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domination

Chapitre 1

une envie

Zoophilie
Un soir, pendant une joute après une soirée un peu arrosée, ma douce lança :
« mon chéri, j’aimerais que nous essayions une situation avec un dominant, j’ai envie d’être soumise complètement dominée, et j’aimerais que toi aussi tu acceptes cette envie ».
J’avoue que sur le moment je suis resté un peu estomaqué, puis après tout : « si tu le veux je suis d’accord ; cherchons ».
Nous sommes un couple candauliste depuis deux années et à chaque fois qu’une occasion se présente, nous en profitons sans plus réfléchir ; plutôt âgés, 68 et 57 ans, nous vivons simplement, très amoureux l’un de l’autre ; la confiance réciproque nous permet tous les jeux et nous utilisons sans complexe l’internet pour nous trouver de nouvelles aventures. Un homme ou un couple qui sera notre maître d’un jour.
Il me fallut plusieurs contacts, avec souvent de vrais farfelus, avant de trouver un contact qui semblait correspondre. A savoir un couple dominant, de nos âges et pas très loin de chez nous ; après plusieurs appels nous finalisons une rencontre chez lui, à ses conditions à savoir qu’à partir de notre entrée chez lui, acceptation de toutes ses conditions sous peine de départ immédiat. Un regard vers Nini, qui avec un grand sourire me donne son accord.C’est le grand jour ; il doit venir nous chercher pour une soirée. Pour la rencontre, Nini a mis un petit ensemble string et soutien-sein noir en dentelle noir, les pointes de ses seins sont tendues sous le fin corsage ; une petite jupe portefeuille, simplement fermée devant par un seul bouton, si bien qu’en marchant elle s’ouvre découvrant ses bas auto- collants ; pour moi pantalon et chemisette blanche ; un joli petit couple. Quand il sonne, Nini me serre la main, légèrement inquiète malgré son envie.C’est un bel homme, la soixantaine ; courtois il me tend la main, puis se tournant vers elle, il l’embrasse fougueusement :
« Toujours partant car si vous acceptez maintenant vous serez à notre volonté sans pouvoir refuser quoique ce soit. »
Un regard vers ma femme, avec un petit sourire, d’un signe de tête, elle donne son accord et nous voilà partis pour une escapade dont nous garderons à jamais le souvenir
Après un court voyage entrecoupé de propos innocents, nous arrivons à une belle villa, protégée par un mur d’enceinte et une grosse grille, qui s’ouvre à notre arrivée ; sur le perron une femme, entourée de deux molosses nous accueille.
« Rassurez-vous, aucun danger avec nos deux compagnons. »
Elle est vêtue d’une simple tunique transparente, complètement nue en dessous ; sans doute plus jeune que lui, ses formes sont très agréables ; une poitrine généreuse, sans doute 95c, mais hauts plantés, avec de gros tétons au milieu d’une auréole brune ; son sexe est rasé et on devine facilement son pubis. A notre arrivée, elle se penche vers nous et nous gratifie d’un baiser sur les lèvres ; et nous entrons dans un grand hall.
« À partir de maintenant, vous devez nous obéir, faire tout ce que l’on veut sans que l’un ou l’autre puisse refuser ; par contre il n’y aura aucune brutalité ; vous devez quitter vos affaires et redescendre de votre chambre entièrement nus tous les deux ; Jean ne devra prendre aucune initiative, ne rien dire et ne rien faire quoique que nous fassions à Nini. Maintenant c’est nous qui décidons ; d’accord ? »
Un petit oui sort de nos deux bouches.

« C’est oui Maître ou Maîtresse maintenant ! »« Oui maîtres »
Quand nous redescendons, gênés malgré tout par notre nudité devant nos hôtes, ils nous attendent allongés sur un grand sofa. Me donnant ordre de m’asseoir sur un grand pouf, il prend Nini par la main et la faisant mettre à genoux devant sa femme, il l‘oblige à se pencher entre ses cuisses qu’elle ouvre, découvrant sa chatte déjà luisante « fais la jouir », puis se positionnant derrière elle, et ouvrant son pantalon, il lui plante son membre bandé dans la chatte, sans aucune préparation ; elle ne peut retenir un cri, à la fois de surprise, mais aussi de douleur car le sexe est gros, et la brutalité de la pénétration prouve le désir du maître ; la briser dès le début ; l’obligeant à continuer à lécher sa compagne, il la besogne sans ménagement, claquant son bassin contre le fessier offert ; rapidement elle ne tarde pas à gémir, d’autant plus qu’il lui dilate l’anus d ‘un doigt puis de deux doigts agiles. elle ne tarde pas à jouir et il faut toute la pression sur sa tête pour qu’elle continue à lécher sa maîtresse qui elle aussi prend son pied.
« vas-y continue, baise-la profondément, je veux qu’elle obéisse à tout »
L’homme est performant et sa pénétration dure, déclenchant plusieurs orgasmes chez Nini ; ne pouvant bouger, je me branle, excité car je comprends que la soirée va être torride ; un ordre tombe. « Je ne t’ai pas autorisé à te branler ». Penaud je m’arrête.
Me fixant droit dans les yeux, il me dit
« tu vas voir, je vais faire de ta femme notre jouet et quand vous partirez, votre vie ne sera plus la même ; elle va dorénavant m’appartenir et toi aussi tu vas avoir une grosse surprise »
Se retirant de la vulve dégoulinante de jute, il pose son gland turgescent sur la rondelle ouverte et d’une seule poussée, il la perfore ; un hurlement retentit, vite écrasé par une vulve baveuse ; elle se débat mais rien n’y fait, il l’encule vigoureusement et rapidement elle s’offre, reculant son fessier à la rencontre du sexe qui la possède ; à nouveau sa jouissance déferle et je l’entends soudain s’écrier
« vas-y maître défonce moi, fais de moi ce que tu veux, prend moi, je t’appartiens, mon corps ne veux que toi »
Je reste sans voix, elle vient d’accepter sa domination. Le maître se retournant vers moi :
« Tu vois, ce n’est plus ta femme, elle est à moi et ce pour toujours ; elle est mon jouet et toi, tu seras bientôt pareil ; mais pour l’instant, regarde bien car tu ne vas plus la toucher. »« Je viens de la féconder, et seul mon sperme dorénavant va la remplir »
Sur ce il se retire, montrant fièrement son sexe encore bandé d’où s’écoule des gouttes de semencePendant plus de deux heures, ils vont se l’accaparer, à tour de rôle ; la maîtresse la possédant avec un gode monstrueux ; je ne sais combien de fois Nini a joui mais à chaque désir de ses maîtres, elle se plie toujours, sans jamais se préoccuper de moi. Pour ma part, le sexe douloureux, j’ai joui sans même me toucher. Elle s’effondre, épuisée, mais le regard brillant en direction de son nouveau maître ; une collation nous est offerte, entrecoupée d’attouchement entre eux. Pour lui aussi le repos semble le bienvenu car il se vautre sur le sofa, laissant ses deux amantes le caresser tendrement.
Soudain il se penche à l’oreille de sa femme en me regardant ; elle se lève et quand elle revient, elle est accompagnée d’un molosse qui se love contre elle ; soudain il se redresse et vient flairer la chatte de sa maîtresse ; celle-ci se laisse faire puis dirige le museau de sa bête vers le ventre de Nini ; un brusque recul de sa part lui vaut remontrance et un ordre est pour moi :
« Ne bouge pas sinon il risque de te mordre. »
Elle a beau se débattre, c’est maintenue par le maître qu’elle doit accepter la langue du molosse, écartelée, sa chatte est béante et il n’a aucun mal à la lécher ; il faut dire qu’en plus les effluves des sécrétions qui la remplissent ; la langue la fouille et bizarrement les pleurs cessent ; au contraire elle écarte d’elle-même les cuisses, s’offrant un peu plus à la langue agile ; le molosse se délecte et soudain sous son ventre apparaît un long ruban rouge, qui sous l’effet sans doute de l’excitation lui remonte frénétiquement sous le ventre ; ce sont maintenant de véritables cris de plaisirs qui s’échappent de ses lèvres ; elle jouit comme jamais sous la langue qui la pénètre profondément ; le chien s’énerve de plus en plus et son bassin est agité de mouvements très explicites ; un ordre et le chien ,tout penaud ,se couche ; se redressant le maître s’approche de moi et me prenant les mains il me menotte au fauteuil.
« Rassure toi elle ne risque rien, c’est simplement pour que tu ne bouges pas »
Puis il retourne vers le groupe.Prenant Nini par la main, il l’allonge sur un pouf, à plat ventre, offrant ainsi son sexe de façon béante ; le chien vient de se redresser et mené par son maître, il vient renifler la chatte offerte ; rapidement il s’énerve et à nouveau son mandrin sort de sa gaine ; je suis surpris de la taille ; un très gros sexe palpite, pointu, rouge et le chien s’excite à nouveau essayant de grimper sur son dos ; le maître lui dépose un plaid épais sur le dos ; soudain j’ai peur, je viens de comprendre qu’il veut la faire saillir par le molosse ; elle aussi a compris et elle se débat fortement maintenue sur le pouf ;lourdement le chien pose ses antérieur sur son dos et essaie de la pénétrer ; elle hurle de peur et gesticule pour éviter le sexe qui cherche le passage ; la femme prend alors le membre entre ses doigts et guide le mandrin ; d’une seule poussée, il s’engouffre dans le vagin et frénétiquement commence la saillie ; elle hurle de douleur, car le sexe lui défonce le passage ; elle se débat mais rien n’y fait ; sur de sa force il la pénètre par de rapides et puissants mouvements ; la scène m’effraie mais bizarrement elle m’excite rapidement car Nini ne pleure plus ; elle semble y prendre son pied avec ce mandrin planté dans son ventre, elle ne se débat plus bien au contraire, ses gémissements deviennent des râles de plaisir, elle jouit sous le joug de la bête ; il faut dire que la saillie est particulièrement longue et frénétique ; des sécrétions s’écoulent sur les cuisses béantes ; soudain le chien est parcouru de soubresauts.
« Il me remplit, je sens son sperme se rependre dans mon ventre et une grosse boule gonfle dans ma chatte ; c’est énorme, il me déchire je jouis !!!!!!! »
Pour moi je suis sidéré, ma femme vient de se faire prendre par le molosse, vient de jouir et cela m’a tellement excité que je viens de juter sur moi. Les deux amants viennent de s’écrouler sur le tapais et je comprends que le chien ne peut ressortir bloquer par la boule qui le ‘colle à sa femelle.
« Tu vois ta femme ne t’appartient plus et elle est devenue non seulement ma maitresse mais aussi celle de mon chien ; tu ne seras plus jamais celui qui la fait jouir même si tu la possèdes plus tard. »
A suivre
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