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Domination noire

Chapitre 1

Mme Martin découvre la soumission de sa fille

Orgie / Partouze
Je m’appelle Sylvie Martin, je suis professeure de maths dans un lycée privé assez coté en banlieue parisienne. Je suis une mère de famille de 43 ans et j’ai eu la chance d’avoir deux magnifiques jeunes filles dans ma vie. Juliette qui a maintenant 25 ans, que j’ai eue quand j’étais très jeune avec mon copain de lycée, elle est en couple avec son homme depuis 2 ans et ils pensent se fiancer. Puis Lisa qui a eu 18 ans il y a quelques jours. Lisa rentre en dernière année de lycée.
Côté relation, à part quelques aventures avec des hommes que j’ai rencontrés dans des bars avec des amies, rien depuis que mon mari est mort. Il était militaire et nous a laissé une bonne bourse avec son assurance, ce qui nous a permis de nous acheter un pavillon dans un quartier très chic et de vivre plus que convenablement... Malgré tout, le sexe me manque beaucoup et c’est pourquoi j’ai décidé d’acheter des godes il y a quelques mois. Un long gode noir et un vibromasseur qui font mon plaisir et qui occupent bien mes nuits solitaires. Je suis pourtant assez jolie, blonde, de taille moyenne avec une silhouette élancée et un bon 90D. Une grosse poitrine que j’ai d’ailleurs transmise à mes filles qui sont aussi sexy que moi à leur âge...
Le boulot ne me passionne pas tellement, mais il faut bien gagner sa vie et aujourd’hui, c’est le début d’une nouvelle année de cours. Je m’habille donc assez classe, tailleur blanc et talons hauts. Je conduis ma fille par la même occasion et me voilà dans la salle des profs. Le proviseur nous parle et nous annonce que cette année, le lycée reçoit trois élèves âgés de 18 ans venant de banlieues défavorisées et que nous devons tout faire pour qu’ils se sentent intégrés. « Voilà une bonne idée », me dis-je. Je me penche sur la table pour voir mes classes de cette année et vois que ma fille est dans ma classe dont je suis la prof principale. Il y a aussi les nouveaux élèves venant du milieu défavorisé, deux filles nommées Farida et Leia et un garçon nommé Moha.
La journée se passe normalement jusqu’à mon cours avec ma classe principale, celle qui comprend ma fille. Tous les élèves sont assis et je vois que les trois nouveaux sont au fond de la salle et discutent bruyamment. Je réclame le silence et essuie les regards courroucés des deux filles noires qui m’ont l’air d’être des vraies pétasses. Tout du long de mon cours sur le théorème de Thalès, ils chahutent, mais ce qui me surprend le plus c’est quand Leia fait tomber son stylo et qu’elle demande à une fille, d’un notaire respecté que je connais, de le ramasser. La fille se précipite et lui ramène le stylo. Leia ne la remercie même pas et continue à parler avec Farida. Plus tard, Farida envoie une boulette de papier sur ma fille qui se retourne pour voir qui lui a lancé cela. J’ai envie de protester et de punir l’insolente, mais ma fille se lève et lui ramène la boule de papier.
J’assiste estomaquée à la scène, ne comprenant pas le comportement de Lisa qui n’a pourtant pas l’habitude de se faire marcher dessus. Le cours se finit et les élèves sortent de ma salle. Les deux filles noires sortent en dernière non pas sans m’avoir lancé un regard étrange. Je les regarde s’éloigner et je remarque qu’elles ont donné leurs sacs de cours à ma fille et à sa meilleure amie...
Je finis ma journée et rentre chez moi. Ma fille, finissant plus tard, je suis seule à la maison pendant un moment. Je vais à la douche et profite de ce moment calme, après avoir passé une journée auprès des élèves. Je repense à l’étrange histoire qui s’est déroulée durant mon cours. Je ne comprends toujours pas pourquoi les filles de ma classe se laissent faire par ces deux nouvelles fortes têtes. Je n’ai pourtant pas élevé ma fille comme cela. Lorsqu’elle rentre, elle va directement dans sa chambre et ne réapparaît que pour le repas. Nous mangeons en silence jusqu’à ce que je prenne la parole :
— Alors cette nouvelle classe sympa ?— Oh oui ça va ! me répond-elle la bouche pleine.— Pas trop dur d’avoir sa mère en prof ma chérie ?— Ne t’en fais pas maman, je l’ai dit à toute la classe et ils savent tous que tu es ma mère et ils s’en fichent.
J’essaye d’amener la conversation vers le sujet des nouveaux...
— Et les élèves qui viennent de la banlieue, ils sont sympas ?
Elle s’arrête de manger pendant un moment et rétorque :
— Oui bien sûr, pourquoi cette question ?
— C’était juste pour savoir mon poussin ne t’énerve pas, je réponds, surpris par son ton.— Farida et Leia sont très cool et Moha aussi même s’il parle moins.— D’accord, finis-je par répondre, voyant que continuer sur cette conversation ne servira à rien.
On monte se coucher et je prends mon vibromasseur comme chaque nuit. Mais mes pensées s’égarent un peu ce soir et je me surprends à penser à Leia et Farida et à leurs actions. Je me reprends et me concentre sur d’autres images, mais je ne peux m’empêcher d’y revenir et je suis horrifiée de voir que cela m’excite. Quelle sorte de femme suis-je ? Elles ont quasiment harcelé ma petite fille ! Mais c’est plus fort que moi et je finis par jouir, mon corps s’arquant d’un seul coup, avec l’image de ma fille qui ramène la boulette de papier en tête... Après avoir récupéré de cet orgasme destructeur, je vais vers la salle de bain pour me débarbouiller et j’entends ma fille gémir. Je sais qu’elle est en train de se masturber et je me demande bien en pensant à quoi... Mais je ne le saurai jamais.
Le lendemain, rebelote, je conduis ma fille au lycée et après un arrêt en salle des profs, je me rends dans ma salle pour mon premier cours. En première heure, j’ai la classe de ma fille. Les élèves rentrent et je vois que les sacs de Farida et Leia sont portés par deux mecs cette fois-ci. Ils les déposent au fond de la salle, aux places de leurs détentrices et vont s’asseoir. Toujours aucun remerciement de la part des filles. Je vois que le regard de Farida est fixé sur moi et ce regard me rend mal à l’aise. Sait-elle sur quoi je me suis masturbée hier ? Je sais que c’est impossible, mais cette pensée me traverse l’esprit et me trouble.
Je remarque que pendant le cours, Leia n’a pas pris ses affaires et emprunte littéralement tout à ma fille qui lui passe ses affaires sans discuter, malgré la demande forte impolie de la nouvelle. Moha lui s’amuse à lancer des projectiles sur les élèves de la classe qui ne disent rien. Mon instinct me dit de me lever et de les jeter à la porte, mais étrangement, je reste assise et regarde la scène, comme hypnotisée par ce que je vois. Je réalise que mes tétons commencent à pointer sous mon tailleur et que les élèves pourraient le remarquer. C’est là que je vois le regard de Farida toujours fixé sur moi, elle a un sourire en coin qui me fait froid dans le dos.
La cloche sonne et les élèves sortent. Leia et Farida sortent encore une fois en dernière en me lançant un regard de plus en plus étrange. Deux heures de cours plus tard, je me rends aux toilettes des filles, mais lorsque je suis dedans, j’entends des filles parler fortement.
— Putain t’a vu comment mes pompes sont dégueulasses ! Nettoie-moi ça espèce de truie, tu les as salies en marchant dessus. — Désolé Leia, je vais les nettoyer, je m’excuse !— Avec la langue connasse !
Je n’entends pas la réponse de la fille à qui parle Leia, mais je suis rassurée de savoir que ce n’était pas la voix de ma fille. Je m’approche discrètement et regarde à travers la serrure. Chloé, une jeune fille brune très jolie qui est la fille d’un médecin connue dans le quartier, est à quatre pattes en train de lécher les chaussures de Leia tandis que Farida prend des photos. Farida s’approche ensuite de Chloé et lui claque les fesses en rigolant. La pauvre élève pousse des cris de douleurs, mais Leia lui lance un regard noir et elle se dépêche de nettoyer la paire de chaussures. Farida remonte la jupe de Chloé et prend une photo de la culotte de celle-ci. En tant que professeure, je devrais intervenir et faire cesser ce scandale, mais je n’arrive pas à bouger et reste figée devant la scène. La cloche annonçant la fin de la pause me sort de ma torpeur et je me dépêche de fuir en entendant les paroles de Leia derrière moi :
— Bon on n’a pas le temps pour aujourd’hui, mais si tu recommences je peux te dire que ça va barder !
Tout émoustillée, je retourne en classe et me reconcentre sur mon cours. Mais je m’aperçois vite que mes tétons pointent encore et je sens même ma chatte s’humidifier à ma plus grande honte. J’essaie de ne pas le montrer et à la fin du cours je me précipite dans la salle des profs pour souffler un peu. Je suis excitée et c’est plus fort que moi, il faut que je me doigte ! Je me dirige vers les toilettes des profs et m’enferme dans une d’elles. Je retire ma jupe et mon string et me hâte de triturer mon clitoris. Je ne comprends pas ce qu’il m’arrive, je n’ai jamais ressenti autant de besoins de sexe...
Il m’en faut plus et je cherche autour de moi quelque chose pour remplacer mon gode. Je finis par tomber sur le manche du balai pour nettoyer les toilettes et me l’enfonce dans le vagin. Je suis tellement mouillée qu’il rentre d’un coup et je m’empresse de me tringler avec, prise dans une folie sexuelle. Je sens l’orgasme monter et me pince le téton, cela me fait jouir et tout mon corps tremble me donnant un énorme orgasme qui me laisse pantelante et haletante. Je me rhabille et me passe de l’eau sur le visage avant de ressortir comme si de rien n’était.
L’après-midi se passe comme d’habitude et j’en viens à oublier les deux filles noires. Mais cependant, un dernier évènement va avoir lieu dans la journée. Alors que je patrouille dans la cour de récréation, je me rends à l’endroit où ma fille et ses amies traînent. Elle fait partie de la bande un peu populaire des dernières années et toutes ses amies ont 18 ans et sont des filles de riches PDG ou médecins. Je me rends donc à cet endroit et ce que j’y trouve me laisse sans voix. Leia, Farida et Moha sont avec le groupe de ma fille. Les nouveaux arrivants sont assis sur les marches et regardent défiler les filles de notre établissement. Chaque fille doit passer en se déhanchant devant eux et finir par soulever son uniforme pour montrer ses seins. À plusieurs reprises, Leia ou Moha leur pincent les tétons ou leur mettent des claques sur les seins puis les filles laissent la place aux autres.
Même ma fille va aller montrer ses seins à Leia qui va les tirer violemment, lui arrachant un cri de douleur. Ses gros seins attireront d’ailleurs l’attention de Farida qui déclare :
— Elle, elle me plaît bien avec ses airs de sainte-nitouche et sa mère professeure !
Je suis sous le choc, comment trois nouveaux élèves peuvent-ils contrôler le groupe des filles les plus populaires de l’école en deux jours ? Mais surtout, pourquoi ma fille se laisse-t-elle faire par ces pervers ?
Encore une fois, je ne peux pas bouger et assiste impuissante à l’humiliation de ces petites bourgeoises et de ma fille. Les filles donnent après un peu d’argent à Moha qui part s’acheter une glace à la cafétéria. Ma fille et ses copines sont forcées par Leia d’enlever leurs soutiens-gorges et Leia les prend puis les attache sur un arbre à la vue de tous. Tout le reste de la récré, les jeunes filles subissent quelques attouchements, leurs tourmenteuses s’amusant à leur prendre les seins à pleines mains et jouer avec. De mon observatoire, je réalise que la vision de cette scène m’a fait tremper ma culotte et je sens mon jus couler le long de ma jambe. Je décide de battre en retraite avant de me faire voir et quitte avec regret la vision de la soumission des filles.
Ma chatte est gorgée de cyprine et j’ai encore besoin de me doigter... Je décide de dire que je suis malade et de rentrer chez moi. Arrivée à la maison, je me déshabille en plein milieu du salon et me précipite fiévreusement vers ma chambre puis vers le tiroir de ma table de nuit. Je sors le gode et commence à me pistonner le con avec, puis décidant que ce n’était pas assez, je pose le vibromasseur sur mon clitoris en renfort. Haletante et gémissante, je tortille mon corps en ressassant les images de ma fille montrant ses seins à ces filles noires. L’imaginer soumise m’excite honteusement et énormément à la fois. Je suis prise d’un premier orgasme puis très vite d’un deuxième. La violence du plaisir me fait tomber dans les vapes et je m’endors, le gode toujours enfoncé en moi...
Je sors de mon sommeil et je vois que la nuit est presque tombée. Je me rends compte que le gode est toujours dans ma chatte et que le vibro a continué à fonctionner et n’a maintenant plus de batterie. Je me dépêche de ranger mon matériel et sors de ma chambre après m’être habillée. Je croise alors ma fille dans le salon.
— Maman ça va ? Je ne t’ai pas vue cet après-midi !— Oui tout va bien, je ne me sentais juste pas bien, mais tout va mieux, je réponds priant pour qu’elle ne se doute de rien. — Tu feras gaffe, il y a tes vêtements par terre, dit-elle en montrant du doigt mon tailleur et ma jupe.
Je panique et réponds à la hâte.
— Oui, je ne me sentais vraiment pas bien et j’ai foncé à la douche, ma puce.
Je ramasse mes affaires et remarque en la regardant qu’elle ne porte toujours pas de soutien-gorge, ses gros seins ne connaissant malgré tout pas la gravité. Je chasse cette pensée de mon esprit et me dirige vers la cuisine pour faire à manger. La soirée se passe bien et on parle de tout et de rien. Le soir, je m’endors sans passer par l’étape masturbation, m’étant suffisamment vidée aujourd’hui.
Le lendemain, c’est mercredi. Une demi-journée et je me dis que normalement, il ne peut pas arriver grand-chose. Je nous conduis donc ma fille et moi à notre établissement. Je suis convoquée avant mon premier cours par le proviseur qui veut savoir si les nouveaux élèves s’intègrent bien. J’ai envie de lui dire la vérité sur leurs activités, mais je ne sais pas pourquoi je me tais et je mens en disant que tout se passe à merveille. Le reste de la journée se passe bien et j’appelle ma fille pour savoir si je dois la ramener à la maison ce midi. Ce à quoi elle me répond qu’elle va manger avec des copines et qu’elle reviendra dans la journée à pieds. Je rentre donc à la maison et décide de regarder un film pour me détendre. Vers 16 heures, voyant que ma fille n’est toujours pas rentrée, je commence à m’inquiéter et prends la voiture pour voir si je la trouve dans le quartier.
Alors que je fais des tours de notre quartier aisé, je remarque alors quelque chose : un garçon noir, ce qui n’est pas très fréquent ici, qui monte la garde devant une ruelle. Je décide de m’approcher pour voir ce qu’il se passe et je stoppe la voiture. Je connais le quartier et contourne le veilleur pour avoir accès à la ruelle. Je me cache derrière une porte et découvre alors ce qui se trame.
Ma fille et sa meilleure amie sont toutes deux à genoux en train de prodiguer un cunnilingus à deux filles à la peau mate, que je reconnais être Leia et Farida. Ma petite fille chérie suce la chatte de Leia en donnant des coups de langue qui font gémir sa tortionnaire. Leia a posé les mains sur la tête de Lisa et l’oblige à enfoncer sa langue encore plus loin. Farida qui se fait lécher par la meilleure amie de ma fille, Émilie, gémit en les insultant copieusement :
— Léchez-nous bande de putains, ça vous a excitées de montrer vos chattes aux serveurs du restaurant hein ? Vous vous dites bourgeoises, mais vous êtes juste des salopes comme les autres !
Les deux filles de bonnes familles, ne disent rien et poussent des gémissements étouffés par la chatte qu’elles sucent. Je me demande, horrifiée, ce qui a bien pu se passer au restaurant.
— Moha vient profiter de ces salopes, personne ne va se pointer, lui crie Leia.— Il faut faire gaffe, on n’est pas loin de la maison de la chienne, dit-il en désignant ma fille. Sa mère pourrait se pointer.— Mme Martin, notre professeure ? Elle n’a qu’à venir, je parie que c’est une aussi grosse chienne que sa fille. Je l’ai vue nous mater ce midi quand on les faisait défiler et je peux te dire qu’elle n’a pas baissé les yeux, rétorque Farida.
Je suis humiliée de savoir que Farida m’a vu et que ma fille sait maintenant que j’étais là quand elle a dû leur montrer ses seins. Moha ne se fait pas prier et demande à ma fille de le sucer. Lisa s’arrête devant son membre, les yeux ronds.
— Ne me dis pas que tu n’as jamais sucé de bites ?— Si je l’ai déjà fait... répond ma fille.
Moha la gifle et lui crie :
— Pour nous c’est maître !— Je vous demande pardon maître et oui je l’ai déjà fait, répète ma fille, les yeux baissés. — Alors suce ma bite et applique-toi ! ordonne Moha.
Je suis outrée de les entendre parler comme ça à ma fille, mais la vision de ma fille suçant la bite noire de Moha me laisse tremblante d’excitation. Je comprends que ma fille et ses amies sont réellement soumises aux nouveaux. Ma fille s’active sur sa bite tout en lui caressant les couilles tandis que Leia passe une main le long des fentes des deux jeunes filles.
— J’en étais sûr ! Elles sont trempées ces putes ! rugit Leia.
Je suis choquée, mais bizarrement encore plus excitée de savoir que ma fille est elle-même excitée par la situation. Ma main descend automatiquement vers mon entrejambe et je me mets à me caresser mécaniquement le clitoris. Leia caresse maintenant frénétiquement la chatte de ma fille et d’Émilie et les filles laissent échapper des gémissements. Je vois les tétons de ma fille pointer et son bassin commencer à suivre les mouvements des doigts de Leia. Farida et Moha arrêtent de se faire lécher et sucer et on peut maintenant entendre les halètements de ma fille et Émilie. Lisa a le regard dans le vide et la bouche ouverte tandis qu’elle bouge son bassin comme pour des invitations muettes aux doigts de Leia.
Je suis complètement excitée par la scène et j’ai maintenant baissé ma jupe et mon string tandis que mes doigts ont investi mon vagin. Je me doigte rapidement en essayant d’étouffer les cris de plaisirs qui veulent sortir de ma bouche. Moha et Farida prennent des photos des deux filles bourgeoises, qui n’ont plus rien de respectable et qui poussent de petits cris de plaisir en balançant furieusement leurs bassins. Leia sent qu’elles sont proches de l’orgasme et pince alors leurs clitoris. Leurs orgasmes se déclenchent en même temps et elles poussent un cri rauque tout en vibrant sous la puissance du plaisir. Moha en profite pour se finir dans la bouche de ma fille, qui est trop occupée à respirer pour se rendre compte qu’il lui décharge tout son sperme en bouche. Il la force à avaler et ils s’en vont, non sans avoir pris d’autres photos.
Ma fille et sa meilleure amie restent allongées par terre dans la ruelle, la fente à l’air, un petit moment, puis se relèvent, se regardent gênées et se disent au revoir. De mon côté, j’ai joui comme une folle en mordant ma lèvre pendant que Moha était en train d’éjaculer sur ma fille. Je retourne à ma voiture et me dépêche d’être de retour à la maison avant ma fille. Quand elle rentre, je lui dis un simple bonjour et continue mon film. Elle me regarde avec un regard un peu anxieux, elle se demande si je vais parler du fait que je l’ai vue montrer ses seins à d’autres élèves pendant la recrée. Mais je ne dis rien, faisant comme si rien ne s’était passé.
Demain est un autre jour...
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