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Dix-sept heures trente

Chapitre 3

Inceste
CHAPITRE 03:00

Le soir suivant, Charlotte me surprit une nouvelle fois en réclamant une autre séance. Celui d’après aussi, si bien que cela devint vite notre nouvelle habitude. Nous discutions toujours le soir à partir de dix-sept heures trente, heure à laquelle nous étions tous les deux rentrés de cours et nos parents encore au boulot, mais très vite elle me demanda de me masturber en pensant à elle. Une fois en pleine action, elle me demandait de décrire dans les moindres détails que j’imaginais être en train de lui faire. Elle réclamait que je lui dise quelle partie de son corps je trouvais la plus excitante, et pourquoi. Elle écoutait mes descriptions avec un air studieux et méticuleux. C’était vraiment étrange de se masturber tout en décrivant à la fille à laquelle on pense ce qu’on imagine, d’autant plus quand cette fille est votre propre sœur. J’adorais ces moments. C’était devenu pour moi comme une sorte de drogue. Je les attendais avec impatience. Chaque soir, notre heure divine semblait prendre son temps à arriver.Pourtant, un soir je semblai avoir plus de mal à décoller.
— Bah alors, qu’est-ce qui t’arrive ? s’impatienta-t-elle.— Je ne sais pas, ça n’a pas l’air de vouloir ce soir, répondis-je en tentant de raidir ma demi-molle.— Et si je te montre mes seins, tu crois que cela t’aiderait ?
Et voilà que Charlotte venait de me faire une nouvelle surprise sans que je m’y attende. Après une confirmation confuse de ma part, elle se débarrassa de son maillot et défit délicatement son soutien-gorge, libérant ainsi sa poitrine.
— Oh, Charlotte, ils sont encore plus magnifiques que ce que j’imaginais !
Et c’était le cas : deux petits seins fermes et fiers, les tétons pointant timidement. Ma remarque fit rougir Charlotte qui n’osa plus croiser mon regard.
— Touche-les si cela peut t’aider, m’invita-t-elle.
Je ne me fis pas prier. Depuis le temps que j’attendais de pouvoir lui palper la poitrine ! Mes mains se posèrent donc dessus. Le contact lui donna la chair de poule. Ses seins avaient beau être bien plus petits que ceux de ma mère, ils n’en restaient pas moins excitants à câliner. Je caressai délicatement sa douce peau et jouai avec ses tétons en les faisant rouler sous mes doigts. J’avais envie de les embrasser, de sucer ces petits mamelons durcissant, mais je n’osai pas. Je préférai laisser le soin à Charlotte de m’en demander plus si elle en voulait. Charlotte laissa échapper un léger soupir tandis que l’excitation m’avait cette fois bien gagné.
— Tu peux y aller maintenant, fit-elle avec une voix presque inaudible.
Comme les fois précédentes, je libérai mon sexe et commençai à me masturber. Charlotte se resserra contre moi. J’avais sa magnifique poitrine juste à quelques centimètres de mon nez. De ma main libre, je continuai à la lui palper avant qu’elle la rapproche encore plus près de mon visage. La tentation étant trop forte, je pris l’initiative ; j’en profitai donc pour goûter à sa peau de pêche. Tout en poursuivant ma masturbation, je me positionnai sur le côté afin de faciliter mon contact avec ma sœur.
— Puis-je tester quelque chose ? me demanda-t-elle.

D’un signe de tête, je lui répondis positivement. C’est alors que nos lèvres se soudèrent. Je sentis sa langue s’immiscer dans ma bouche et se frotter le long de la mienne. Le contact me fit frémir et une vague de frissons remonta le long de ma colonne vertébrale. Notre baiser langoureux se poursuivit tandis que Charlotte resserrait notre étreinte. Elle était si proche que ses seins s’écrasaient sur mon torse et mon gland venait buter sur son court et sexy short en jean et ses cuisses dénudées.La chaleur de sa peau me brûlait le gland. Le contact de ses lèvres sur les miennes me tournait la tête. Toutes ces émotions se bousculaient en moi, et la pression grimpa rapidement. Je ne la retins pas longtemps et libérai un flot de sperme par salves successives sur les cuisses de Charlotte.
— Ah, c’est chaud ! s’exclama-t-elle, surprise, sans se plaindre plus que ça de sentir ma semence sur sa cuisse.
Et voilà, nous venions de vivre une nouvelle folle soirée. Je savais que jamais je ne parviendrais à oublier. Une nouvelle étape venait d’être franchie, confirmant encore plus un rapprochement entre ma sœur et moi. J’étais sûr et certain que nous allions poursuivre sur cette voie. Nul doute que certains désirs s’étaient aussi éveillés chez Charlotte. J’étais donc bien décidé à tenter une autre approche le soir suivant.
J’étais très excité le lendemain. Mon cœur fit un bond quand j’entendis Charlotte frapper à la porte, pile à dix-sept heures trente pour notre rendez-vous quotidien. Allongé sur le lit, je la fis entrer sans attendre. Elle vint se coller à côté de moi. J’observai les magnifiques traits de son visage en souriant probablement comme un idiot et je lui caressai la joue en signe d’affection. Sans que personne ne dise mot, nous nous embrassâmes comme nous l’avions fait la veille.
Nous nous blottîmes l’un contre l’autre et je lui retirai son maillot. J’eus la surprise de découvrir qu’elle avait préalablement retiré son soutien-gorge. C’est ainsi que pour la seconde fois de ma vie je rendis hommage à la poitrine de ma sœur. Je profitais ainsi de ses deux sublimes volumes de chair quand Charlotte vint frotter sa cuisse le long de mon entrejambe, découvrant ainsi une nouvelle fois l’état dans lequel elle me mettait.
— On dirait que je te fais encore énormément d’effet ce soir, déclara-t-elle, souriante. Tu vas pouvoir y aller.— Pas ce soir, tentai-je.— Quoi ? réagit-elle, déçue. Mais pourquoi ?— J’aimerais juste que ce soit toi qui me le fasses.
Visiblement, ma demande la prit de court. Elle ne s’attendait pas à une telle requête. Je déposai un petit baiser au coin de ses lèvres pour l’encourager. En réaction, sa main s’anima et descendit le long de mon ventre pour atteindre la ceinture qu’elle défit timidement. Cette fois, plus aucun doute : Charlotte s’apprêtait à me masturber ! Sa main flatta la bosse formée à mon entrejambe.
— Oh, s’étonna-t-elle, la bouche grande ouverte, elle semble encore plus grosse que d’habitude.— Vas-y, libère-la.
Charlotte m’obéit et permit à mon sexe de se déployer à l’air libre. Elle posa un doigt hésitant dessus et le laissa se promener sur toute la longueur de ma hampe. Elle fit légèrement pression pour en tester la rigidité et sembla être satisfaite du résultat. Enfin elle posa sa paume sur mon pubis et le caressa, ses doigts s’emmêlant dans ma fine toison. Sa main migra peu après vers mes bourses qu’elle massa délicatement. Charlotte semblait vouloir prendre son temps pour découvrir mon sexe dans ses moindres détails et ne pas vouloir précipiter les choses. Sentir le contact de ses doigts sur ma verge était très agréable ; la suite promettait d’être encore meilleure.
Sa main se décida à enserrer mon membre à la base du gland. Elle descendit le long de mon pieu. Son mouvement facilita le décalottage, et un gland violacé par le désir fut libéré. Une goutte de pré-sperme perlait déjà au niveau du méat. Charlotte posa le bout du doigt dessus et l’étala sur la surface du gland. Le contact me fit ressentir quelques picotements. Ma sœur commença réellement la masturbation en faisant coulisser sa main le long de mon sexe, d’abord doucement puis de plus en plus rapidement et avec de plus en plus de fermeté. Sa main fut bientôt renforcée par une seconde qui parfois abandonnait la tige pour partir à l’exploration de mes bourses. Et pendant tout ce temps, Charlotte, attentive, surveillait la moindre de mes réactions, observant la montée de mon plaisir s’afficher sur mon visage. Elle semblait aussi fascinée par le spectacle de ses petits doigts s’agitant sur mon sexe.
Le moment tant attendu arriva rapidement, celui où ma sœur me donna elle-même du plaisir. Je jouis en laissant échapper un râle de bonheur. Plusieurs longs jets saccadés vinrent s’abattre sur mon ventre.
Reprenant mon souffle, je remarquai Charlotte observer ses doigts. Elle avait reçu du sperme dessus. Elle se les frotta, comme pour en tester la texture. Je la vis peu après porter ses doigts à son nez pour en sentir l’odeur, puis, à mon grand étonnement, gober l’un d’eux. Elle venait sous mes yeux de goûter mon sperme. Charlotte lâcha une grimace et me sourit.
— Merci, ne trouvai-je rien d’autre à dire.
Décidément si j’avais su ce qui arriverait après m’être fait surprendre par ma sœur, je me serais arrangé pour l’avoir été plus tôt. Depuis cet événement, Charlotte avait pris conscience de mes désirs et de mes fantasmes. Elle m’avait convaincu de lui révéler mes plus intimes secrets et de me branler devant elle. Elle avait même fini par m’autoriser à lui toucher les seins et à l’embrasser. Et voilà que ce jour-là elle m’avait masturbé et avait goûté mon sperme. Chaque nouvelle soirée apportait son lot de surprises.
Je ne le savais pas encore, mais le lendemain confirmerait cette tendance.
Après avoir frappé à la porte de ma chambre, au lieu de s’allonger à côté de moi comme d’habitude, elle s’assit vers mes jambes. Je voulus me redresser pour la prendre dans mes bras et l’embrasser mais elle m’ordonna de ne pas bouger. Elle l’avait dit d’une manière étrange, si bien que je préférai lui obéir et voir ce qu’elle avait à me dire.
— Tu ne m’as jamais demandé sur quoi je fantasmais, ni cherché à savoir si je me masturbais.
C’était le cas, mais j’avais cru saisir rapidement au début de cette histoire qu’elle avait plus besoin de savoir qu’autre chose. Si elle avait vraiment eu besoin de me parler de ses désirs, elle l’aurait fait. Où voulait-elle en venir ? Était-elle prête à me révéler quelque chose ?
— Une fois, je suis allée au ciné avec maman, reprit-elle. C’était un vieux film à l’eau de rose ringard – bref, pas terrible – mais j’étais contente de faire une sortie avec maman car cela faisait longtemps. Bref, maman n’aimant pas être trop près de l’écran, elle a voulu s’installer à l’arrière. Derrière nous, il y avait juste un mec, mais il a été rejoint ensuite par une jeune fille, une blonde plutôt jolie. Je n’y ai pas fait attention sur le coup car le film débutait. Ce n’est que plus tard, quand le film a vraiment commencé à m’ennuyer et que j’ai fini par perdre ma concentration, que j’ai entendu quelques légers bruits à l’arrière. Intriguée, je me suis retournée et j’ai découvert que la fille était en train de sucer le mec. Sur le coup, j’ai été choquée de savoir qu’elle faisait ça en plein cinéma ; et puis, ça semblait dégoûtant. Comment pouvait-elle accepter de le sucer ? Je ne comprenais pas. Quelques minutes plus tard, alors que je ne parvenais pas à me retirer de la tête ce que je savais être en train de se dérouler derrière moi, je me suis rendu compte que quelque chose s’était animé en moi. J’étais curieuse d’en voir plus ; je crois même que je commençais à être excitée. J’ai alors jeté un coup d’œil pour tenter d’observer leur petit jeu. Et là, j’ai compris ! Il n’y avait en fait rien de dégoûtant. La fille semblait agir par amour. Elle prenait elle aussi du plaisir à offrir ce cadeau à son copain. C’était magnifique, en fait. Bref, je me suis levée pour aller aux toilettes et je n’ai pas réussi à m’empêcher d’observer plus en détail. Je crois que le mec a capté mon regard appuyé. Rouge de honte, je me suis enfuie aux toilettes. J’avais le sexe trempé, et une boule me brûlait les entrailles. Je me suis donc caressée et j’ai atteint mon premier véritable orgasme. Le spectacle m’avait vraiment chamboulée. J’ai croisée la fille plus tard au lycée de Méronze ; j’ai souri en repensant à cette séance de cinéma.— Eh ben, quelle histoire !— Tout ça pour te dire que j’ai envie moi aussi d’essayer, déclara-t-elle en posant une main sur ma cuisse. Comme cette fille, j’ai envie d’offrir ce cadeau, j’ai envie d’être la fille dont tu as rêvé et sur laquelle tu fantasmes. Je ne suis pas sûre d’aimer te sucer, mais j’aimerais vraiment essayer.— Euh… OK, très bien ! répondis-je, perturbé par cette révélation.
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