Après quinze ou vingt minutes, mon manque d’expérience me fit bientôt atteindre mes limites. Ma langue commençait à être engourdie mais souhaitant donner un orgasme à Ariel, je pris sur moi pour ne pas abandonner. Car ce qui m’aurait le plus déçu aurait été de décevoir la femme que j’aime.
Tout en continuant de suivre ses instructions, je continuais de me convaincre de ne pas renoncer en si bon chemin. Et au bout d’un moment, je fus récompensé de la plus agréable des façons. Ariel poussa un cri de délivrance et ses cuisses se resserèrent sur ma tête. Elle venait d’atteindre l’orgasme grâce à moi.
— Ouah, merci. C’était vraiment intense, me dit-elle.
Je ne pensais vraiment pas avoir procuré un tel plaisir à la femme de mes rêves. Mais suite à ses remerciements, je ne pus m’empêcher de sourire. Au fond de moi, j’étais fier que malgré mon inexpérience, je puisse avoir fait jouir une femme.
Après être redescendue du nuage où je l’avais amenée, ma sœur posa sa tête sur moi et nos mains caressèrent le corps de l’autre tout en échangeant de nombreux baisers.
— Je t’aime Ariel.
Pour seule réponse, j’eus droit à un sourire et à un nouveau baiser passionné.
Après quelques minutes, ma sœur remarqua assez facilement mon état en raison de ma nudité et elle vint m’offrir une nouvelle fellation. Et encore une fois, je me déversai dans dans sa bouche et elle se releva pour aller recracher mon sperme dans le lavabo de la salle de bain avant de revenir dans ma chambre.
Ariel et moi restâmes nus sans quitter mon lit le plus longtemps possible. Puis, voyant l’heure s’écouler de plus en plus, nous décidâmes de nous rhabiller environ deux minutes avant l’arrivée des parents. Ariel et moi eûmes juste le temps de nous embrasser et de sortir de ma chambre que la porte d’entrée s’ouvrit. Cette nouvelle journée en compagnie de ma sœur venait de prendre fin avec l’arrivée de notre mère.
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