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Dix-neuf ans et bisexuel

Chapitre 5

Partie fine

Orgie / Partouze
Il est une heure du matin, ma fête d’anniversaire bat son plein, les 7 couples invités ont déjà beaucoup donné et reçu. Une envie de danser, de baignade, d’un quelque chose à manger, le coin câlin est un peu abandonné.Ce n’est pas trop dire que j’ai aussi un coup de barre après les deux sodomies et le fisting que je viens de subir… Effectivement j’assume ma bisexualité.Comme après le gang-bang, ma tante est présente et veille sur moi comme une mère. Elle me prend dans ses bras, me câline, m’embrasse tendrement :
— Viens mon chéri, on va prendre une douche et je t’enlève ces pinces.
Ces pinces, un cadeau d’anniversaire que je porte aux tétons, qui m’endolorissent et anesthésient en même temps. Je les ai complètement oubliées. Par contre en marchant je sens le sperme couler le long de mes cuisses, de la main je constate que mon derrière et l’entrejambe sont couverts de jute.Sous la douche, la tendresse de Jane, la chaleur de l’eau, la douceur des mains qui me savonnent me font revivre. Un bien-être m’envahit, nos corps sont accolés, nos têtes l’une contre l’autre, appuyées au creux de l’épaule de l’autre, on s’enlace. Des bisous s’échangent dans le cou. Nos mains se caressent mutuellement. Nos ventres commencent à glisser l’un contre l’autre, nos corps dansent sur un slow imaginaire, les caresses deviennent sensuelles, érotiques, les baisers amoureux. Nos désirs sexuels se réveillent :
— Tu est un coquin… ardent ! Viens que je t’enlève ces foutues pinces, laisse-toi faire, je te préviens c’est douloureux.
Effectivement, d’un coup elle ouvre simultanément les deux pinces, comme un éclair une brûlure enflamment les deux pointes, elles sont bleues, écrasées comme des bouts de carton. Jade me prend un téton entre ses lèvres, l’autre entre ses doigts. Suçon et tripotage accélèrent l’irrigation des tissus écrabouillés. La douleur est aussi fulgurante que violente mais le traitement est efficace. En moins de deux minutes presque tout est oublié sauf que mes tétons sont bleus et pas plus épais qu’une pièce de un centime. Ma tante s’amuse en les faisant aller et venir de haut en bas du bout des doigts :
— Viens mon chéri, on va manger quelque chose.
Nous nous habillons de peignoir en coton, en passant par le buffet on se prend quelques sandwichs et Jade m’emmène sur une balancelle dans un coin caché, loin de la fête et des lumières. Le ciel est étoilé, on entend les grillons, je me blottis contre elle dans son bras, elle me fait des bisous du bout des lèvres, un moment romantique, un moment amoureux. Je pense aux paroles de Piaf « Laissez-le moi mon amoureux » On se murmure des mots doux... On est bien tous les deux, qu’allons-nous devenir ?
— Demain tu retournes chez tes parents, mais ne sois pas triste, on se reverra. Il faut que je sois plus proche de ma sœur, que je la vois plus régulièrement et ainsi tous les deux on se verra aussi.— C’est vrai ?— Oui bien sûr, et puis je souhaite que Jane me fasse visiter sa ville, qu’on sorte ensemble, qu’on s’amuse et que le soir je retrouve mon amant.— Tu sais, je vais rentrer en 2ème année de licence et je vais demander à ce que mes parents me loue une chambre...— C’est une bonne idée... Tu pourras me recevoir et puis lors des vacances universitaires tu pourras descendre une semaine, on s’arrangera pour que tu fasses tes stages ici, Théo connaît beaucoup de monde, et ta sœur Eve voudra te revoir...— Avec Dom tu m’as ouvert les yeux, à présent je veux vivre ma vie, être John et Jane, vivre ma sexualité et chez mes parents ça ne sera pas possible.— Effectivement je te vois mal travesti face à ma sœur, encore moins amener un copain ou une copine dans ton lit.
On reste encore un moment simplement l’un à côté de l’autre, le bonheur est là, il est simple, on regarde le ciel, c’est tellement beau... La musique au loin s’entend mieux :
— Écoute... J’ai l’impression que la fête reprend, allons les rejoindre ils vont se demander où nous sommes et profite de ta jeunesse, mon chéri, tout en restant mon amant préféré.
Nous sortons de l’ombre passons au buffet pour boire une citronnade. En réapparaissant à la lumière, depuis la piscine j’entends Monique, la trans aux beaux seins qui m’appelle d’une voie ténébreuse en faisant de grands gestes :
— John ! Viens te baigner l’eau est super bonne !
Je quitte le peignoir, Plouff ! À peine dans l’eau, elle se plaque contre moi, ses seins de femme et son sexe d’homme sont en érection, pris dans ses bras elle m’embrasse comme une furie, sa langue épaisse me pénètre sans me laisser le temps de réagir, et toujours de sa voix masculine :
— Bonsoir John ! on ne s’est pas beaucoup vu ce soir,— Mais la nuit n’est pas terminée… — Alors viens ne perdons pas plus de temps.
Tous les deux nous rejoignons le coin câlin. Sur un lit Moune et Adam nous voyant arriver nous appellent :
— Venez, nous vous faisons une place !
Je dois dire qu’une partie carrée avec Moune n’est pas pour me déplaire. Un regard interrogatif de Monique, un sourire approbateur de ma part et elle répond en s’allongeant :
— C’est sympa, on partage avec plaisir !
Les deux filles se font un bisou et les couples restent formés tels qu’ils étaient. Monique s’allonge contre le dos de sa copine et je me mets en 69 à l’identique de nos voisins. Elle m’impose son ouverture d’entrejambe, cuisses ouvertes et genoux écartés comme des ailes de papillon offert totalement de l’anus au méat. De l’autre côté des cuisses je vois Adam faire un cunni très gourmand... Il a une faim de loup !
Je suis subjugué par le corps de Monique, l’harmonie féminine à deux exceptions : ses hanches étroites et son pénis. L’Hermaphrodite parfaite Je vois une femme toute en finesse, une belle chevelure brune, un visage aux lignes allongées et arrondies, à la poitrine harmonieuse, pas très développée et bien galbée, une légère cicatrice arrondie souligne la base du sein et confirme l’ajout d’une petite prothèse aux résultats des hormones. Elle bande des seins comme une femme, avec ses aréoles contractées et les mamelons hérissés.
D’une main je la tiens par les couilles, de l’autre par une fesse. Je suis subjugué par son sexe, une belle bite de jeune homme, un tronc long et gracile, deux beaux fruits et un gros bourgeon. Une queue qui a du vécu, qu’immédiatement j’avale avec gourmandise. Je la suce, la déguste, la lèche pour la reprendre tout de suite en bouche. A ce moment je regrette de ne pas être Shiva pour m’occuper simultanément de ses fesses, de ses seins et de son sexe. Elle m’accompagne de son bassin dans mon va-et-vient.
Tout est sexe en elle, tout est sexe en lui. Je suis impressionné par sa bouche sur ma queue qui pour l’instant est plus une quéquette qu’un phallus. Monique visiblement est une reine de la fellation, elle réveillerez un homme de 80 ans. Elle m’aspire avec force, ses dents s’impriment sur toute la longueur de l’urètre, elle est gourmande. Ses mains massent, sa langue est coquine et ne connaît pas la décence, elle fouille, elle lèche du scrotum au méat, elle cajole le périnée et pointe l’anus. Le résultat est que je lui offre un superbe Priape.
A l’unissons nous suçons, aussi affamée elle que moi, les gorges débordantes de salive deviennent bruyantes. Nos voisins cessent leur jeu pour nous regarder jusqu’à ce que Adam nous dise :
— On swape ?
On croirait que les deux femelles n’attendaient que cette proposition. Chacune quitte la bouche qui la broutait pour s’offrir à l’autre .Moune vient sur moi, s’empale d’un coup jusqu’à la garde, Monique en levrette offre son fessier à Adam qui lui fait une feuille de rose très humide en laissant un long filet de salive entre sa bouche et le cul de la convoitée. Monique me suçait comme un homme, elle se donne à présent comme une femelle en chaleur, les seins posés sur le matelas, les reins creusés et les genoux bien ouverts. Je connais le glaive d’Adam, je sais comment il fourrage les fondements, d’un coup il plonge jusqu’au choc de ses couilles contre celles de sa partenaire.
Pendant ce temps le vagin de Moune habitué au très gros calibre avec son compagnon Trespatas, se contracte sur ma verge. Elle bouge peu, s’allonge sur moi. Nos lèvres se joignent et sa bouche s’anime comme son ventre. Elle me pénètre de sa langue, elle me suce de sa vulve, je suis sa chose, elle me domine. Son ventre me pompe, me masse, son bassin bouge peu comme si elle avait peur de me perdre.
Le Clap... Clap de la sodomie d’à côté, ralentit, s’arrête, j’entends des murmures, je baigne dans la cyprine et la salive. Le ventre de Moune se soulève, j’ouvre les yeux, elle me sourit. Je sens contre ma verge le sexe de... Adam. Il va la prendre ? Oui, une double vaginale. Un bisou du bout des lèvres, la verge s’enfonce contre mon sexe, la chatte nous accueille tous les deux. C’est terriblement excitant. C’est Adam le maître de cérémonie qui prend Moune par les seins pour la relever et l’embrasser dans le cou.
Monique abandonnée me chevauche la tête, ses mains écartent ses fesses, je vois son anus entrouvert plein de mouille, les fesses s’appuient sur mes yeux, j’ai la langue sur son anneau. Monique assise sur mon front tortille du croupion et m’abreuve de son jus, au goût étrange avec de vague sensation de sperme qui doivent provenir de coïts de début de soirée. Ainsi assise, je sens ses couilles sur mon menton et d’une main commence à lui astiquer le manche
Le bas de mon corps est occupé par les manœuvres de Moune et Adam qui m’entraînent dans leur accouplement et je peux dire que j’ai la trique, le vagin est devenu étroit. Moune ne cesse de gémir de manière totalement indécente. Les coups de reins sont puissants, lents pour que la matraque d’Adam circule dans le piston sur toute sa longueur tout en me caressant la tige, les 2 urètres coulissent l’une contre l’autre.
Nous faisons l’amour ainsi longtemps… Notre quatuor est parfait, je suce, je branle, je baise… Les corps s’agitent, on s’abandonne… Le sperme gicle de partout, j’en reçois sur la poitrine de l’une, sur la verge de l’autre, j’inonde le vagin... Tous se répandent, tous jouissent, c’est un quatuor de geignements, de gémissement, de hurlements. Nous profitons de l’extase, restons ensemble encore puis les chairs se fondent, le groupe se dissout... Un dernier baiser, certains vont se laver au tuyau d’arrosage, d’autres au lavabo, je vais à la salle de bain.
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