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Djalil, un amour de jeunesse

Chapitre 2

Le défi de la pipe

Hétéro
J’étais parvenue à me rapprocher de Djalil de manière fulgurante, et au-delà de mes espérances ; à chaque instant de la journée, je ne pensais plus qu’à cette expérience dans la camionnette. Je n’étais pas déçue, au contraire, et maintenant, j’en voulais encore plus, je voulais pérenniser cette relation, qu’elle ne soit pas juste un coup d’un jour, j’avais l’espoir que ça dure encore après ces vacances passées chez mes grands-parents.
Sur le trajet retour du déménagement, nous ne nous étions pas adressé un mot. Mon père et mon oncle étant avec nous deux dans le SUV, ce n’était de toute manière pas le moment pour parler de ce qu’on avait fait ; mais une fois rentrés à la maison, du déjeuner au dîner, nous ne nous étions quasiment pas parlé, et même à table, il était plus réservé que d’habitude. Le soir, prétextant la fatigue, il partit se coucher tôt en me laissant seule avec moi même.
Ce soir là, couchée dans mon lit, les papillons dans mon ventre étaient déjà revenus en force. J’étais en plein doute et je ne pouvais pas fermer l’œil, tant de questions trottaient dans ma tête. Est-ce que c’est du sérieux avec lui ou pas ? Est-ce qu’il va bien vouloir entamer une relation ou pense-t-il qu’on a fait une bêtise à ne pas reproduire ? Pourquoi ai-je l’impression qu’il m’évite depuis ce qu’on a fait ? Il me fallait une sérieuse discussion avec lui.
Le lendemain au cours d’une balade en forêt, j’ai pu m’isoler avec lui, nous marchions tous les deux à la même hauteur sur un chemin, je pouvais enfin avoir la discussion que j’attendais.

Au détour d’une banalité, je prends mon courage à deux mains et lui demande:
— Ce qu’on a fait hier, c’était bien, non ?— Ouais, mais..., répond-il hésitant.— Mais quoi ?— Mais si tes parents ou ton oncle l’apprenaient ? C’est chaud pour moi. Je crois que je risque vraiment de perdre mon taf là... Toi, tu crois qu’il réagirait comment, s’il savait, ton père ?— Je sais pas... Tu crois qu’il réagirait mal ?— Je crois ouais, et j’ai pas envie de prendre le risque, t’as vu ?
Un blanc s’installe dans la conversation, je prends conscience qu’une relation avec lui est loin d’être gagnée, je le relance avant qu’il ne change de sujet:
— Au pire, on peut continuer en cachette, on a le droit de s’amuser, c’est les vacances non ?— Ouais... ouais on pourrait... mais c’est chaud... je sais pas. Continue-t-il d’hésiter.— Moi j’en ai envie. Lui dis-je à cœur ouvert.— Ah t’as kiffé hein !— Oui.
— Écoute... il commence à y avoir du monde à la maison et on va être nombreux jusqu’au mariage de ton cousin, et je veux pas qu’on nous grille ; on a qu’à attendre deux ou trois jours qu’ils soient tous repartis, et on verra, OK ?— D’accord, je réponds, pleine d’espoirs.

Mon cousin devant se marier deux jours plus tard, au fil du temps, la maison se remplissait jusqu’à devenir pleine à craquer.La nuit après la cérémonie du mariage, des gens dormaient jusque dans les canapés du salon, ils ont même installé une tente dehors pour les enfants, un camping-car sur le parking, et chacun a dû partager sa chambre, moi c’était avec deux cousines.
Au lendemain du mariage, les gens avaient la gueule de bois, mais souhaitaient tous repartir au plus vite. Ils voulaient éviter de vivre les uns sur les autres et fuyaient aussi l’absence de connexion Internet et la mauvaise réception des téléphones portables à cause de la géographie très vallonnée. Certains repartaient pour passer leurs vacances sur la côte au bord de la mer, ou je ne sais où à l’étranger, moi j’allais encore rester ici pendant au moins une semaine.
Comme souvent cet après-midi-là, les dernières convives se prélassaient au bord de la piscine. Il y avait encore quelques gens, et quand je ne lisais pas, je les observais se baigner, cachée derrière mes lunettes de soleil. Djalil avait pris Sixtine sur ses épaules et jouait dans l’eau à faire des joutes contre un autre couple ; je le voyais la tenir par ses cuisses qu’elle serrait autour de son cou, lorsqu’elle tombait dans l’eau, il la rattrapait par les fesses et elle venait frotter sa poitrine contre lui avec enthousiasme. De voir ces scènes, j’avais mal au cœur, le ventre noué, j’étais jalouse et je fulminais en silence sur ma chaise longue.
Le jour d’après, prenant mon petit-déjeuner sur la terrasse, je constatais le calme qui régnait enfin à nouveau, tout le monde était reparti ; même mes grands-parents nous ont laissé leur maison pour passer des vacances ailleurs. Et même Sixtine et son père se sont levés plus tôt pour rentrer chez eux et ne doivent revenir que le lendemain matin.Il ne restait plus que mes parents, Djalil et moi ; c’était la journée idéale que j’attendais pour aller plus loin avec lui.

Ce matin, Djalil doit faire quelques travaux dans le garage avec l’aide de mon père, et sous sa supervision. Puisque tout le monde vaque à ses occupations et que je n’ai rien d’autre à faire, je vais lire dans ma chambre. Après un ou deux chapitres de mon livre, j’entends crier dehors ; mon père et Djalil s’engueulent, je ne comprends pas l’objet de la discorde, mais je ne suis pas étonnée, Djalil a un caractère assez difficile, mais je crois que mon père est habitué à le gérer.Les cris cessent rapidement, puis j’entends quelqu’un rentrer dans la maison, il se déchausse bruyamment dans l’entrée, traverse le salon, monte l’escalier puis file jusqu’au bout du couloir, j’entends une porte qui claque ; c’est Djalil qui est parti s’isoler dans sa chambre. J’attends un moment puis décide d’aller le voir pour savoir ce qu’il s’est passé.
Arrivée devant sa porte, je frappe et j’entre.
— Wesh, me dit-il.
Il est en train de vider l’armoire et de remplir sa valise posée sur son lit, il y range ses vêtements n’importe comment.
— Mais qu’est-ce que tu fais ?— Je me casse.— Mais pourquoi, qu’est-ce qui s’est passé ?— C’est ton père là, il est jamais content, il me casse les couilles avec ses travaux, j’suis en vacances et faut quand même qu’il vienne saouler, on est pas au taf là putain !— Et tu comptes partir comment, tu vas lui demander sa voiture ?— Nan, à pieds.— Ne sois pas bête, la gare n’est pas à côté, tu vas appeler un taxi ? Je ne sais même pas s’ils viennent jusqu’ici. Tu devrais te calmer.
Je m’assois sur son lit près de sa valise.
— Pfffff, souffle-t-il, les mains posées sur ses hanches et le visage tourné vers le plafond.— Tu veux qu’on fasse un truc ? Je lui demande bêtement, en pensant regarder un film à la télé ou partir en balade avec lui.— Quoi qu’est-ce tu veux qu’on fasse, tu veux que j’te baise ? S’agace-t-il.— Chuuut... doucement ! lui dis-je, de peur qu’on l’entende.— C’est bon y a plus personne dans la maison.
Un ange passe...
— Ça ne me déplairait pas..., que j’ajoute, optimiste.— J’ai plus de capotes. Dit-il, laconique.— Je prends la pilule... Mais tu n’as pas de maladies ?— Non, je suis clean.— Tu es sûr hein ?— Ouais.
Il cesse de vider son armoire et repose quelques vêtements sur une des étagères. Il a visiblement abandonné l’idée de partir, j’ai dû réussir à l’apaiser ; en tout cas, il m’écoute, c’est donc que je compte pour lui.Il retire sa valise du lit en la posant dans un coin de la chambre, puis s’assoit juste à côté de moi. Nous discutons tout bas, je continue de le calmer, nous sommes chacun appuyés sur un coude en face à face. Puis il m’embrasse, généreusement, j’ouvre ma bouche et accueille sa langue avec la mienne, elle est tellement bienvenue. J’éprouve un profond soulagement.Après un long échange de salive, il se met en retrait et me dit:
— J’ai trop envie que tu me suces là, je suis trop en tension.
Je me mets à rire, un peu gênée, ne sachant pas vraiment s’il est sérieux, mais il insiste.
— Allez Anne-Laure, j’ai vraiment trop envie, je suis sûr que tu sais faire.
La fellation, je trouvais ça dégoûtant sur la forme ; et dégradant pour qui la pratique.Auparavant, n’importe qui d’autre qui m’aurait demandé ça de cette façon, j’aurai refusé catégoriquement et je l’aurai même mal pris ; mais pour le coup, venant de lui, c’était très spontané et naturel, son besoin me paraissait normal après tout, et j’étais même vraiment heureuse qu’il m’avoue son désir si ouvertement.
Ça faisait quatre jours que nous avions eu ce rapport dans la camionnette, quatre jours que nous vivions ensemble sans pouvoir échanger autre chose que quelques mots. En fin de compte, j’avais vraiment envie de le sucer, et une telle envie était pour moi une première. Je voulais lui faire plaisir, et tenter de calmer ma passion pour lui. Et je voulais aussi m’affirmer, me sentant toujours en compétition avec Sixtine, bien qu’il n’y ait visiblement rien entre eux. Je voulais que Djalil me touche comme il l’avait touchée, elle, dans la piscine, je le voulais pour moi toute seule, et pour ça, j’étais prête à tout.
Après quelques secondes passées, mes yeux dans les siens à jauger son degré de sérieux, je l’embrasse à pleine bouche et prends l’initiative de caresser son bas-ventre ; je sens sous mes doigts qu’il est déjà chaud. Djalil s’allonge sur son lit, je me positionne entre ses jambes, je baisse son survêtement, puis son boxer, et se révèlent doucement sa queue à demi excitée et ses bourses toujours si volumineuses. L’élastique du boxer vient se caler juste en dessous et rehausse son organe, la tête posée sur son oreiller, il m’observe le caresser. J’ai envie de faire de mon mieux, mais je ne suis pas douée pour ça, je n’ai quasi jamais sucé par le passé, seulement mon ex-copain, une paire de fois ; n’ayant pas aimé, je n’avais jamais recommencé. Aujourd’hui, je dois improviser.
— Retire ton haut. M’ordonne-t-il soudain.— Et si quelqu’un entre ? Je lui rétorque bêtement avec l’inquiétude réelle d’être prise sur le fait.
Il lève les yeux en l’air.Je lui dévoile alors ma poitrine à nouveau, en déboutonnant mon chemisier jusqu’en bas, puis je le retire. A genoux, penchée entre ses jambes, je caresse ses boules d’une main et son sexe de l’autre ; au fil des minutes, il devient très dur, son gros gland est redevenu rouge vif comme la dernière fois. Ma main passe à de multiples reprises tout le long de sa queue bronzée, de son gland sort une goutte translucide, j’ai envie d’y goûter ; j’y trempe le bout de ma langue, le goût n’est pas du tout désagréable, c’est même bon en fin de compte, curieuse, je lape le trou de cette poire pour trouver plus de sève salée, mais il n’y en a pas assez. J’ouvre ma bouche en grand, engloutis son gland et referme mes lèvres autour, avec ma langue, je le caresse, c’est chaud et doux. Tout en massant délicatement ses boules, je passe toujours ma main de haut en bas en espérant pomper plus de sève jusqu’à ma langue. Je salive beaucoup et ne sachant quoi faire de ce surplus, j’avale régulièrement.
Je jette un œil vers Djalil, il a fermé les yeux, j’espère qu’il ne va pas s’endormir...
Après de longues minutes, mes bras commencent à fatiguer, la position n’est pas optimale, je teste alors d’autres façons de le sucer. J’aspire son gros gland avec mes joues. Je lèche doucement tout le long de sa queue. J’avale son sexe en va-et-vient jusqu’à ma glotte et le caresse au passage entre ma langue et mon palais...L’extrémité brûlante qui envahit ma bouche m’excite, j’ai furieusement envie de me toucher sous ma jupe, mais je n’ose pas, je préfère me concentrer sur ma tâche, je veux lui donner du plaisir. Peut-être que si je fais les choses bien, à l’avenir, il viendra de lui même plus facilement vers moi.
Après un bon quart d’heure d’efforts, je me redresse sur mes genoux pour étirer mon dos, Djalil ouvre les yeux, je le caresse toujours lorsqu’il tend son bras vers la table de chevet, il y prend son paquet de cigarettes et son briquet.
— Viens, me dit-il en repliant ses jambes.
Je le lâche, il sort de son lit du côté de la fenêtre, il l’ouvre, ramène un cendrier vers lui et s’accoude au rebord. Je le suis comme une petite chienne et viens m’agenouiller devant lui sur la moquette, il sort une cigarette de son paquet, je baisse son survêtement et son boxer jusqu’à ses genoux. Lestée par ses boules, sa queue raide et énervée pointe soudain vers mon visage, il fait cliquer son briquet et allume sa cigarette, je prends sa queue entre mes mains et frotte son gland contre ma poitrine.
Ça attire son attention, il m’observe faire, il prend une bouffée de sa cigarette, je passe son gland sur chacun de mes tétons, je capture ensuite fermement son sexe de tout son long entre mes seins et le fait coulisser. Je relève la tête et plonge mes yeux dans les siens.
— Putainnn...! s’exclame-t-il doucement, en recrachant sa fumée, visiblement satisfait de mon initiative.
Je lui fais un sourire, Djalil fléchit légèrement les genoux pour se mettre plus à ma hauteur, il se penche au-dessus de moi et fait couler de sa bouche de la salive, elle atterrit sur ma poitrine en m’éclaboussant le cou puis coule entre mes seins. La lubrification me permet d’accélérer le rythme, les frottements contre ma poitrine me donnent chaud, je mouille terriblement dans ma culotte, j’ai envie qu’il me prenne. Par la fenêtre, Djalil regarde à l’horizon, d’ici la vue sur la vallée et la colline en face est toujours grandiose. J’entends un bruit métallique qui provient du jardin, quelqu’un commence à utiliser le barbecue.
Je garde sa queue piégée entre mes seins pour lécher le liquide qui sort à son extrémité, je le goûte avec gourmandise lorsque j’entends subitement une voix familière:
— Alors ?
C’est la voix de mon père, elle provient du jardin, il a dû voir Djalil à la fenêtre et l’interpelle. Mon cœur s’emballe, je relâche ma poitrine, m’agrippe à sa queue et y reste suspendue, l’oreille tendue. Djalil regarde vers le jardin.
— C’est bon, t’es calmé ? Lui demande clairement mon père.
Il doit être en train de préparer le barbecue, je me souviens que depuis le jardin, on ne peut rien voir au-dessous des épaules de quelqu’un se tenant à cette fenêtre. Je suis rassurée et reprends dans ma bouche sa verge tendue pour ne pas laisser retomber l’excitation, je suce Djalil avec une vigueur redoublée ; à ce moment-là, je veux réussir à le détendre, et aussi je veux qu’il jouisse dans ma bouche. Personne n’a jamais éjaculé dans ma bouche, et c’est avec lui que je veux essayer.
— Ouais, je suis calmé. Répond-il de manière conciliante à mon père, tout en me regardant à nouveau droit dans les yeux.
Il passe sa main dans mes cheveux et en attrape une grosse poignée derrière mon crâne, pour me guider.
— Ça sert à rien de se mettre dans ces états hein ? Ajoute mon père.
Tout en me tenant par les cheveux, Djalil pénètre doucement jusqu’au fond de ma gorge dans un mouvement de bassin.
— Ouais... Répond-il nonchalamment à mon père.
Il va et vient désormais et bute au fond de ma gorge, je deviens toute rouge, manquant soudain de m’étouffer avec ma salive, je me retire en catastrophe pour reprendre mon souffle.Je repars à l’assaut de son mât, l’attrape à deux mains et le suce comme jamais je n’aurais cru pouvoir le faire, Djalil m’accompagne sur ses jambes fléchies, me tenant toujours fermement par les cheveux. Je veux en finir.
— Tu viens finir ce qu’on a commencé ? Ou alors tu viens juste ranger et on finira plus tard ? Demande mon père.
Djalil se retire et prend sa queue entre ses doigts, il se masturbe devant mon visage, j’ouvre la bouche, il y fait entrer son gland, je le lape alors qu’il tapote comme un vibreur entre mes lèvres.
— J’arrive, je finis juste ma clope ! annonce-t-il à mon père.
Le coude posé sur le rebord de la fenêtre et tenant sa cigarette en l’air entre ses doigts, il se concentre sur sa queue entre mes lèvres, je ne peux plus distinguer les mouvements de sa main, tellement elle astique frénétiquement. Je ne peux m’empêcher de passer mes doigts entre mes cuisses, je suis trempée...
— Elle est en haut Anne-Laure ?— Je crois qu’elle est dans sa chambre.— Avant de redescendre, dis-lui qu’elle a reçu du courrier.
Djalil stoppe sa main d’un coup, il respire très fort, j’agrippe ses fesses, elles se serrent sous mes doigts, il entre un peu plus dans ma bouche, je referme mes lèvres et cale son gland contre ma langue ; je m’attends à ce qu’il me délivre son plaisir avec le soulagement du devoir accompli. Une première petite salve gicle, elle se mélange à ma salive que j’aspire au fond de ma gorge et je l’avale sans hésitation.
Raaahh ! grogne-t-il doucement au-dessus de moi.Une seconde salve plus importante remplit ma bouche, c’est chaud, je n’ai pas le temps de l’avaler qu’une troisième arrive, ma bouche est remplie de jouissance. Son visage se crispe sous mes yeux, il se courbe vers moi et râle tout bas à plusieurs reprises.
Haaaa, haaan, haaaa, haaaa... hnnn !Qu’est-ce qui se passe ? Demande ma mère, qui arrive dehors sur la terrasse.J’ai tellement de semence dans ma bouche que le trop-plein s’écoule au coin de mes lèvres et jusque dans mon cou.Oh rien de grave !... T’en fais donc pas ! Répond mon père à ma mère.J’avale le flot de sperme qui ne s’est pas échappé, je continue d’aspirer son gland, j’en veux encore plus ; entièrement dévouée à la tâche, je ne suis même pas dégoûtée. Djalil lâche sa queue, elle s’écoule encore un peu sur ma langue à chaque sursaut, je continue de la lui sucer avec dévotion, il reprend une bouffée de sa cigarette avant de la reposer fébrilement dans son cendrier. Je l’accompagne sur mes genoux alors qu’il s’assoit sur le bord du lit, les jambes écartées. Il soupire profondément plusieurs fois, son visage finalement détendu.
— Putain... t’es une bonne suceuse hein ? me chuchote-t-il.
J’aspire une dernière fois puis libère son gland, sa queue part cogner contre son ventre, elle convulse encore à intervalle régulier.
— Tu as aimé ? lui dis-je doucement en souriant.— A fond... wow...
Il tombe sur le dos sur son lit, je m’essuie avec ma jupe et m’allonge de côté face à lui, je prends sa main et la coince entre mes cuisses contre ma culotte mouillée, il me regarde et me dit:
— Pas maintenant, je dois aller ranger le bordel au garage ; plus tard.
Contrariée, je souffle à mon tour et tombe sur le dos à côté de lui. Il se redresse, bascule au-dessus de moi et se met à caresser ma poitrine, il suce mes tétons un par un ; puis se lève, se rhabille et s’en va.
Je suis restée allongée sur son lit pendant quelques minutes ; j’étais frustrée, mais aussi, et paradoxalement, satisfaite. J’avais réussi ce que j’avais pris comme un défi, et j’étais heureuse de lui avoir fait plaisir ; mais d’un autre côté, il me laissait seule avec une envie brûlante.
En me changeant dans ma chambre, je me demandais comment j’avais pu être capable de le sucer et de tout avaler ; d’habitude, rien que d’y penser ça me dégoûtait, mais cette fois-ci, j’ai aimé, ça m’a même excitée comme rarement je l’ai été. Je réalisais que s’il me le demandait à nouveau, je le referais sans doute volontiers.
En y réfléchissant, j’avais le sentiment déstabilisant d’avoir eu un comportement déviant, j’étais pervertie, j’aurais dit de n’importe quelle autre fille qui aurait fait ce que je venais de faire, que c’est une salope. Est-ce que Djalil me considérait comme telle ? En tout cas, j’avançais en zone inconnue, et j’aimais ça avec passion.
A suivre...
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