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Dix-neuf ans et bisexuel

Chapitre 4

J'assume ma bisexualité

Avec plusieurs hommes
Ce soir pour mes 19 ans, ma tante Jade a organisé une fête chez une amie dans une belle propriété agrémentée d’une piscine près de l’étang de Tau. La musique, la piste de danse et le coin câlin éclairé de braseros facilitent les échanges des 7 couples libertins invités à cette soirée.

Sur la piste de danse un couple fait du sur place, dans le coin câlin trois groupes ne font pas que du sur place. Je viens de quitter ma tante Jade et Martine la fiancée de mon cousin et je vais me rafraîchir et me détendre à la piscine. Là aussi on batifole je retrouve Eve en compagnie de Moussa le beau sénégalais. Eve, une fille née garçon, est une sacrée coquine, c’est elle qui m’a guidé lors de mon travestissement.

Plouff ! Je la rejoins en deux brasses. Heureux de se retrouver nous continuons à nager ensemble. On parle de nos premiers échanges de la soirée et je lui fais part de ma tristesse à l’approche de mon départ de Montpellier. Elle partage mon désarroi et en même temps me regonfle d’optimisme en projetant de monter en week-end à Paris pour partager de folles soirées entre filles. On plaisante beaucoup, elle me promet que nous revivrons des moments semblables à ceux partagés à Montpellier.

— OK, Eve, je compte sur toi, je serai John et Jane, nous serons amant et maîtresse.

Nous nageons encore alors qu’au milieu de l’eau elle m’enlace de ses bras et de ses jambes. Par mes mouvements coordonnés je tiens notre couple à la surface. Ses petits seins pointent sur ma poitrine, tandis que son appendice mollasson profite de la poussée d’Archimède. J’avoue que ma queue un peu molle, après avoir déjà bien forniqué, bénéficie de la même poussée et permet à mon gland de se loger entre les globes de ma grande sœur. On se caresse, on s’embrasse à pleine bouche, nos langues tournicotent, se câlinent puis on rejoint Moussa qui nous observe assis au bord du bassin.

— Allez mes mignonnes, venez me sucer !

Je note le féminin... c’est Jane et Eve qu’il veut à lui, peu lui importe l’abandon de ma coiffure, du maquillage, il s’offre aux deux femelles que nous sommes. Arrivées à lui on se met de part et d’autre de ses jambes plongées dans l’eau. La queue d’ébène n’est pas en érection, elle repose sur les deux gros fruits, du bout des doigts il dégage le gland et nous sourit. Je tiens Eve par la taille, elle par mes épaules. Nos mains libres s’emparent du phallus. Alors que je prends les fruits, elle s’occupe du tronc, sous la caresse du bout de ses doigts il grossit, se redresse lentement. Bien droit et bien haut, on s’appuie sur le bord de la piscine pour être à sa hauteur.

Eve lèche du bout de la langue la grosse boule de chocolat plantée au sommet du pieu. Je souris en pensant à l’ado face à une boule de glace. Je masse deux autres boules, elles tiennent difficilement dans ma main, elles sont lourdes et pleines. Eve relève la tête, me regarde et me donne le gland que j’avale en glissant mes lèvres jusqu’au prépuce. Je le suce en plantant mes dents à la base du gland et tout en lui broyant les burnes :

— Putain ! Jane t’es une sacrée bouffeuse de bites.... Mais ! Mords pas trop fort, salope.


— Hummm !... Hummm !... son rythmant mes va-et-vient.

L’arbre sous l’effet de nos soins, a pris toute sa force, sa raideur, c’est un baobab. La main d’Eve astique le tronc sans pouvoir en faire le tour. Ma bouche s’habitue à la taille du fruit, ma langue lèche le tour, titille le frein et le méat... Le monstre tressaute... Moussa gémit, nous prend moi et Eve par l’aisselle et nous tire hors de l’eau :

— Venez qu’on s’amuse tous les trois.

En chemin nous voyons sur la piste de danse, Jade et Adam seuls … il ne danse pas vraiment, Jade accrochée au cou en appui sur une jambe, lui jambes fléchies, ils font l’amour debout. Côté coin câlin les trois matelas sont occupés. Les râles, gémissements et roucoulements accompagnent la musique. Juste à côté, je constate que Maria notre cuisinière prend après le service, sa part aux festivités. Elle chevauche Trespatas tandis que Dom debout la pilonne par l’arrière, le chuintement de leur accouplement assure qu’il y a de la mouille dans les deux ouvertures. Sur un matelas Polo et Théo prennent Monique en double alors que sur l’autre Martine, Moune et Joyce s’adonnent aux plaisirs de Saphos.

Eve tout en s’allongeant sur l’espace vide au centre sur la toile, me murmure « Suce-moi ». Sa quéquette est à peine éveillée. A genoux entre ses cuisses et appuyé sur les coudes, j’avale le pénis d’adolescent et le masturbe de mes lèvres. Dans cette position mes charmes fessiers sont offerts, Moussa s’en régale, il est très habile de sa langue qui me lèche et me fouille la rosette probablement encore dilatée de mes échanges précédents. Je creuse les reins, tends les fesses. Deux doigts me pénètrent, comme une vraie pute mon bassin s’anime.

L’homme me lâche, il a près de lui le pot de lubrifiant que Trespatas m’a offert. Il en prend une noisette, plonge ses doigts dans mon trou et me masse l’anus avant d’y pointer son gland. Membré comme il est, c’est une bonne option. Une main appuyée au milieu des reins, il me guide, je viens à lui, il pousse vers moi. Mes chairs se distendent, la pression augmente, l’anus s’élargit encore et le champignon s’enfonce d’un coup. Il est gros… Moussa ne bouge plus, il attend un signal de ma part... Je pousse mon bassin vers lui, des deux mains il me prend par la taille et m’amène à lui. Je l’avale lentement, régulièrement, il touche le fond de ma caverne. Je bouge un peu du cul et le passage s’ouvre, les derniers centimètres s’enfoncent. Son pubis est contre mes fesses, maintenant à lui de jouer sa partition.

C’est un artiste en la matière. Il sait qu’il est dans des profondeurs peut-être vierges. Pour l’instant tout part de son bassin qui ondule lentement, la pointe du gland dépasse le rectum, il excite cette zone, mes intestins libèrent leurs sucs… le rectum est sans fond. Moussa amplifie ses mouvements en s’appuyant sur ses genoux. Le tronc usine l’anus sur trois, quatre centimètres puis amplifie progressivement le mouvement d’alésage du fourreau pour le mettre à la taille du membre… le gland ramone tout le sphincter jusqu’à l’anus. Le champignon s’enfonce et revient en arrière, après quelques aller-retours l’anneau assoupli libère le sexe …

L’homme impose sa loi à la femelle que je suis devenue. D’un coup son sexe plonge de toute sa longueur jusqu’au Clap ! de la rencontre du pubis et des fesses. L’artiste satisfait de sa préparation m’encule vraiment à présent, la bielle accélère le mouvement dans le piston.

Pendant ce temps je suce Eve, lui tripote les coucougnettes, j’astique la tige, lui trifouille son petit trou. Je l’excite tant et si bien qu’elle bascule son bassin et passe ses jambes sur mes épaules. J’ai sous mes lèvres sa rondelle sombre,son anus en forme de bouton de fleur avec toutes les tonalités du bleu au rouge. Je lèche, titille le petit trou, la pointe de la langue le pénètre... son bassin s’anime :

— John, baise-moi !

Le ton est autoritaire. Je me relève, Eve appuie ses jambes sur mes épaules, prend ma verge pour la positionner sur sa fleur bleue. Moussa ralentit le rythme jusqu’à ce que d’un coup de reins puissant il me projette jusqu’à la garde dans les fesses offertes. Tous les deux, on se regarde, on se sourit, ses deux petits cônes de chair sont dominés par ses tétons très sombres pour une blonde et disproportionnés. Je les suce, les mords, les roule entre mes pouces et indexes.

Moussa s’est immobilisé, je commence à la sodomiser dans un sens et à m’emmancher dans l’autre en un lent va-et-vient. Puis il change les rôles. Il me colle à son ventre et mène la danse dans les fesses de Eve, ma verge devient une prolongation de sa matraque.Enfin c’est du chacun pour soi, je vais à mon rythme et lui au sien.

Notre trio, avec les Clap !... Clap !... de mes fesses, les Han !...Han !... de l’un et les Oui !... Oui !... de l’autre, attire l’attention de nos voisins. Au centre des trois lits nous sommes le clou du spectacle. Eve prend la chaîne fixée à mes tétons et m’attire à elle pour m’embrasser, elle réveille à nouveau la douleur, mon cri est étouffé par sa bouche... je perds le contrôle de tout, mon jus bouillonne, explose, fuse, jaillit et arrose le ventre de ma sœur je me vide dans son vagin.
Elle se dégage de mon pieu au moment ou Moussa inonde mon ventre, je sens sa queue se contracter deux, trois fois, il se vide lentement et me quitte. Au moment de me relever Eve assise sur le côté de mon bassin, m’enlace la taille de son bras et me maintient en levrette. Son autre main me flatte l’arrière-train avant de se fixer sur ma rondelle. Trois doigts déjà ont fait leur place, mes fesses débordent probablement de sperme, sa main en pointe de lance, s’affine, force le passage lubrifié et me pénètre d’un coup. A peine libéré de Moussa, elle me fiste, son bras s’agite comme le mandrin du sénégalais, aussi profondément.

Elle baigne dans le sperme qui m’a arrosé, plus de la moitié de son avant-bras fouille mon ventre. Trespatas nous observe d’un lit voisin, excité comme un poulain, il nous rejoint, chuchote à l’oreille de Eve, l’embrasse sur la bouche... un accord entre eux ! Elle me lâche et lui prend sa place !!! A son tour il prend une noisette du fameux lubrifiant m’en tartine la rosette … se positionne je réagis :

— NOOON !

Mais trop tard, d’un coup il est tout entier en moi, mon corps l’a avalé, son pubis est contre mes fesses … il ne bouge pas, attend que nos chairs s’habituent, que mon sphincter l’adopte :

— Bien sûr que SI ! ma toute belle, tu m’as tellement excitée avant, avec ton strip, tu vas voir que j’ai le plus gros zob !

Peut-être un peu plus gros que celui de Moussa, aussi long mais beaucoup plus brutal, la place est faite et c’est d’une violence folle. Il me tient par les hanches, m’attire à lui, me fait bouger sur son tronc, mon ventre est bousculé, il est un manchon dans lequel il se branle… Il me redresse, j’ai les yeux larmoyants.

Jade est devant moi. Elle me sourit, avec beaucoup de douceur me caresse la joue baignée de larmes. Elle me prend par les épaules et m’embrasse tendrement, semblable au baiser incestueux d’une mère. Le bien-être que je ressens, estompe la brutalité de Trespatas.

A mon tour je souris. J’aime comme il me sodomise, j’aime sa force, mon fourreau s’est adapté à son pieu, je me donne à lui en creusant les reins, il me besogne encore avec rage. Mon ventre se laisse bercer, se laisse labourer, se laisse défoncer, après un moment ainsi ballotter il ressent les contractions du burin. Après un coup violent tout s’immobilise, il m’inonde, les jets sont puissants, il se contracte encore, le sperme s’écoule … Ploc ! Il me laisse en me donnant une grande claque sur les fesses :

— Putain tu est aussi bonne que belle !

Jade est avec moi … elle ne dit rien, me prend par la main et me conduit dans la salle de bain.
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