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Dix-sept heures trente

Chapitre 6

Inceste
CHAPITRE 06:00

La suite de notre aventure ressembla beaucoup à ce que nous avions vécu ce week-end. Je remarquai que Charlotte avait acquis un goût prononcé à m’exciter en présence de son copain sans qu’il ne s’en rende compte, semblablement à ce qu’il s’était passé dans la cuisine. Elle aimait par exemple venir s’asseoir sur mes genoux et remuer discrètement du popotin pour me sentir se gonfler sous son cul. Généralement, elle s’habillait de courtes jupes – de plus en plus fréquentes dans sa garde-robe – et me glissait à l’oreille qu’elle n’avait pas de culotte.
Un soir, alors que nous regardions un film – un vieux western – tous les trois dans le salon, elle avait posé une couverture sur ses genoux. J’en profitai pour lui caresser le sexe pendant quasiment toute la durée du film pendant que Thierry était absorbé par l’action qui animait l’écran. Autant dire que quand ce dernier déclara qu’il était éreinté et qu’il proposa à ma sœur de venir se coucher avec lui, elle lui dit n’être pas encore fatiguée. Une fois ce gêneur parti, elle me procura une de ses plus belles fellations.
Parfois, elle se levait en pleine nuit pour me rejoindre dans ma chambre et me réveillait en me suçant.
— Tu ne devrais pas être là, lui dis-je une fois.— Je sais, mais j’avais une grosse envie d’avaler un peu de sperme.— Tu as un copain : tu aurais pu te servir sur lui.— Ouais, mais ton sperme est meilleur et bien plus abondant. Et puis, tout comme je réserve à Thierry ma chatte, je te réserve ma bouche.
J’ignore encore comment Thierry fit pour ne pas se rendre compte de ce qu’il se passait sous son nez. Entre les caresses sous la table ou les chahutages qui permettaient aux mains de s’égarer sur le corps de l’autre dans la piscine l’été, il ne vit rien. Pour ma part, j’étais toujours partagé entre honte et fierté. Je me sentais horrible de profiter de la copine d’un autre. J’aurais détesté être à sa place. Je comprenais ce qu’il aurait ressenti s’il avait su. Après tout, il me l’avait bien volée, lui ! Ici, la situation était légèrement différente ; mais tout de même, la trahison était très similaire. Et puis, il faut dire que j’avais fini par l’apprécier. J’étais maintenant habitué à sa présence. Il faisait presque partie de la famille, vu le temps qu’il passait chez nous. En même temps, j’étais heureux de profiter de ma sœur sous son nez. C’était lui le dindon de la farce.
Je crois que le meilleur souvenir que j’ai de cette période fut ce qui se passa durant les grandes vacances. Charlotte et Thierry avait décidé d’aller faire du camping. Comme je n’avais rien de prévu, ma sœur m’avait proposé de les accompagner. Cela n’avait pas eu l’air de plaire à Thierry, mais comme bien souvent quand ma sœur avait décidé quelque chose, il n’avait rien d’autre à faire que faire semblant d’être d’accord. Elle arrivait parfaitement à lui imposer n’importe quel caprice, ce qui était fort utile pour nos petits jeux. N’ayant pas de tente à moi, je devais forcément partager la leur. J’avais parfaitement saisi les véritables intentions que cachait ma sœur derrière ce voyage, et c’est pourquoi j’hésitais à les accompagner ; mais la tentation se révéla trop forte.
Nous n’étions pas plutôt couchés que Charlotte se colla et se frotta discrètement à moi. Je ne mis pas longtemps à venir la peloter : d’abord ses seins que je malaxai bien, puis son joli petit cul. Je remontai sa nuisette et je commençai à la doigter ; elle était trempée. Visiblement, se faire peloter par son frère alors que son mec sombrait dans le sommeil juste à côté lui faisait beaucoup d’effet. Elle libéra mon sexe et nous nous frottâmes l’un à l’autre doucement pour ne pas éveiller les soupçons pendant de longues minutes. Je crois qu’elle était prête ce soir-là à me laisser la baiser. Si j’avais essayé de chercher à la pénétrer, elle se serait laissée probablement faire. Quoi qu’il en soit, je n’osai pas car cela aurait sûrement alerté Thierry. Ce n’est que quand nous entendîmes clairement ce dernier ronfler que Charlotte se décida à me sucer. Quel plaisir de me faire sucer par ma sœur tandis que Thierry dormait ! Le risque de le réveiller et de nous faire surprendre ajoutait du piment. C’est pourquoi je ne fus pas long à jouir dans la bouche de Charlotte, qui avala tout. Nous recommençâmes l’opération deux fois cette nuit-là, et moi je fis jouir Charlotte en me servant de mes doigts.
Il serait faux de dire que je regrette cette période ; j’y pris bien trop de plaisir. Je profitais à fond des peu de fois où je voyais ma sœur. Même si nous ne trouvions aucun moment pour nous soulager, s’amuser à exciter l’autre dans le dos de Thierry était un jeu des plus grisants. Je me contentais du peu qu’offrait cette situation sans m’en plaindre ni même en désirer plus, bien heureux d’avoir pu retrouver ma sœur. Voilà la dynamique qui anima notre relation durant cette période jusqu’au réveillon de Noël suivant où Thierry allait nous faire à tous une énorme surprise qui allait modifier les choses.
Au moment de cette soirée, Charlotte venait d’avoir vingt-deux ans et galérait dans ses études d’art. Elle avait recommencé sa première année, et cela semblait déjà s’annoncer aussi catastrophique que lors de la précédente. Quant à moi, j’avais abandonné l’université et travaillais en intérim en attendant de pouvoir me décrocher un CDI.
Nous passions le réveillon chez mes parents ; Thierry était bien entendu avec nous. Nous avions préparé en famille le repas durant tout l’après-midi dans la bonne humeur. Charlotte me faisait du pied sous la table et n’arrêtait pas de me jeter des coups d’œil avides. Je la sentais surexcitée. Arrivés en début de soirée, nous partîmes chacun notre tour sous la douche afin de nous préparer ; d’abord mes parents, puis moi, suivi de Charlotte. Lorsque Thierry y était à son tour, j’avais fini de m’habiller et avais choisi un costume gris clair qui me donnait belle allure. J’étais assis devant mon bureau en train de préparer une liste de chansons sur mon ordinateur afin d’animer le réveillon lorsque Charlotte fit son apparition, vêtue d’une courte robe rouge et blanche de Mère Noël très sexy. Elle avait même le bonnet assorti et était chaussée de longues bottes noires à talons qui lui remontaient jusqu’en dessous des genoux. Une ceinture noire venait lui serrer la taille afin de mettre en valeur sa silhouette.

— Alors, ça te plaît ? fit-elle avec un sourire malicieux tout en refermant la porte derrière elle.— Ouah ! Tu es vraiment magnifique. Tu es venue m’aider pour la play-list ?— Officiellement, oui ! rit-elle. Officieusement, je suis venue déballer mon cadeau.— Petite gourmande, va ! souris-je. Normalement, ce n’est que demain qu’on ouvre les cadeaux.— Je sais, mais je n’ai jamais été très patiente, affirma-t-elle en avançant doucement à quatre pattes vers moi avec une allure féline.
Une fois à ma hauteur, elle remonta lentement ses mains le long de mes jambes et massa la bosse naissante de mon entrejambe. Alors qu’elle était prête à ouvrir mon pantalon, je lui chopai les mains.
— Hé, mais je veux mon gros sucre d’orge, protesta-t-elle.— As-tu bien été sage cette année, jeune fille ?— Oh non, lâcha-t-elle, complice, j’ai été une véritable salope et une très vilaine fille.— Dans ce cas, je devrais te punir.— Mais, rouspéta-t-elle faussement inquiète, pourrai-je quand même déguster mon sucre d’orge après ?— Rassure-toi ; je m’en voudrais de te priver de ce petit plaisir.— Merci, Monsieur. Dans ce cas, j’accepte d’être punie. Après tout, je le mérite. Que dois-je faire ?— Pose ton ventre sur mes cuisses et tends le cul.
Elle m’obéit, jouant le jeu. Je lui remontai sa petite robe et lui caressai ses deux magnifiques fesses dodues avant de lui asséner une petite claque qui la surprit. Nouvelle caresse suivie de peu d’une deuxième claque. Sa peau commençait déjà à rosir légèrement. J’enchaînai donc sur une série de tapes. Charlotte commençait à gémir de plus en plus fort. Je décidai de faire une pause, ce qui eut l’air de décevoir la punie, mais elle en profita pour reprendre son souffle.
Ma main caressa ses lèvres intimes qu’elle trouva bien humides : visiblement, la séance plaisait à Charlotte. C’était la première fois que l’on faisait ça, et je dois dire que je trouvais l’exercice excitant. Mes doigts s’engouffrèrent dans sa chatte trempée tandis que mon autre main se glissa dans son décolleté afin de lui palper son adorable poitrine. Charlotte écarta les cuisses pour me faciliter la fouille de son sexe, mais j’entamai une nouvelle série de claques, cette fois-ci de plus en plus fortes.
— Oh oui, punissez-moi, Monsieur, haleta-t-elle, je suis une très vilaine fille.
Je fis une petite pause pour lancer plusieurs musiques sur mon ordinateur afin que le son couvre notre activité ; j’eus ainsi tout le loisir d’augmenter la puissance de mes coups. Charlotte respirait de plus en plus bruyamment. Je la voyais retenir ses cris tout en se dandinant sur mes cuisses. Ses fesses devenaient de plus en plus rouges, et sa chatte dégoulinait de plaisir. Quant à moi, j’étais aussi de plus en plus excité. Je bandais comme un âne. Mon sexe me faisait un mal de chien. Il était temps de me soulager.
— Et voilà, jeune fille. Tu vas pouvoir déballer ton cadeau, maintenant.— Oh, chouette, mon sucre d’orge adoré !
En une seconde, Charlotte était à nouveau à genoux devant moi et libérait mon sexe qui jaillit en direction de ses lèvres affamées, prêt à se faire engloutir.Elle l’avait presque engouffré quand soudain quelqu’un frappa à la porte et nous fit sursauter.
— Chérie, c’est moi, se fit entendre la voix de Thierry. Vous avez besoin d’aide ici ?
Elle paniqua un instant, prête à se précipiter sur la porte, mais je la retins et d’une main la forçai à prendre mon sexe en bouche.
— Non, ne t’inquiète pas. On gère, répondis-je tandis qu’enfin Charlotte commençait à me sucer. Va plutôt aider nos parents à mettre la table. Là, nous sommes assez de deux.
Une minute plus tard, Charlotte se déchaînait comme une furie à me pomper la bite. Nous n’étions pas passés très loin de nous faire surprendre. Heureusement que Thierry n’était pas entré sans frapper ! J’imagine le boxon que cela aurait mis à la soirée si ça avait été le cas... Mais le danger était passé et Charlotte m’offrait une très belle fellation tandis que, afin de ne pas perdre de temps, je m’efforçais de compléter la play-list pour la soirée. Mettre trop de temps à la préparer aurait pu paraître suspect, même si je doute que nos proches aient pu soupçonner un seul instant notre secret. Je cherchais, triais et sélectionnais tandis que Charlotte suçotait, léchait et pompait : c’est ce qu’on peut appeler un parfait travail d’équipe.
Sa bouche était une vraie merveille ; elle était capable de faire découvrir des sensations incroyables et inconnues. Malgré toutes les fois où elle m’avait sucé, Charlotte parvenait encore à me surprendre d’un coup de langue habile. J’avais de plus en plus de mal à me concentrer sur les musiques. Mon attention était déviée vers une certaine partie de mon anatomie à la chair gorgée de sang. Le plaisir était de plus en plus intense. Je m’approchais de la jouissance. Comme d’habitude, ma sœur l’avait vue venir et accéléra la cadence pour me pousser au bord du gouffre. J’explosai dans sa bouche et elle avala jusqu’à la dernière goutte en arborant un sourire fier. Charlotte prit ensuite un de ses habituels bonbons à la menthe afin de couvrir son haleine, puis nous terminâmes la play-list avant de rejoindre les autres en bas.
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