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Domination à l'agence immobilière

Chapitre 1

1 - Un amour de cravache

SM / Fétichisme
Erwan était arrivé à l’agence six mois plus tôt. C’était une agence immobilière du centre-ville de Bordeaux, plutôt spécialisée dans la vente des appartements et maisons de luxe. Cinq personnes y travaillaient : Aurélie, la directrice, trente-six ans, belle petite brune aux formes parfaites mais autoritaire et dure en affaires; Lucie, une employée d’une cinquantaine d’années, la plus expérimentée ; Etienne, trente-cinq ans, dit « Le beau gosse », Camille, une petite jeune, assez effacée, et donc Erwan, trente-neuf ans, nouveau dans le métier suite à une reconversion rendue nécessaire par la covid dans le secteur du tourisme.
Très vite, les choses ont commencé à aller mal pour Erwan. Aurélie ne lui laissait rien passer, ne lui confiait que les ventes mineures ou les biens « pourris », quasi invendables. Il ne se passait pas un jour sans qu’elle débarque dans son bureau, furieuse:  - Alors, Erwan, on en est où dans la vente de la rue de Turenne ? Toujours rien ? Mais qu’est-ce que tu fous ? L’appartement de la rue Mandron, tu l’as vendu ? Oui ? Tu as fait baisser le prix au vendeur, j’imagine ?  - Oui, c’était compliqué...   - C’est ça ! Tu trouves que notre commission est royale, peut-être ? Tu es nul mon pauvre !  - Erwan, qu’est-ce que tu as rentré cette semaine ? Rien ? J’y crois pas ! Tu penses que je te paye à ne rien faire ? Non seulement ce mois-ci tu te passeras de part de commission mais en plus tu auras une retenue sur ton fixe.
Erwan était atterré :   - Mais tu n’as pas le droit de rogner sur mon fixe ! C’est dans le contrat !   - Je m’en fous du contrat ! Je fais ce que je veux ! Et si tu n’es pas content, la porte est grande ouverte !
Erwan n’en pouvait plus. Il était au bord de la dépression et devait prendre des cachets pour dormir tous les soirs. Il perdait l’appétit et maigrissait à vue d’œil. En discutant avec ses collègues, il avait compris ce qui clochait chez lui. Les autres avaient un créneau, et pas lui. Lucie était la ménagère quinqua qui rassurait les familles ; Étienne, enjôleur, ferait signer n’importe quoi à des jeunes minidettes fascinées par ses yeux de braise et ses muscles avantageux ; Camille, la petite timide à qui on ne pouvait rien refuser, tirait son épingle du jeu avec ses yeux de biche.
Le pire, ce fut ce jour où Aurélie le convoqua dans son bureau. Elle le toisa et lui asséna d’un ton glacial:  - Mon petit Erwan ma patience est à bout ! Cet échec de la vente de la rue du parc, tu sais combien ça nous coûte ? Cinquante mille euros, oui, cinquante mille euros ! Rien que ça ! Il va falloir que tu commences à chercher un autre point de chute.   - Mais Aurélie...   - Pas de « mais Aurélie »! Étienne a vendu une maison à deux millions en début de semaine. Tu sais comment? En sautant la propriétaire ! Ça te choque ! Et bien lui, au moins, il a des couilles ! S’exclama-t-elle en fixant sa braguette avec mépris.
Erwan se trouvait minable, incapable de quoique ce soit. Peut-être que le suicide serait une solution, après tout, au point où il en était... Il ruminait ces tristes réflexions lorsqu’un évènements imprévu vint bouleverser le cours des choses.
Un vendredi soir vers dix-neuf heures, Aurélie fit le tour des bureaux et dit à Lucie, Étienne et Erwan de rentrer chez eux, la semaine étant terminée. Elle avait juste un dossier à voir avec Camille avant de fermer l’agence.
Lucie et Étienne partis, Erwan s’apprêtait à faire de même. Mais, en passant devant le bureau d’Aurélie, il crut entendre un bruit bizarre. Comme des pleurs ou des gémissements. Il ouvrit très légèrement la porte et ce qu’il vit le stupéfia. Aurélie était affalée dans son fauteuil, la jupe relevée, et Camille, la tête enfouie entre ses cuisses, la léchait avec ardeur. C’était surréaliste ! Ainsi donc ce dragon de patronne se faisait bouffer la chatte par la petite timide de l’équipe !
Aucune des deux ne pouvait le voir: Camille tournait le dos à la porte et Aurélie jouissait la tête en arrière, la bouche ouverte et les yeux au plafond. Erwan prit rapidement trois clichés et enregistra une courte vidéo avec son téléphone portable. Il referma doucement la porte et rentra chez lui bouleversé. Qu’allait-il faire de cette information ? Il ne savait pas encore, mais, c’était certain, il s’en servirait.
Il réfléchit tout le week-end, et, pour la première fois, se rendit à l’agence, le lundi matin, tout guilleret. Il était le premier. Il fit ce qu’il avait à faire, regagna son poste de travail et attendit. Peu après avoir posé ses affaires, Aurélie se manifesta. Elle ferma avec soin la porte du bureau de son collaborateur et s’assit dans un fauteuil face à lui.   - Comment s’est passé le week-end, mon petit Erwan ? Le ton sonnait évidemment faux. Tu es arrivé le premier ce matin, donc c’est toi qui as mis une photo sur mon bureau n’est-ce pas ?
Il hocha la tête. Visiblement, elle faisait un effort surhumain pour se contenir et ne pas se jeter sur lui pour lui arracher les yeux.
— Ce que tu as vu n’a aucune importance. Camille m’a gentiment demandé si elle pouvait me faire plaisir. Ça ne me tentait pas, tu t’en doutes bien, mais je n’ai pas voulu la vexer. Maintenant qu’elle est rassurée sur l’estime que je lui porte, elle ne me demandera plus rien. De toute façon, il n’y a pas de quoi fouetter un chat ! Estima-t-elle en se forçant à rire. Et, cajoleuse :
  - je compte naturellement sur ta discrétion, mon cher Erwan. Tu sais, je t’estime beaucoup. Si tu as besoin de conseils dans le travail, surtout n’hésite pas à me solliciter.
Un magnifique sourire illumina son visage, habituellement si sévère. C’était exactement la réaction qu’Erwan avait anticipée. Il put donc lui répondre avec assurance:   - Je vais réfléchir à tout cela. Je te propose de venir te voir ce soir dans ton bureau après le départ des autres, pour en parler librement.
Soupçonneuse, Aurélie hésita. Mais finalement elle accepta: elle saurait embobiner ce pauvre imbécile !
À dix-neuf heures trente, l’agence était vide, à l’exception d’Aurélie et d’Erwan. Il prit dans son armoire une cravache toute neuve, dégageant une forte odeur de cuir, et frappa à la porte du bureau d’Aurélie. Elle ouvrit, un large sourire aux lèvres qui se figea à la vue de la cravache. Elle fit un pas en arrière. Erwan entra, ferma la porte et s’appuya contre elle, barrant ainsi la sortie.
  - Qu’est-ce que c’est que ça? Tu ne vas quand même pas me frapper ? Je vais appeler la Police.  - Je ne te le conseille pas. Si tu les appelles, je porte plainte contre toi pour harcèlement moral. J’ai gardé des preuves, ne serait-ce que les fiches de paye indiquant les retenues sur mon salaire fixe, totalement illégales au regard de la convention.
  - Tu veux me faire du chantage? M’extorquer de l’argent ou coucher avec moi ? Ajouta-t-elle, en lui lançant un regard en coin.   - Rien de tout cela; je souhaite juste te punir pour tout le mal que tu m’as fait, les humiliations que j’ai subies chaque jour depuis que je suis arrivé, les nuits blanches passées à cause de toi, les envies de suicide...  - Tu exagères mon pauvre Erwan. C’était pour ton bien. D’ailleurs je trouve que tu t’améliores. Tu prends de l’assurance. Je suis certaine que bientôt tu seras un excellent agent. Tu pourras même prétendre à un poste de chef d’agence dans le réseau. J’appuierai ta candidature.
Exaspéré par l’hypocrisie d’Aurélie, Erwan lui porta un coup de cravache au visage qui laissa une large trace rouge sur la joue gauche. Les yeux exorbités, tétanisée par la douleur et la stupéfaction, elle s’exclama, en bredouillant :
  - Il...il a osé me... me frapper ! Le petit salaud ! Ça ne va pas se passer comme ça ! Laisse-moi sortir tout de suite !
Erwan barrait toujours la porte de son corps. Il lui asséna un deuxième coup de cravache au visage. Les larmes aux yeux, Aurélie ne savait que faire. Son portable était dans le tiroir de son bureau. Si elle cherchait à s’en saisir, il l’en empêcherait. Ces deux marques au visage allaient la défigurer pendant quelques jours ! Quelle catastrophe !
Devinant ses pensées, Erwan, ironique, lui lança : Eh oui ! Des traces sur le visage, cela étonnera et suscitera des questions. J’ai une solution pour toi. Tu soulèves ta jupe, enlèves ta culotte et je te fouette les fesses. Là au moins on ne verra rien!   - Tu es complètement fou ! Jamais ! S’étrangla Aurélie.   - Tu préfères que je te défigure ?
Erwan s’avança vers elle, la cravache levée au-dessus de sa tête. Réfléchissant en un éclair, Aurélie pesa le pour et le contre puis, espérant s’en tirer à bon compte, se décida:  - Non, non, ok, ok. Tu as raison, j’y suis allée un peu fort avec toi et ça mérite une petite punition, si ça te fait plaisir. Mais pas trop fort, hein?
Lentement, elle s’exécuta: elle enleva sa petite culotte, releva sa jupe, se pencha sur le bureau, et, bizarrement excitée, présenta son postérieur sans défense à son bourreau. Erwan admira ce cul parfait. Entre les deux demi-sphères à la peau nacrée, se dessinait une vulve magnifique, largement fendue en son milieu, promesse de plaisirs incomparables.
  - Écarte les jambes.
À peine avait-elle obéi que le premier coup vint cingler le haut de la fesse droite. Elle poussa un cri. Un deuxième coup s’abattit sur le haut de la fesse gauche. Elle émit une nouvelle plainte et tenta de se relever. Brutalement, il la rabattit sur le bureau.
  - Si tu bouges, c’est ton visage qui va prendre. Elle se le tint pour dit, endurant souffrance et humiliation.   - Bon ! L’obéissance est le début de la sagesse ! Grogna Erwan.
Méthodiquement, il frappa, alternant le côté gauche et le côté droit, en descendant lentement vers les cuisses. À chaque impact, la tête d’Aurélie se relevait, son dos se cambrait, ses jambes tremblaient. Erwan se délectait de la voir souffrir et crier. C’était le prix qu’elle devait payer pour tout ce qu’elle lui avait fait subir et que, d’ailleurs, d’une certaine façon, elle reconnaissait.
Après une vingtaine de coups, plus de la moitié du postérieur de sa patronne était écarlate, zébrée de traits plus foncés. Les cris diminuèrent en intensité puis furent remplacés par des gémissements, non que la douleur fut moindre, mais Aurélie semblait s’habituer, comme anesthésiée. En arrivant à la jonction des fesses et des cuisses, les cris reprirent de plus belle. Des hurlements, à vrai dire. Cet endroit était manifestement très sensible.
Tout à coup, Erwan remarqua la lente descente, le long des cuisses de la jeune femme, d’un filet de liquide presque incolore. De la cyprine.
  - Mais tu jouis ma parole ! Salope ! En plus tu aimes ça ! Ah mais tu vas voir !
Il asséna un coup violent sur la vulve, jusque-là épargnée. Elle se tordit dans un spasme ambigu, accompagné d’un long gémissement bestial. Il frappa cinq, dix fois avec une précision diabolique sur cette vulve à présent brûlante, ouverte, laissant échapper une quantité incroyable de jus. Erwan n’avait plus aucun doute ! Elle avait un orgasme !
Il s’arrêta, stupéfait. Elle chuchota dans un murmure :
  - Ne t’arrête pas, je t’en supplie, frappe-moi encore. J’aime ça!
Il recommença de plus belle à pilonner les points qu’il avait identifiés comme les plus sensibles. Elle n’en pouvait plus de plaisir ! Deux heures durant, le cul et la chatte incandescents, elle eut orgasmes sur orgasmes. Le plus petit contact avec ses parties intimes la mettait en transe.
Erwan était perplexe : il avait obtenu le résultat inverse de ce qu’il recherchait. Domptée, pantelande, Aurélie finit par se relever, les yeux éperdus de reconnaissance.
  - Je n’avais jamais connu une telle jouissance auparavant ! Tu m’as révélée à moi-même et fait découvrir ma vraie nature de soumise ! Je te veux comme maître !
Abasourdi, Erwan sortit de la pièce sans un mot, alla ranger la cravache dans son armoire et regagna son domicile en songeant à ce qui venait de se passer. Comment gérer la suite? Se demandait-il, non sans avec une certaine anxiété.
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