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Docteur Jekyll et Mister Love.

Chapitre 2

Le mouton se transforme en bouc lubrique.

Orgie / Partouze
Docteur Jekyll et Mister Love.
Le mouton se transforme en bouc lubrique.


Au retour de notre hôte, il nous retrouve toutes autour de la piscine et vient m’annoncer qu’il faudra encore au moins six jours avant de récupérer notre véhicule. Je lui assure qu’on fera contre mauvaise fortune bon cœur et lui demande de nous rejoindre dans l’eau.Quand il revient en maillot de bain, nous sommes toutes dans l’eau et il plonge nous rejoindre.C’est là qu’il se rend compte que nous sommes toutes complètement nues. Comment pouvait-il savoir aussi que nous avions choisi ce camping pour l’une de ses plages réservées au naturisme ?
Suite :Les filles minaudent entre elles en des poses et des gestes très subjectifs. Quand il se décide enfin à sortir de la piscine, une bosse impressionnante déforme le devant de son slip dont l’élastique est repoussé pour laisser entrevoir un gland mafflu.Mais contrairement à ce que j’aurais cru, il va s’étendre sur un transat et ferme les yeux.Nous sommes toutes le regard braqué sur son entrejambe. Il a une sacrée dose de maîtrise de soi, car nous assistons en quelques minutes à la décroissance de la bosse, mais malgré cela, la « chose » est encore impressionnante.Les filles poussent le supplice encore plus loin, car maintenant, elles restent continuellement à poil, je suis donc le mouvement par esprit d’équipe.
Seule le soir sur le convertible, je mets la clé USB et rouvre la copie de son dossier sur mon propre ordi. Je furète encore et tombe sur un document intitulé ; Dossier médical. L’un d’eux attire mon attention, compte-rendu du professeur H..... Sur le patient P.....
Ce patient souffre d’une bipolarité assez rare. Il peut être l’homme le plus effacé, honnête, serviable, et sans aucune arrière-pensée. Rien ne peut perturber un self-control à toute épreuve. Mais de temps en temps, il souffre de très violentes céphalées qui changent complètement son comportement, faisant de lui un maniaque du sexe, tout en restant, et c’est heureux, un gentleman.Une contrariété soudaine ou un choc psychologique peut aussi déclencher l’inversion de sa personnalité. Le patient arrive quand même à contrôler la bête sexuelle qui couve en lui en écrivant pendant des heures des histoires érotiques ou en se filmant ou se faisant filmer dans de petites vidéos pornographiques qu’il poste ensuite sur le Net. Je ne peux que l’encourager à réfréner ses instincts en continuant le traitement qu’il s’impose et qui ne met en danger personne d’autre que lui.Professeur H......
Je commence à comprendre notre hôte. Ah, si tous les hommes savaient se comporter comme lui !Le demain, je programme une rediffusion de notre dernier match pour analyser nos erreurs.Notre hôte nous a rejoints et regarde lui aussi mes filles en pleine action sur l’écran géant du salon. Nous sommes toutes assises sur le sol en minishort et top crop à suivre, assidues, le match quand Maelys quitte discrètement la pièce.
L’image soudain s’interrompt et quelques secondes après, reprend... Mais au lieu de voir un ballon gicler vers le panier d’un jet à neuf mètres, nous assistons à un jet de foutre de presque deux mètres d’une verge massive qu’aucune main ne dissimule à la caméra.
Cette espèce de petite salope de Maelys ! Elle a sélectionné la vidéo où cette scène est passée en boucle au ralenti. Un silence de mort règne dans la pièce...Nous regardons toutes notre hôte, complètement décomposé. Mais un changement sur son visage survient. On dirait un prédateur s’apprêtant à jaillir sur sa proie.
— Ah ! Petites garces. Vous avez mis le nez dans ce qui ne vous regardait pas. Vous voulez voir le loup, et bien, vous allez voir le loup !

Il baisse soudain son short, il n’a rien en dessous, il se branle et en un temps très court, sa verge flasque se transforme et devient la copie conforme de ce qui continue à tourner sur l’écran géant.
— Alors les filles ! Contentes ?! C’est quand même mieux en 3D, non ?
Et les commentaires des filles fusent:
— Ouah ! Quel engin !— Mieux qu’en image !— T’as jamais vu une bite ou quoi ?— Si, mais c’est vraiment un cas avec sa bite de poney !— Non ! Il est monté comme un étalon.— Sa queue est semblable à celle d’un acteur porno. — On dirait la teub de Rocco Siffredi, en plus massif. Etc.— Alors je suis un vrai mâle ou pas ?

Maelys revient, non sans avoir mis cette fois une autre vidéo où notre hôte s’ébat, jamais avec les mêmes filles. Il est devenu dominateur, ivre de sa puissance sur les femmes, comme fou et provoquant, sous l’influence des films pornos qu’il doit regarder ou je ne sais quoi, il nous ordonne :
— Venez sucer ma grosse bite de poney, petites vicieuses !...

Marie la plus dévergondée, ne se le fait pas dire deux fois, elle approche et, sans aucune gêne devant son public, elle malaxe la longue bite et les testicules gonflés à bloc, prenant avec difficulté le gland dans sa bouche.
— Ouuuiii ! Suce-moi !

Elsa, que cette verge fait saliver ne se fait pas prier et rejoint sa copine. Elle se met à genoux et prend à son tour l’engin entre ses lèvres pour une savante fellation. Elle pousse si loin que la verge entre jusqu’à la garde dans sa bouche, tapant le gland au fond de sa gorge. Douée la petite... Ce n’est pas donné à toutes les filles de faire une gorge profonde, surtout avec un tel calibre.Notre hôte la prend par la tête et fait un va-et-vient avec sa queue, appréciant l’exploit de la fille.
— Bien, bien ! Eh, toi là-bas ! Va appuyer sur le bouton, oui, celui-là !

Virginie s’exécute, on entend un bruissement, quatre trappes s’ouvrent, dévoilant des caméras allumées aux quatre coins de la pièce.Je ne sais pas si c’est l’effet de meute, mais mes filles qui n’oseraient jamais faire ça seules avec un inconnu se jettent ensemble dans la mêlée. Elles se battent presque, elles sont à cinq, les têtes les unes contre les autres, à essayer de lécher la formidable trique. Excitée comme jamais, je sens ma mouille couler le long de mes cuisses. Je voudrais arrêter cette folie, mais je ne sais pas ce qui me retient, peut-être le fait que je connaisse si bien les performances sexuelles de cet homme que je ne connaissais pas il y a encore deux jours ?
Elles changent de position, voulant toutes goûter à la fameuse « bite de poney ! » Il les repousse et s’assied sur le bord du divan pour s’avachir sur le dossier et donne de nouveau un ordre :
— Je veux une chatte au bout de chacune de mes mains et une autre sur mon visage pour que je lui dévore la foufoune, et les autres, reprenez où vous avez arrêtées !

Je suis bouche bée... Elles lui obéissent sans rechigner et mes huit filles s’acharnent sur ce « Mister Love ». Mais je les encourage :
— Allez les filles ! C’est comme au basket, un travail d’équipe, il faut le faire tenir encore un quart-temps. — Super, vous avez entendu les filles ! insiste Maelys, il faut le ménager pour qu’il tienne le plus longtemps possible. Resserrer la défense et gérer l’attaque, en évitant qu’il ne jouisse trop vite...

Elles se relaient aux différents postes, comme sur le terrain, réfrénant leurs ardeurs quand elles le sentent prêt à exploser. Il faut qu’il soit sacrément costaud, car les dix minutes sont écoulées.
— Petites putes, vous allez me laisser jouir, oui ou merde !
Virginie repousse ses copines et reprend seule une gorge profonde, ressentant les coups du gland au fond de sa gorge, pendant qu’elle lui malaxe les burnes comme une forcenée.Il lui bloque la nuque de ses mains, elle ne respire plus. Il lui lâche enfin la tête, Virginie halète et a juste le temps de reprendre son souffle pendant qu’il se branle des deux mains. Une éjaculation interminable et d’une puissance folle, comme sur la vidéo, projette une quantité phénoménale de foutre dans les airs, les filles se battent, telles des groupies voulant attraper le tee-shirt de leur idole, pour profiter de sa manne. Il est si prolixe qu’il arrive presque à toutes les contenter.
Mais avant même qu’elles ne se remettent de son exploit, elles entendent notre hôte s’adressant à Virginie:
— Couche-toi par terre salope ! »

Elle s’exécute et il lui arrache littéralement son minishort et sa culotte de dentelle qui se déchire sous ses doigts.Il l’empoigne avec force et la plaque au sol. Leurs bouches se collent et leurs langues se mêlent. La folie de l’homme en rut devient plus forte et ses mains commencent à fouiller l’entrejambe de Virginie.Il glisse deux doigts assez sèchement dans son vagin, mais Virginie se rebiffe :
— Arrêtez, ça me fait mal.

Elle ne doit pas aimer ça ou alors elle a vraiment mal. Dès qu’elle lui a dit d’arrêter, il a retiré sa main qu’il a remplacée par sa teub toujours aussi raide et donne des coups de boutoir entre les cuisses de Virginie. Elle résiste crânement à l’assaut en grimaçant. Un mélange de peur, de peur de lui ou de son formidable organe, ou bien du plaisir déjà trop intense ressenti ? En tout cas, notre hôte, lui, est encore plus excité:
— Laisse-toi faire salope, je vais te faire couiner avec ma pine dans ta petite chatte trempée ! Et vous les grognasses, qu’attendez-vous pour vous foutre à poil ?

A suivre...
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