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La djellaba blanche

Chapitre 1

Gay
Je n’arrivais pas à y croire. Dans quelques minutes, Bilal serait là. Avec moi. Rien que pour moi. Pour des retrouvailles tant attendues... et fantasmées ! Combien de fois, en effet, n’ai-je pas imaginé le moment que je m’apprête à vivre ? Combien de fois ne m’étais-je pas mis nu, sur mon lit, en fermant les yeux et en imaginant nos deux corps en fusion charnelle ! Combien de fois ne m’étais-je pas masturbé frénétiquement en retardant au maximum l’éjaculation que je lui dédiais aussitôt.
J’avais rencontré Bilal, deux mois auparavant, au Club Med, à Marrakech. Il y était GO depuis 3 ans. D’emblée, j’avais été fasciné par sa beauté, son corps tout bronzé, ses longues jambes finement musclées, la souplesse de ses mouvements, son sourire irradiant et son indescriptible joie de vivre.
C’est simple, il était pour moi l’expression même du désir. Pour autant, ce désir restait purement intérieur. Parce que j’étais ce que l’on appelle un senior. Parce que sa beauté m’intimidait. Parce que la différence d’âge ne m’incitait pas à me montrer audacieux. Pour tout dire, j’avais peur d’un refus à toute avance de ma part. Ce n’est que le dernier soir du séjour que s’est présentée l’occasion de l’aborder. Avec les autres GO, Bilal venait d’animer la traditionnelle soirée du dernier soir. Vêtu d’une djellaba blanche, je l’avais trouvé fascinant, son teint bronzé, ses cheveux noirs d’encre et la blancheur de sa djellaba étant amplifiés par les éclairages fluo multicolores de la salle de spectacle.
Au bar, il était, par hasard, venu s’asseoir à côté de moi.
— Avec ta djellaba blanche, tu étais superbe... et très excitant, me suis-je entendu lui dire.— Ah, je vois, me dit-il, avec un regard malicieux. Offre-moi un verre et faisons plus ample connaissance dans l’un des fauteuils au salon.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Nous avons donc fait connaissance, allant très vite très loin dans les confidences au fur et à mesure que la nuit avançait et que l’effet de la boisson - vive les mojitos !- faisait progressivement son œuvre. Lorsque je lui ai demandé s’il avait une copine, il a souri.
— A vrai dire, je suis plutôt branché « mecs », me répondit-il. — Et ton genre de mec, c’est plutôt quoi ? Surpris ? — Ben, à vrai dire, je kiffe plutôt les seniors. Ils laissent plus de place à la sensualité, ils ont l’expérience, savent prendre le temps. Et puis, ils respectent généralement leur partenaire plus que les mecs de mon âge qui cherchent surtout à tirer un coup vite fait bien fait.
Là, pour le coup, il était difficile d’aller plus loin, car le départ était fixé à 8 heures du matin. Et l’on approchait de 4 heures du matin !
L’air de ne pas y toucher, je lui ai demandé si, dans le cadre de ses activités avec le Club, il était parfois de passage à Paris.
— Justement, début octobre, j’ai un stage de 3 jours à Paris, me répondit aussitôt Bilal.— OK, lui ai-je dit, alors, si le cœur t’en dit, n’hésite pas à me faire signe. Voici mes coordonnées.
Lorsque, quelques semaines plus tard, j’ai reçu un mail de sa part. Il confirmait son passage à Paris, mais aussi le fait qu’il ne serait libre qu’un seul soir. Je lui ai aussitôt répondu :
Que voilà une bonne nouvelle ! Je ne peux pas te recevoir chez moi, mais, si tu en as (autant) envie (que moi), je me charge de réserver une chambre d’hôtel... pour passer la nuit ensemble.Un peu surpris par mon culot, j’ai hésité à lui envoyer le mail tel quel, pour finalement le faire. Après tout, qui n’ose rien ne doit rien espérer. Sa réponse ne s’est pas fait attendre : 20 émoticônes avec le pouce levé !!!!Je n’en espérais pas tant et, en tout cas, pas une réponse aussi manifestement enthousiaste... et clairement dépourvue d’ambiguïté.
La chambre d’hôtel que j’ai réservée était belle et spacieuse, avec vue, au loin, sur la Tour Eiffel et les toits de Paris. Je voulais marquer l’événement. Lorsqu’il s’est annoncé à l’accueil, je me suis dit en moi-même « Incroyable, nous y voilà donc ! » et j’ai entrouvert la porte pour qu’il se sente attendu. J’étais pieds nus, revêtu d’un jean bleu classique et d’un T-shirt blanc. La lumière de fin d’après-midi éclairait subtilement la pièce.
Et voilà Bilal qui entre ! Avec son abondante tignasse noire et ses cheveux bouclés. Avec son sourire lumineux et ses yeux marron étincelants.
Avec toute sa classe naturelle !
D’emblée, comme à Marrakech, la magie opère. Sans hésiter, je l’embrasse et prends sa tête entre mes mains pour bien le regarder. Son sourire, sa bonne humeur sont contagieux. Il me dit qu’il aimerait passer à la salle de bain pour rapidement se doucher et se mettre à l’aise. En l’attendant, m’assieds sur le large divan à deux places qui se situe face au grand lit à deux places. Je me sens tout chaud, ouvre bien grand le col de mon t-shirt et respire bien fort. Je sens mon coiffeur palpiter dans ma poitrine. La chaleur, déjà, me monte au visage. Le bruit de l’eau, dans la douche, vient de s’arrêter. La porte de la salle de bain s’ouvre...
O surprise, Bilal apparaît pieds nus, drapé dans une superbe djellaba blanche, bien ajustée à son corps svelte et superbement proportionné. Une djellaba identique à celle qui m’avait tant fait fantasmer à Marrakech... Non pas la djellaba en elle-même mais ce qu’il y avait à découvrir en-dessous...
Souriant, très à l’aise, bien dans son corps, Bilal vient vers moi. Tout naturellement, il s’assoit sur mes genoux, la tête posée sur l’accoudoir du divan, les fesses blotties déposées sur mes cuisses, les jambes légèrement écartées sous sa djellaba.
Sous le tissu blanc presque transparent de sa djellaba apparaissent l’ombre de son corps tout bronzé et la forme d’un sexe apparemment déjà bien monté en température. Il s’offre à moi le plus naturellement du monde. Je n’en reviens pas. Il me regarde intensément, le sourire en coin, indéniablement conscient de l’effet qu’il provoque sur moi..., ce qui, chez moi, se traduit par une érection difficilement contrôlable.
Pendant qu’il me raconte les derniers épisodes de sa vie depuis notre rencontre à Marrakech, son rêve de partir à Dubaï, je caresse de la main son visage, parcourant tour à tour le contour de ses lèvres, de sa bouche, de ses yeux, de son front. Je laisse mes doigts vagabonder dans son abondante chevelure noire bouclée. J’ai tellement attendu ce moment... De la main gauche, je relève doucement le bas de sa djellaba, libérant ainsi l’accès tactile à son corps déjà tout chaud, ses tétons fermes et bien dressés, ses pectoraux impeccablement sculptés, son nombril bien dessiné...
Au moment où je vais poursuivre plus bas mon exploration, il se retourne d’un seul mouvement, et se couche à plat ventre sur mes genoux, offrant son dos, ses fesses, l’intérieur de ses cuisses à mes caresses. Je relève complètement sa djellaba, la fais glisser par-dessus sa tête et le voilà complètement nu. Offert... A mon tour, j’enlève mon t-shirt et déboutonne le dessus de mon jean. La température monte décidément fort. Et vite...
Je malaxe et embrasse ses fesses avec concupiscence, et prends ensuite le temps de caresser l’intérieur du haut de ses cuisses qu’il prend docilement soin d’écarter légèrement pour me donner accès à son entrejambe.
— Donne-moi la fessée, s’il te plaît, me dit-il alors. J’adore cela.
D’abord surpris, j’obtempère aussitôt à ses souhaits. Voir ses fesses, ainsi offertes, se contracter à chaque épisode de la fessée que, tendrement, je lui applique décuple mon excitation. Je veille à imprimer un certain rythme à cette partition pour le moins inédite, poursuivant l’exercice jusqu’à ce qu’une subtile coloration rouge apparaisse sur ses fesses.
D’un mouvement souple, Bilal se positionne à présent à genoux devant moi, la tête entre mes jambes, baissant à fond la tirette de mon jean, avant de me l’ôter d’une main experte. Nous voici tous les deux nus à présent. Sans préambule, il saisit mon sexe et l’introduit dans sa bouche. Chaude et humide. Jusqu’au fond de sa gorge. Je suis surpris par l’avidité avec laquelle il me suce. Sans préliminaire... et avec le risque de me faire éjaculer trop vite. Sans doute s’en rend-il compte, car, de lui-même, il décide de ralentir le mouvement, extrait de sa bouche mon sexe dur et gonflé à bloc, et entreprend de me caresser lentement, avec deux doigts, le gland, le frein, la hampe, sans oublier les deux balloches qu’il prend en bouche avec gourmandise, alternativement, l’une après l’autre, pendant de longues minutes. Son savoir-faire m’époustoufle et je décide, tout simplement, de le laisser faire.
— On va sur le lit ? me demande-t-il en plantant ses yeux dans les miens.
Sans attendre ma réponse, car sa question était plus directive qu’interrogative, il me prend par la main et me demande de m’allonger sur le ventre.
— As-tu déjà expérimenté le massage tantrique ? me demande-t-il ?—......— Je vais t’initier. Tu n’as qu’une chose à faire : te détendre complètement, te laisser faire et écouter tes envies...
Il enduit nos deux corps de l’huile de massage qu’avec des préservatifs j’avais déposés sur la table de nuit. Il les avait d’emblée repérés lorsqu’il était entré dans la chambre...
Commence alors, sous sa conduite avisée, une expérience sensuelle et sensorielle inouïe. Pendant près de deux heures, dans toutes les positions imaginables, avec toutes les parties de son corps, tantôt tendrement, tantôt avec fougue, il va électriser mon corps par son toucher, ses caresses, ses intrusions. Sur le ventre, d’abord, sur le dos ensuite. Au bout de ce voyage, mon corps n’a plus aucun secret pour lui. Il en a touché et découvert tous les recoins, y compris les plus intimes. Et vice versa... Car le massage tantrique encourage explicitement les partenaires à se toucher mutuellement, tout partout, mais toujours dans le respect et sauf accord préalable, sans aller jusqu’à la pénétration. Avec fièvre, nous nous abandonnons l’un comme l’autre aux délices de ces corps à corps endiablés. Sans débander un instant !
Alors que je me demande comment tout cela va se terminer, Bilal, assis sur mon ventre, ses yeux dans mes yeux, me déclare :
— Benoît, j’ai envie de toi. J’ai envie de ta queue. J’ai envie de sentir ta queue longue et étroite me pénétrer. Jusqu’à tout au fond de mon corps...
Aussitôt dit, il se retourne, se met à genoux, la tête entre mes jambes, les genoux autour de mon bassin, m’offrant une vue imprenable sur ses fesses superbement dessinées et sur son petit trou tout dilaté qui s’ouvre et se ferme pour bien me faire comprendre ce que mon ami attend de moi.
— Donne-moi la main et laisse-moi te guider, murmure Bilal qui, aussitôt, saisit mon index et le dépose à l’entrée de sa chatte manifestement surchauffée.— Vas-y. Doigte-moi à fond. Prépare-moi bien le cul pour l’assaut final.
A vrai dire, je n’ai pas à pousser bien fort. Mon doigt entre en lui très facilement. Trop facilement. Je le ressors en douceur, pour aussitôt réintroduire, non pas un, mais trois doigts. Pour faciliter leur intromission, Bilal, décidément très collaborant, écarte les fesses au maximum et m’encourage de la voix.
— Vas-y. A fond... Plus profond..... Fais bien tourner tes doigts... Ouahh, c’est trop bon...... Encore plus loin... Allez..... Jusqu’à la prostate.
Il connaît le pouvoir excitant des mots salaces et se lâche sans retenue, cambrant les reins de plus en plus. Soudain, un râle lui échappe alors qu’il rythmait la séance de doigtage de mouvements de bassins de plus en plus amples et rapides.
— Je jouis du cul. Tu m’as fait jouir du cul, Benoît. C’est trop bon. Trop bon. Trop bon...
Sous l’effet de la décompression, ses sphincters se détendent. Je ressors mes trois doigts sans trop de difficultés.
— A mon tour, maintenant, de te faire jouir, dit Bilal, sans vraiment prendre le temps de reprendre sa respiration.
Il s’agenouille, sur le lit, devant moi, et entreprend de me branler dans les règles de l’art, alternant fellations et pompages masturbatoires, ralentissant le rythme quand il sentait qu’il le fallait, réaugmentant ensuite la pression jusqu’au seuil de la jouissance, et ainsi de suite jusqu’à l’explosion finale qu’il me demanda de diriger sur son visage et dans sa bouche.
Après plusieurs minutes de détente silencieuse, nus, côte à côte sur le lit, sa tête reposant sur mon épaule, sa main caressant mon sexe exténué et mes poils pubiens. Je ne me lassais pas de le regarder, nu, absolument désinhibé.
— Le moment n’est-il pas venu de prendre une douche à deux, me dit alors Bilal, de son œil toujours malicieux.
Exactement ce dont j’avais envie. Deux nouveaux fantasmes m’animaient à présent : me faire savonner sous la douche par ses mains expertes, puis - avec l’eau dégoulinant sur nos deux corps - m’agenouiller devant lui pour lui faire une fellation et l’amener à éjaculer.
Sous l’eau tiède de la douche, les jambes légèrement écartées, les bras tendus vers le haut, je lui ai donc demandé de me frotter. Et de me savonner abondamment...Recto verso...Je jouissais pleinement du plaisir de sentir ses grandes mains fines s’attarder à nouveau sur tous les endroits sensibles de mon corps. Comme c’est bon de se laisser palper, les couilles et l’entrejambe sous l’eau tiède de la douche ! Comme c’est bon de se laisser savonner, sous l’eau ruisselante, le dos, les hanches, les fesses et l’intérieur de celles-ci ! Comme c’est bon de se laisser prendre le sexe en mains par un autre homme et de le sentir gonfler entre ses doigts ! Puis, comme je l’avais fantasmé, je me suis agenouillé devant Bilal pour m’occuper de son sexe et de ses bourses encore dures et bien pleines. Sans surprise, il se laissa faire sans sourciller, prenant ma tête entre ses mains et appuyant de manière douce, mais continue, pour maintenir la pression.
Lécher lentement sa verge, le frein, le pourtour du gland, puis le gland lui-même, voir gonfler à vue d’œil la grande veine qui irriguait tout l’avant de sa verge, tout cela sous le jet d’eau tiède de la douche, me procurait une sensation intense.
Mes petits coups de langue de plus en plus rapides, et appuyés, à la base de son gland, et la prise en main de ses couilles, tout en caressant l’intérieur de son périnée avec le majeur de la main droite, ne firent pas attendre longtemps le moment d’une éjaculation somptueuse, accompagnée de multiples gémissements de contentement.
Cette fois épuisés l’un et l’autre, nous repartons vers le lit, ne tardant pas à nous endormir, persuadés que, plus tard dans la nuit, nos désirs reprendraient le dessus.
Mais lorsque je me suis réveillé quelques heures plus tard, il faisait déjà clair. Bilal n’était plus là. Il avait laissé un petit mot sur la table de nuit.
— Merci Benoît, c’était trop bon. En restant plus longtemps, j’aurais cassé la magie du moment que nous venons de vivre. C’est rare d’atteindre une telle intensité dans la fusion charnelle de deux corps. J’ai préféré en rester là. Ne m’en veux pas. Merci à toi. Bilal.
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