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Doctorante

Chapitre 1

Hétéro
Cette histoire est pure fiction. Je m’appelle Astrid. J’ai 26 ans, je fais 1m76 pour 61 kilos et 90D. Cela fait bientôt deux ans que je prépare une thèse en droit. Je ne suis pas du tout le genre de fille première de la classe, mais plutôt celle qui ne sait pas ce qu’elle veut faire de sa vie et qui profite d’un contrat de doctorant pour rester un peu plus longtemps à la fac. Ma fac étant jumelée avec plusieurs universités à l’étranger, j’ai pu être amenée à me déplacer dans ces pays pour enseigner et faire des recherches pour mes travaux. En général, j’en profitais pour me taper mes étudiants voire certains professeurs quand l’occasion se présentait. Ça n’était pas de l’arrivisme. J’aime simplement le sexe alors je le cherche où je peux. Croyez-moi, il n’y a rien de meilleur que de sentir les coups de bite vigoureux d’un jeune étudiant de licence.
L’avantage des profs, c’est l’expérience. À force de baiser leurs étudiantes pour leur donner de meilleures notes (non ça n’est pas une légende), ils finissent par apprendre des tonnes de choses à commencer par: comment faire jouir une femme.
Bref, mon dernier voyage m’avait conduite au Congo. Détail d’importance: j’étais accompagnée par mon directeur de thèse. C’est un beau mec: black, bien foutu, musclé comme il faut. Mais ça n’est pas un coup potentiel. Nous avons une relation qui oscille entre purement professionnelle et un brin protecteur envers moi. Sa présence pendant ce voyage avait passablement compliqué mes projets: je n’avais pas baisé depuis trois semaines ! Heureusement, nous étions à l’aéroport attendant notre vol pour Paris. Là-bas, je savais que je pourrais appeler plusieurs plans culs pour qu’ils viennent me satisfaire, tour à tour voir à plusieurs d’un coup. Vous l’avez compris, j’aime me faire enculer ! Face à une telle perspective, le temps me semblait vraiment très long.
Après avoir enregistré nos bagages, nous étions en train de patienter dans le salon d’embarquement. Je remarquais plusieurs passagers que j’aurai volontiers laissé me baiser dans les toilettes. Mais ça me semblait trop dur à réaliser puisque j’étais assise à côté de mon directeur de thèse. Quoique...
Enfin ! Nous voilà assis dans l’avion. Bientôt, nous roulons sur le tarmac avant de décoller direction la France, pays du sexe et de la libération à mes yeux. Mais... peut-être que la libération allait arriver un peu plus tôt finalement.
Dans l’avion, j’étais assise à côté d’un mec, plutôt pas mal. Je n’avais pas pu m’empêcher de remarquer le paquet qu’il avait à l’entrejambe. J’en salivais. Après quelques heures de vol et alors que mon directeur de thèse dormait, j’engageais la conversation avec mon voisin. Nous parlions de tout et de rien jusqu’à aborder ma situation amoureuse:
— Tu vas retrouver ton copain à Paris ?— En fait, je ne suis pas très traditionnelle...— Tu veux dire que tu es lesbienne ? — Mais non ! Je veux dire que le sexe m’intéresse, mais pas le couple. — Tu aimes le sexe plus que le gars avec qui tu fais l’amour ? — Carrément ! Pour moi, un mec n’est intéressant que parce qu’il a une bite bien dure à m’offrir. Je me fous des sentiments. J’espère que tu n’es pas choqué...
Malik (c’était son nom) se rapprocha de mon oreille et me chuchota:
— Je ne suis pas choqué et j’ai très envie de t’offrir une grosse bite bien dure tout de suite. Je savais que les blanches pouvaient être de grosses cochonnes, mais je n’espérais pas en rencontrer une si vite ! J’ai envie de te prendre là, maintenant, de te ramoner ta bonne chatte étroite. Ma grosse bite pourrait te faire tellement de bien !
Il n’en fallait pas plus pour que je me mette à mouiller. Je lui demandais s’il avait déjà baisé dans un avion. Lorsqu’il me répondit non, je me détachais pour me lever en lui demandant de me rejoindre dans les toilettes dans 5 minutes. La bosse qui grossissait dans son pantalon suffisait à me donner sa réponse.
Je me dirigeais vers les toilettes. Je m’enfermais dans une cabine. Je me regardais dans la glace, je n’étais pas mal. J’étais habillée d’un chemisier avec un foulard autour du cou, une jupe crayon et chaussures à talon. J’ouvrais les premiers boutons de mon chemisier, on voyait bien mon soutien-gorge. C’était un modèle que j’aimais beaucoup: satin rouge à dentelle noire avec string assorti. D’habitude, j’adore mettre un porte-jarretelles et des bas, mais il faisait trop chaud au Congo pour mettre des bas. C’était vraiment dommage, car ça excite tellement les hommes et moi aussi d’ailleurs. Parfois, j’aime baiser en cachette: tout habillée, les cuisses écartées, la ficelle du string poussée sur le côté.
Je remontais ma jupe sur mes cuisses. Malik pourrait ainsi me prendre sans me déshabiller. Je décidais de garder les chaussures, ça me donnait un air de bonne coquine. Je sortais de mon soutien-gorge un préservatif. Je n’avais pas prévu de baiser dans l’avion, mais je ne prévois jamais de baiser alors je prends mes précautions. J’ai des capotes planquées dans toutes mes affaires, si jamais un bon coup se présente. Ça a pu être très utile notamment lors de rencontres fortuites dans des ascenseurs. Au moment où je finissais d’arranger ma jupe, j’entendis des coups contre la porte. Je déverrouillais le loquet pour laisser Malik entrer. Ses yeux brillaient d’excitation. Il défit la boucle de sa ceinture, déboutonna son pantalon, descendit la braguette et baisser son jean. Il portait un caleçon qui cachait une des plus belles bites que j’ai jamais vues...
La suite si ça vous plaît !
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