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Dix-neuf ans et bisexuel

Chapitre 3

Fête en famille

Orgie / Partouze
Ma tante Jade me prend par la main et m’emmène vers le coin câlin. Un peu à l’écart, des braseros éclairent à peine la pelouse sur laquelle s’étend une toile de chapiteau avec trois matelas king size posés en damier. Nous sommes seuls dans ce coin éloigné de la piste de danse où les invités se trémoussent, se frottent, se caressent par deux, par trois, de face, de dos, en sandwich.Dans la semi-pénombre, nous nous embrassons tendrement. Nous dansons au rythme du slow en appréciant ce moment d’intimité.
— Je sens ta chaînette attachée à tes tétons, elle ne te fait pas mal ? — Non pas vraiment, c’est seulement sensible. La pose est douloureuse mais rapidement c’est comme anesthésié. Ta caresse éveille une gêne, mais c’est excitant... Mmmm ! Oui ! comme ça avec tes doigts... sur les pinces de haut en bas... Hummm... c’est bon, une délicieuse douleur.— Tu es devenu un peu maso, mon chéri, depuis notre nuit avec Joyce.
On danse sans vraiment bouger, mes mains sur ses fesses, ses mains sur ma poitrine. Nos lèvres jointes, sa langue m’effleure, glisse entre mes dents, se pointe sur la mienne, les deux s’entrelacent, se caressent. Le baiser est passionné. Mes mains remontent des fesses sur le dos, je la sens frissonner.
Elle m’entraîne sur un matelas où nous nous allongeons de côté, face à face. Nos yeux brillent de désir. On se couvre de bisous, je la butine de l’oreille au cou puis à la gorge, j’atteins l’aréole et le mamelon qui se contractent sous ma langue.
Ses mains suivent le même parcours jusqu’à mon ventre. D’un rapide tête à queue, je lui offre ma verge qu’elle avale avec gourmandise et suce bruyamment... Peu importe nous sommes seuls au monde. Avec un genou relevé elle me présente sa vulve ruisselante de son jus. J’étale les pétales dorés par le soleil de part et d’autre et dégage sa fente rouge sang légèrement ourlée. Elle est sous mes lèvres, j’y dépose un baiser, j’y étanche ma soif.
Son bassin s’anime,exprime ses désirs. Je change de position, Jade bascule sur le dos, ses genoux s’ouvrent en ailes de papillon, à la fourche de ses cuisses son Yoni accueille mon Lingam. L’accouplement est immédiat, profond, les pubis restent soudés un moment, un moment d’étreinte, un moment où tout son corps frissonne.
Ses muscles se contractent sur mon sexe avant qu’une danse ne commence lentement. Les mouvements du bassin sont amples de toute la longueur du membre. Elle est immobile et me sourit, pourtant son regard laisse apparaître une tristesse comme ce que mon cœur ressent : « Je te fais l’amour une dernière fois avant mon départ de demain » Elle sait ce que je pense, ses bras m’enlacent, nos lèvres se joignent, elle murmure :
— N’oublie pas, tu es l’amant qui me correspond !
Notre relation s’intensifie au rythme du Boléro de Ravel. La passion, la fougue remplacent la tendresse, la douceur. Son bassin fait écho au mien, nos lèvres sont unies, nos sexes coulissent l’un dans l’autre. La bielle pénètre le piston, la machine accélère. Une course folle vers l’extase débute. Ses mains me pétrissent le dos, son vagin déborde de cyprine et laisse entendre un doux clapotis. Nos gémissements s’amplifient aux « Oui... Oui... » répondent les « Han... Han... ». Nos orgasmes sont simultanés, nos coïts s’unissent. Nous jouissons longtemps ensemble jusqu’à ce que mes chairs se fondent en elle, un doux baiser met fin à notre union.
— Merci mon chéri... et Bon anniversaire !— Nous étions amants seuls au monde... nous sommes devenus acteurs porno !

Notre intimité est devenu spectacle. Les danseurs ont quitté la piste et nous entourent, leurs mains épousent nos courbes, nous frôlent, les plus hardis nous caressent, tous nous applaudissent... Un peu irrités nous filons vers la salle de bain.
Après une douche durant laquelle câlins et bisous se sont poursuivis nous nous accordons une pause à la table du buffet où ont été apportés jus de fruits et sandwichs pour la nuit. Assis face à face les doigts entrecroisés nous nous regardons fixement. En silence nous nous comprenons, nos yeux rieurs et larmoyants, le sourire et la moue de nos lèvres, expriment nos sentiments, notre joie de l’instant, notre tristesse de la séparation prochaine. Puis les paroles reviennent pour évoquer les 15 jours passés, 15 jours de bonheur, de la première fois entre nous deux, de nos soirées, de nos nuits, de la plage, de la rencontre de Eve, du travestissement.
— Allez mon chéri, rejoignons les autres... Bonne soirée mon cher amant, c’est ton anniversaire, ne soit pas triste, profite, la nuit va être longue, tu vas être très sollicité ! Merci pour ce moment d’amour, pour ce moment de jeunesse...— Merci à toi Jade pour tout, on restera toujours ensemble !
Elle m’embrasse et nous revenons vers le coin câlin qui est maintenant très occupé. Mon cousin Dom allongé sur le dos et sa fiancée Martine en levrette se font un 69. Elle me voit et m’interpelle :
— John ! Viens avec nous.
Arrivé à eux, elle s’assied sur ses talons à la tête de son fiancé, lui cuisses écartées me sourit. Je m’agenouille devant le Priape comme la première fois que je l’ai pris en bouche il y a presque 6 mois. J’en ai vu beaucoup depuis et je le retrouve avec plaisir. Autant j’aime la maturité du Yoni que je préfère la jeunesse du Lingam. J’aime sa queue, une vraie banane macho, ses couilles, deux belles noix dans un sac un peu étroit. Je le suce goulûment, je passe d’une simple léchouille du gland à une tentative de gorge profonde en produisant un bruit de gorge et un excès de salive qui coule sur le pubis :
— Putain ! Qu’est ce que tu suces bien. Je l’avais remarqué en gang-bang, vraiment on peut dire que tu aimes la bite toi. Allez, viens salope... A ch’val !
Je chevauche son bassin comme il y a un mois lorsqu’il m’a défloré. Il tient sa queue et je m’empale lentement. Bien que je ne sois plus vierge, ma rondelle reste très tonique, doucement je m’appuie sur le mandrin qui ne fléchit pas. Je force, je sens mon anus s’ouvrir, je laisse la dilatation se faire, j’aime cette sensation, cet étirement presque cette déchirure. Le mâle veut pénétrer sa femelle, il donne un coup de reins et son gland est en moi. Mon anneau se dilate, les chairs se façonnent, je glisse sur le membre, lentement mon sphincter s’ouvre. Je l’ai entièrement en moi, assis à la vertical sur son pubis. Je commence une lente remontée puis revient, ses mains sur mes hanches accompagnent ma chevauchée et un Clap !... Clap !... rythme le galop qui commence :
— Ben dis-donc ces vacances t’ont libéré… Ouais et puis j’aime comme ton ventre me masse comme une chatte... Ouais t’es bonne …
Martine spectatrice devient actrice. A son tour elle chevauche son fiancé et se fait bouffer la chatte. Face à moi, elle me tire à elle par la chaîne attachée à mes tétons et mon sexe. La douleur me fait hurler et me soulève du pubis de Dom ; en déséquilibre je m’agrippe à ses seins. Lui me retient par les hanches. Elle m’embrasse sur les lèvres et fait aller la chaîne de haut en bas pour accompagner la chevauchée.
Notre union devient furie. Peu après elle me repousse en arrière pour s’emparer de mon pénis. Je retrouve mon équilibre en m’appuyant sur les genoux de mon cousin. Je suis un sex-toy pour les deux, l’un m’utilise comme manchon, l’autre astique le gode désiré. Les mains se crispent sur les hanches, sur la verge, une ruade plus violente et il se répand en moi…
Voyant la chevauchée interrompue, Martine m’entraîne dans une roulade sur le côté, elle sur le dos et moi sur elle. Ses bras et ses cuisses m’immobilisent et s’enlacent comme des serpents aux arbres. Mon sexe dans le mouvement la pénètre d’un coup jusqu’à la garde. Elle me retient et m’embrasse à pleine bouche, son vagin me suce. On bouge peu, on apprécie le moment, les bassins vont et viennent tranquillement, on prend le temps. C’est tout d’abord une baise pépère en missionnaire. Elle accompagne mes mouvements de bassin puis après un moment intercale une jambe entre les miennes avant de passer les deux au centre et me faire monter au nirvana avec une chatte toute étroite .
Nous en voulons plus. Je me redresse, mets ses jambes sur mes épaules, son bassin bascule, je sors de son ventre et plonge dans ses entrailles. Elle est très souple de ce côté aussi, et elle aime, et elle couine... Je la besogne lentement, de toute la longueur de mon membre, je me penche vers elle et me trouve ainsi en levrette cuisses écartées.
Que se passe-t-il ? Elle me sourit… C’est mon oncle Théo derrière moi ! il m’écarte les fesses pleines de foutre, sans difficulté d’un coup il s’enfile dans l’étui que son fils vient de façonner.Immédiatement il entre en action et m’impose son rythme. En fait par mon intermédiaire il sodomise Martine. Il me prend sous les aisselles, me relève, me colle à sa poitrine et trouve les pinces attachées à mes tétons. Il les manipule de haut en bas et réveille la gêne et l’excitation en même temps. Je reste plaqué à lui. Sa tête posée au creux de mon épaule il regarde sa future belle-fille, ils se sourient, ils se comprennent :
— Allez-y tous les deux, enculez-moi comme j’aime ! dit-elle 
Il contrôle tout, il m’immobilise contre lui, il me libère sur elle, il me bloque ou me laisse aller dans le cul de la fille. Son bassin impose le mouvement de « moderato » à « vivace ». Je suis un sexe qu’il masturbe dans un fourreau, je suis un trou qu’il emmanche, je suis homme, je suis femme. Il me baise encore, puis ralentit, s’immobilise, il jouit, gicle, se vide et se fond dans mes chairs. Théo me lâche. A mon tour je déverse ma semence dans le vase de Martine, couché sur elle, on se confond l’un dans l’autre. On écoute les soupirs, les gémissements, les chuintements qui nous entourent, Ça fait l’amour de partout, c’est d’un érotisme incroyable.Longtemps après, on quitte le coin câlin et on se douche avant d’aller à la piscine. Sur le chemin elle rencontre Dom... je vais seul me baigner.
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