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domination

Chapitre 2

soumis les deux

Zoophilie
Le chien s’est couché à coté de ses maitres alors que nini git sur le tapis, épuisée par sa jouissance ; je ne peux bouger, toujours attaché et pourtant j’ai envie de faire l’amour ; j’ai la queue toujours aussi tendue et cela me fait mal ;  c’est alors que le maitre s’approche de moi ; «  regardes ce que ta putain de femme a provoqué »  il a en effet une trique énorme ; 20 à 22 cm pour au moins 5 d’épais ; je comprends mieux la jouissance de nini pendant qu’il l’enfilait ; son gland s’approche de mes lèvres  «  suce moi , prouve que tu peux me faire jouir » et il enfile sa queue entre mes lèvres ; il est gros et j’ai du mal ,surtout les mains attachées ; ma langue le suce, lèche le gland, s’infiltre dans le méat ; m’emprisonnant la tête entre ses mains , il s’enfonce et se branle entre mes lèvres ;il me baise la bouche,  et je fais ce qu’il faut pour son plaisir ; se retirant avant de jouir, il s’écarte soudain « regarde ta chienne, elle n’a plus besoin de toi ; en effet sans aucun ordre, elle s’est relevée et elle  s’occupe de la chatte béante de notre hôte ; sa langue est agile et bientôt sa maitresse gémit, se trémousse sous la caresse.
 Le chien sentant sans doute de nouvelles effluves, s’est redressé et vient flairer le derrière de mico, d’où s’écoule encore les sécrétions ; se sentant repoussé, il s’allonge sur dos cherchant des caresses un nouvel ordre «  caresse le ! » la soumise se retourne , regarde le maitre et se penche vers le ventre du canin et sa main prend le fourreau et le caresse doucement ; doucement un bout rouge sort, puis sous la douce branlette un long tube  se prolongeant par une grosse boule se développe : «  suces le » elle  se penche alors et  prend cette tige violacée dans sa bouche ; elle le suce l’aspire, le branle ; le chien s’agite ; la bouche doit lui plaire car son ventre se soulève ; elle le quitte alors pour revenir lécher la vulve de son amante ; surpris le chien se relève et vient à nouveau renifler , puis lécher la vulve offerte ; sa tige est énorme ;il se rapproche des fesses offertes essayant de s’engouffrer entres les lèvres mais à chaque fois il s’égare et soudain c’est dans son anus  qu’il trouve le chemin ; elle pousse un cri de surprise, puis s‘écrie soudain :  «  oh oui enfonce toi ; j’ai envie de sa queue ; j’ai envie qu’il m’encule » ; le chien ne demande pas son reste et d’une poussée il s’enfonce et bientôt sa boule est collée contre l’anneau ; puissamment il la pilonne émettant de petits grognements ; soudain elle hurle : la boule vient de franchir l’anneau et c’est toute la queue qui la sodomise, dilatant l’anneau  au maximum ; nini gémit de douleur , puis ses gémissements diminuent puis deviennent des plaintes de plaisir ; il faut dire que le chien l’a pénétré longuement, parcouru parfois de soubresauts ;le chien éjacule trois fois avant de se vider de sa semence et à chaque fois elle ouvre la bouche et suffoque ; il  la remplit de sperme puis il s‘immobilise sur son dos ; collée contre elle il ne bouge plus et il faudra un long moment avant qu’il ne se décolle d’elle
 Le maitre vient de me détacher et me mettant à mon tour à genou il vient frotter son gland sur l’anneau trop serré pour s’ouvrir facilement ; j’ai l’habitude de me faire prendre, mais toujours après préparation, et là je reste serrer ; une grande claque s’étale sur ma fesse surpris je sursaute et d’une seule poussée il me perfore, s’ouvrant ainsi une pénétration ; la douleur me déchire les entrailles et cela lui procure beaucoup de jouissance , » tu vois, tu es comme ta femme, le cul défoncé ; à ton tour de subir, mais je suis sûr que bientôt tu vas me demander de te pourfendre » ; en effet , sous l’emprise de sa queue, je ne tarde pas à ressentir monter le plaisir ;peu à peu la douleur s’estompe et les yeux rivés sur nini qui me dévisage , je ne peux retenir mes gémissements. «  vas y ,dis lui que tu aimes te faire saillir comme elle, que tu m’appartiens, que tu vas m’obéir  et devenir comme elle une vraie salope à notre disposition » ; une brutale claque me rappelle à l’ordre et sans aucune hésitation je confirme qu’il est mon maitre et qu’il peut faire ce qu’il veut de moi ; ses coups sont de plus en plus forts ; il me transperce et je jouis comme jamais ; je ne sais si c’est la force de sa pénétration ou sa domination, mais je suis prêt à tout ; sa femme s’est écartée de nini et s’harnachant d’un gros gode, elle écarte son amant de mari et sans retenue à son tour elle me sodomise ; « regardes le , un gros gode lui arrache autant de plaisir que ta chatte ou ton cul ; c’est de cela maintenant  qu’il a envie : se faire enculer par ses maitres » elle me défonce sauvagement et le gode vient s’écraser contre la prostate, augmentant mon plaisir ; sans pouvoir me retenir j’éjacule une nouvelle fois, hurlant mon plaisir  « encore maitresse, , prends moi pour ton plaisir, je suis à toi » aussi rapidement qu’elle m’a possédé, elle se retire et harnachant nini  , elle lui crie, « enfonce toi, déchires le, il n’est plus ton mari, mais un objet »
  elle obéis à l’ordre et viens à son tour me sodomiser, mais plus comme avant « tu aimes çà  être un objet ; je ne suis plus à toi mais à eux »  ce n’est plus ma nini, plus rien d’amoureux , non elle me saillie comme elle s’est fait saillir auparavant. Quand elle se retire, je m’écroule , dévasté par la fatigue et le plaisir.
Un moment de repos  et  un léger repas me permettre de récupérer , alors que les deux femmes se prélassent sur le sofa ; c’est alors que le maitre me prend par le bras «  je t’avais dit que tu aurais beaucoup de surprise et que la domination serait la meme pour tout les deux ;alors rmet toi comme elle tout à l’heure, à cheval sur le pouf » et  m’emprisonnant les poignets qu’ils attachent au pied de la table, il m’écarte les jambes, découvrant mon fessier et mon anneau.  Je m’aperçois alors que le dogue est entré dans la pièce ; j’essaie de me débattre mais rien n’y fait ; fortement maintenu, je sens la truffe du molosse me flairer le sillon et sa langue  me lé.cher« détends toi, tu vas apprécier et je suis sur que tu vas en redemander comme ta salope tout à l’heure ». il étend le plaid sur mon dos et comme un signal, le dogue se rue sur moi, ses pattes s’appuyant sur mon dos ; je sens son sexe chercher le passage ; «  vas y  soumise, places le chien » «  oui maitre » et  sa main,  prenant le mandrin , le dirige vers mon anneau ; en une poussée, il me pénètre ; je ne peux retenir un cri de douleur, mais en deux ou trois poussées ,il m’a investi complétement et ses pénétrations sont de plus en plus fortes ;comme tout à l’heure ses assauts durent ; une douleur violente et sa boule vient de me perforer et elle gonfle, m’emplissant le conduit ; il est en moi, je sens son mandrin gonfler et ses jets me remplir ; le plaisir me submerge ; il se vide en moi et je me sens vraiment devenir sa chose ; comme elle, je jouis sous sa semence ; un long moment plus tard, il dégonfle et en se retirant un flot de jus s’écoule ; épuisé, je m’écroule sur le tapisUne bonne partie de la nuit, nos maitre nous ont possédés, sans qu’à aucun moment nous puissions nous approcher l’un de l’autre ; leur main-mise était complète ; plusieurs fois possédés par nos maitre, et pour finir, nous faire prendre en même temps par leurs deux chiens et ce à plusieurs reprises.À la fin de l’après-midi, comme convenu, il nous a ramener chez nous, épuisés, dorénavant complétement changés ;  rapidement, nous avons compris que nous étions vraiment sous leur coupe, soumis certes, mais pleinement heureux de leur appartenir. Plusieurs semaines plus tard, un ordre nous arrivait «  deux hommes vont venir vous chercher et vous devrez leur obéir ; je vous offre à leur bon plaisir »  mais c’est une autre histoire
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