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La domination de mon mec

Chapitre 1

Les débuts

Hétéro
Si je sais précisément quand mes envies sont nées, quand j’ai développé mes fantasmes, quand ma sexualité a pris ce tournant, j’ai par contre totalement oublié le nom du film qui passait au cinéma au moment où Phil mon premier petit ami sérieux et moi nous y étions allés.
J’étais en fac d’histoire à cette époque et nous avions eu un prof absent et Phil avait été assez insistant pour aller voir le film. Si j’ai oublié le titre je me souviens parfaitement que c’était un exemple parfait du cinéma français intellectuel et social avec une bourgeoise dépressive qui goûte à la vraie vie grâce à son concierge qui lui fait découvrir la bonne culture à la mjc de quartier et ce  par le biais de l’enthousiasme de syndicalistes qui veulent éduquer le peuple afin qu’il accueille la bonne parole du parti aux lendemains qui chantent.  ( et évidemment il meurt à la fin tué par les..   ). Bref le truc réalisé par un vrai bourgeois qui n’avait jamais travaillé de sa vie. Pour moi qui venait d’un quartier populaire je m’étais ennuyée au bout de cinq minutes. Mon mec lui semblait fasciné ( bon j’imagine que voir l’actrice les seins à l’air au bout de ce laps de temps devait y aider) et j’en étais à me demander ce que j’avais de moins que l’actrice. J’étais ( suis toujours ) sportive, brune aux jolies formes, les cheveux courts, quelques taches de rousseurs sur un visage fin et rieur, des yeux verts, une bouche sensuelle..  Et j’étais là à côté de ce gars qui me draguait depuis un bon mois et qui maintenant était fasciné par une actrice dite d’avant garde ! C’est là que j’avais eu ma révélation et, encouragée par le nombre marquant de spectateurs pour ce fleuron artistique ( trois dont un endormi au premier rang ) et surtout la quasi pénombre de la salle j’avais décidé de reprendre la main ; littéralement…J‘avais posé ma main sur sa cuisse et l’avais lentement remontée vers son entrejambe. Immédiatement il avait voulu faire pareil mais je l’avais repoussé, c’était moi qui menais le jeu et à ma façon !J’avais juste posée ma main, sur son entrejambe et ne faisait que de très très lents mouvements mais cela suffisait à lui procureur une érection. Sentir son sexe gonfler sous le tissu, cela juste parce que j’avais posé ma main dessus, sentir sa tension, mm je me sentais puissante. Il ne regardait plus l’écran et semblait fasciné par ma main. Sa queue ( oh comme c’était bon de la désigner ainsi ) avait bien grossi et je m’étais mise à la tapoter du bout des doigts, presque distraitement. Il était visible qu’il ressentait tout à voir son visage un peu plus crispé.  Je changeais ensuite de technique et commençais à frotter le long de la tige avec mon index puis avec la paume de la main, pressant fort sur sa queue bien dure. Je sentais ma petite culotte s’humidifier de minute en minute et c’était vraiment bon. Il était là, la bouche ouverte, haletant silencieusement et pourtant je n’avais encore que pressé sa queue avec ma main, enfin, pressée, j’aurais pu dire presque écrasée, j’appuyais fort et il se raidissait , c’était géant de le voir ainsi.
Excitée j’avais retirée ma main pour mieux attaquer en lui glissant d’une voix suave— Sorts ta queue.Dés années plus tard je m’en souviens encore, de cet instant fabuleux où il s’était empressé de m’obéir et de sortir – à grand peine – son sexe de son slip. Ce n’était pas la première fois que je voyais un sexe masculin mais c’était la première fois que j’en voyais un en érection, brillant déjà de sécrétions et dire que c’était moi qui en était à l’origine. Oh comme je goûtais ce pouvoir !— Ne bouge pas !Je me souvenais de mes paroles ou plutôt de mon ordre et de son obéissance qui m’avait tant émue. Sa verge se tenait droite, rigide, ce n’était pas un énorme modèle mais pour moi à l’époque c’était impressionnant. J’avais pris mon temps pour la découvrir, la flatter, passer un doigt sur la grosse veine qui pulsait, effleurer le gland avec mon ongle et voir Phil se cabrer à chaque effet. Tout me venait instinctivement comme si j’avais réveillé un savoir-faire latent en moi. J’avais mis deux doigts en cercle et je serrais son gland et descendais en utilisant son pré-sperme comme lubrifiant. Sentir sa tension, son humidité, comme c’était excitant ! Ensuite j’avais palpé ses bourses gonflées, (le pauvre n’en pouvait plus ) serrant et desserrant ma main autour de cette petite chose fragile et chaude dans son nid de poils doux et sombres.  Je me souviens m’être dit qu’une bombe ne l’aurait pas fait bouger, tant il était focalisé sur moi, sur ce que je lui faisais. J’alternais entre frôlements et saisie à pleine main de sa queue pour le branler fort, tirer sur la peau jusqu’en bas, dégageant son gland gorgé de sang puis le griffant à nouveau avec mes ongles. Je sentais pulser tout son engin, je voyais tout corps se raidir. Je n‘avais jamais vu un homme avoir du plaisir mais je savais, je savais tout simplement qu’il en était proche.  Alors j’avais ralenti mes caresses, étais retournée saisir ses burnes, les presser à nouveau. Je lui avais fait baisser son pantalon et son slip pour mieux pouvoir jouer avec lui. Car oui, c’était devenu un jeu sensuel pour moi, j’étais terriblement excitée mais j’aimais trop ce pouvoir, savoir qu’il était prêt à tout pour que je continue, c’était si énorme !
Je respirais fort à mon tour, serrant mes cuisses l’une contre l’autre, c’était tellement plus intense que mes masturbations solitaires alors même que je n’étais pourtant pas au bout. Je soufflais à mon tour, j’avais envie d’aller vite mais ne même temps je savais que je n’oublierais pas cette première masturbation à un mec et je voulais savourer, découvrir le maximum de sensations.. Le film était loin d’être fini, ce genre de pensum guindé devait durer deux plombes et je me régalais à jouer avec sa tige tendue. Je le regardais, dompté, soumis, en adoration devant moi, dans sa bulle de sensations.Je serrais son gland en le regardant dans les yeux et il soufflait désormais comme un bœuf, comme il était excitant à regarder dans cet état, je savais déjà que je ne pourrais plus me passer de voir un mec dans cet état là et je voulais fixer les souvenirs au fer rouge dans ma mémoire tant c’était intense.  Sa queue était humide de son excitation et je faisais doucement mais le son de la musique couvrait tout de toute façon, aussi j’avais accéléré et les sons obscènes produits étaient bien mieux que la meilleure chanson du moment. Je serrais fort puis relâchais puis le serrait fort à la base, sentant la pulsation, l’amorce de sa jouissance, je savais, je sentais tout, un instinct immédiat pour faire cela.Mes doigts étaient humides et j’étais folle de cela. J’avais repris mon manège avec mon index puis avec deux doigts accolés, parcourant toute sa queue, appuyant et relâchant la pression car je sentais qu’il allait jouir, pour lui aussi c’était la première fois…J’avais serré ma main autour du gland dans un mouvement de rotation , de frottement, aidée par son excitation et je serrais, me sentant maîtresse de son plaisir, c’était grandiloquent comme expression mais cela reflétait mon état d’esprit. Il se mordit soudain dans sa main et je sentis son éjaculation dans ma main, les jets puissants se répandre dans ma paume. Le sperme me coulait entre les doigts, tant il y en avait, tant la pression avait été forte.Ma main s’était crispée sur sa queue, je ne pouvais plus bouger car j’étais tétanisée par un orgasme plus puissant, plus fort que tout ce que j’avais jamais ressenti. Moi aussi j’avais du me mordre la main pour ne pas alerter la salle ou l’ouvreuse. J’avais les yeux fixés sur mon poing serré sur son gland, ce poing d’où s’échappaient des coulées de sperme blanc. C’était un spectacle incroyable de beauté, un régal de voir cela. J’avais ensuite lentement desserré ma main et sa semence coulait sur sa tige qui, je le sentais se ramollissait lentement. Le sperme venait se mêler à ses poils pubiens et j’avais fini par m’essuyer les doigts sur son ventre, le faisant sursauter à chaque fois, complètement sous le choc.  
A l’époque je n’avais pas encore eu l’idée de lécher mes doigts, de déguster son foutre – cela viendrait plus tard – mais j’étais restée fascinée par le spectacle de sa jouissance et par l’effet si intense sur moi. Et son regard.. Ah son regard qui disait qu’il était désormais prêt à tout pour moi.  Je n’avais pas une grande expérience des mecs même si je sentais que tous n’auraient pas été aussi obéissants mais là je savais déjà que j’allais saisir chaque occasion pour le saisir lui et le branler encore et encore pour son, mon plaisir…
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