Je me présente, je m’appelle Anastasia et j’ai 18 ans aujourd’hui. Il y a quelque temps, j’ai découvert par hasard un site de SM. Ce que j’ai vu m’a tout de suite plu. Je m’imaginais à la place des soumises, ligotée, n’attendant plus que mon maître. C’est pourquoi je me suis promise de passer une annonce le jour de mes 18 ans. Me voilà donc devant mon ordinateur occupé de taper un message, poser en quelque sorte ma candidature. "Jeune fille de 18 ans recherche dominant afin de lui faire découvrir la soumission. Disponible de suite ". Je n’ai pas attendu beaucoup avant d’avoir une réponse. Le soir même j’avais reçu trois mails. L’un d’eux attira plus particulièrement mon attention : "Très chère, je suis maître John et je me propose afin de vous faire découvrir le vaste monde de la soumission. Je voudrais que vous répondiez à quelques questions : -Couleur de cheveux. -Poids -Taille En attente d’une réponse. Maître John. " Après une courte réflexion, je me décidais enfin à lui répondre en faisant attention à bien l’appeler Maître John. "Maître John, Je vous remercie de votre attention. Pour répondre à vos questions, j’ai de longs cheveux bruns parsemés de mèches blonde. Je pèse 52 kilos pour 1mètre 58. Bien que n’ayant jamais étais soumise à un maître, je voudrais que celui qui prendra en charge mon éducation ne prenne pas de pincette. Je dois vous avouer que j’aime souffrir. Je ne trouve la jouissance que par la souffrance. Bien à vous, Anastasia " Sa réponse ne se fit pas attendre et il me donna rendez vous pour le lendemain chez lui. Il précisait que je devais venir sans sous-vêtements, un top blanc qui moule la poitrine et une courte jupe noir qui arrive à ras la chatte. J’eus du mal à m’endormir tellement j’étais excité. Le lendemain matin arrive beaucoup trop lentement à mon coup et c’est fébrile que je me mis en quête des vêtements demandés puis je me mis en route. Arrivé devant sa maison, qui était cachée par des arbres, je ne pris pas le temps de réfléchir et sonnais à la porte. Une voix masculine m’invita à entrer ce que je fis bien que je ressentais un léger malaise. Je le regardais dans les yeux et me pris une gifle que me propulsa au sol. -Sale chienne, Est-ce que je t’ai accordé le droit de me regarder dans les yeux ?-Non maître ! Fis-je les larmes aux yeux. -A genoux et suce ma queue. Devant mes yeux se trouvait une bite énorme que me fis saliver. Sans prendre le temps, je me jetais dessus et arrivait avec un peu de mal à la mettre en entière dans ma gorge. Elle devait bien faire un bon 20 cm . La salive me coulait du menton mais je m’en fichais, je n’avais qu’une seule envie faire jouir mon maître ce qui me prit 10 bonnes minutes. Lorsqu’il éjacula dans ma gorge, il m’ordonne de tout avaler et de lui prouver qu’il ne restait rien. Il me tira violement par le bras pour me mettre debout et me traina dans les escaliers jusque dans son grenier. Ce que je vis me fis frémir de désir. Devant moi se trouvait la parfaite panoplies du dominant, des chaînes, des roues, des bougies et j’en passe des meilleurs. Il me fis m’allonger sur le dos sur un banc puis m’attacha les poignés. Je le vis se dirigeait vers un meuble ou il en sorti un couteau, un fouet ainsi qu’une bougie qu’il alluma avant de se diriger vers moi. -Grosse pute, tu vas apprendre à respecter ton maître. Tu commence bien ton entrée, tu seras puni. Il découpa mes vêtements qui tombèrent au sol puis fit couler sur ma peau de la cire de bougie. Je pleurais, le supplier d’arrêter mais rien n’y fis. Il se dirigea vers mon sexe et fis basculer la cire que s’était accumulée. Je ne pus retenir un gémissement car j’adorais vraiment la sensation de la brulure. Il se mit à me fouetter de plus en plus violement en me traitant de tous les noms ce qui me fis jouir. Je remarquais qu’une érection tender son sexe. Une fois toutes trace de la cire disparue, il me fis de retourner et me pris par derrière sans même me préparer ce qui me fis hurler. Il me mordait et à un moment il encercla mon cou de ses mains et se mit à sérer. J’avais le plus grand mal à respirer mais je me sentais bien. Pour la première fois de ma vie, je savais que cela me plaisait et quand il jouit dans mes intestins, je ne pus me retenir et me lâchais à mon tour. -Lèches ma bite, je la veut propre. Je ne pus retenir un léger mouvement de recul en voyant se queue remplis de merde puis sans un mot la nettoyais. Il se retira dans une autre pièce en m’ordonnant de tout remettre en ordre.
