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Je dois satisfaire deux «chattes», l’une «poilue» et l’autre «lisse».

Chapitre 1

A chaque « chatte » son goût…

Avec plusieurs femmes
— Monsieur, s’il vous plaît.— Oui madame, bonjour.— Mille excuses, bonjour.— A votre service.— Avez-vous vu ma chatte ?
La question posée avec un sérieux exemplaire ne m’a pas empêché de sourire d’une manière sournoise. Elle a compris mon intention ; ou plutôt ma manière de comprendre, et d’interpréter ses dires.Elle rit elle aussi, et ajoute dans un ton plaisantin que sa chatte est poilue...On en rit tous les deux. Mon interlocutrice se calme, et prend un air sérieux, et dit :
— Tu n’as pas vu une chatte angora grise, et une autre siamoise ?
A son sérieux, je réponds avec sérieux que les deux chattes dorment au soleil, dans le salon.Il faut préciser que je viens de déménager dans cet appartement, situé au dernier étage d’un immeuble haussmannien, très bien entretenu.Celle avec qui je discute est ma voisine du palier. Une femme de petite taille, ronde, teint clair, la cinquantaine, rigolote, du moins, du peu qu’on a discuté.De son balcon, elle m’a précisé que l’appartement que j’occupe est resté plusieurs mois vide. Les deux chattes en quête de soleil, ne se sont pas gênées de sauter, par une petite fenêtre restée ouverte, dans l’appartement vide et profiter des rayons de soleil, que ces félins adorent.
Présentation faite, elle s’appelle Nathalie, et vit avec sa compagne Juliette, que je n’ai pas encore rencontrée.Ma voisine compense bien sa taille réduite, et son poids qui dépasse toutes les limites admises par les nutritionnistes, par un esprit très vif, et un humour toujours corrosif...Elle s’excuse pour le dérangement causé par les deux chattes, et me demande, avec malice, si j’en ai eu deux ensemble. Je réponds que le nombre des chattes n’est pas un but en soi, plutôt le caractère de celui qui doit les satisfaire. Elle est prise par un rire fou, et me traite de « vulgaire ».
Elle me fait subir un interrogatoire dans les règles. Je réponds à toutes ses questions. Elle conclut que j’ai besoin de deux femmes, au moins, dans ma vie.A ce moment, Nathalie tourne la tête vers l’intérieur de son appartement, et me dit :
— Voilà Juliette qui arrive.

Elle fait signe à la femme d’une manière joyeuse. Juliette est à l’antipode de Nathalie. La quarantaine, brune, bien proportionnée, et même svelte, au regard de sa taille. Elle s’introduit dans le balcon, me regarde furtivement, et va poser un baiser amoureux sur les lèvres de sa compagne, en la tenant par le cou.La présentation faite, Juliette veut savoir, si je suis tant attaché aux chattes, pourquoi ne pas en avoir une en permanence. Je réponds qu’il me faut deux chattes au moins. Je les veux indépendantes. Chacune est libre de rester, partir, et revenir, au gré de son envie uniquement. Je dois réellement sentir, chaque retour, synonyme d’une envie à la fois ancrée et nouvelle.Juliette parait le « Maître » du couple, tant Nathalie est silencieuse depuis l’arrivée de cette femme au visage sévère.
— Je vous invite à prendre un verre. Pourquoi discuter à travers ce balcon ?
Sans attendre, Juliette me répond, sans regarder sa compagne :
— Le temps de prendre une douche, et de se changer.— Je vous attends.
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Je laisse la porte entrouverte, et j’entame une révision du salon, sans oser déranger les deux chattes qui ronronnent. On frappe à la porte. Je vois Juliette ouvrir la porte avec délicatesse.

— Entrez...
Juliette porte un kimono bleu clair, à fleurs rouges. Nathalie, qui marche derrière, porte la même tenue. Les deux femmes arrivent au salon.
— On a l’habitude de porter des habits légers, chez nous. On s’est permis de ne pas déroger à la règle.— Soyez à l’aise, libre et sans vous gêner.
Nathalie se dirige vers les deux chattes, et essaye de les caresser :
— Juliette, il s’est bien occupé de nos chattes.
Juliette me regarde, et me dit avec sensualité :
— Laquelle des deux te plaît le plus ?— A chacune son charme, son goût, et surtout son plaisir.— Mais à la fin, tu dois prendre une ?— J’aime laisser cette décision à la complicité entre les deux chattes.
Les deux femmes se regardent. Une excitation se sent dans l’air.
— Tu aimes la chatte poilue, ou...
Elle marque un temps d’arrêt, Nathalie termine la question :
— Ou lisse ?
Juliette ajoute avec malice :
— Il existe sept races lisses. Le Bambino, le Peterbald, le Kohana, et bien d’autres...— Chacune a son charme. Aussi, j’accorde une importance à la propriétaire de la chatte.— Supposons que la chatte appartient à un homme ?— Je respecte toutes les orientations, mais je n’aime que les chattes qui appartiennent à des femmes.— Nous, on aime les chattes des deux sexes.— J’adore les femmes qui adorent les chattes, deux sexes.
J’invite les deux femmes à s’asseoir. Elles prennent place sur le grand divan. Juliette me dit avec douceur.
— Il vaut mieux que tu te mettes à l’aise.
Elle fixe entre mes jambes, et ajoute :
— Tu seras mieux.
Je pars me changer, je mets un jogging très léger. A mon retour, je suis « choqué » (dans le bon sens du terme) par le spectacle. Juliette, ses genoux sur le divan, est inclinée pour embrasser Nathalie sur la bouche avec engouement. Le kimono de cette dernière est ouvert. La main de la dominatrice caresse le soutien-gorge de la soumise.
Par expérience, si ces deux femmes ont décidé de me surprendre, je dois leur permettre d’aller dans leur scénario, aussi loin que l’imagination de l’une ou de l’autre peut y aller.Je me mets sur le divan d’en face, calmement, et sans éveiller aucune attention. La main de Juliette est entre les cuisses de sa compagne. Elle entre sous le string, et exerce une pression à travers ses doigts.
Je ne sais pas comment elle a détecté ma présence, Juliette me dit de sa main de venir, puis me montre le string de Nathalie.Je comprends deux choses : je suis invité au festin. Aussi, ma tâche est déterminée, à savoir m’occuper de la chatte de Nathalie.Je mets à genoux devant la soumise. Je caresse tendrement ses cuisses pour lui faire sentir ma présence. Elle semble apprécier, en caressant ma main. J’ouvre encore ses cuisses, elle avance son bassin, pour m’offrir un angle d’attaque, plus grand. La main de Juliette est toujours sous le string, et semble profiter très bien de la situation.
Comment lui faire savoir ma présence, sans la gêner, et surtout sans lui faire comprendre, que je vise à prendre sa place.Unique solution : embrasser sa main. Mes lèvres posent le plus léger baiser possible sur la main de Juliette, car je ne dois en rien faillir à la mission qu’elle vient de m’accorder, mais aussi, je ne dois pas entreprendre une entrée fracassante.
Elle sent ma présence, tire sa main, cherche mon visage, et enfonce ses doigts délicatement dans ma bouche. Je les suce tendrement, puis je les lèche. Elle prend ma tête, et l’enfonce entre les cuisses de sa compagne. Je pousse ma tête aussi loin que la position de ses cuisses me le permette. Concluant que je ne peux accéder à ce sexe poilu. Sans oublier que je ne serai pas jugé selon la règle de « l’obligation de moyens », mais plutôt « l’obligation des résultats », je décide d’intervenir, même si je dois bousculer, ou même interrompre l’idylle, à la fois sexuelle et sensuelle, que mes deux invitées s’offrent sous mes yeux.
Sans demander l’avis d’aucune, je prends Nathalie par le bassin, et je la tourne, pour l’étendre sur le divan. Je place un oreiller sous ses fesses, et je plonge entre ses jambes.Juliette non seulement, n’a pas mal pris mon intervention, mais encore plus, elle se débarrasse de son kimono, et enjambe le visage de Nathalie pour coller son sexe à sa bouche. Son sourire et cette lumière que je constate dans ses yeux, me font découvrir une femme voyeuse, du moins, elle adore me voir bouffer la chatte réellement poilue de sa femme.Une chatte vraiment délicieuse dans le sens culinaire direct. Appétissante même. De quoi oublier le monde extérieur. Sauf les ondulations maladroites de Nathalie, qui à cause de son poids, ne peut avoir l’agilité requise pour onduler à l’extrême.
— Je peux sucer un peu.
Une demande courte, directe et polie. Juliette veut prendre ma place. Je ne peux qu’accepter, et me convaincre que le plaisir d’admirer vaut bien celui de participer.Avant d’entamer un 69, qui n’est pas le premier, et certainement ne sera pas le dernier, Juliette prend la peine d’enlever le string de Nathalie avant d’entamer son abreuvage.Debout, je remarque que les deux sont à poil. Je me débarrasse de mon jogging, pour rester en boxer, non pas par pudeur, mais par certitude que ma bite en érection, cachée dans un boxer en extension sous la pression, est de loin plus sensuelle, et surtout plus excitante qu’une bite en l’air.
Je ne peux rester inactif, je caresse les épaules de Juliette, avec une main au début, puis deux, et je malaxe tendrement ce dos offert. Je passe à ses fesses. Je ne sais pas si son bassin ondule plus fort sous mes doigts, ou je suis en train de rêver. Unique vérité, elle ne refuse pas, car cette femme de caractère ne se laisserait pas doigter le cul par un homme qu’elle rencontre pour la première fois, sans exprimer le moindre signe de refus.
Sans arrêter sa fellation, elle me fait signe de la main de s’approcher. Elle cherche mon sexe, que je débarrasse du boxer. Elle le masturbe un moment, puis se lève et me demande de baiser Nathalie.Je suis au fond de cette chatte poilue. Pas besoin de bouger, Nathalie s’offre avec son ondulation, tous les mouvements de son choix.Tout en sachant que Juliette est la dominatrice dans ce couple, je commence à la sentir à mes ordres, ou peut-être elle commence à le devenir.Je m’incline pour la prendre par le cou, comme elle l’a fait avec Nathalie à son arrivée. Elle se laisse faire, et même elle m’embrasse avec fougue et force, comme je l’ai vu faire. Sauf que cette fois, elle se laisse tenir par le cou, et prendre la position inférieure.
J’arrête de l’embrasser, pour lui dire que je vais faire jouir Nathalie, puis m’occuper d’elle. Elle répond avec simplicité, qu’elle adore. Aussi, elle exprime son envie de comporter en soumise obéissante. Je lui réponds en riant que je dois la « corriger » en cas de fautes.
Je sens le sexe de Nathalie devenir plus chaud, comme si un volcan, qui vient d’exploser dans ce cratère poilu.
— Tu n’as pas éjaculé ?
Nathalie me pose cette question, en reprenant ses esprits.
— Non, il va jouir en moi.
Nathalie semble plus que surprise. Je prends Juliette dans mes bras tendrement, et je l’embrasse avec douceur. Elle se laisse faire avec passion.
— Tu veux prendre des leçons de soumission ? — Je le suis déjà, ou du moins, je me sens prête à le devenir.— Juliette...
La voix de Nathalie est pleine d’angoisse, et même de peur.
— Nathalie, ne t’en fais pas, tu restes à vie ma chienne adorable.
Juliette se colle à moi, et me murmure à l’oreille que je suis un sorcier, car jamais elle n’a jamais imaginé un jour pouvoir accepter un doigt dans son cul. Que dire d’aimer et de trouver du plaisir, au point de commencer à fantasmer ?
— J’ai envie d’être prise comme la plus vulgaire des putes. Une fille de plaisir qu’on baise sans se soucier de son plaisir.
Je l’embrasse tendrement, et je lui dis qu’elle va connaître son baptême de soumission.J’ordonne aux deux femmes de me suivre à la chambre à coucher. J’ordonne à Juliette de se mettre en levrette sur le lit, elle obéit dans un calme total.Je me mets derrière elle, et je la pénètre brusquement. Elle laisse échapper un gémissement très lent et très bas, comme si elle venait de recevoir une douce caresse.
— Tu baises bien...
Un coup très fort sur ses fesses, et je lui ordonne de m’appeler Maître toujours.
— Ouiiiii... Maître... Maître...
Je regarde Nathalie, qui est restée un peu en arrière. Je lui ordonne de me rejoindre, et je lui demande de caresser les seins de Juliette et le sexe.Une série de coups sur ses fesses, auxquelles elle répond par un gémissement de bonheur.
— Maître... Encore s’il vous plaît...
J’entame une série de coups sans oublier mes va-et-vient dans son sexe. Ses gémissements changent de ton. A commencer par l’expression d’une douleur, et finir par une satisfaction.J’enfonce mon pouce dans son derrière, elle sursaute. Je sens son orgasme venir, ma bite frappe de plus fort, sans oublier les coups sur ses fesses.Ses gémissements prennent un autre ton, un son autre, qui s’apparente plutôt à une grogne, qui augmente, pour finir en un vrai tremblement de corps.Elle s’abat, en remerciant son Maître. J’ordonne à Nathalie de prendre mon sexe entre ses seins, elle obéit avec sourire. Excité par tout ce marathon, et n’ayant pas connu une branlette espagnole aussi intense, tant mon sexe a complètement disparu entre les deux seins, je sens monter en moi une jouissance. Des seins tellement forts, que tout le sperme reste à l’intérieur.Juliette se réveille. Je lui ordonne de lécher le sperme, elle obéit, et ne laisse aucune goutte.
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A suivre...
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