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Dix ans de relation avec ma sœur

Chapitre 11

Des vacances idylliques

Inceste
Pour moi, c’était les grandes vacances. Je quittai ma chambre d’étudiant et je retournai, un peu malgré moi, chez les parents. Je savais qu’en retournant chez eux, je ne pourrais plus passer une seule nuit avec ma tendre Ariel.
Dès mon retour chez les parents, je fis semblant d’être ravi d’être en vacances. C’était en partie vrai car c’était aussi la fin des cours, mais là, je devais attendre environ deux mois pour retrouver une chambre d’étudiant et pouvoir éventuellement passer de nouvelles nuits avec ma sœur. Je retrouvai ma chambre de puceau alors que je ne l’étais plus depuis le début de l’année scolaire qui venait de s’écouler. Mais ce retour à la maison allait me réserver une très belle surprise.
Quelques heures après mon retour chez les parents, Ariel débarqua à l’improviste avec deux gros sacs.— Qu’est-ce que tu fais avec ces sacs ? l’interrogea notre mère.— C’est fini avec mon copain. Donc est-ce que je peux revenir vivre chez vous ? Il m’a chassé de son appartement.— Qu’est-ce qui s’est passé ? Vous sembliez heureux ensemble.— Les apparences peuvent être parfois trompeuses.
Elle posa les yeux sur moi et me fit un grand sourire. Je comprenais qu’elle avait tenu sa promesse et quitter son copain pour être uniquement avec moi. Au moins, ces deux mois de vacances n’allaient plus être aussi désolantes que je le pensais.
Ma sœur alla dans sa chambre que, par chance pour elle, les parents n’avaient pas réaménagée. Elle déposa ses affaires et vint s’assoir à côté de moi sur le canapé. Elle posa sa main sur ma cuisse comme s’il s’agissait d’un geste fraternel. Et discrètement, quand les parents ne regardaient pas, elle posa sa main sur mon entrejambe, en la retirant rapidement pour éviter d’être surpris. Et pendant nos discussions, je faisais semblant de m’intéresser à sa rupture et à ce qu’elle ressentait, même si je savais pertinemment qu’elle était plus soulagée que triste de ne plus être avec lui. Quant à moi, je préférais cacher ma joie de la savoir près de moi pendant toutes les vacances, même si, en raison de la présence des parents, nous ne pourrions pas dormir ensemble. Mais au moins, nous aurions plus de facilités pour nous retrouver seuls.
Le premier soir de notre retour chez les parents, Ariel vint me voir dans ma chambre.— Je peux entrer ? me demanda-t-elle.— Oui, bien sûr.
Nous faisions semblant de rester frère et sœur car nos parents étaient encore debout. Mais dès qu’elle entra dans ma chambre, elle referma la porte derrière elle et commença à retirer son haut. Je la regardais faire et je contemplais le spectacle. Elle vint ensuite vers moi débarrassée de son haut et mit sa langue dans ma bouche. Je fis promener mes mains sur son soutien-gorge avant de le lui retirer.— Il ne faut pas qu’on fasse trop de bruit et qu’on ne soit pas trop long pour ne pas éveiller la curiosité des parents, me dit-elle.— Tu penses à quoi ? lui demandai-je.— J’ai envie de toi, me confirma-t-elle en commençant à me déshabiller.
Je l’aidais en retirant rapidement mes habits et elle fit de même. Nous nous embrassâmes langoureusement et mes mains allèrent explorer son conduit humide.— Prends-moi maintenant, me dit-elle alors qu’elle commençait seulement à être humide.
Elle se mit sur moi et orienta mon mandrin vers son antre. Et une fois qu’elle me sentait à l’entrée de sa grotte, elle se laissa retomber sur moi. Elle gémit et m’embrassa pour étouffer ses bruits de plaisir. Elle commença à aller et venir sur moi à un rythme soutenu. N’ayant jamais fait l’amour dans ma chambre auparavant, je craignais que mon lit grince. Mais heureusement pour nous, ce ne fut pas le cas. Ariel me chevaucha avec ardeur et il ne me fallut pas longtemps pour me répondre au fond d’elle. En me sentant la remplir, elle fut à son tour prise d’un orgasme qu’elle tenta de retenir au maximum.— Merci bébé. Ça m’avait énormément manqué depuis hier.— Moi aussi.
Elle m’embrassa une dernière fois et se retira rapidement puis se rhabilla. De mon côté, je pris un peu plus de temps qu’elle pour me revêtir, même si cela représentait un risque d’être surpris sans avoir trop de vêtements sur moi et que nos parents comprennent ce que nous venions de faire. Mais heureusement pour nous, ils ne sont pas venus nous déranger pendant que nous étions seuls.
Une fois rhabillés, ma sœur se lova contre moi.— Tu es content ? me demanda-t-elle.— C’était un peu risqué, lui dis-je.— Je ne parlais pas spécialement de ça. Je parlais du fait que maintenant, même si je n’ai rien fait avec lui au cours des derniers mois, tu es vraiment le seul homme dans ma vie.— Ah, ça. Bien sûr que je suis content. Mais tu as dit que tu le quitterais quand tu auras trouvé un appartement. Ça veut dire que c’est le cas ?— Pas encore. Mais je n’en pouvais plus de continuer à faire semblant. Ça me dégoutait qu’il m’embrasse ou pose ses mains sur moi.— Et il l’a pris comment quand tu lui as annoncé ?— Il s’en doutait. Il m’a même avoué qu’il voyait une autre fille depuis plusieurs mois.— Il n’était pas si triste que ça alors.— Non. Et moi non plus. Et je lui ai également avoué que moi aussi je voyais un autre homme et que j’étais tombée amoureuse de lui. Mais je ne lui ai pas dit que c’était toi.
Nous restâmes encore dans les bras l’un de l’autre pendant près de deux heures. Au final, nous aurions pu faire l’amour sans avoir à nous précipiter, mais je ne regrettais pas. Puis ce fut l’heure de manger. Ariel et moi quittâmes ma chambre pour retrouver les parents au salon. Et le soir, je pris le risque de rejoindre ma sœur dans sa chambre. Elle me fit de la place dans son lit et nous fîmes une nouvelle fois l’amour avant de nous endormir. Mais le matin, je me réveillai avant les parents pour rejoindre ma chambre.
En revanche, comme elle n’avait plus personne chez qui loger et qu’il nous fallait un appartement, ma sœur avait trouvé un travail depuis quelques semaines. Elle quitta donc la maison et je me retrouvai seul pendant tout le reste de la journée puisque les parents aussi allaient à leur travail.
Mais les vacances allaient devenir encore meilleures pour ma sœur et moi. Car en effet, durant le mois d’août, les parents décidèrent de partir en voyage pendant deux semaines, seuls. Ils savaient qu’en raison de son emploi récent, Ariel n’allait pas avoir droit à des vacances. Et moi, je préférais "réviser pour la rentrée". De ce fait, même si ma sœur partait au travail le matin pour rentrer en fin d’après-midi et que je restais seul à la maison, je n’étais pas déçu. Nous avions tous les soirs et toutes les nuits pour être ensemble pendant l’absence des parents et nous en profitions réellement.
Durant leur absence, nous prîmes toutes les douches ensemble, parfois même des bains. Nous fîmes l’amour dans toutes les pièces de la maison, y compris dans leur lit où nous avons même passé une nuit complète. Durant un week-end ensoleillé, nous fîmes également l’amour au bord de la piscine, puis le lendemain, nous le fîmes dans la piscine. Et bien sûr, nous ne partagions qu’une seule chambre et entre le moment de son retour et celui de son départ pour le travail, nous n’étions pas vraiment habillés.
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