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Dix ans de relation avec ma sœur

Chapitre 5

Une nuit inoubliable et pleine de surprises

Inceste
Les jours suivants, j’aurais aimé repasser un moment aussi intime avec ma sœur, mais malheureusement, Ariel et moi n’avons pas de nouvelle occasion de passer du temps seuls tous les deux. Cependant, nous avons toujours nos discussions particulières sur MSN.
Quelques jours après avoir reçu mes deux premières fellations, je rentre dans ma chambre d’étudiant, située à seulement quelques minutes de bus de chez les parents. Bien sûr, j’aurais pu continuer de vivre chez eux pour cette nouvelle année scolaire, mais la décision de prendre une chambre d’étudiant vient aussi du fait que cela pourra me permettre de gagner en autonomie. Et à tout moment, si je veux passer un peu de temps avec mes parents, je n’ai qu’à prendre le bus pour aller les voir.
Mais la chose à laquelle je n’avais pas pensé, c’est que la connexion dans les chambres est ralentie en raison du partage de connexion réparti dans toutes les chambres. De ce fait, nos conversations en webcam prennent fin entre Ariel et moi. Mais cela ne nous empêche pas de nous envoyer des messages enflammés et les photos remplacent la vidéo.
Environ dix jours après la rentrée des classes et mon arrivée dans ma chambre d’étudiant, il est approximativement vingt-deux heures et aujourd’hui, je n’ai pas pu parler avec Ariel sur MSN. Je suis resté devant mon ordinateur durant une bonne partie de la soirée en même temps que je faisais mes devoirs, mais elle ne s’est pas connectée. Il se fait tard et je suis prêt à aller me coucher quand quelqu’un toque à ma porte. Surpris par une visite aussi tardive, je vais tout de même ouvrir la porte, espérant pouvoir me débarrasser rapidement de ce visiteur inopportun. Mais à ma grande surprise, c’est ma sœur que je vois en ouvrant ma porte. Elle porte un rouge à lèvres rouge vif et brillant, une minirobe rouge et j’aperçois des bas noirs. Et elle porte également des talons aiguilles rouges. Je ne l’avais encore jamais vue aussi magnifique et désirable.
Je ne réfléchis pas et je l’embrasse avant de l’inviter dans ma chambre. Elle se laisse faire pendant quelques secondes puis me repousse tendrement, comme pour ne pas aller trop vite.
— Je te plais ? me demande-t-elle en s’écartant légèrement et en se tournant sur elle-même.— Bien sûr. Tu es absolument magnifique.— Merci. J’espérais que tu me dises ça, parce que c’est uniquement pour toi que je me suis préparée ainsi.

Je ne parviens pas vraiment à me rendre compte de ses propos. Ma sœur s’est apprêtée uniquement pour moi. Je l’embrasse à nouveau et mes mains passent sur son corps. Elle prend à peine le temps de poser son sac à main sur le premier meuble et je retire rapidement sa robe et une nouvelle surprise m’attend. Je n’avais jamais vu de fille en porte-jarretelles ailleurs que dans les films. Mais là, j’en ai une sous mes yeux et c’est vraiment très excitant. Je ne sais pas comment retirer ce genre de vêtement. J’ai peur de mal m’y prendre et de tout déchirer, mais Ariel pose simplement mes mains autour de sa taille, me sourit et retire ses mains des miennes pour me montrer qu’elle me fait pleinement confiance.
Je finis par retirer tous ses vêtements sans problème, y compris son soutien-gorge noir en dentelle ainsi que son tanga de la même couleur, mais probablement en coton et Ariel est maintenant nue. Après un savoureux baiser, ma sœur entreprend à son tour de me déshabiller. Elle est beaucoup moins hésitante que moi et je me retrouve rapidement nu également. Elle s’allonge avec moi sur le lit pourtant étroit. Ariel caresse mon corps et empoigne délicatement ma barre tendue à l’extrême. Elle commence à me masturber lentement avant de prendre le relais avec sa bouche. Encore trop peu habitué à ce plaisir, il ne faut pas longtemps pour que ma sœur ait la bouche remplie par mon sperme. C’est alors que je réalise que j’avais mal interprété les choses jusque-là. Car au moment où elle se relève, Ariel se dirige vers le lavabo. Mais au lieu de recracher mon sperme comme je le pensais jusqu’à maintenant, elle se rince simplement la bouche après avoir avalé ma semence.
— Pourquoi tu te rinces la bouche après avoir avalé ? lui demandé-je pendant qu’elle revient sur le lit.— Mon mec n’aime pas l’idée de m’embrasser après l’avoir avalé.— D’accord, mais je ne suis pas ton mec. Même si je n’ai pas vraiment d’expérience, je pense que je peux accepter de t’embrasser même si tu ne t’es pas rincé la bouche. L’autre jour, je ne me suis pas rincé la bouche après t’avoir léchée. Et pourtant, nous nous sommes embrassés. Donc je pense que je peux faire la même chose avec toi.— C’est gentil. Mais tu n’es pas obligé de te forcer. Si tu sens que tu n’as pas envie de m’embrasser après avoir avalé, tu peux simplement me le dire. Ça ne me gêne pas de me rincer la bouche.
Assez rapidement après son retour sur le lit, je passe maintenant ma tête entre les cuisses de ma sœur.

— Guide-moi encore, lui dis-je avant de plonger ma tête vers son fruit juteux à souhait.

Ariel me donne quelques indications, mais rajoute aussi de nombreux compliments sur tout ce que j’ai retenu de la première fois. Je ne pensais pas être si doué après si peu de pratique, mais à en croire ses gémissements et ses compliments, je sous-estimais mes capacités. Cette fois, ma sœur atteint l’orgasme quelques minutes plus vite que lors de mon initiation. Je relève la tête, comblé par le plaisir que j’ai réussi à procurer à la femme que j’aime plus que tout au monde. Je m’allonge à ses côtés et elle vient poser sa tête sur mon torse tout en me caressant à nouveau sur tout le corps.
— Tu savais que contrairement à vous, nous les femmes nous pouvons avoir plusieurs orgasmes rapprochés ?— Non, je ne le savais pas.— Maintenant tu le sais. Donc si un jour tu as envie de me lécher plus longtemps pour me procurer plusieurs orgasmes, tu sauras que c’est possible.

Je prends son information comme une invitation à découvrir cette particularité féminine. Et apparemment, vu qu’elle me caresse la tête et qu’elle m’encourage, il est fort probable que c’était ce qu’elle attendait. Après seulement quelques minutes, Ariel atteint une nouvelle fois l’orgasme. Elle avait donc raison, les femmes sont capables de jouir plusieurs fois de façon assez rapprochée. Je décide de continuer pour voir si je peux lui procurer le même plaisir une fois de plus et je suis satisfait de sentir la jouissance de ma sœur lorsqu’elle resserre ses cuisses et crie son plaisir. Je me remets à sa hauteur et je m’allonge à nouveau sur mon lit.
— Tu restes jusqu’à quelle heure ? demandé-je, inquiet de devoir nous quitter prochainement.— Tu veux déjà que je parte ? dit-elle en plaisantant.— Non, au contraire. J’aimerais que tu restes. Mais je sais qu’il y a ton mec.— Il bosse cette nuit. Je reste avec toi jusqu’à demain matin, m’informe-t-elle.

Je suis très heureux d’apprendre cela. Je vais pouvoir passer ma première nuit avec la femme de ma vie. Et au fond de moi, j’espère que cette première nuit sera aussi celle durant laquelle je lui ferai l’amour pour la première fois.

Ariel caresse mon corps et me masturbe lentement jusqu’à ce que je sois à nouveau bien raide. Mais mes espoirs de faire l’amour s’envolent assez rapidement. Ou tout du moins, j’ignore que ma sœur minimise encore ses limites dans le seul but que je ne sois pas trop excité au risque de terminer avant d’avoir commencé. Elle vient se positionner sur moi en s’allongeant, ses jambes de chaque côté de mon bassin.
— Je me doute un peu de ce que tu attends, me dit-elle.— Oui, j’ai envie de te faire l’amour, lui avoué-je.— Je le savais. Mais comme je te l’ai dit l’autre jour, je suis ta sœur et il y a des limites que je ne franchirai jamais avec toi.— Désolé, lui dis-je un peu déçu.— Ne le sois pas, c’est normal d’avoir ce genre d’envie quand on ne l’a pas encore fait. Et encore plus une fois qu’on l’a fait et qu’on se rend compte que c’est si bon.

Pendant qu’elle me parle, elle saisit ma barre en passant sa main dans son dos et elle me masturbe. Je sens que mon sexe frotte contre quelque chose, mais sur le moment, je pense qu’il s’agit de la cuisse de ma sœur. Je ne le sais pas encore, mais il s’agit en réalité de l’entrée de son puits.
— C’est avec toi que je veux avoir ma première fois, tenté-je de la convaincre. Je suis prêt à attendre le temps qu’il faut pour ça.— N’insiste pas, répond-elle en m’embrassant. Tu...

À cet instant, je sens quelque chose de chaud et humide envelopper mon mat. Puis Ariel arrête de parler et se redresse et je vois que je suis en elle. Ma sœur hoche la tête pour me confirmer que je ne suis plus puceau. Puis elle commence à onduler son bassin.
— Ne cherche pas la performance, me dit-elle. Profite simplement et laisse-toi aller.

Incapable de résister plus d’une minute à ce plaisir nouveau et si sensationnel malgré ma jouissance lors de la fellation à son arrivée, je remplis l’antre intime de ma sœur qui est restée au-dessus de moi du début à la fin beaucoup trop rapide pour moi.
— Merci Ariel. C’était fantastique.— De rien, me répond-elle naturellement. Tu ne m’en veux pas trop ?— Pour quoi ?— Pour t’avoir fait croire que je ne voulais pas faire l’amour avec toi.— Je t’avoue que je ne sais pas trop pourquoi tu as changé d’avis aussi rapidement.— Je n’ai jamais changé d’avis. J’ai simplement voulu te faire croire le contraire pour ne pas que tu fasses comme la dernière fois où tu avais éjaculé avant de profiter de ma bouche.— Dans ce cas, je ne peux absolument pas t’en vouloir, lui dis-je en l’embrassant.

Ma sœur se relève après quelques minutes restée sur moi et c’est à cet instant que je prends conscience d’un détail important.
— On n’a pas mis de capote ! lui fais-je savoir.— Oui, je sais. Comme tu étais puceau, je savais que je ne risquais rien avec toi.— Mais tu prends la pilule au moins ?— Bien sûr, me dit-elle en me souriant et en m’embrassant. Il y a longtemps que mon mec et moi le faisons sans capote, donc je prends la pilule. Je ne vais pas tomber enceinte de toi. En tout cas, pas ce soir.

Je ne relève pas vraiment cette remarque qui pourtant signifie que ma sœur n’est pas prête à s’arrêter à cette première nuit ensemble. Ni même à cette barrière ultime qu’elle se voit prête à franchir avec moi. Au lieu de ça, je l’embrasse en retour pour la remercier de se protéger. Puis j’embrasse ses seins et je caresse son corps avant d’éteindre la lumière. Je m’allonge et Ariel se colle contre moi. Je passe mon bras autour d’elle et dans cette position, j’empoigne tendrement un de ses seins.
— On pourra recommencer ? demandé-je après quelques minutes dans le noir.— Bien sûr. La nuit ne fait que commencer, me dit-elle.— Je ne suis pas sûr de pouvoir recommencer cette nuit.— Et moi je suis sûre du contraire. Et même si je me trompe, nous aurons d’autres occasions.
Et effectivement, ma sœur ne se trompe pas. Après seulement quelques heures, j’ai envie de recommencer et lorsque je la réveille, Ariel accepte sans hésiter. Au final, nous le faisons trois fois durant la nuit.

Le lendemain matin, le réveil nous sort de cette première nuit passée à deux. Ma sœur me sourit et m’embrasse. Elle ne semble pas regretter un seul instant ce que nous avons fait à trois reprises. Nous nous caressons mutuellement pendant quelques minutes avant qu’elle décide de sortir du lit. Elle ne me cache pas sa nudité. Mieux encore, elle me la montre volontairement.
— On va prendre la douche ? me demande-t-elle.— Ensemble ?— À moins que tu préfères que je la prenne avec quelqu’un d’autre, me dit-elle de façon sarcastique.— Non, bien sûr. C’est juste que je ne pensais pas que tu voulais la prendre avec moi.— Et pourquoi ? Après cette nuit, c’est tout à fait normal de la prendre ensemble.
Je prends quelques habits et du linge de toilette avant de sortir de la chambre en compagnie d’Ariel, uniquement vêtue de la serviette enroulée autour d’elle. Nous nous dirigeons vers la pièce où se trouvent les douches et nous pénétrons dans la même cabine ensemble. Une fois la porte de la cabine fermée, ma sœur retire la serviette qui l’entourait et la pose sur le crochet vissé à la porte. Quant à moi, je me déshabille et je les accroche avec la serviette. Ma sœur décide de me laver en premier. Elle n’a aucune hésitation lorsqu’elle arrive à mon organe masculin et elle le prend en main pour le laver. Elle en profite pour tenter de lui redonner un peu de vitalité. Et assez rapidement, elle semble ravie. Après avoir rincé ma barre pour retirer tout le savon, ma sœur s’agenouille et m’offre une nouvelle fellation. La première durant laquelle je suis debout.

Après quelques secondes, le plaisir est déjà important et il devient difficile pour moi de rester debout sans vaciller. Ariel colle ses mains à mes fesses pour m’aider à mieux me tenir droit, ou peut-être aussi pour mieux me sentir dans sa bouche. Et après environ deux minutes, je me lâche dans un râle que je tente de retenir au maximum pour éviter de me faire entendre par des éventuels résidents des chambres voisines qui seraient dans la pièce à cet instant. Ma sœur se redresse et avale sous mes yeux avant de chercher à m’embrasser. Voyant que je ne dis rien lorsqu’elle pose ses lèvres sur les miennes, sa langue tente rapidement d’entrer en contact avec la mienne et elle y parvient. Nous nous embrassons pendant plusieurs secondes avant de finir de nous laver mutuellement.
Après être sortis de la douche, ma sœur remet ses vêtements de la veille à l’exception de ses bas et de son porte-jarretelles.
— Cadeau ! me dit-elle. Comme ça, il n’y a que toi qui m’auras vue avec.— Tu veux dire que tu les as achetés uniquement pour l’occasion d’hier ?— Oui, en espérant qu’il y aura d’autres occasions aussi.— J’espère aussi. Tu sais déjà si tu peux revenir bientôt ?— Mon mec bosse encore de nuit dans quatre jours. Donc on se reverra à ce moment-là.
Nous nous embrassons avant de quitter ma chambre. Devant l’arrêt de bus, nous ne nous comportons pas comme un frère et une sœur, mais comme deux personnes en couple, car personne ne connaît ma sœur. Et lorsque nous nous séparons, je suis impatient que ces quatre jours s’écoulent rapidement.
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