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La domination de mon mec

Chapitre 4

Deux rencontres

Erotique
Avec cette découverte d’un nouveau penchant je m’étais aussi ouvert un nouveau marché, celui de la femme seule à la maison, désireuse de découvrir des plaisirs différents sans prendre les risques liés à un amant éventuel et beau parleur. Avec moi rien ne filtrait de ce qui se passait dans mon salon et la plupart avaient soif de découvertes, si bridées par leurs époux totalement ignorants de leurs désirs ou trop préoccupés par une jeune secrétaire pour s’en soucier.Cela me convenait parfaitement, ma petite affaire se développait et moi je découvrais de nouvelles envies, de nouveaux plaisirs tout en explorant ma sexualité. Je ne vais pas vous raconter tous mes « massages » ce serait bien trop long et un peu répétitif, mais je veux encore narrer deux aventures importantes par les suites qu’elles ont eues…  La première concerne Sarah, une étudiante un peu plus jeune que moi. Je dois dire que quand j’avais lancé mon affaire, j’avais fait un peu de publicité par exemple au travers de lot de tombola à des clubs sportifs cela m’avait valu trois séances de massage tout à fait normales dont l’une avait générée du bouche-à-oreille positif et une quatrième mmm plus intéressante disons. Quand cette étudiante était arrivée j’avais été ravie. Elle était très jolie même s’il fallait voir au-delà de son apparence de petite souris de bibliothèque et j’avais ressenti le même genre d’étincelle qu’avec la jolie bourgeoise quelque temps auparavant.Elle était délicieuse dans ses manières de gentille fille sympa et toute surprise d’avoir gagné quelque chose. L’image de la souris et du serpent ( moi si vous ne l’aviez pas compris) c’était vraiment imposée à moi. Elle s’était déshabillée et allongée un peu gênée sur la table de massage mais au fur et à mesure de mes massages et sans doute bercée par l’ambiance zen, elle s’était détendue. Cette fois je n’avais pas attendu pour la regarder même si pour le moment je ne voyais que son dos. Elle était mince, presque fine même si elle était plutôt grande, les cheveux blonds coupés très courts. J’avais utilisé une huile neutre, et entrepris de détendre des muscles secs. Elle m’avait alors raconté courir beaucoup et, comme je l’espérais, le fait de parler de son appétence pour le running l’avait encore plus détendue et elle s’était confiée plus avant. Issue d’un bourg, elle avait choisi une filière historique qui lui plaisait bien n’étaient ce certains comportements des autres étudiants dont elle se demandait ce qu’ils faisaient là. J’avais compris qu’elle était célibataire et sa confidence sur des relations nulles me l’avait confirmé.J’étais passé à ses jambes fines et je lui faisais visiblement beaucoup de bien. Sous prétexte de la détendre plus je lui avais proposé de se mettre sur le dos. Un petit mensonge avait abouti à une toute petite serviette couvrant une poitrine dont on percevait à peine le renflement sous la fine épaisseur.
L’autre serviette couvrait juste son pubis, laissant ses longues cuisses dénudées. Je la massais délicatement comme si elle était un vase de prix et guettais, espérais le moment où ses cuisses s’écarteraient en trahissant son émoi. Cela arriva plus vite que je ne le pensais et tout en discutantd’une voix de plus en plus faible ( autre astuce évidemment) avec elle qui gardait les yeux fermés.Je notais que c’était une vraie blonde et cette petite découverte m’avait excitée. Excitée, elle l’était aussi au vu de son attitude. Elle avait ouvert les yeux et me fixait d’un regard trouble.  Un faux mouvement de ma part et sa petite serviette était tombée, dévoilant une mignonne petite paire de seins avec des tétons très sombres en comparaison du mamelon et de son teint pâle de blonde. Nous avions continué à parler en faisant comme si de rien n’était. Mon massage devenait de plus en plus lascif et je voyais ses tétons durcir. Étonnamment ils étaient très gros par rapport à ses seins et mes mains s’en rapprochaient de plus en plus, son regard oscillait entre crainte et espoir etenfin, ce fut elle qui d’un geste vif fit tomber le dernier rempart de coton exposant un carré de métro blond très sensuel. La coupe soignée de sa toison contrastait avec sa vêture presque anonyme et le frémissement de son corps alors qu’elle se dévoilait était vraiment plaisant.Elle ouvrait ses cuisses me laissant admirer son intimité et je caressais son ventre, ses hanches avant de finir par empaumer les deux petits seins.  Cette fois nous avions franchi un palier, elle s’étirait, faisant ressortir un peu sa poitrine et, plaçant ses mains croisées sous sa nuque s’offrait entièrement à moi. Je sentais mes pointes de seins durcir, mon intimité s’humidifier et j’adorais cela. Je savais que je pouvais faire ce dont j’avais envie, qu’instantanément elle s’était mise à ma disposition.  Je jouais avec ses tétons, les pinçant, les tirant vers le haut, je devais lui faire mal, mais elle se laissait faire, s’abandonnait totalement comme si elle avait compris qu’elle devait obéir ; m’obéir sans discuter. Plus tard elle me confesserait avoir toujours eu envie de soumission, avoir toujours refusé de se livrer, de suivre les pulsions qui la taraudaient au plus profond de ses nuits…
J’étais donc là, jouait avec son corps, pelotait sans retenue ses petits seins si réactifs. Elle commençait à gémir et j’adorais cela. Ses yeux brillaient de plaisir - et sans doute d’un peu de douleur - et je prenais mon pied à la faire vibrer. Je stoppais d’un coup, la laissant presque désemparée, le regard implorant avant de glisser ma main vers sa toison, son soulagement, son regard alors que je touchais sa petite chatte était ravissant et je l’avoue fort excitant.   Je m’amusais alors à la masturber, l’emmener chaque fois au bord du climax. Sa mouille coulait sur ses cuisses, ses mains étaient crispées sur le bord de la table, sa bouche ouverte filtrait de petits cris de plaisir. Mes doigts allaient et venaient dans sa chaleur humide, c’était le pied de maîtriser son plaisir, de le diriger…Enfin, le bout de la route se profilait et, afin de mêler encore plus intimement douleur et plaisir, en même temps que je caressais son bouton érigé, je tirais sur un téton – plutôt fort - la faisant partir dans un orgasme dévastateur.Je ne doutais pas un seul instant qu’elle était accro et prête pour plein d’autres jeux..
J’en arrive enfin à cette autre rencontre, celle qui donne le titre de mon aventure ; je veux parler de la rencontre avec mon mec. J’avoue que je ne pensais pas du tout à rencontrer quelqu’un et encore moins à trouver une personne avec qui je pouvais construire quelque chose ; comme quoi c’est quand on s’y attend le moins que cela arrive !Jean car tel est son nom avait reçu comme prime de Noël de son entreprise un bon cadeau pour un massage et je l’avais donc accueilli. Je dois dire que rien ne laissait présager notre avenir. Il avait mon âge ou presque, bossait dans l’informatique et avait un petit air de nerd pas déplaisant du tout. Cheveux bruns, courts, yeux bruns et un sourire chaleureux, un beau visage, mince, et à peine deux centimètres de plus que moi, bref plutôt attirant.J’avais été très pro, n’imaginant pas autre chose, savourant simplement l’instant. La conversation était agréable, je sentais ses muscles se dénouer et je crois que nous étions bien tout simplement. Je me souviens que j’avais mis un petit moment à réaliser qu’il semblait finalement de moins en moins à l’aise. Je me demandais pourquoi quand alors que je lui demandais ce qu’il avait, il s’était mis à rougir et que je comprenais enfin que monsieur avait une érection.
Oh ce n’était pas le premier loin s’en faut puisque c’était même souvent mon but avec les clients hommes mais c’était le premier qui tentait de la cacher et n’avait pas saisi les buts un peu particuliers de mon salon.Instruite par l’expérience des premiers mois et par mon instinct je décidais d’appliquer la même  stratégie que celle qui m’avait si bien servi quelque temps plus temps et l’apostrophais sans délai.— Écoutez je ne sais pas où vous pensez être mais votre attitude est inconvenante !— Je suis désolé, vraiment désolé.Oh son air gêné, sa tentative de cacher son sexe tendu, c’était charmant et adorable.— Je vais partir, euh sortir.— Arrêtez ma secrétaire peut arriver d’une minute à l’autre, mon salon serait fini à cause de vous !Évidemment, étant donné que je n’avais pas d’employé il n’y avait aucun risque mais c’était si bon de le voir ainsi !
Il s’était redressé et son sexe était bien visible, plutôt long et fin, il m’attirait et me donnait envie de jouer avec.  — Écoutez je me tourne et vous vous calmez.J’avais pris un ton un peu doctoral, mais je savais bien que ma blouse blanche et mes bas à couture, me rendaient sexy et de surcroît je voyais bien dans le miroir qu’il n’arrivait pas à se calmer, bien au contraire !— Je suis désolé, euh, vous m’excitez trop ,— Ah c’est ma faute que vous ne savez pas vous tenir, bon sang je vais perdre mon salon à cause de vous, et votre sexe tendu làJouant la fille hors d’elle je donnais une petite claque à sa verge qui se tendit encore plus fort et, feignant toujours l’exaspération et la colère, lui redonnais plusieurs tapes un peu plus fortes.— Mais bon sang rien ne vous calme, vous ne pouviez pas vous tripoter avant de venir !— Je n’y peux rien, je n’arrive plus à me contrôler, vous ne m’aidez pas, avec votre blouse euh pardon— Allez zut tripotez-vous, faites quelque chose, si elle rentre je suis foutue.— Vous voulez que je me …— Vous avez une autre solution, bon sang dépêchez vous allez !— Mais euh, enfin, je...— Vite allez, bon sang branle-toi qu’on en finisse je veux pas être jetée à la rue !
Il était rouge de honte et excité et moi rouge de tension et tout aussi excitée et se mit enfin à se palucher. Oh le pied que je prenais à le voir faire sur mon injonction.Il jetait alternativement un œil sur la porte et sur moi qui avais profité d’un instant de désarroi pour faire sauteur un bouton à ma blouse, dévoilant un peu plus mon décolleté.Il se masturbait vite, serrant sa queue humide d’excitation tout en regardant ma poitrine à la dérobée et je l’encourageais à se faire jouir— Allez branle-toi bien, vide- toi viteTout à son affaire, il ne se rendait pas compte que mes encouragements toujours plus crus ne cadraient pas du tout avec l’image de gentille fille un peu paniquée et stressée que j’avais mis en avant. En plus je me découvrais un penchant pour une certaine crudité de langage qui rajoutait à mon excitation.— Voilà, fais-toi jouir avant qu’elle n’arrive, vide-toi les burnes, allez, branle ta queuePour se branler, il se branlait bien et ses muscles se détachant bien sur son corps mince et sec je le voyais proche de la jouissance. Il était temps de passer à la suite…— Je vais , je vais jouir— Euh sur ton ventre vite, je trouve plus de papierPris par sa jouissance imminente il ne prêtait de toute façon plus attention au rouleau derrière lui ni à la pile de serviette prés de moi et se raidissait de plus en plus avant de jouir d’un coup, se vidant à longs traits sur son ventre et sa poitrine imberbe. Comme c’était beau de le voir éjaculer, de voir les traînées de sperme décorer son corps en une toile abstraite.Ceci dit il ne fallait pas le laisser trop réfléchir, il en avait déjà assez profité. J’essuyais son ventre avec mes doigts, me régalant de toucher sa semence de l’étaler avec mes doigts tout en faisant la dégoûtée pour rajouter encore un peu de perversité innocente à mon personnage— Bon sang, comment enlever tout celaJe tendais mes doigts devant lui, voyais briller une lueur dans ses yeux mais résolut de passer à plus fort car après tout j’avais un vrai coup de cœur pour lui.— Ah non, je vais pasSans le lâcher des yeux , je suçais mes doigts, léchais le reste de son foutre sur son ventre et son torse, m’approchais de lui, ma bouche au-dessus de la sienne puis, nos regards toujours soudés l’un à l’autre m’approchais de plus en plus mes lèvres des siennes et murmurais  — Et m’embrasser c’est possible ?Question purement rhétorique, du sperme coulait déjà de ma bouche et tombait sur la sienne  Ce fut lui qui ouvrit sa bouche, acceptant mon don pervers et le baiser scellant notre rencontre.
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