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Dix ans de relation avec ma sœur

Chapitre 6

Un problème dissimulé

Inceste
Après notre première nuit passée ensemble et sa promesse de nous revoir dans quatre jours, le temps me paraissait incroyablement long sans Ariel. Cette attente me fit prendre conscience que ce n’était pas simplement des mots lorsque je lui ai dit que je l’aimais. J’étais sincèrement amoureux d’elle et je voulais déjà faire ma vie avec elle.
Chaque soir après notre première nuit d’amour, nous continuions nos conversations sur MSN. Ce n’était clairement plus des conversations d’un frère et d’une sœur, mais de deux amants. Et pour éviter de mettre à mal notre secret, j’attendais toujours que ce soit elle qui me contacte, avec des mots précis qui m’assureraient que c’était bien elle qui me parlait et non son copain qui tenterait de se faire passer pour elle s’il venait à soupçonner quelque chose.
Et tous les soirs avant de me coucher, je me masturbais en éjaculant dans le lavabo qui se trouvait être parfaitement à la bonne hauteur.
Le jour de sa seconde visite, je courus en sortant du lycée. Pas pour revenir dans ma chambre d’étudiant en courant, mais pour essayer de gagner quelques secondes afin de potentiellement pouvoir monter dans un bus un peu plus tôt que celui que je prenais habituellement. Finalement, ma course ne servit à rien puisqu’il n’y avait aucun bus au moment où j’arrivais à l’arrêt habituel.
Sans avoir gagné de temps, j’arrivai à destination, c’est-à-dire à ma chambre d’étudiant. Je tentai de faire mes devoirs, mais l’idée de revoir ma sœur dans quelques heures me distrayait. Et j’eus énormément de mal à me concentrer.
C’est finalement vers vingt heures trente que ma sœur toqua à ma porte. Même s’il était nettement plus tôt que la dernière fois, je savais qu’il ne s’agissait pas de quelqu’un d’autre. J’ouvris la porte et nous nous embrassâmes en nous libérant de ces quatre jours de frustration.
Ariel entra dans la chambre et ferma la porte derrière elle. Puis elle me déshabilla rapidement. De mon côté, je fis la même chose et en quelques secondes, nous étions dans notre plus simple appareil. Nous embrassions l’un et l’autre toutes les parties du corps qui nous avaient manqué. Nous embrassions donc tout le corps de l’autre.
Ariel s’accroupit et me prit dans sa bouche. C’était un réel plaisir de sentir ma barre coulisser entre ses lèvres. Puis elle s’arrêta après environ une minute. Elle s’allongea sur le lit en écartant ses cuisses. Ma langue assoiffée de sa précieuse saveur n’eut pas à se faire prier. Et contrairement aux autres fois, Ariel ne me guida pas. Quelque part, c’était un peu étrange pour moi de prendre les commandes sans être aidé. Mais finalement, même s’il me fallut un peu plus de temps que lorsqu’elle me guidait, je parvins à amener la femme de mes rêves jusqu’au sommet du plaisir.— Viens sur moi, me dit-elle après que je me sois redressé.— Tu es sûre ?— Oui.
Une fois en elle, je m’allongeai et commençai à donner des coups de rein en tentant de trouver un rythme convenable. Et aujourd’hui, j’ose l’avouer, je n’ai pas pris autant de plaisir que lors de notre première nuit. N’étant pas habitué à manœuvrer, mes mouvements de bassin n’étaient pas fluides, mais saccadés. À chaque instant, je réfléchissais pour savoir si je devais avancer ou reculer. Et pour couronner le tout, je cherchais à savoir si je donnais du plaisir à la femme de mes rêves.
Pour la première fois, malgré ma faible expérience, je parvenais à tenir plus de cinq minutes avant de me vider à l’intérieur de ma sœur. Mais je n’étais pas satisfait. Déçu de ne pas avoir su faire l’amour de façon fluide, je préférais mentir tout en m’enfermant dans mon incompétence.— C’était excellent, dis-je pour la première fois sans le penser sincèrement.— Tu as réussi à tenir plus longtemps que je le pensais, me dit Ariel en m’embrassant. Je suis fière de toi.
Peut-être qu’elle a senti que je faisais très mal l’amour, car de son côté, elle ne m’avait pas parlé de son ressenti. Peut-être qu’elle voulait me préserver en évitant de me faire sentir ridicule.
Il était clair que je ne lui avais pas fait l’amour comme elle le méritait et à la hauteur de mes sentiments pour elle, mais elle ne chercha pas à trouver de prétexte pour rentrer. Ariel resta dans mon lit et toujours totalement nue.
Contrairement à mon habitude, avant de me coucher, je ne lui ai pas dit que je l’aimais. Vu la piètre performance dont j’estimais avoir fait preuve, je ne pensais pas être digne de lui dire que je l’aimais. J’estimais ne pas lui avoir convenablement démontré pendant que nous faisions l’amour.
Cependant, au cours de la nuit, Ariel me réveilla. Elle avait envie de refaire l’amour. Déçu par ma première expérience en tant que capitaine de navire, je préférerais adopter la position dans laquelle nous avions fait l’amour à chaque fois lors de notre première nuit ensemble. C’est-à-dire que c’était elle qui était sur moi.
Dans cette position, Ariel prit plus de plaisir que lors de ma première tentative en me mettant sur elle. Et après avoir été remplie, ma sœur s’allongea sur moi pendant de très nombreuses minutes.— Tu ne me trouve pas trop lourde ? me demanda-t-elle.— Bien sûr que non. Pourquoi ?— J’aime bien être allongée sur toi. Et si je te demande si je suis lourde, c’est parce que mon mec n’aime pas trop que je sois sur lui. Même s’il ne le dit pas clairement, il me fait comprendre qu’il me trouve trop lourde pour rester sur lui.— Tu peux rester aussi longtemps que tu veux sur moi.— Merci.
Après vingt ou trente minutes, je sentis que la respiration de ma sœur avait changé. Il était plus relâché. En tentant de lui parler, je compris qu’elle s’était endormie sur moi. Je mis correctement la couverture sur nous et tout en la serrant dans mes bras, je finis par m’endormir à mon tour.
À notre réveil, nous n’avions pas changé de position. Ariel commença à m’embrasser et à me masturber. Il était clair qu’elle avait une envie particulière de bon matin. Je devins rapidement raide, mais lorsque je vis ma sœur se remettre sur le lit, le stress monta à nouveau. Encore une fois, je fis mon maximum pour ne pas lui montrer mon appréhension, mais tout comme la veille, je ne me sentis pas à la hauteur de l’amour que je lui porte.
Ce matin-là, Ariel décida de ne pas aller prendre de douche avant de repartir. Elle m’annonça qu’elle avait envie de conserver mon odeur sur elle le plus longtemps possible.
Quant à moi, je préférerai ne pas parler de mon "problème", même envers mes amis. Je ne voulais pas devenir la risée du groupe en étant désigné comme le gars qui réfléchis à ce qu’il doit faire pour faire l’amour.
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