Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire zoo
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 229 J'aime
  • 16 Commentaires

Dog addiction.

Chapitre 1

Miss Lizzy

Zoophilie
Dog addiction.    Chapitre I
    Miss Lizzy

Je m’appelle Elizabeth, avec un « z ». Oui, comme une reine. J’ai été Bessie, petite fille, puis Lizbeth plus tard. Maintenant je suis Lizzy.
J’ai dix-neuf ans et je suis ce que les gens appellent une jolie fille, certains disent très jolie.De taille moyenne, je mesure cinq pieds six pouces (un mètre soixante huit), mince, presque trop à mon goût... mes cheveux auburn, ondulés que je porte hauts en coupe pixie encadrent un visage aux traits fins, aux pommettes hautes que parsèment quelques taches de rousseur, j’ai les yeux pers et ma bouche que je trouve trop grande s’ouvre souvent sur un sourire dont j’ai fait mon arme de séduction massive. J’ai la peau claire, de petits seins aux aréoles roses, la taille mince et de jolies petites fesses hautes qui appellent la caresse...même si je ne déteste pas de temps en temps la fessée, pourvu qu’elle soit douce.
Je vis dans la grande banlieue de Portland, à Hazeldale, presque encore un village avec ses nombreux parcs et ses vastes zones boisées aux portes de la métropole. Il y fait bon vivre. Il faut dire que l’administration de notre état est très impliquée dans la protection de l’environnement et veille à la qualité de vie de ses habitants.
Mon père est chasseur et nous possédons deux chiens: Blue, une lice Coonhound qui n’a pas sa pareille au sanglier et un Rotweiler Max, notre chien de garde que nous avons eu tout petit et qui est devenu mon gros copain, ma grosse peluche. C’est Mom et moi qui nous occupons de Max, alors que Pa ne laisse à personne le soin de veiller sur Blue. Nos deux chiens font bon ménage et il n’y a guère que lorsque Blue a ses chaleurs que nous sommes obligés de les séparer, Max étant alors confié à un chenil ce qui me chagrine, car dans ces moments là, il me manque.
Mon père a une très bonne situation, et ma mère qui est femme au foyer est une belle milf de quarante ans qui ne laisse pas les hommes indifférents... la réciproque étant vraie. La fondation dont elle s’occupe, lui prend beaucoup de temps l’entraînant constamment par monts et par vaux et pour une femme qui  se dit au foyer, je trouve qu’elle n’y est pas souvent. Je sais depuis quelque temps qu’elle y trouve son compte.
Les rapports avec ma mère, idylliques lorsque j’étais petite fille, se tendirent quand j’atteignis l’adolescence pour devenir franchement difficiles dans les années qui suivrent, quand, l’année dernière par cette après midi d’avril, miraculeusement, tout changea.
Ma prof de sport que j’adorais fut hospitalisée à la suite d’une chute qu’elle fit en faisant la démonstration d’un saut de plinth devant ses élèves en fin de matinée. J’avais normalement gym avec elle l’après-midi: cours supprimés, je rentrai. Un bus me déposa à deux pas de chez moi. En descendant du bus, je remarquai que la camionette bleue des produits surgelés “Frosty Chum” était garée le long du trottoir juste devant la maison. Je remontai la grande allée du jardin en direction du garage où je voulais prendre ma crosse de hockey et ne la trouvant pas, fatiguée de chercher décidai de laisser tomber. J’eus l’idée de passer par la “backdoor” au lieu d’emprunter la porte d’entrée pour entrer dans la maison.
Je fus arrêtée par des cris et des éclats de voix provenant de la cuisine: la voix de ma mère à laquelle faisait écho celle d’un homme. Il n’y avait pas à s’y méprendre: elle était entrain de se faire baiser par le livreur black de chez “Frosty Chum” et à l’entendre elle y prenait un plaisir certain. Je pouvais deviner leurs silhouettes dans les postures les plus obscènes pas moins que ne l’étaient les paroles qu’ils échangeaient. J’étais abasourdie! Ma mère!
J’eus dans l’idée de les surprendre et de lui faire honte ainsi qu’elle le méritait.

Il se passa alors quelque chose qui me laissa interdite, je m’aperçus que je mouillais. Voir ma mère se faire prendre et jouir comme une bête sous mes yeux m’excitait au plus haut point... je restai dissimulée et assistai  haletante, jusqu’à la fin à leurs ébats et ce n’est que lorsque je craignis qu’ils ne finissent par s’apercevoir de ma présence que je me retirai sur la pointe des pieds pour retourner au garage où, la porte refermée en proie à une excitation inouïe, je m’y adossai et me masturbai des images folles plein la tête.
Le soir au dîner, où pour une fois nous étions tous les trois à table, je profitai de ce que Pa s’était levé pour aller chercher du lait à la réserve et regardai longuement Mom, elle leva les yeux et eut un regard interrogateur, je la fixai en souriant:
— Tu sais, je trouve que nous mangeons vraiment beaucoup trop de surgelés... Tu dois avoir des actions chez “Frosty Chum”.... Non ?
Je vis son visage se décomposer. Elle détourna le regard, rouge de confusion haussa les épaules avec un “Bah !”, et piqua du nez dans son assiette.
A partir de ce moment, c’en fut fini des rapports conflictuels, Mom venait me manger dans la main.
Au Pacific Northwest College of Art ( Université ) où j’étudie, je suis cheerleader pour les équipes de football, de basket et de baseball, ça, c’est pour le fun.Le sport dans lequel je me distingue c’est le tennis, je suis classée et ai obtenu il y a deux ans le prix de meilleure joueuse du campus.C’est d’ailleurs au cours de la préparation d’un match contre l’équipe de l’Université de Michigan qu’advint ce qui allait bouleverser ma vie.
J’ai eu pas mal d’aventures dont certaines avec des hommes mariés, amis de mon père, qui me flattèrent sur le moment … à l’époque, je savais que j’étais depuis un certain temps dans le collimateur de Ralph le « leader of the pack » meneur du groupe turbulent d’étudiants dont je faisais partie et même si je trouvais cela gratifiant, je ne m’en laissais pas conter et cela pour deux bonnes raisons: la première étant qu’à peine il m’aurait « eue » que ce cher Ralph se serait tourné vers une autre proie en collectionneur invétéré qu’il était et selon l’adage et principe vieux comme le monde « Suis moi, je te fuis. Fuis moi, je te suis. », je me laissai désirer.Il avait eu d’autres filles depuis mais je m’en moquais, et ce aussi pour l’ autre raison, celle-ci beaucoup plus importante: Livie, Olivia ma grande copine et moi étions tombées amoureuses l’une de l’autre. Connement. Comme ça doit se faire quand c’est obligé.
Nous étions amies depuis très longtemps, jolie brune, piquante et vive, elle aussi avait du succès auprès des garçons. Nous passions beaucoup de temps ensemble, riions et plaisantions nous faisant des confidences, nous confiant nos secrets de filles, nous étions très proches.Livie me suivait pour les matches et était un peu devenue mon coach, elle était fine et observatrice et avait toujours été de bon conseil, c’était souvent elle qui me massait après la douche et c’était à chaque fois un moment de complicité sensuelle qui nous unissait. Nous y prenions beaucoup de plaisir l’une et l’autre sans qu’il n’y eut jamais de geste équivoque.Et puis, il y eut ce match.
Ma rivale sportive sur le campus Monica Schrawitz avait demandé à la section tennis d’organiser une rencontre qui nous opposerait, elle et moi, la recette serait versée aux œuvres caritatives de la paroisse de Portland.
Non seulement, je trouvai que c’était une excellente idée, même si au départ je n’avais pas été consultée et le projet était enthousiasmant mais surtout, je brûlais d’envie de me mesurer à la « championne » que je n’avais pas rencontrée depuis quatre ans. Elle m’avait battue à plates coutures à cette époque et je voyais là, une belle occasion de prendre ma revanche.
La manière dont le projet avait été monté tenait plus du défi que de l’invitation, et on m’avait rapporté que dans ses conversations elle racontait partout que je n’étais qu’une « joueuse aux petits bras » et lors de son interview à la radio locale elle laissa entendre que ce match était pour elle une formalité et qu’elle ne ferait qu’une bouchée de moi.
Cette experte en « com » était arrivée à capter l’intérêt de tout un tas de gens sur le campus, et à créer le « buzz »: il n’était plus question dans les conversations que de cette rencontre où « ça allait chauffer »! Accessoirement, elle était aussi arrivée à sérieusement m’agacer.
Cette rencontre était devenue une obsession et j’en avais fait une affaire personnelle.Livie m’encourageait, me stimulait et me répétait sa certitude que j’allais emporter la victoire, et toujours aussi proche, remplissait à merveille son rôle de coach bénévole.Le jour « J » arriva. Tenant impeccablement son rôle, Monica fut odieuse. Je la battis.
Au terme d’un match de deux heures et demie qui me laissa exténuée mais folle de joie, je rejoignais les vestiaires après la remise des prix accompagnée par ma Livie, délirante d’enthousiasme. Dans notre box, nous laissâmes libre cours à notre jubilation, riant, poussant des cris de joie, nous étreignant dans de longs hugs chaleureux, nous embrassant.Je la tenais dans mes bras, serrée contre moi. Nous nous retrouvâmes alors toutes les deux, face à face, immobiles, les yeux dans les yeux, interdites par l’évidence qui s’imposait. Nos bouches se joignirent pour un baiser étonné qui explosa dans une étreinte passionnée telle que je n’en avais jamais connue.Depuis lors, nous partageons tout.
Enfant et plus tard, adolescente, lorsque mes parents partaient pour leurs week-ends de chasse ils m’emmenaient avec eux et j’aimais partager ces moments au cœur de la nature, les étincelles qui montaient des feux de camp à la nuit, les guitares et les vieux airs que nous fredonnions … le temps avait passé, j’avais grandi et à dix-huit ans les journées nature, les feux de camps avaient perdu de leur attrait pour la jeune fille que j’étais devenue, j’obtins alors l’autorisation de pouvoir rester à la maison en compagnie de Max dont la présence rassurait mes parents. Mom et Pa ne firent pas de difficulté à me donner leur feu vert et cela pour la bonne raison que je pense que ma présence pendant certains week-ends aurait pu finir par poser problème: je soupçonnais fort leurs veillées feu de camp de s’être transformées en soirées beaucoup moins sages.
Désormais lorsqu’ils partaient, Livie venait à la maison et nous faisions de ces journées un espace de liberté et de plaisir qui nous comblait de bonheur.Il y avait les longues promenades avec Max que j’étais obligée de tenir à la laisse mais dont la présence dissuasive faisait que où que nous allions, nous nous sentions protégées et en parfaite sécurité, jamais nous ne fûmes importunées par qui que ce fût.
Il y avait les coups de resto, le chinois où Mr Fu acceptait Max, dans un accord parfait, convivialité bien comprise:
Ça fait 52 dollars! —
Odeurs subtiles et gourmandes, frémissements des doigts de ma belle . Il y avait les bières et les burgers au « Joe’s » où la serveuse, Mrs Perk une belle grande femme nous accueillait avec son sourire complice.Et puis il y avait ses caresses sur ma main, son sourire, ses regards lorsqu’elle s’arrêtait entortillant une mèche de mes cheveux dans ses doigts, ses baisers sur ma bouche qui l’appelait. Nous faisions une vie de sybarites, heureuses de tout, profitant de chaque instant, passant ce qui restait des deux journées au lit, moments paradisiaques de pur bonheur que rien d’autre ne pouvait égaler dans une folie érotique, un brin alcoolisée, éperdues de tendresseaux bras l’une de l’autre.
J’avais commencé à travailler depuis quelque temps chez « Desmond & Desmond », pour me faire un peu d’argent qui, même si mes parents étaient généreux manquait toujours, je faisais part du peu d’enthousiasme que je mettais pour me rendre au travail à Olivia, alors que nous partagions une pizza chez elle, et après avoir évoqué nos folies de la veille, ces merveilleuses frasques lubriques qui nous laissaient ivres de plaisir, après avoir plaisanté et ri de notre salacité et de notre impudeur, elle me lança:
— Tu veux que je dise? On est deux connes ma chérie! On est belles ! Eh ben , faisons des vidéos de cul: « Lizzy and Livie »! Et à nous le cash-box!
J’éclatai de rire. il faut dire que la bouteille de Chardonnay que nous avions bien tutoyée avant d’entamer notre Margherita nous avait mises en forme.
Lizzy... depuis longtemps, en déconnant Liv m’avait attribué ce surnom. Nous étions une fois de plus entrain d’échanger sur nos apparences physiques et alors que je me plaignais d’être maigre:
— T’es pas maigre, t’es mince, c’est différent ! Tu es une merveille: une vraie Tanagra!— Tu parles, j’ai tout du lézard...— Ouais ! Génial! C’est ça! C’est comme ça que je vais t’appeler. Je te baptise Lizzy, « petit lézard ». Ça te va comme un gant! Et puis, Elizabeth, Lizbeth: Lizzy. En plus, ça ressemble à Livie. Oh! Super!
Le lendemain, elle m’offrait l’album des Beatles : Beatles VI sur lequel figure le titre: "Dizzy Miss Lizzy " Rock endiablé qui est devenu mon hymne personnel. J’aime tellement le surnom qu’elle m’a donné qu’il est devenu mon nom, et le lézard est maintenant mon animal totem.
Chaque année en avril ont traditionnellement lieu les rencontres inter-universitaires de tennis pour toute la région Nord-Ouest. C’est un championnat très prisé, d’un niveau relevé: il ouvre la porte au championnat fédéral et les adversaires que l’on y rencontre sont des pointures à la motivation sans faille. J’allais m’y présenter pour la première fois aussi je m’entraînais dur espérant décrocher une qualification pour l’échelon fédéral: entraînement technique tous les jours sur le court et travail physique, endurance le plus souvent possible, partout où je pouvais.
J’étais partie seule pour un long jogging ce samedi matin, Liv était en famille dans le Maine pour le week-end et mes parents étaient partis la veille pour une de leurs sacro-saintes parties de chasse. Je m’étais donnée à fond, courant plus de dix miles et arrivai à la maison exténuée. Je traversai le hall silencieux et montai l’escalier escortée par Max tout heureux de me voir.Je me déshabillai et me laissai alors tomber de tout mon long sur le lit avec un soupir de délice.
Juste une minute avant la douche... Oh! C’est trop bon! —

A ce moment là, Max fit une chose qui lui était interdite et qu’il n’avait jamais faite: il sauta sur mon lit et se couchant à moitié à côté de moi, se mit à me lécher le ventre et les seins.
Ce fut immédiat. Était-ce le fait de le voir sur mon lit, étaient-ce les sensations que me causaient sa langue douce et tiède sur mes seins? Je me mis à haleter et à trembler. Je ne parvenais pas à refréner ce qui se passait en moi... quelque part, au plus profond une émotion inconnue émergeait. Une convoitise primale. Un désir, une tension sexuelle telles que je n’en avais jamais éprouvés je me sentais toute étourdie.Tout me semblait irréel, comme dans un film au ralenti... Max ! Mon chien...mon chien... ces mots faisaient écho à travers mes pensées.
Ce n’était plus mon chien.
Ce n’était plus mon chien mais un mâle, un mâle dans toute sa puissance, un mâle dont l’instinct lui disait qu’une opportunité s’offrait, un mâle qui avait allumé en moi une envie incontrolable et qui faisait monter une affolante tension du fond de mon ventre. Une sensation de chaleur, une attente, un désir brutal et absolu que je n’avais jamais connus.
Je sentis enfler une vague de honte aussi absurde qu’inutile, que je balayai: j’avais compris que rien, maintenant n’empêcherait que Max me baise.
Il fut sur moi, debout sur mon lit, me tournant autour, me reniflant me flairant, comme s’il me découvrait. Je ressentis à ce moment là, quelque chose d’étrange: j’eus l’impression que Max avait compris que j’allais le laisser me prendre.Je me redressai, m’assis sur mes talons, le cœur battant et commençai à lui parler doucement mais d’une façon différente de celle dont j’usais d’habitude, je sentais que ma voix tendue tremblait. Je ne ressentais plus aucune appréhension et me sentais maintenant étrangement calme et malgré la formidable excitation qui me faisait haleter. Intérieurement, je me sentais totalement libérée. J’avais accepté. Je glissai ma main sur mon entrejambe, j’étais trempée...
Max placide attentif, comme à l’accoutumée posait sur moi le bon regard de ses yeux bruns si doux. Mais contrairement à son habitude, il me sentait, me reniflait, me humait, comme si quelque chose en moi l’intriguait alors que je continuais à le caresser et à lui parler comme je ne l’avais jamais fait..
Je sentais une vibration monter au fond de mon ventre alors qu’un flot humide et tiède continuait d’inonder ma chatte.Max dut sentit mon excitation et percevoir mon odeur: je me rendis compte qu’il se tendait, cherchant, tournant virant autour de moi à mouvements brusques et impatients... ce qui m’interrogea: était-ce seul son instinct qui lui disait ce que celle dont il sentait l’odeur attendait de lui? Je m’agenouillai devant lui, jambes largement écartées continuant à caresser sa tête massive alors qu’il se mettait à lécher mon ventre, que je sentis se contracter d’excitation sous l’effet de la chaude caresse. Je fermai les yeux, rejetant la tête en arrière sous la tension érotique qui m’étreignait, jamais je n’avais éprouvé cela. C’était d’une puissance inimaginable! Comment était ce possible?
Il se mit à me lécher le cou et le visage, ce qu’il essayait souvent de faire et que je lui défendais, mais cette fois j’acceptais sa caresse, comblée, heureuse, le contact de sa langue douce et tiède sur mes joues me faisaient fondre. Lorsqu’il lécha mes lèvres, interloquée, je les lui ouvris et instinctivement, lui offris ma bouche.La surprise de son profond baiser me fit exploser. Dans l’éblouissement d’une jouissance absolue irradiant tout mon corps j’eus la sensation de me relâcher totalement en même temps qu’ une contraction me tordait comme une chiffe. Râlant de bonheur je saisis sa gueule dans mes mains lui ouvrant ma bouche...
— Oh Max! Kiss me ! Fucking kiss me, darling!
Oh Max! Embrasse moi! Putain, embrasse moi, chéri!


Plus rien d’autre au monde n’existait! Ce qu’il me faisait éprouver balayait tout. Je ne pourrais dire combien de temps cela dura, je ne parvenais pas à me lasser des ses baisers affolants. Je jouissais emportée par un torrent d’une puissance érotique inouïe. Alors que je suffoquais de volupté, je sentais ma cyprine ruisseler le long de mes cuisses.Il dut le sentir car il s’interrompit flairant et cherchant à diriger son mufle entre mes jambes, j’étais à genoux ce qui l’empêchait d’atteindre l’odeur qui l’attirait.
Quand je compris ce qu’il cherchait, haletante, les yeux fous, je m’assis et basculai sur le dos en appui sur mes coudes ...à peine avais-je écarté mes jambes qu’ après avoir rapidement léché l’intérieur de mes cuisses il se rua sur ma chatte enflée de désir qu’il se mit à lécher de sa longue langue agile .
Dans une tension de tout mon corps que je sentis s’arquer tout entier sous la sauvage caresse, ma tête partit en arrière. Ce fut alors un ouragan de sensations qui m’emporta. Max me léchait à grands bruits mouillés me jetant dans des orgasmes fous. Le cunnilingus pratiqué par des hommes me fait profondément jouir, mais là, la puissance des coups de langue de mon bestial amant, leur rapidité et leur profondeur, atteignant le fond de mon vagin me faisaient ressentir des sensations incroyables. Je poussais gémissements et râles, éructais des mots sans suite, prières à mon amant, me noyant dans les sensations ineffables qu’il me procurait.
Insatiable, il continua pendant de longues minutes, me plongeant dans un chaos de jouissance ininterrompue. Je me tordais sur la couette en proie à une volupté telle que je n’en avais jamais ressentie. Tétanisée par la tension érotique les yeux exorbités j’avais saisi la tête puissante de l’animal agrippant sa fourrure à poignées et la maintenais sur ma chatte inondée de cyprine et de bave que j’écartelai sur son mufle me tendant sur la bestiale et exquise caresse. Je haletais, cherchant mon souffle, bouche grande ouverte sur mes râles de bonheur, suppliant mon rude amant de ne pas arrêter sa caresse.
Brusquement tout s’arrêta, je retombai et tentais de reprendre mes esprits soûle de jouissance, embrumée de stupre. Max avait cessé son affolant baiser et me tournait nerveusement autour me reniflait tout en geignant, réclamant sa femelle.
Je m’agenouillai sur le lit , me retournai vers lui et reins creusés et fesses cambrées, n’y tenant plus je le suppliai :
— Oh, viens Max! Viens ! Prends moi!

Je sentis son haleine puissante et chaude quand il me flaira, puis, il se mit à me lécher un court moment. il y eut un arrêt... Attente.  La tension érotique qui m’étreignait était si forte que j’en gémissais.

Je le sentis soudain de toute sa masse s’affaler sur mon dos, me coupant le souffle, je vacillai sur mes bras, m’écrasant de tout son poids, il enserrait mes reins entre ses puissantes pattes avant et m’étreignant contre sa rude fourrure me tirait en arrière sur son pénis que je sentais battre entre mes cuisses et contre mes fesses qu’il trempait des jets d’un liquide visqueux et tiède... Du sperme?
Je poussai un cri de surprise et de saisissement.J’avais vu son sexe en début d’érection et maintenant je le sentais incroyablement chaud et lourd battre contre mon entrejambes alors qu’ il cherchait à m’en pénétrer.
La violence de ces impressions si nouvelles se bousculant les unes aux autres me plongeaient dans un total chaos émotionnel, je n’étais plus qu’une attente lubrique...Je gémissais, le souffle haché, ignorant tout de ce qui m’attendait, je n’en implorai pas moins mon bestial amant.Après plusieurs tentatives je parvins à me saisir de son vit et l’abouchai à ma chatte trempée dans une transe de mon corps tout entier. Alors, d’un puissant coup de reins il enfonça sa mentule brûlante dans les tréfonds de mon ventre, m’arrachant un cri de stupéfaction... Ce qu’il me fit ressentir alors n’était plus de l’ordre de ce que je connaissais. A partir de ce moment magique, ce fut une longue jouissance ininterrompue dont je garde pour toujours le merveilleux souvenir, un cataclysme de sensations et d’émotions inconnues qui m’anéantit de bonheur...
A peine eut-il enfoncé sa mentule en moi qu’il se mit à me pénétrer d’une façon frénétique, me tirant puissamment en arrière sur son lourd chibre que je sentais grossir et qui me labourait le ventre avec une ardeur telle qu’il me faisait crier.M’emprisonnant sous son corps massif, ma taille enserrée par ses antérieures, la sensation de puissance rugueuse et âpre que dégageait l’animal, sa chaleur et sa force bestiale, le contact de sa rude fourrure sur mon dos et sur mes reins, ses giclées de pré-sperme qui inondaient ma chatte me transportaient... il me martelait de ses coups de boutoir des pieds à la tête ébranlant tout mon corps sous l’empire de sa domination brutale.
Je sentais le bulbe à la base de son lourd pénis à chaque pénétration écarteler ma chatte qui ruisselait et gouttait de son liquide séminal et de ma cyprine, trempant mes cuisses, mon ventre et mes seins. Je grimaçais, râlais, suffoquée de douleur et de volupté le sentant s’enfoncer et me labourer le ventre à chacun de ses coups de reins... c’était phénoménal! Je criais sans discontinuer... jamais on ne m’avait fait jouir de cette façon.
Alors que je subissais sa loi criant toujours ma jouissance, je sentis que sa bite énorme et chaude, grossissait encore me faisant éprouver des orgasmes sidérants. Je hoquetais, hurlais, éructais des suppliques à mon terrible amant, cherchant mon souffle...il me faisait mal mais ce que je ressentais était indescriptible! Je n’étais plus qu’une tension: prendre encore en moi sa merveilleuse bite... qu’Il me baise, encore encore, plus fort! Qu’Il n’arrête jamais...
Je sentis son mandrin grossir encore, m’emplissant, me comblant de sa force et de sa chaleur me jetant dans une tempête de sensations toutes plus stupéfiantes les unes que les autres. Son bulbe, maintenant énorme ne pouvait plus ressortir de mon vagin: il m’avait attachée. J’ignorai tout de la façon dont se déroulait un coït avec un chien, mais je n’en ressentis aucune peur, tout au contraire c’était une sensation inimaginable que je découvrais qui me plongeait dans une jouissance telle que je n’en avais jamais connue. Il continua pendant un long moment à me pilonner ainsi continuant à me faire crier.
Alors que je suffoquais de jouissance, Max s’immobilisa. Chavirée de volupté, je le sentis bouger son arrière train et enfoncer encore plus profondément son phallus en moi. J’eus un râle...Il se mit alors à éjaculer.Je me tétanisai lorsque je sentis jaillir le premier jet de sperme épais et chaud, son pénis se mit à se contracter convulsivement pulsant chaque jet me projetant à des sommets de jouissance tels que que je croyais défaillir.Mon vainqueur me plongeait dans un orgasme fou qui me faisait gémir et crier de bonheur... j’avais agrippé ses pattes arrières et de mes mains crispées cherchais à le maintenir en moi dans un geste qui n’était qu’une supplique: il avait verrouillé sa femelle qui ne pouvait échapper à son empire... sa femelle qui l’implorait:
— Oh! Encore...! Continue...! Encore...!
Je ne sais pas combien de temps cela dura, j’aurais voulu que cela n’eût jamais de fin... Pourtant au bout d’un moment alors que son nœud pénien enfoncé en moi, me verrouillait à lui, m’emplissant encore de sensations incroyables, je le sentis se mettre à bouger: le mâle avait rempli son rôle et cherchai à se dégager, il tenta à plusieurs reprises de se retirer; son bulbe énorme, emprisonné par mon vagin l’en empêchait. Il me faisait mal. Mais je bénissais cette douleur qui me faisait aussi jouir comme une folle. Je geignais, l’appelais, le suppliais...
Son nœud avait fait saillir mon clitoris et je fus prise d’une irrépressible envie de me masturber... j’entrai dans une nouvelle phase de mon long orgasme: l’attache à son bulbe, la sensation de l’incroyable quantité de sperme emplissant mon ventre de sa chaleur, mes caresses me faisaient hoqueter, éperdue de jouissance, à la recherche de mon souffle. Le visage de côté reposant sur la couette, je gémissais et sanglotais... Max de sa longue langue se mit à lécher ma bouche que j’ouvris à son baiser. Il remerciait sa femelle... sa chienne lubrique qui lui bredouillant une litanie de mots salaces, râlait, criait, implorait qu’il la baise encore noyée dans un ineffable nirvana.
C’est alors que cela survint.
Tout mon corps se mit à trembler et se raidit dans une tension folle, je sentis mon vagin se contracter et étreindre le vit de mon chien, se mettre à palpiter avec des mouvements convulsifs me jetant dans un orgasme inouï, puis j’eus une série de contractions serrant toujours plus fort sa merveilleuse bite et un nouvel orgasme survint m’emportant encore plus haut... et cela se répéta encore et encore pendant plus d’une dizaine de minutes me plongeant dans un état de frénésie totale.La puissance de ces orgasmes fut telle que je restai prostrée, sonnée une fois de plus par ce qu’il venait de m’arriver. C’était la première fois que je ressentais pareil choc érotique... j’appris par la suite que ce phénomène porte un nom: les « orgasmes multiples », j’appris aussi que c’était une manifestation rare du plaisir féminin, car seules les femmes et très peu d’entre elles ont la chance de la ressentir. Cela ne m’était encore jamais arrivé. Et c’était mon merveilleux Max qui me la révélait.
Je redescendais doucement des cimes de jouissance dans lesquelles mon formidable amant m’avait projetée... j’étais toujours dans la même indécente position, fesses tendues et cambrées, le visage plaqué au lit, les yeux fermés, je reprenais mon souffle. Je m’aperçus alors que Max s’était retourné, et que j’étais dans la position dans laquelle j’avais vu dans la rue des chiennes qui venaient de se faire saillir... loin de m’en sentir humiliée, j’en éprouvai un sentiment de fierté. Je lui appartenais. J’étais sa femelle. Sa chienne. De son gros bulbe et sa belle bite enfouis en moi il continuait à me procurer des sensations qui prolongeaient ma jouissance. Je cherchais à caresser le superbe animal touchant du bout de mes doigts son poil rude, éprouvant sa chaleur. Je l’entendais haleter...
Il bougeait maintenant, cherchant à se dégager et me faisait mal lorsqu’il tirait sur son nœud pénien, mais même cette douleur, car c’était Lui qui me l’infligeait, je la désirais.
Je sentis que son mandrin perdait un peu de sa grosseur, mais lorsqu’il bougeait, il me faisait encore jouir... ce fut alors son bulbe qui se fit moins gros, je restais cependant là, verrouillée à lui. Mon bestial tyran tirait de plus en plus fort pour se dégager, et la douleur augmentait d’autant, je m’étais mise à gémir, de douleur en même temps que sous l’emprise d’un brutal plaisir.
Sous l’impitoyable stimulation du gros bulbe, mon bourgeon s’était remis à saillir et je le titillais, le triturais sans ménagements pour essayer de me détourner de la douleur provoquée par le gros nœud qui distendait ma chatte. Inflexible, l’animal poursuivait son effort... Il me faisait crier et je sentais les larmes me monter aux yeux.
  Il tira plus fort encore sur son énorme bulbe me faisant hurler; il parvint alors à s’extirper, me libérant de l’attache, son gros sexe glissa hors de moi me provoquant un dernier spasme de jouissance. Je sentis alors s’écouler à rigoles épaisses des lèvres écartelées de ma chatte un invraisemblable flot de sperme qui inonda mes cuisses, trempant mon ventre et mes seins se déversant sur la couette à bruits liquides, me ravissant de sensations d’une puissance telles que je n’en avais jamais ressenties.
Max fut aussitôt derrière moi et se mit à lécher ma chatte, ma rosette, mes fesses, engluées de son sperme, la caresse de sa langue chaude et humide sur ma chatte violentée agit comme un baume et me fut un bonheur.
  Alors que je tentais de me redresser je la vis. Je n’avais jamais vu la bite d’un chien tout du moins pas comme ça. Chavirée par les orgasmes inouïs que cette merveilleuse mentule m’avait offerts, je reçus un choc en la voyant, rouge, énorme, turgide et luisante de nos sécrétions amoureuses. Je l’enserrai dans ma main, à la base de son énorme nœud, je la sentis incroyablement chaude pulser spasmodiquement ses jets de sperme clair.
Je n’étais qu’une tension irrépressible. Encore! Encore... je la voulais encore! Avec un râle, distendant mes lèvres, je l’engloutis submergée de plaisir et de lubricité.Ensorcelée par la vision de l’impressionnant mandrin violâtre que je suçais à pleine bouche gémissant de plaisir, je m’enivrais du goût âcre et salé des jets de sperme que j’aspirais avec délectation attisant encore l’excitation et la jouissance que j’éprouvais... À lents mouvements lascifs, j’engloutissais le lourd mandrin, tournant ma langue autour, alternant avec de longs mouvements de succion qui me mettaient en transes, lentement, je le ressortais, le laissant glisser avec un lubrique plaisir entre mes lèvres... je salivais en quantité, et même si je déglutissais, et en avalai la plus grosse partie, j’en laissais couler de ma bouche et tout l’excès qui mêlé au sperme gouttait de mon menton, m’en trempait le cou et les seins.
J’étais dans une frénésie de volupté et d’émotions incontrôlables. Je me laissais guider par le seul plaisir de m’ abandonner à la dévotion que j’éprouvais pour la magnifique bite de mon merveilleux amant.
Je m’interrompis un instant pour rependre mon souffle je ahanais, la tête rejetée en arrière une main sur ma gorge... J’étais épuisée
Oh! Mon amour, ta bite … ta merveilleuse bite...! Encore, je t’en prie...! —

  Je repris sa mentule que je voyais tressauter, secouée de spasmes pulsant toujours ses jets de sperme, et l’attirai encore à ma bouche. J’en suçai avec avidité, le gros gland plat y arrondissant mes lèvres aspirant le sperme, le suçant, l’enfonçant avec délectation dans ma bouche.
Dans un brusque mouvement de côté, Max alors, se retira, me laissant hébétée.
C’était fini.
À genoux, assise sur mes talons, vidée de toute énergie, comme une poupée de chiffon je me tassai sur moi-même, alors que mes yeux s’emplissaient de larmes.J’entendis cliqueter ses griffes sur le bois des marches de l’escalier, alors qu’il redescendait vaquer à ses occupations de chien.
  C’était fini.
Dans le silence de la maison, seule, je me relâchai totalement et me sentis happée par toute la tension que j’avais accumulée pendant cette folle expérience: j’éclatai en sanglots, me laissant aller affalée dans les plis lourds de la couette. Bouleversée, débordante de bonheur, je souriais, en même temps que je sanglotais, secouée de petits rires de joie incrédule. Je n’avais pu me réaliser pleinement ce qu’il m’arrivait, terrassée par tant de sensations inconnues alors que mon terrible et magnifique amant m’offrait la baise de ma vie... c’était maintenant que tout prenait sens alors que je revivais les ouragans de plaisir qui m’avaient dévastée me laissant totalement émerveillée et comblée comme je ne l’avais jamais été.
Transportée de bonheur, sans regrets ni remords, j’avais toutefois conscience d’avoir franchi la frontière d’un territoire tabou. En acceptant de m’accoupler à Max j’avais aussi accepté de me mettre au ban de tout ce qui avait jusqu’alors structuré mon monde, me jetant sur les berges d’un fleuve obscur et tumultueux dont je venais de faire la découverte qui m’effrayait mais me fascinait et m’attirait d’une manière irrépressible. Désormais ma vie se trouvait sur ses rives et je savais que je le descendrais jusqu’au bout.
Perdue dans ce « no woman’s land », désorientée, je me sentais pourtant totalement émerveillée et comblée par ce que mon prodigieux amant m’avait offert, crevant déjà du désir de le retrouver au plus vite.
Plus rien, depuis Lui, ne serait jamais comme avant.Oh! Max ! Max, mon amour...! —
Diffuse en direct !
Regarder son live