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Dix ans de relation avec ma sœur

Chapitre 7

Des mots maladroits et blessants

Inceste
Ariel et moi en étions environ à notre sixième nuit ensemble. Et comme je le redoutais, elle me proposait régulièrement d’aller sur elle. La position du missionnaire est pourtant la plus basique, mais je ne parvenais toujours pas à la mettre correctement en application. Et pour ne pas paraître ridicule, je n’en parlais toujours pas à la principale intéressée, m’enfermant ainsi dans un cercle vicieux qui m’empêchait de parler de la situation et qui m’empêchait également de m’améliorer.
Ce jour-là, même s’il s’agissait de notre sixième nuit ensemble, ce n’était pas la sixième fois que nous nous retrouvions pour faire l’amour. Car en effet, après la quatrième nuit, trouvant le temps trop long avant de se revoir, elle avait décidé de venir plus régulièrement passer seulement quelques heures avec moi, afin que nous fassions l’amour une fois, ou deux si nous avions le temps.
Nous n’étions qu’en début de soirée et Ariel et moi venions de faire l’amour pour la première fois de la soirée. Comme à mon habitude, je ne cherchais pas à me retirer et je laissai en elle toute mon offrande. Cependant, comme c’était le cas lors de chaque rapport dans cette position, je n’avais pas pris beaucoup de plaisir, toujours pour les mêmes raisons. Je ne parvenais pas à faire le vide dans ma tête. Je réfléchissais constamment au fait de savoir si je devais avancer mon bassin ou le reculer. Et comme c’était devenu le cas après chaque déception personnelle, je préférerais me retirer simplement de ma sœur pour m’allonger sur le lit.
Elle me prit dans ses bras et déposa un baiser sur mon torse. Puis elle me posa la question à laquelle je ne voulais pas répondre.— Il y a quelque chose qui ne va pas bébé ? me demanda-t-elle.— Pourquoi tu me demandes ça ?— Pour savoir. Parfois j’ai l’impression que tu n’es pas vraiment avec moi pendant que nous faisons l’amour.
Et voilà, elle avait remarqué mon incompétence et elle me le faisait savoir.— Mais si, je t’assure que je suis toujours avec toi.— Alors pourquoi tu ne me dis plus aussi souvent que tu m’aimes ? Tes sentiments ne sont plus aussi forts qu’avant ?— Si, bien sûr. Je t’aime toujours et de plus en plus chaque jour.— Alors c’est quoi le problème ? Ne me dis pas qu’il n’y en a pas parce que je sens que tu me caches quelque chose. Tu ne me trouves plus aussi séduisante ?— Bien sûr que si.— Tu n’aimes plus faire l’amour avec moi ? Tu te forces ? — ...
Face à mon silence, Ariel se redressa. Elle me regarda avec étonnement et un début de colère.— Tu te forces à coucher avec moi ? dit-elle en haussant un peu le ton.
Au passage, suite à mon silence initial, elle venait de remplacer le terme de "faire l’amour" par celui de "coucher" qui, à mes yeux, implique moins de sentiments.— On peut dire ça, répondis-je.
En réponse, je reçus une gifle dont la force était égale à la déception de ma sœur.— Espèce de connard ! hurla-t-elle. Jamais un mec ne m’avait autant humiliée que toi ! Toi et moi c’est fini. Tu n’es plus mon mec ni mon frère. À mes yeux, tu n’es plus rien.
Elle me gifla une seconde fois et s’habilla rapidement tout en sanglotant. Elle me donna plusieurs coups de chaussures pour me faire comprendre sa tristesse et sa colère. Puis elle quitta ma chambre en claquant violemment la porte. Je ne cherchais pas à la retenir. En me montrant honnête avec elle, je venais de la perdre.
J’avais conscience que je venais de perdre la femme de ma vie. Et pire encore, je l’avais blessée dans son amour propre. Aucune femme ne devrait penser qu’un homme se sente forcé de coucher avec elle. Même si au final, ce n’était pas vraiment le cas. Je l’ai toujours désirée et je ne me suis jamais forcé à lui faire l’amour, mais je n’étais simplement pas à l’aise dans la position du missionnaire. Mais c’est parce que je l’avais profondément blessée que je ne cherchais pas à la reconquérir. Elle ne me méritait pas. Elle méritait un homme qui sache lui faire l’amour correctement et qui ne la fasse pas pleurer. Je n’avais clairement rien de tout ça.
Les jours suivants, ma sœur ne me donnait plus de nouvelles. Sur MSN, elle était constamment hors ligne. Elle ne me contactait même plus par téléphone ou par SMS. Elle semblait avoir réellement tiré un trait sur notre relation et sur moi.
Je ne lui en voulais pas de m’avoir quitté. Je la comprenais. Et ma courte histoire avec elle m’avait permis de me rendre compte que je n’étais pas fait pour être en couple. Bien sûr, j’aimais la sexualité et le plaisir que je pouvais ressentir quand ma sœur était sur moi, mais j’étais clairement incapable de procurer du plaisir à la femme que j’aimais le plus au monde, donc si j’avais dû me mettre en couple plus tard avec une fille que je n’aurais jamais aimé autant que ma sœur, j’aurais été encore plus médiocre sexuellement.
Je reprenais ainsi une vie de célibataire, n’ayant que la masturbation pour satisfaire mes désirs sexuels. Et même si Ariel ne me donnait plus aucune nouvelle, je ne cherchais pas à la harceler de messages. Je préférerais la laisser faire sa vie avec son copain. Un homme qui ne l’aimera jamais autant que moi, mais qui me semblait capable de lui donner du plaisir. Quelque part en moi, même si je n’en avais aucune envie, j’espérais également qu’elle parvenait à m’oublier dans ses bras et qu’elle finirait par considérer notre relation comme une erreur de parcours.
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