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Docteur Jekyll et Mister Love.

Chapitre 3

Il nique jusqu’à épuisement total.

Orgie / Partouze
Docteur Jekyll et Mister Love.
Il nique jusqu’à épuisement total.

— Laisse-toi faire salope, je vais te faire couiner avec ma pine dans ta petite chatte trempée ! Et vous les grognasses, qu’attendez-vous pour vous foutre à poil ?
Suite :Les filles me regardent, perplexes... mais je ne peux que leur répondre :
— Vous êtes majeures et vaccinées les filles, à vous de voir...
Il pénètre Virginie avec une brutalité qui lui arrache un cri, mais il la bâillonne d’une main sur sa bouche en enfonçant d’un coup de reins son sexe. Les filles ne savent que faire, mais quand l’une se décide, par effet de mimétisme ou d’équipe, les autres suivent. Sept filles nues attendent la suite.
— A quatre pattes mes chevrettes, le bouc arrive !
On dirait que notre hôte est survolté, comme un appareil électrique de 220V branché sur le 380. De temps en temps, la lueur de folie de son regard s’éteint pendant quelques millisecondes, comme un moteur qui a des ratés ou un faux contact entraînant des microcoupures. Je l’entends fugacement murmurer :
— Mon Dieu ! Qu’est-ce que je fais ?
Mais il reprend aussi vite, pistonnant sans relâche mes filles les unes après les autres. Encore une chance que ce ne soit pas des petites natures et qu’elles encaissent je dois dire assez bien cette faune déchaînée en rut.
Il passe d’un sexe entièrement épilé à l’autre, se glisse entre les jambes et d’un coup sec, replante sa queue jusqu’au fond de la nouvelle chatte puis augmentant le rythme, les corps balançant sous des coups de reins dantesques. Ce n’est que copulation sur copulation. Comment peut-il passer de l’une à l’autre sans même prendre un instant de récupération ? Ce n’est pas humainement possible, et pourtant il le fait, et ce n’est pourtant pas un perdreau de l’année. Au bout de quatre-vingt-dix minutes de baise ininterrompue et d’un nombre d’orgasmes féminins innombrables, il s’écroule soudain, sans même avoir joui, la hallebarde toujours vaillante. Nous avons peur, va-t-il bien ? Je prends son pouls, tout va bien. Rassurée, je demande de l’aide aux filles et nous le portons dans son lit. Une fois revenues au salon, les langues se délient :
— Putain ce qu’il m’a mis, j’ai la foufoune en compote !— Moi aussi, mon berlingot s’en rappellera longtemps !— J’ai la moule tout endolorie, mais c’est quoi ce type ? Comment peut-il baiser à ce point tant de filles ?— Il m’a alésé le conduit comme jamais, après lui, plus rien ne me fera peur. Il nous a baisées jusqu’à l’épuisement final, sinon, il y serait encore !
— Vous avez raison, les filles, heureusement que nos petits copains ne sont pas comme lui, sinon je rentre au couvent direct. Une fois ça va, plusieurs fois, bonjour les dégâts !— Moi, j’ai apprécié, ça me change de Paul, ça c’est de la vraie bite ! Et il sait s’en servir, bordel ! Quel pied !— Oui, quel pied ! Mais mon minet mettra un bout de temps à s’en remettre. Jamais un homme ne s’est enfoncé si loin dans mon fourreau !— Moi, il me faisait sursauter à chaque fois qu’il butait tout au fond de ma chatte. J’ai eu peur de ne pas en ressortir intact.
J’interromps ce flot ininterrompu de superlatifs :
— Fin de match, retour aux vestiaires... Allez toutes prendre une douche et au plumard. Demain, il fera jour...
Le lendemain matin, nous nous retrouvons toutes au petit-déjeuner. Notre hôte entre dans la cuisine, on entendrait une mouche voler.
— Bonjour mes demoiselles, j’espère que vous avez passé une bonne nuit, il va faire très chaud aujourd’hui !
Nous nous regardons... On dirait qu’il n’a aucun souvenir de l’orgie d’hier soir... Des regards insistants des filles fixent son entrejambe où elles savent que se trouve endormi un animal domestique qui peut se transformer en un fauve incontrôlable. La journée se passe bien, détente autour de la piscine en plus simple appareil. Les filles multiplient les poses lascives, les gestes à la limite de l’obscénité, certaines n’hésitant pas à se doigter sous ses yeux, mais rien n’y fait... Il est de marbre, redevenu l’homme que rien ne peut ébranler aux nerfs d’acier. La journée se termine, les filles ont regagné les unes après les autres leur chambre, je me retrouve seule avec lui. Il s’approche de moi et m’avoue :
— Je vous présente toutes mes excuses à vous et à vos filles pour ce qui s’est passé hier soir.
J’ai regardé ce que les caméras ont filmé tout à l’heure. Je souffre depuis longtemps de bipolarité et, quand ça se produit, l’homme réservé que je suis se transforme en bête fauve, un peu comme docteur Jekyll et Mister Love, vous voyez ? Et je sais que quand ça se produit, je deviens une vraie bête de sexe que rien ne peut assouvir. Il n’y a que la fatigue qui me terrasse pour y mettre fin. C’est pourquoi j’ai mis des caméras pour me rendre compte des horreurs que je peux faire.
— Effectivement, je le console avec douceur. Je n’ai jamais connu un tel changement de comportement chez une personne. Mais ne vous inquiétez pas, mes filles ont adoré ça, il y a longtemps que ce ne sont plus des oies blanches, et pour une fois elles ont rencontré le loup, elles s’en souviendront toute leur vie.— Je ne suis pas toujours ce mâle lubrique, vous savez ! J’essaie de me contrôler en défoulant sur le Net ce trop-plein de testostérones, mais je crois que vous êtes toutes au courant, hein ?— Oui : Mais il faut que je vous fasse une confidence, je l’interromps, c’est de ma faute, j’ai été indiscrète en fouillant dans votre ordi et ça a dégénéré. Il faut aussi que je sois honnête avec vous.Je suis l’une de vos fans, que ça soit pour vos histoires et vos vidéos. Combien de fois je me suis caressée, seule dans mon lit devant mon ordi... Quel heureux hasard de me retrouver sous le même toit que vous ! J’ai vu hier en spectatrice privilégiée mon héros à l’œuvre en direct, je n’en revenais pas...
Il a pris ma main et l’a posée sur son entrejambe où commence à s’épanouir « LA BETE ». Puis il me prend dans ses bras, mourant d’envie de m’embrasser. Je me laisse faire puis je le prends par la main pour l’amener à sa chambre, il se laisse faire. Lentement, je me déshabille pour me retrouver en string et soutien-gorge et plaque mon corps contre le sien.
A suivre...
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