Le lendemain soir, Ariel me rendit effectivement visite. Nous nous embrassâmes avant de refermer la porte derrière nous. Et lorsque nous ne risquions plus d’être observés, nous retirâmes nos vêtements. Allongés sur mon lit, nous nous caressions mutuellement.— Tu dois rentrer tout à l’heure ? demandai-je.— Oui, mais prenons notre temps quand même. Je trouverai une excuse pour justifier mon absence à son retour.— D’accord. Ma sœur m’embrassa et me prit ensuite dans sa bouche. Il ne me fallu pas longtemps pour être bien dur. Ariel me regarda avec tendresse.— On va essayer une autre position si tu veux bien.— Je risque de ne pas être très doué pour la première tentative.— Ce n’est pas grave. Comme je te l’ai dit hier, je préfère que tu me dises les choses et que tu me fasses l’amour maladroitement que de ne rien me dire. Je ne vais pas partir parce que tu manques d’expérience. J’ai bien l’intention de te donner énormément d’expérience. Elle se mit à quatre pattes sur le lit en m’offrant une vue très agréable.— Ne me la mets pas dans le cul, dit-elle. Ayant un peu peur de mal m’y prendre, j’approchais de ma sœur et je viens glisser mon épée dans son fourreau. C’était une nouvelle position mais assez agréable. En même temps, tant que j’étais dans ma sœur, j’étais toujours bien. Après m’être enfoncé entièrement en elle, je commençai à aller et venir lentement. Puis en tentant d’accélérer légèrement, je rencontrai à nouveau mon problème récurrent. Je me perdais dans mes mouvements, si bien que je dû m’arrêter.— Désolé mon amour, ça allait bien au début, mais après j’ai commencé à perdre à nouveau le fil.— D’accord. Ce n’est pas grave, on va essayer quelque chose d’autre. On ne va pas baisser les bras. Elle réfléchit quelques secondes puis, toujours nue, elle s’assit sur la table faisant également office de bureau.— Viens, essayons de cette manière, me dit-elle. Je m’approchai à nouveau d’elle et je m’introduisis, mais avec un peu plus de difficulté que dans les autres positions. Je commençai à aller et venir en elle et Ariel gémissait. Pourtant, là encore, je me perdis dans mes mouvements.
— Désolé, je n’y arrive pas, avouais-je déçu.— Ce n’est pas grave. Nous pouvons essayer autre chose.— Je ne crois pas que cela soit utile. Je crois savoir ce qui ne va pas.— Et c’est quoi d’après toi ?— Je perds le fil de ce que je dois faire à chaque fois que nous essayons une position où je dois prendre les commandes.— Si ce n’est que ça, alors c’est vraiment super, s’enthousiasme Ariel.— En quoi ça peut être super ? Ça réduit considérablement nos possibilités.— Ça veut surtout dire que tu manques juste de pratique. Donc à partir de maintenant, je ne viens plus sur toi. On va reprendre la position classique et tu vas t’entraîner à te laisser simplement aller.— Tu es sûre que c’est la bonne solution ?— On n’a rien à perdre à essayer.— Comme tu veux. Ariel me prit quelques instants dans sa bouche pour me remettre en forme. Elle s’allongea ensuite sur le dos et m’invita entre ses cuisses.— Ne pense à rien, me dit-elle en m’embrassant. Même si tu n’en as pas l’impression, sache que tu me donnes quand même beaucoup de plaisir quand tu me fais l’amour. Je commençai à aller et venir en elle a un rythme assez lent, mais qui me permettait de ne pas me perdre dans ce que je faisais.— Regarde-moi, me dit Ariel. Laisse-toi simplement aller. Progressivement, j’accélérais la cadence tout en me plongeant dans les yeux de ma tendre amante. Et après quelques instants, je sentis que je me mélangeais les pédales.— Désolé, dis-je à la femme de mes rêves.— Ce n’est pas grave. Je ne t’en veux pas. Je recommençais après m’être arrêté quelques secondes pour reprendre le contrôle. Puis je recommençais mes va-et-vient dans le vagin de ma sœur avant de perdre pied une nouvelle fois. Mais Ariel continua de plonger son regard dans le mien, de façon imperturbable. Je recommençais une nouvelle fois. Et après une ou deux minutes, Ariel décrochait son regard du mien. Cette fois, elle gémissait. Mais elle tentait quand même d’accrocher son regard au mien entre deux gémissements. Comme hypnotisé par le plaisir que ma sœur prenait, je ne réfléchissais plus à rien. Et sans m’en rendre compte, je me vidais déjà en elle sans avoir reperdu le contrôle de mes mouvements.— C’est dingue, quand tu as commencé à gémir, ça a été tout seul, lui fis-je savoir.— Et ça me procurait encore plus de plaisir quand tu ne réfléchissais pas. Je crois que ton problème vient de là. Tu réfléchis trop à ce que tu dois faire sans vraiment te laisser aller. Mais laisse simplement ton corps s’exprimer et tu verras que tu prendras plus de plaisir. Et tu m’en donneras également plus par la même occasion.— Je vais essayer, mais ça risque de prendre un peu de temps.— Nous avons tout notre temps. Je n’ai pas l’intention de partir tant que tu ne me caches rien.— C’est promis, j’ai eu un bref aperçu de ce que ça fait de te perdre et crois-moi, je n’ai clairement pas envie que ça se reproduise.— Et ne compte pas sur moi pour simuler non plus. Je préfère ne pas prendre de plaisir et t’en parler pour résoudre le problème, plutôt que de faire semblant que tout aille bien. Et accessoirement, je ne sais pas simuler, je ne l’ai jamais fait. Nous nous embrassâmes et Ariel se rhabilla. Quant à moi, je restai dans la nudité dont elle pu profiter jusqu’à la dernière seconde avant de franchir la porte de ma chambre. Après plusieurs tentatives, je parvins à cesser de réfléchir pendant l’acte. Et effectivement, en me laissant pleinement aller, je prenais plus de plaisir et j’en donnais également plus à ma sœur au point où elle parvint à atteindre l’orgasme par le biais de la pénétration. Après quelques nouveaux essais permettant de confirmer la fin de mon rodage, nous commençâmes à tester de nouvelles positions.
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