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Domination à l'agence immobilière

Chapitre 4

4 - Soumission à l'italienne

SM / Fétichisme
Erwan prit son temps pour répondre aux interrogations d’Aurélie. Maintenant, il savait qu’elle était entièrement conquise et sous son emprise. Sa stratégie avait réussi : la morsure de la jalousie avait détruit les dernières résistances opposées par l’ego et la morale de la jeune femme. Rendue totalement "accro", elle ne pourrait rien lui refuser tant sa crainte de l’abandon la terrorisait. Il jouissait de la situation : lui, si récemment encore méprisé au sein de l’agence, était maintenant le maître incontesté qui n’avait qu’à claquer les doigts pour qu’Aurélie s’humilie devant lui ou pour se faire plaisir avec la jeune Camille.
En y réfléchissant, il avait du mal à comprendre le mécanisme qui avait conduit à cette situation. L’alchimie de leurs deux personnalités, de leur pulsions, créait une dynamique diabolique. De son côté, il découvrait une part trouble, sombre, de lui-même qu’il ignorait posséder. Il prenait plaisir à faire jouir en infligeant de la souffrance: ce curieux paradoxe le laissait perplexe. Quant à Aurélie, méconnaissable, elle semblait s’enfoncer toujours davantage dans un masochisme destructeur, sans être en mesure de réagir. Jusqu’où irait-elle ? Quoi qu’il en soit, rien ne paraissait pouvoir arrêter la spirale infernale. S’agissant de Camille, il la tenait par l’intermédiaire d’Aurélie qui exerçait un pouvoir sur cette dernière, pouvoir dont il n’avait pas encore réussi à identifier la nature.
Étienne et Lucie se rendaient bien compte que quelque chose avait changé dans le comportement de leurs collègues mais ils n’arrivaient pas à déterminer quoi exactement, ce qui ne laissait pas de les intriguer. Ils étaient loin de se douter du scénario relationnel qui s’était mis en place à leur insu.
Un soir, donc, après le départ de ses collègues, Erwan pénétra dans le bureau de la chef d’agence et s’assit tranquillement en face d’elle.   - Tu me dis être amoureuse de moi, et me désirer. En fait, je crois que tu te trompes sur tes propres sentiments et qu’il n’y a qu’une chose que tu aimes: être traitée comme une chienne. Tu jouis dans la soumission et l’humiliation. Tu as besoin de te sentir dominée par une poigne de fer. C’est ce qui t’attache à moi. Si je te laissais un peu plus la bride sur le cou, tu me mordrais la main. Pas question de cela. Je te veux encore plus obéissante et putain. C’est en même temps ton désir le plus profond et mon assurance vie dans cette agence.
Aurélie écoutait les yeux baissés. Elle savait qu’il avait raison : sa manière à elle d’aimer n’était en réalité qu’une addiction à la souffrance. Tout avait commencé par la douleur physique du châtiment corporel. Les séances de flagellation lui avaient apporté, dans un premier temps, sa dose indispensable. Puis peu à peu, la dépendance s’était étendue à la souffrance psychologique, autrement plus violente et prégnante. La peur, la jalousie, l’impression de n’être rien, la submergeaient. Elle avait le sentiment de se vautrer avec délectation dans l’humiliation et de ne pouvoir s’en échapper. Cette impuissance même lui donnait des frissons de plaisir...
  - Tu peux me traiter comme une pute. J’adore ça. C’est plus fort que moi...et tu le sais. La seule chose que je te demande, c’est de ne pas m’abandonner. Tout ce que tu exigeras de moi, je le ferai. Tu n’as qu’à commander et je t’obéirai.
Pendant qu’elle parlait, Erwan réfléchissait. Qu’allait-il pouvoir lui infliger comme humiliation pour maintenir son autorité sur elle ? Une idée lui vint à l’esprit. Il s’en léchait déjà les babines par avance.
  - Bon je prends acte de ce que tu me dis. Je te donnerai des instructions par SMS dans les prochains jours. Tu n’auras qu’à les suivre à la lettre. Et tu n’as pas intérêt à rompre notre contrat !
  - C’est entendu, j’attends tes ordres. On sentait l’excitation percer dans la voix d’Aurélie. Sans nul doute, elle se conformerait à ses exigences avec docilité !
Quelques jours s’écoulèrent, puis, un vendredi, la jeune femme reçut le SMS suivant:" Demain, quinze heures, rendez-vous vingt-cinq rue de la Citadelle, dans le Vieux Bordeaux. Habille-toi en pute : pas de sous-vêtements ni de bijoux, jupe de cuir noir très courte, tee-shirt transparent, chaussures à hauts talons rouges et collier de cuir noir. Maquillage appuyé: eye-liner, fard à paupière, mascara, rouge à lèvres rouge vif; vernis aux ongles des mains et des pieds, également rouge vif."
À l’heure dite, la jeune femme se présenta à l’adresse indiquée, qu’elle connaissait déjà puisqu’il s’agissait d’une maison en vente, dans le portefeuille d’Erwan. Celui-ci lui ouvrit la porte et la pria d’entrer. Il l’introduisit ensuite dans le salon où se tenait un couple, les propriétaires.
  - Aurélie, je te présente Marco, le maître, et Graziana, sa soumise. Ils ont mis leur demeure en vente car ils ont l’intention de repartir chez eux, à Milan. En attendant ils ont besoin d’une esclave.
Marco était un colosse. La petite quarantaine, environ un mètre quatre-vingt quinze pour cent-cinq ou cent-dix kilos, mais tout en muscles. Visiblement un adepte du culturisme. Très brun, une barbe parfaitement taillée et des yeux noirs brillants. Ses lèvres épaisses laissaient supposer une sensualité animale renforcée par des dents étincelantes et carnassières. Il était habillé tout en noir : pantalon en cuir, débardeur qui mettait en valeur sa carrure, ses bras nus et ses pectoraux, et enfin des bottines. Une montre en acier enserrait son poignet gauche et un tatouage représentant un aigle ornait son bras droit.
Graziana, elle, pouvait mesurer un mètre soixante-dix pour cinquante-sept kilos. Brune, la coupe de cheveux au carré, les yeux verts, bien maquillée. Son chemisier de soie rouge laissait deviner une poitrine avantageuse et ferme, et sa jupe longue, blanche et fendue sur le côté, montrait, lorsqu’elle marchait, des jambes superbement fuselées. Ultra féminine, elle portait de jolies boucles d’oreilles en turquoise, une chaîne en or autour du cou et une chaînette également en or à la cheville gauche. Elle ne portait rien aux pieds.
C’était un couple magnifique et on sentait que chacun connaissait parfaitement sa partition, à la place qui était la sienne. Marco s’assit sur un confortable fauteuil en cuir beige, Graziana à ses pieds, sur le tapis. Aurélie et Erwan prirent place sur le canapé, en face d’eux.
    - Qui t’a dit de t’asseoir ? Fit Marco en s’adressant à la chef d’agence. Sa voix était grave et puissante, le ton cinglant comme une gifle. Instinctivement, elle se leva d’un bon, comme si l’assise du canapé lui brûlait le postérieur. Il poursuivit, en excellent français mais avec un fort accent italien :
  - Effectivement, nous repartons dans quelques mois en Italie. Mais d’ici là nous avons besoin...disons - il cherchait ses mots - d’une jeune femme à notre service...enfin, sexuellement. Erwan, vous avez parlé d’esclave... ce n’est pas exactement cela car la personne restera libre de ne pas continuer si elle le souhaite. Mais... nous voulons une femme sans tabous et très obéissante. Elle devra satisfaire aussi bien mes désirs que ceux de Graziana, gratuitement naturellement, et cela trois à quatre soirées par semaine. Elle apprendra ainsi ce qu’est la véritable soumission auprès de personnes très expérimentées. Aurélie, t-y sens-tu prête, sachant que tu ressentiras beaucoup de plaisir mais aussi pas mal de souffrance ? Par ailleurs, Erwan, vous m’avez demandé de pouvoir assister en spectateur à quelques-unes de nos séances. Il n’y a aucun problème pour moi à cela.
Aurélie lança un regard à Erwan qui opina du chef.
  - Oui je m’y sens prête. En tout cas je veux bien essayer.
Marco, s’adressa alors à sa soumise, en italien :   - E tu, tesoro, che ne pensi ? (Et toi, chérie, qu’en penses-tu ?).   - È una bella donna, ma mi chiedo se sia in grado di soddisfare i requisiti... (C’est une belle femme, mais je me demande si elle est en mesure de satisfaire à nos exigences...).   - Forse hai ragione... ma proviamola (Peut-être as-tu raison... mais essayons-la).  - È Lei il padrone. (C’est vous le maître).
Puis, se tournant vers Erwan et Aurélie :   - Bon, je vous propose de faire un test d’une semaine. Disons trois séances. À l’issue, on verra si on poursuit ou pas. Erwan, je vous invite à être présent à la première séance, qui sera assez soft, disons mercredi prochain, vingt heures. Je vous donnerai au préalable les instructions à transmettre à Aurélie.
  - Parfait, nous serons là.
Le mercredi soir, Erwan et Aurélie quittèrent l’agence. Au préalable, la jeune femme était passée aux toilettes pour se changer et mettre une robe blanche et des sandales, ainsi qu’un collier en cuir autour du cou et quatre bracelets, un à chaque poignet et cheville.
À leur arrivée, rue de la Citadelle, Marco les accueillit, vêtu d’une tunique blanche rayée de bandes violettes, à l’instar des patriciens romain. Graziana apparut à son tour, vêtue d’une robe en lin blanche, une sorte de "stola", cette robe que portaient les femmes dans l’antiquité, le contour des yeux très marqué de noir et portant une sorte de diadème. On aurait dit, à s’y méprendre, une représentation de Cléopâtre telle que certains bas-reliefs égyptiens nous l’ont transmise.
Erwan s’installa sur le canapé tandis que Marco intima à Aurélie l’ordre de se déshabiller, ce qu’elle fit rapidement. Graziana s’approcha d’elle et fixa le mousqueton d’une laisse à son collier.
  - À quatre pattes, sale pute! Et baisse les yeux quand je te parle! À partir de maintenant, tu n’es rien ici. Juste un objet pour mon plaisir et surtout celui du maître !
Graziana traîna Aurélie au bout de sa laisse tout autour du salon en l’insultant et l’humiliant :
  - Je te préviens, espèce de chienne en chaleur, tu n’as pas intérêt à me mordre ni à pisser sur le parquet! Et lui donnant un violent coup de pied au cul :
  - Montre-nous comment tu aboies !   - Wouah Wouah Wouah!  - Mieux que ça, sale bête! Plus fort !   - Wouaaaah! Wouaaah!   - C’est mieux ! On dirait que tu appelles le mâle ! Si tu veux une récompense, il faudra te défoncer !
Elle la tira sans ménagement par les cheveux, et, relevant sa robe, elle lui colla le visage contre son sexe :   - Lèche-moi la chatte !
Aurélie, commençait à peine à s’exécuter, qu’une gifle magistrale s’abattit sur sa joue gauche.
  - Plus doucement et avec sensualité, puttana !
La chef d’agence, les larmes aux yeux, jeta un regard suppliant en direction d’ Erwan qui fit semblant de ne rien voir. Esquissant un sourire sardonique, l’italienne poursuivit:  - Tu vas vite apprendre, crois-moi ! Ta langue alternativement sur chacune de mes petites lèvres, du bas vers le haut, puis sur le clito, par toutes petites touches...et ensuite tu le suces. Tu devrais savoir faire jouir une femme, stupide petite conne !
La joue en feu, Aurélie faisait de son mieux, tétanisée à l’idée de décevoir non pas cette garce mais Erwan... Peu à peu, cependant, Graziana se détendit et sembla même éprouver un plaisir grandissant...jusqu’à ce que Marco intervienne pour interrompre la séquence:
  - Tu jouiras plus tard, tesoro. Quand je le déciderai. Puis, à Aurélie: Reste à genoux et fais-moi une pipe... gorge profonde ajouta-t-il en riant.
Il sortit son sexe de dessous sa tunique. C’était un braquemart énorme, proportionné au reste du personnage. Long, bien sûr, mais surtout d’un diamètre impressionnant. Aurélie n’imaginait même pas qu’un homme pût avoir une bite pareille. Une vraie queue de taureau ! Elle se demandait même si elle allait pouvoir juste l’introduire dans sa bouche... alors la prendre en entier ce serait mission impossible.
Et pourtant, Marco ne lui laissa pas le choix. Il lui enfourna son sexe dans la bouche et pressa fortement la tête de la jeune femme contre son pubis. Elle crut défaillir tant cette pénétration était intrusive et violente, jusqu’au fond de sa gorge. Elle étouffait et des hauts le cœur la secouaient pendant que des larmes lui venaient aux yeux. L’homme, sans pitié, continuait à imprimer des va-et-vient puissants et réguliers.
Vaincue, Aurélie se laissait faire à présent, espérant que son supplice prenne fin au plus vite. Graziana regardait la scène d’un œil goguenard :
  - On dirait que tu n’es pas très douée pour les fellations... tu veux faire la pute mais tu n’en as pas les talents !
Enfin, après plusieurs minutes qui parurent une éternité à Aurélie, Marco retira son membre d’une dureté d’acier, turgescent et enduit de salive.
  - Lève-toi, monte sur cette caisse, tourne-toi et penche-toi. Ordonna-t-il sèchement.
Sans crier gare, brutalement et d’un coup, il enfonça par derrière sa verge jusqu’à la garde dans l’intimité d’Aurélie qui crut défaillir sous le choc. Sans attendre il entreprit de la besogner. Prise en levrette, elle ne pouvait que subir les coups de boutoir qui se succédaient en elle. Deux mains énormes la maintenaient d’une poigne de fer pendant que son vagin succombait à la sauvagerie des assauts constamment renouvelés. Elle commença par crier sa douleur. Mais, peu à peu, ses cris se transformèrent en gémissements qui bientôt s’éteignirent. Elle n’avait plus aucune force, transformée en une poupée disloquée, sans volonté, qui ne pouvait même pas s’écrouler sur le sol.
Impassible en apparence, Erwan observait ce qui était en train de se passer sous ses yeux. Un certain malaise commençait à l’envahir. Était-ce du remord? Peut-être. Il était impressionné par les humiliations et les souffrances qu’Aurélie acceptait de subir pour lui. De même que le désir de la jeune femme de se punir toujours plus restait un mystère pour lui.
Après avoir limé encore et encore, luisant de sueur, Marco finit par retirer son énorme bite qui éjacula à longs traits une quantité incroyable de foutre épais et blanc sur le dos de la chef d’agence. S’adressant à Graziana :
  - Lèche, jusqu’à la dernière goutte !
Sa soumise s’exécuta et lapa toute la semence qui dégoulinait sur le dos d’Aurélie, inerte, à demi inconsciente. Quand ce fut terminé, l’étalon italien lança à cette dernière:
  - Tu peux te rhabiller, c’est terminé pour aujourd’hui. Et à Erwan : on se recontacte pour un prochain rendez-vous ?   - J’en parle d’abord avec Aurélie et je vous tiens au courant.
Ils prirent congé. Erwan soutint Aurélie qui était sur le point de s’évanouir et la raccompagna chez elle. Là, sans un mot,brisée, épuisée, elle se jeta sur son lit sans même se déshabiller et s’endormit immédiatement d’un sommeil sans rêve.
Quelque chose d’inédit venait de se produire. Pour une fois, elle n’avait ressenti que de la souffrance et aucune jouissance. Ni les humiliations ni la douleur physique ne lui avaient apporté le moindre plaisir. Était-ce parce que ce n’était pas Erwan qui les lui avait infligées directement ? Ou était-elle en train de changer?
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