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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Dominées, conquises, soumises

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Et bien voilà, j?avais déjà fait quelques histoires sur ma condition de soumise et cela faisait déjà un moment que je n?avais plus rien écrit. J?avais connu la vie de soumise avec un de mes petits amis et j?avais pris goût à cette manière d?être, c?est ce qui m?avait poussé à écrire mes récits. Mais je n?avais jamais imaginé que je rencontrerais quelqu?un qui lirait mes textes. C?est pourtant ainsi que j?ai rencontré mon(mes) nouveau(x) maître(s) et c?est sur leur demande que j?écris notre rencontre et nos expériences.
J?étais allée à un camp louveteaux en tant que cuistot(e), quelques-unes de mes amies étaient chef dans cette unité et m?avaient demandé de venir les aider un petit peu. L?endroit semblait sympathique bien qu?un peu poussiéreux. C?était un gîte perdu dans les bois à l?écart de tout, l?idéal pour des louveteaux. Un garçon devait également jouer le cuistot avec moi. Je suis donc arrivée et on m?a présentée à ceux que je ne connaissais pas. Parmi les chefs, il y avait Christelle et Aurélie, deux de mes amies ainsi que Philippe et Christophe. J?avais déjà vu Philippe lors d?une des fêtes des louveteaux à laquelle j?avais été invitée. Et il y avait enfin l?autre cuistot, Sébastien. J?avais remarqué qu?il avait fait une espèce de grimace en entendant mon nom, comme s?il me connaissait. C?est d?ailleurs ce qu?il me demanda et je pouvais affirmer avec certitude ne jamais l?avoir vu.
Le camp avança un peu et après une petite semaine, les chefs eurent besoin des cuistots pour un jeu. Sébastien et moi devions nous placer à un poste dans un bois et attendre que les louveteaux arrivent pour leur faire passer des épreuves. Nous sommes donc allés à notre poste, et nous sommes assis sur un gros rocher. Et alors que nous discutions, Sébastien me fît une remarque.? Je sais d?où je te connais... ?? Ah oui ? ?, lui répondis-je? J?ai lu tes histoires sur internet... ?J?étais rouge de honte, je n?avais jamais imaginé que je rencontrerais quelqu?un qui aurait lu mes récits. Je savais que beaucoup de monde allait sur le net mais je me disais que quelques textes perdus sur la toile ne se feraient jamais remarquer.Je bafouillais, ne sachant plus que dire, je devais être rouge pivoine, je n?arrivais plus à le regarder.? J?ai beaucoup aimé, c?était vraiment des histoires très intéressantes... ?Je continuais à bafouiller, ne trouvant pas mes mots, ne sachant plus trop comment réagir.? As-tu trouvé quelqu?un d?autre ? Un nouveau maître ? ?J?étais assez perturbée, je comprenais bien ce qu?il me disait mais j?étais sous le choc, je ne savais que répondre. J?avais bien compris qu?il s?agissait d?une proposition mais j?avais du mal à l?admettre. Reprenant mes esprits, je répondais : ? Heu... non... ?? Et bien maintenant, si ?, me dit-il.Je le regardais, l?air étonnée. Il était vraiment sûr de lui, persuadé de pouvoir être mon maître. J?étais stupéfiée par sa confiance en lui et comme c?était un garçon sympathique, je lui fît un signe de la tête pour acquiescer. Un sourire illuminait alors son visage.? Et bien, pour commencer ta nouvelle vie de soumise, il va falloir te déshabiller ?Je le regardais, abasourdie. Il voulait que je me mette nue, dans la forêt, alors que des louveteaux allaient arriver. Me voyant le regarder avec cet air étonné, il me dît :? Et bien, Aurore ? Tu refuses d?obéir à ton maître ? ?A ces mots, je me suis souvenu du plaisir que j?avais eu à être soumise et je me suis exécutée. J?ai retiré mes vêtements et me suis retrouvé en soutien-gorge et petite culotte.? Je me doutais que tu avais un beau corps, mais il va falloir me le montrer entièrement sais-tu ? ?Fermant les yeux, je lui ai obéi et j?ai retiré ce qui me restait dessus, couvrant mon sexe et mes seins de mes mains.? C?est très bien, très bien Aurore. Maintenant, accroupis-toi et fais-moi plaisir. ?
J?étais gênée à en mourir, nue dans la forêt alors que des jeunes louveteaux allaient bientôt arriver et lui il me demandait de goûter son sexe.Je me suis dit que j?étais sa soumise désormais et j?ai dégrafé son pantalon et sorti son sexe déjà dur. Je mis mes deux mains autour de celui-ci et j?ai pincé ma bouche à son bout. Je m?appliquais à faire de mon mieux pour lui donner du plaisir, je venais de me trouver un nouveau maître un peu forcé et je voulais lui montrer que même si je me sentais obligée de lui obéir, je pouvais lui apporter du bien. Je faisais ainsi passer ma langue le long de son sexe, montant et descendant. Ma main droite jouait avec ses testicules alors que ma main gauche suivait le mouvement de ma langue. Mes cuisses nues se frottaient l?une contre l?autre. Plus rien n?importait à ce moment-là, juste moi et ce sexe tendu. Sébastien me dit ensuite d?arrêter, les louveteaux arrivaient ! J?ai sauté derrière le gros rocher et me suis rhabillée en quatrième vitesse. Les louveteaux arrivèrent et blaguèrent en nous voyant tous les deux. Si seulement ils savaient ce qu?il s?était vraiment passé, ils auraient vraiment de quoi parler. Une fois les louveteaux partis, Sébastien m?embrassa et nous sommes retournés au gîte où nous avons feint qu?il ne s?était rien passé.
Le camp continua tranquillement, les autres chefs se doutant qu?il y avait anguille sous roche entre Sébastien et moi mais ils ne purent jamais trouver quoique ce soit, alors ils s?amusaient à nous blaguer, tout comme le faisait les louveteaux. De temps en temps, lorsqu?il n?y avait personne, Sébastien faisait s?égarer sa main le long de mon corps et j?appréciais cela.
Le hike arriva bientôt et les louveteaux ainsi que les chefs allaient bientôt partir, nous laissant seuls Sébastien et moi. Je redoutais un peu ce moment et pourtant je l?attendais avec impatience. Les autres partirent le matin, non sans blaguer en nous disant qu?ils voulaient nous voir marier à leur retour.
Nous étions maintenant seuls et je savais que Sébastien allait prendre les choses en mains, ce qu?il ne tarda pas à faire. Quelques minutes après leur départ, nous étions en train de nous embrasser et de nous toucher. Sébastien commença à retirer mes vêtements alors que nous nous dirigions vers la chambre. Une fois nue, je me mis à retirer ses vêtements et nous tombions sur le matelas pneumatique. Ses mains caressaient mes seins, glissaient le long de mes hanches alors que je faisais de même. Sa langue quitta ma bouche et il me dit de me retourner, ce que je fis sans hésiter. Il m?ordonna alors de me mettre à quatre pattes puis de coucher ma tête sur l?oreiller. Il posa ses mains sur mes fesses et entra en moi. Mes mains s?agrippèrent à l?oreiller, je fermais les yeux. Il était en moi et s?enfonçait encore plus profondément. Il commença des mouvements de va-et-vient alors que mes bras s?enroulaient autour du coussin. Je tournais la tête et la posais sur l?oreiller, celui-ci frottait contre ma joue, il était doux et chaque mouvement me faisait frissonner. Le sexe de Sébastien bougeait en moi, me poussant peu à peu vers l?avant du lit. Je commençais à gémir alors que mes seins se mettaient à frotter le matelas. Je me cambrais, levant mes hanches le plus haut possible. Son mouvement n?arrêtait pas, le plaisir montait en moi. Son sexe entrant dans le mien, ses mains caressant mes fesses, je n?y résistais plus. Je poussais un cri, puis un autre, le suppliant de continuer. Je commençais à trembler et l?orgasme montait en moi. Quelques instants plus tard, alors qu?il retirait son sexe du mien, je jouis et il m?accompagna, se déversant dans mon dos. Epuisée par cet orgasme, je me laissais aller mais, mes jambes bloquées, ma croupe restait en l?air alors que je reprenais mon souffle. Je finis par me coucher sur le lit et Sébastien se coucha à côté de moi.
Nous avons encore fait l?amour plusieurs fois durant la journée jusqu?au retour des chefs et des louveteaux. Mes amies et les autres finirent par se douter que quelque chose s?était passé entre Sébastien et moi et du coup c?était officiel, nous sortions ensemble. Ce qui sembla faire plaisir à tout le monde. Nous avons alors déplacé les lits et mis le mien à côté de celui de Sébastien. Bien vite, nous avons combiné nos sacs de couchages pour n?en faire plus qu?un dans lequel nous ? dormions ? tous les deux. Le camp se poursuivi ainsi, et j?eux de nombreuses occasions de suivre les ordres de mon nouveau maître. Je suis d?ailleurs persuadée que des louveteaux nous ont vus une fois. A la fin du camp, Sébastien et moi nous sommes encore vus régulièrement, il avait son propre appartement, ce qui permettait de se voir souvent et aussi librement que nous le voulions. Et quelques semaines après, il m?a proposé de me présenter un couple qu?il connaissait, ceux-ci désiraient également vivre une expérience comme je l?avais vécue et comme je le vivais. L?idée pouvait être intéressante, c?est pourquoi je l?ai acceptée.
Ainsi, nous avions rendez-vous avec eux. Je dois avouer avoir été assez nerveuse, j?allais rencontrer des gens que je ne connaissais pas et j?allais certainement vivre des expériences avec eux. Je me disais bien qu?il y avait des filles comme moi, qui appréciait la soumission, mais je n?en avais encore jamais rencontré. Nous sommes donc arrivés au café où nous devions les rencontrer, ils étaient déjà là à nous atteindre. Sébastien m?a présenté au couple, le garçon, Michael, était assez grand avec des cheveux bruns coupés court et des lunettes ; la fille, Julie, était plus petite, avec des cheveux blonds mi-longs avec une mèche penchant sur le côté et des sourcils très fins, elle avait l?air assez jeune. Nous avons discuté un peu, histoire de se connaître un peu plus. Durant la conversation, je n?ai cessé de penser à ce que nous ferions, je n?avais pas la tête à la conversation mais plutôt aux expériences que j?allais vivre. La conversation a fini par arriver à nos expériences et les garçons nous ont demandé ce que nous en pensions. J?ai dit avoir une certaine expérience dans le domaine, et qu?ayant vraiment apprécié cela, j?étais prête à vivre de nouveau ainsi. Julie, quant à elle, n?avait jamais fait de ? telles choses ? mais elle était tr ès intéressée, Michael lui avais proposé d?essayer et elle avait fini par accepter. Les vacances n?étant pas encore finies, Sébastien nous a proposé de passer une semaine tous ensemble dans son appartement, ce que nous avons acceptés de bon coeur.
Nous nous sommes donc installé chez Sébastien, celui-ci et moi-même dans sa chambre, Michael et Julie dans la pièce voisine. Nous avons passé une première journée très classique, rien de particulier n?est arrivé. Je dois admettre que cela m?avait même déçu, je m?attendais à quelque chose de spécial, mais rien ne s?est passé. A la fin de la journée, nous nous sommes chacun diriger vers nos chambres. Au moins, là, je pourrais prendre du plaisir avec Sébastien. Et, effectivement, à peine étions nous entrés que Sébastien commençait à me déshabiller. J?étais ravie et le déshabillais lui aussi. Puis il m?ordonna de me coucher et d?écarter les jambes, ce que je fis sans la moindre hésitation. Il s?approcha et posa sa main sur ma jambe gauche. Il poussa celle-ci devant lui, pliant mon genou pour l?approcher de ma poitrine. Son sexe entra alors en moi. Je tirais la tête vers l?arrière, fermant les yeux alors que je le sentais me pénétrer. Ma main droite se mêlait dans les draps de lit alors que ma gauche se posait sur sa jambe, je commençais à gémir. Ma joue se frottait contre mes cheveux alors qu?il poursuivait son mouvement de va-et-vient, mes gémissements augmentaient. J?entendis alors comme un écho, je pouvais entendre une fille gémir. Je ne mis pas longtemps à comprendre, j?entendais Julie dans la pièce voisine. Elle était juste derrière le mur, ma tête toute proche de celui-ci. Je n?avais jamais entendu une autre fille gémir si ce n?était à la télévision. C?était très excitant, je me disais que moi aussi je devais faire un bruit si agréable. Mon maître aussi devait aimer lorsque je gémissais ou criais. Je me mis à gémir sans retenue, poussant un petit cri à chaque expiration. Mes gémissements se faisaient de plus en plus forts, Julie, elle, se tût durant un moment avant de recommencer de plus belle. L?espace d?un instant, je m?imaginais alors ce qu?il se passait dans l?autre pièce. Sébastien releva mes jambes, plaçant mes genoux presque tout contre ma poitrine. Je m?agrippais à ses cuisses alors qu?il attrapait mes hanches et enfonça son sexe encore plus profondément en moi. Mes gémissements devinrent de petits cris avant de devenir de vrais cris. Julie fît de même, nous étions toutes deux en train de crier, certainement côte à côte, séparées par un simple mur fin. Je pus l?entendre crier plus fort et je compris qu?elle avait joui, cette idée fît monter mon excitation et je jouis également. Nos cris se turent. Sébastien, après avoir jeté son préservatif, me rejoint au lit et se coucha à mes côtés.
Le lendemain, Julie et moi-même avions sûrement toutes deux décidés de ne pas en parler, mais c?était sans compter sur nos maîtres qui ne manquèrent pas de signaler combien cela avait été excitant. J?étais un peu gênée lorsqu?ils dirent cela mais je dois admettre que j?étais vraiment d?accord avec eux. Nos maîtres décidèrent alors que cette nuit, nous ferions cela dans la même chambre. Julie sembla un peu offusquée mais se rétracta après avoir regardé en direction de Michael.
Le soir arriva bien vite, et nous rentrions tous les quatre dans la chambre de Sébastien. Nos maîtres nous intimèrent l?ordre de nous déshabiller. Julie et moi nous sommes regardées, puis, baissant les yeux, j?ai commencé à retirer mes vêtements. Julie me suivi et se déshabilla. Nous nous sommes retrouvés toutes deux nues devant nos maîtres. Je trouvais que Julie avait un joli corps, elle cachait ses seins et son sexe de ses mains mais je pus voir que bien qu?ils soient assez petits, ses seins étaient très beaux. Sébastien et Michael se sont déshabillés et se sont couchés sur le lit, côté à côte. Nous avions bien compris que faire, je me suis approché de Sébastien et Julie de Michael. Je me suis mis à quatre pattes sur le lit au-dessus de Sébastien et j?ai avancé ainsi pour l?embrasser, puis j?ai dirigé son sexe vers le mien, posant mes genoux le long de son corps. Je me suis finalement assise sur lui en poussant un râle de plaisir. Il agrippa mes hanches alors que je posais mes mains sur son torse. Il commença alors à me soulever avec ses hanches, poussant son sexe dans le mien. Ma poitrine était poussée vers l?avant, comme si je me cambrais, mes yeux se fermaient et je commençais à gémir. L?écho de Julie ne tarda pas à me rejoindre. Le son de ses gémissements était bien plus puissant que la veille, et bien plus excitant. Ses petits cris faisaient l?écho des miens et je voulais en faire de même, nous gémissions côte à côte. Julie n?était qu?à quelques centimètres de moi, je l?effleurais même quelque fois par inadvertance lors de nos ébats. Sébastien écarta mes bras et les plaça sur ses épaules, il pouvait alors se redresser pour me lécher les seins, ce qui augmenta considérablement mon plaisir. Mes gémissements devinrent des cris, couvrant ceux de Julie. Sentir ce sexe en moi, cette langue sur le bout de mes seins, ces mains sur mes fesses, glissant sur mes cuisses, me procurait un plaisir immense. Je me penchais en arrière, tournant un peu la tête. Je pus voir Julie, elle aussi, au bord de l?extase. Elle tourna aussi la tête et nos regards se figèrent. Je la voyais, haletante, les yeux humides, le regard complètement bloqué dans le mien, poussant de petits cris aigus. Le plaisir montait en moi, en elle aussi et nous avons joui toutes deux en même temps. Le regard figé, l?une dans l?autre. Je suis parti en arrière, tombant le dos sur le lit. Julie partit vers l?avant, se couchant sur Michael. Mais notre nuit n?était pas finie, nos maîtres n?en avaient pas encore eu assez. Ils se sont déplacés, le lit étant assez grand, ils se sont mis l?un en face de l?autre, leurs pieds se touchants presque. Nous étions prêtes à recommencer et nous sommes de nouveau installées sur eux. Mais, ils nous dirent que nous n?étions pas mis correctement, nous ne devions plus les regarder mais leur tourner le dos. Cela signifiait que Julie et moi serions face à face, à quelques centimètres l?une de l?autre. Nous nous sommes donc retournées. M?appuyant sur le lit, tentant de garder mon équilibre avec mes pieds sur le lit, je faisais de nouveau glisser son sexe dans le mien. Julie en faisait de même, et peu après, nous étions face à face. Julie s?appuyait sur les mains de Michael qui la soutenait. Cette fois, j?étais un peu plus gênée que la fois précédente. Je pouvais voir le sexe de Michael entrer en Julie, je pouvais voir la poitrine de celle-ci rebondir à chacun des coups de Michael, je pouvais voir ses cheveux bouger en rythme avec son corps, retombants délicatement sur ses épaules. Cette fois, je pouvais la voir crier, sa tête se redressant à chaque inspiration, je réalisais alors que ses yeux étaient aussi posés sur moi. Moi qui faisais la même chose qu?elle, qui gémissait, qui criait. J?étais gênée et détournais la tête mais mon maître me rappela à l?ordre, m?intimant l?ordre de garder les yeux ouverts, droits devant moi. Quelques mouvements de va et vient après, Sébastien plaça ses mains sur mes cuisses et les tira en arrière, ce qui me fît basculer en avant. Je tombais sur mes bras, sentant le sexe de mon maître sortir un moment du mien. Michael fît de même avec Julie qui tomba droit devant moi. Mon maître posa ses mains sur mes hanches et reprit son mouvement d?entrée et de sortie, m?ordonnant de garder la tête droite. J?étais face à Julie, tellement proche d?elle que je pouvais sentir son souffle sur moi. Cette fois, je tentais de retenir mes cris, me forçant à ne pas gémir, comme si elle ne n?avait jamais entendu et que je ne voulais pas qu?elle m?entende. Julie, elle, ne se retenait pas et je pouvais l?entendre pousser de petits cris en me regardant. Nos maîtres nous ordonnèrent de nous regarder, droit dans les yeux, ce que j?avoue avoir eu du mal à faire. Nous étions l?une en face de l?autre, le corps secoué par le plaisir, Julie avait les yeux humides, on aurait presque dit qu?elle pleurait mais je voyais bien qu?elle n?était pas malheureuse. J?eu le temps de l?admirer alors que je prenais du plaisir en sentant mon maître entrer en moi. J?ai ainsi remarqué qu?elle était vraiment très jolie et que le plaisir la rendait encore plus belle. Ses seins remuaient sous elle mais ne pendaient pas, ils faisaient un hypnotique mouvement, la peau tendue. Nos mouvements finissaient par nous faire frôler par les cheveux de l?autre, ses cheveux blonds caressant délicatement mon visage. Sous les coups de nos maîtres, nous nous approchions de plus en plus l?une de l?autre. Je ne tenais plus, ces cris résonnants dans mes oreilles, ce sexe entrant en moi, le regard de Julie dans mes yeux, je craquais et jouissait, criant mon plaisir au visage de Julie. Julie ne résista pas longtemps non plus au plaisir et je pus l?entendre jouir avant de retomber à côté de moi sur le lit. J?étais épuisée et me suis endormi sur l?instant avec le visage de Julie comme derrière image et je peux vous assurer qu?il est très perturbant pour une fille de voir le visage d?une autre fille lors de l?orgasme.
Nous avons encore continué quelques jours à faire l?amour côte à côte et un jour, nos maîtres nous ont dis qu?il était temps d?améliorer encore nos relations. Ils nous ordonnèrent à Julie et à moi de nous embrasser. Nous nous sommes regardées et Julie commença à objecter mais nos maîtres la rappela à l?ordre. Personnellement, j?étais un peu gênée mais j?avoue que cela faisait partie de mes fantasmes, je n?ai donc pas refusé ni montrer mon acquiescement. Nos maîtres nous ont pressées d?agir et Julie et moi nous sommes rapprochées l?une de l?autre. Nos visages se rapprochaient, lentement. Julie gardait bien les yeux ouverts, regardant loin de mon visage. Peu après, nos lèvres se sont rencontrées, je n?ai pas osé sortir ma langue et Julie n?était vraiment pas décidée à le faire. Les lèvres de Julie étaient très douces, mais je ne voyais pas vraiment de différence à embrasser une fille ou un garçon. L?expérience, bien que très courte, m?avait plût mais il ne semblait pas qu?il en soit de même pour Julie qui partit rapidement dans sa chambre où Michael la rejoignit. Ils ressortirent peu après, Julie semblait avoir pleuré mais Michael l?avait sans doute réconfortée ou rappelée à l?ordre car le lendemain, nos maîtres nous demandèrent de recommencer et cette fois-ci, Julie ne sembla pas refuser. Elle glissa sa main sous mon menton, comme pour me soutenir la tête et, en fermant les yeux, elle posa ses lèvres sur les miennes. Dorénavant, Julie et moi devions nous embrasser à chaque fois que nos maîtres nous l?ordonnaient et ils semblaient vraiment apprécier de nous voir toutes deux nous embrasser. Peu à peu, je me montrais plus hardie dans ces embrassades, jusqu?à tenter finalement de sortir ma langue. J?avais peur que Julie ne refuse mais je voulais vraiment le faire, je voulais embrasser une fille. Je glissais ma main derrière sa nuque, comme pour l?empêcher de refuser, et je fis passer ma langue dans sa bouche. Julie ne refusa pas, j?en étais très heureuse. Nous nous sommes embrassées longuement et nos maîtres nous ont dis avoir beaucoup appréciés cela. J?avais un peu l?impression de tromper mon maître mais lorsque je lui en ai parlé, il m?affirma en être très fier et que je pouvais considérer sortir avec lui tout comme avec Julie. Cela me perturba un peu, je venais de réaliser que je sortais avec une fille. Je me suis posé beaucoup de questions ces moments-là, je me demandais si c?était bien, si ce n?était pas contre nature, ... Mais lorsque je voyais le corps de Julie quand Michael lui faisait l?amour, je me disais que tout compte fait, ce n?était pas grand mal et qu?après tout c?était un plaisir. Julie semblait aussi apprécier car elle m?embrassait de temps en temps sans que personne ne lui demande rien, ce que je me mis à faire aussi. Dorénavant, j?avais en tête que je sortais avec Sébastien et Julie. A ce moment, lorsque nous faisions l?amour tous ensemble, Julie et moi nous penchions l?une vers l?autre pour nous embrasser. C?est un sentiment étrange de ressentir un sexe en soi, des mains traînants sur mes hanches, une langue sur ma poitrine et une langue dans la bouche. J?avais l?impression de faire l?amour à plusieurs personnes à la fois, et c?était dans le fond bien le cas. De temps en temps, j?avais l?impression de faire l?amour avec Julie. Et parfois, lorsque nous étions côte à côte, je laissais glisser ma main le long de sa cuisse alors qu?elle faisait parfois passer sa main dans mes cheveux.
Nos maîtres semblaient avoir un plan, ils savaient ce qu?ils voulaient et comment y arriver et bien vite, il me sembla qu?ils pressèrent les choses. Ils nous dirent que cette nuit, nous ferions l?amour dans des chambres séparées, à la différence près que j?irais avec Michael et Julie avec Sébastien. Julie et moi étions assez consternées et avons commencé à nous emballer, en haussant parfois le ton pour comprendre ce qu?ils voulaient. Nous avons dû alors discuter à ce sujet pendant un moment et Julie et moi avons finalement décidé d?accepter leur proposition. J?ai accepté car je trouvais qu?il était de mon devoir de soumise d?accepter et si Sébastien le désirait, je devais accepter. Il fallu rappeler à Julie qu?elle avait décidé de devenir soumise et qu?elle ne pouvait en retirer que du plaisir et elle finit par accepter. Nous nous sommes alors séparés, j?ai suivi Michael dans la chambre et Julie disparut avec Sébastien. A sa demande, je me suis déshabillée alors qu?il faisait de même. Il se coucha alors sur le lit, laissant pendre ses jambes hors de celui-ci. J?avais déjà compris ce que je devais faire et me mettais sur les genoux. Je fis glisser ma poitrine entre ses cuisses et plaçais mes deux mains sur son sexe. Michael posa ses mains sur mes bras. J?ouvris la bouche et fis glisser son sexe dans ma bouche. Je fermais peu à peu les yeux et commençais quelques mouvements de va-et-vient avec ma tête. Sur le moment, j?eus un peu peur, j?avais vraiment l?impression de tromper Sébastien mais, peu à peu, ce sentiment disparut et je n?étais plus qu?à ce sexe dans ma bouche. Les yeux fermés, je faisais glisser ma langue le long de celui-ci, le serrant dans ma main gauche alors que la droite le caressait un peu. Durant un instant, j?avais tout oublié. Qui je suçais, où j?étais et peut-être même qui j?étais, rien ne comptait plus que ce sexe dans ma bouche. Michael recula un peu sur le lit et je le suivais, bouche ouverte, me traînant vers son sexe, la langue tirée, afin de le reprendre le plus vite possible en moi. M?ayant laissé le sucer encore un peu, Michael posa sa main sur ma tête et me dit d?arrêter et de ne plus bouger. Ce que je fis, je savais qu?il allait se passer quelque chose de plus intéressant maintenant. Il se leva et passa derrière moi. Peu avant, Je m?étais avancée et mes genoux étaient maintenant sur le matelas. Michael posa ses mains sur mes fesses et me fit écarter les jambes, je sentais mes genoux glisser sur le drap et mes seins toucher le lit. Il pressa alors un peu plus mes fesses et approcha son sexe du mien. Je sentais la caresse du drap sur ma joue et mes cheveux glisser dans ma nuque, ma main gauche empoigna alors le drap lorsqu?il entra son sexe en moi. Je poussais un petit cri et il commença à bouger. Je pouvais sentir chacun de ses doigts sur mes fesses, tantôt les caressants, tantôt les serrant dans ses mains. Bien vite, je me mis à pousser quelques cris et Michael accéléra le rythme lorsque, tout à coup, il retira son sexe d?un coup sec et ce choc me fit jouir à l?instant. J?étais affalée sur le lit mais Michael me dit que ce n?était pas fini, que l?on en avait encore pour un moment. Il me retourna et m?ordonna de m?offrir à lui. J?écartais donc au maximum mes jambes, les relevant un peu pour plus les écarter, je remontais mes bras et les fis passer au-dessus de ma tête, poussant ma poitrine en avant afin de vraiment me donner à lui. Michael me fit alors remarquer que j?avais un très beau sourire. Je n?avais même pas remarqué que je souriais mais c?était bien le cas. Je m?offrais à lui et j?en étais heureuse. A ce moment, nous avons pu entendre Julie jouir dans la pièce d?à côté, et je dis d?un souffle, en fermant les yeux : ? S?il vous plait ?. Michael posa une main sur mon bas-ventre et de l?autre dirigea son sexe dans le mien. Je pris une inspiration et il fit glisser ses mains sous mes jambes, les releva pour les poser sur ses épaules et commença à me pénétrer. Cette fois-ci, peu m?importait de savoir ce que l?on penserait de moi. Je me suis laissé aller au plaisir et j?ai crié à en perdre mon souffle. J?ai joui très très vite et me suis laissé aller pour me reposer. Michael et moi avons continué à faire l?amour encore quelques fois durant la nuit et d?après ce que j?ai pu entendre, Sébastien et Julie aussi.
Les vacances n?ont pas tardées à se finir et nous n?avons plus pu passer tant de temps chez Sébastien mais Julie, Michael et moi venions chez Sébastien et y passions tous les week-ends. Nous nous voyions bien sûr en dehors du week-end mais c?était à ce moment que nos relations avançaient le plus. Nos maîtres nous imposèrent alors une nouvelle règle. Dorénavant, Julie et moi, lorsque nous serions chez Sébastien, devions être totalement nue. Nous nous étions déjà vus nues mais l?être tout le temps est assez gênant au début. Mais peu à peu, la gêne disparut bien vite et c?était plus un plaisir qu?une corvée. J?avais l?occasion de voir le corps de Julie et bien vite, l?envie me prit d?y toucher. Et alors que je l?embrassais comme j?avais pris l?habitude de le faire, je levais ma main et la posais sur sa poitrine. Julie se rapprocha alors de moi et pressa sa poitrine contre la mienne, serrant ma main entre nos deux corps, puis elle fît glisser sa main sur mes fesses. Nos maîtres, qui avaient vu la scène, nous dirent de continuer et demandèrent à Julie de commencer à me lécher. Julie, plia les genoux et fît passer sa langue sur mon ventre pour remonter vers mes seins. J?étais gênée mais contente, après tout c?était ce que je désirais. Julie me lécha les seins un moment avant de remonter pour m?embrasser.
Cette nuit-là, nos maîtres nous ont dis qu?ils refusaient de nous faire l?amour tant que Julie et moi ne l?aurions pas fait toutes les deux. Sur le moment, je n?osais pas regarder Julie, je voulais faire l?amour, et pour cela nous allions devoir le faire toutes les deux. Je n?avais pas encore posé mon regard sur elle que déjà, ses mains traînaient sur moi. Elle m?emmena vers le lit et me fît m?y coucher. Elle m?écarta les jambes et y glissa sa tête. J?étais assez consternée, Julie avait toujours été un peu réticente à ces expériences tant qu?à présent et maintenant, elle me dominait totalement. Sa langue caressa mon sexe, et elle fît passer un bras sous ma jambe pour poser sa main sur mon bas-ventre alors que l?autre caressa ma cuisse. Elle s?appliquait et semblait bien savoir ce qui faisait du bien car le plaisir montait en moi comme jamais. La douceur de ses joues et de ses mains était enivrante. Je poussais quelques cris de plaisir et sentait que j?allais craquer lorsque nos maîtres nous arrêtèrent et me dirent de lui rendre la pareil. Il demandèrent à Julie de se mettre à quatre pattes sur le lit. Elle était cambrée comme jamais, ses fesses bien plus hautes que sa tête. Elle me présentait son sexe. Je m?approchais, un peu réticente, je n?avais jamais touché le sexe d?une autre fille que moi-même. Mais, je tenais trop à pouvoir faire l?amour cette nuit que pour m?embarrasser de tels détails. J?approchais mon visage de son sexe et ouvrais la bouche pour le recouvrir complètement. Je fis ensuite glisser ma langue sur les bords, l?enfonçant de plus en plus profondément. Julie semblait apprécier cela car elle gémissait de plaisir. Je posais alors une main sur ses fesses et la caressait alors que ma langue la pénétrait. Julie avançait, ses mains glissant le long du drap, ce qui ne me facilitait pas la tâche mais bien vite, nos maîtres me dirent d?arrêter et nous acceptèrent de nous faire l?amour.
Comme c?était à prévoir, la nuit suivante nos maîtres nous dirent qu?ils ne passeraient pas la nuit avec nous. Que nous ne devions compter que sur nous-mêmes pour prendre du plaisir. Et nous comptions bien en prendre. Déjà nues, Julie et moi avons embrassé nos maîtres et sommes entrées dans la chambre. Julie tomba sur le lit et tendit les bras vers moi pour m?inviter. Je ne me fis pas prier et m?approchais d?elle. Je fis glisser ma main sur son ventre pour remonter à sa poitrine que je palpais avec plaisir. Ma poitrine commençait à se frotter sur elle lorsque nos langues se rencontrèrent. J?allais bel et bien faire l?amour avec une fille, et dans le fond, j?en mourrais d?envie. Nous avons commencé à nous toucher, à nous caresser en nous couvrant de baiser. Le corps de Julie était très doux et je dois avouer qu?il est très agréable de toucher le corps d?une fille. Quelques caresses plus tard, Julie fit descendre son visage entre mes jambes et fit passer sa langue sur mon sexe. Je ne voulais pas être la seule à prendre du plaisir, je me suis donc fait tourner sur le lit et nous nous sommes mis en 69. Sentir la poitrine de Julie glisser sur mon bas-ventre, ses cheveux caresser mon entre-jambes, ses mains douces le long de mes cuisses, tout cela était un bonheur prodigieux. Et bien vite, je me laissais aller et jouis. Julie ne tarda pas à me rejoindre et jouit également. Nous étions toutes deux trempées mais je pense ne pas me tromper pour dire que nous étions toutes deux aux anges. Nous nous sommes encore caressées quelques temps avant de nous endormir dans les bras l?une de l?autre. Le lendemain, nos maîtres nous ont dit être très fiers de nous, ils nous avaient entendus depuis la chambre voisine. A partir du week-end prochain, nous étions encouragées et même chaudement entraînées à faire l?amour toutes les deux.
Durant la semaine qui suivit, nos maîtres se sont montrés très froids et assez distants, ce qui pour ma part ne faisait qu?attiser mon désir. Je voulais absolument que l?on m?embrasse, que l?on me caresse mais nos maîtres s?y refusaient. Julie devait être dans le même état que moi car, au beau milieu de la rue, elle me prit par les hanches et m?embrassa à pleine bouche. Je pus d?ailleurs entendre les commentaires de quelques personnes à côtés de nous et je fus assez gênée. Le week-end finit enfin par arriver, ce week-end tant attendu durant lequel je pourrais assouvir mon envie de sexe. Au tout début, nos maîtres nous montrèrent quelque chose qu?ils avaient installé pour nous. Il s?agissait en fait d?un gode, placé bien droit sur le sol. Nous avons bien évidemment demandé de quoi il s?agissait et nos maîtres ont répondu que ce week-end, ils ne feraient rien avec nous. Nous avons été toutes deux très choquées sur le moment et je dois admettre avoir pour ainsi dire paniqué. Ils nous dirent que nous étions autorisées à faire l?amour toutes les deux mais que le gode ne pouvait pas bouger et que nous ne pouvions pas être toutes les deux dans la même pièce quand l?une d?entre nous s?en servait.
Au début, cela m?avait vraiment ennuyé mais je me suis vite dit que tout compte fait, pour un week-end, Julie et moi pourrions nous débrouiller toutes les deux. Je me trompais lourdement. En soirée, bien que nous nous soyons toutes deux souvent caressées, embrassées et touchées, mon désir était vraiment à son paroxysme. Je n?en pouvais plus, j?ai dit à Julie que j?allais utiliser le gode. Elle semblait d?accord et me dit de me dépêcher pour qu?elle puisse s?en servir aussi. J?ai accouru dans le salon où nos maîtres regardaient la télévision et me suis approchée du gode. J?ai placé mes genoux au sol, ai écarté les jambes, posé mes mains sur le sol et j?ai fait coulisser le gode en moi en poussant un râle de plaisir. Le carrelage était froid mais cela intensifiait la sensation chaude entre mes jambes. J?ai alors fait remuer mes hanches pour m?empaler sur l?objet, je poussais des cris de plaisir extrêmes. J?étais restée plus d?une semaine sans faire l?amour et je n?en pouvais plus. Ce n?était même plus une envie, c?était vraiment un besoin. J?avais besoin de faire l?amour, de sentir quelque chose en moi. J?ai tourné la tête pour regarder mes maîtres, mais ceux-ci ne me regardaient même pas. Je voulais qu?ils me voient, qu?ils fassent attention à moi, qu?ils me fassent l?amour. J?ai haussé le ton, poussant des cris de plaisir de plus en plus forts pour qu?ils fassent attention à moi, mais rien n?y faisait, il ne me regardait pas. Je ne tardais plus trop à jouir et à me laisser tomber sur le carrelage. J?ai nettoyé le gode et suis retournée dans la chambre où attendait Julie. Celle-ci était en train de se toucher, se frottant sur le lit en mordant l?oreiller. A peine étais-je entrée qu?elle se leva et accouru dans le salon. Je m?asseyais sur le lit et commençais à entendre Julie pousser des cris de plaisir. Ses cris faisaient de nouveau monter mon désir, je fis glisser mes mains sur mon corps, empoignant ma poitrine des deux mains, la menant à ma bouche pour me lécher les seins. Les cris de Julie allaient de plus en plus fort. Je n?en pouvais plus, j?ouvrais la porte du salon et regardais ce qu?il se passait. Je ne suis bien évidemment pas entrée dans le salon, je ne voulais pas désobéir à mes maîtres mais je me suis dit que je pouvais bien regarder Julie prendre du plaisir. Julie était sur la pointe des pieds, tournée vers nos maîtres, le gode entrant lentement dans son sexe. Elle fermait les yeux et poussait de petits cris de plaisir, ses mains traînant sur ses seins. Nos maîtres ne faisaient pas non plus attention à elle, alors je voulais le faire pour eux. Je l?ai regardée comme jamais alors que je me touchais et me caressais. Et lorsqu?elle jouit, son cri fit monter mon plaisir et me fit jouir aussi. Julie me rejoint dans la chambre où elle me trouva au sol, reprenant mon souffle et m?embrassa. Nous avons passé toutes les deux la nuit ensemble, en nous touchant et en nous caressant mais régulièrement, nous devions nous séparer pour aller sur le gode. Notre désir était sans cesse à son paroxysme, et nous n?arrivions pas à l?assouvir à nous deux.
Le lendemain matin, nos maîtres nous ont dis que maintenant Julie et moi devrions toujours prendre notre douche ensemble. Cela ne nous dérangeait bien évidemment pas, nous couchions ensemble, nous laver ensemble ne nous gênaient pas. Nous sommes donc allés prendre notre douche toutes les deux et bien évidemment, nous avons commencé à nous toucher. Les caresses de la douce main de Julie, associées au savon sur mon corps étaient d?une douceur sans pareille. Sa poitrine me frottait le dos, alors que sa main traînait près de mon sexe. Mais en fin de compte, cela ne faisait qu?encore plus monter mon plaisir et, une fois notre douche terminée, je suis retournée sur le gode, rapidement suivie par Julie.
Le soir, après que Julie et moi nous soyons régulièrement relayées sur le gode, nos maîtres nous ont dit qu?ils allaient nous faire l?amour. Nous étions aux anges et nous sommes jetées dans leurs bras en les embrassant. Nous avons alors accouru dans la chambre, alors qu?ils prenaient leur temps pour venir. Michael s?est assis sur le lit et m?a conduit à la lui, pour que je commence à le sucer, ce que je fis avec un grand plaisir. Sébastien demanda à Julie de se glisser sous moi et de commencer à me lécher. Sébastien fit alors passer sa main entre mes fesses et y mettait une crème. J?étais toute concentrée sur le sexe que je suçais mais la langue de Julie glissant en moi, ses mains caressant mes hanches me faisaient perdre l?esprit. Sébastien fît glisser son sexe entre mes fesses, ce qui me fis aspirer le sexe de Michael. Il se passait trop de choses, il m?était impossible de me concentrer sur tout. Le sexe de Michael dans ma bouche, la langue de Julie dans mon sexe et Sébastien qui me pénétrait calmement, sans compter toutes ces caresses, j?étais incapable de leur résister. C?est alors que je compris qu?il était inutile de résister et qu?à chaque fois que j?avais fait l?amour jusque-là, je me concentrais trop sur ce qui se passait et ne profitait pas vraiment de ce qui m?arrivait. Je me suis donc totalement laissé allée. J?avais du mal à respirer, poussant des râles de plaisir avec un sexe en bouche, mais le plaisir montait de plus en plus. Et très vite, je jouis, me répandant sur Julie. Michael craqua aussi et m?arrosa le visage alors que Sébastien se répandait dans mon dos. Toute ma concentration avait disparue, je ne pouvais plus penser à rien. Je me penchais en avant, léchant ce qui restait sur le sexe de Michael. Julie me rejoint et me lécha le visage pour me nettoyer. Ce sexe entre nos deux langues ne tarda pas à se redresser bien vite et nous avons continué à le lécher avec plaisir. Je m?étais recroquevillée, mes seins glissant sur mes genoux alors que Sébastien passait derrière Julie. Je pus voir le visage de Julie se modifier et afficher un radieux sourire, j?avais bien compris ce qu?il se passait et faisant glisser ma langue sur le sexe tendu, je touchais la langue de Julie. Celle-ci commença à pousser des petits cris et avait du mal à se concentrer sur notre tâche commune et peu après elle jouit dans un grand cri. De nouveau Michael m?arrosa le visage, ainsi que celui de Julie par la même occasion et j?ai continué à nettoyer de ma langue le sexe et le visage devant moi. Nous avons tous les quatre continués de faire l?amour tout ensemble et je pus sentir en moi, indifféremment, Julie, Michael ou Sébastien.
Nos maîtres ont régulièrement recommencé de tels week-ends, pas toujours mais parfois. Nous laissant toutes deux dépérir face à notre désir, seules avec le gode. Celui-ci était vraiment devenu un besoin dans des cas pareils. Je ne pourrais compter le temps que j?ai passé sur cet objet mais en dépit d?un vrai sexe, il peut vraiment servir. J?avais vraiment l?impression d?être une droguée, j?avais vraiment besoin de sexe. La semaine était à chaque fois une torture, et je devais redoubler d?ingéniosité et de courage pour pouvoir traîner ou Michael, ou Julie, ou Sébastien dans un endroit où l?on pourrait satisfaire mon désir. Le week-end m?apparaissait chaque fois comme une délivrance mais lorsque nos maîtres refusaient de nous satisfaire, j?étais comme folle. Je me jetais sur le gode, je passais ma journée à me caresser ou à caresser Julie. Nos week-ends, à Julie et à moi, n?étaient alors plus consacrés qu?au sexe.
Les vacances approchaient de nouveau et j?étais aux anges. J?allais pouvoir passer tout mon temps chez Sébastien, peu m?importaient les conséquences que cela pourrait avoir. Mais j?ai appris que durant ces vacances Michael partirait une semaine et Julie la semaine suivante. Julie regrettait vraiment de devoir partir mais elle partait en vacances avec ses parents et il aurait été dur de refuser un voyage prévu depuis longtemps. Nous nous sommes donc finalement retrouver chez Sébastien où nous avons pu nous adonner à tous nos désirs. Quelques fois, nos maîtres, nous laissaient de nouveau seules face au gode mais je ne m?inquiétais plus, c?était les vacances et je me doutais que le lendemain, j?aurais une chance de satisfaire mon besoin de sexe. Nous ne sortions presque plus, juste ce qu?il fallait pour faire les courses ou autres, nous étions donc la plupart du temps dans l?appartement. J?allais passer nue, presque tous les deux mois qui arrivaient, et cela m?amusait beaucoup.
Michael partit donc en voyage, nous laissant Julie et moi aux bons soins de Sébastien. Nous nous en sommes évidemment données à coeur-joie. Une fois que Michael était parti et que nous soyons rentrés, je me suis jetée aux genoux de Sébastien et lui ai demandé si je pouvais le sucer. Il accepta de bon coeur et Julie se plaint un peu parce que j?avais été la plus rapide. J?ai donc détaché le pantalon de Sébastien et me suis mis à genoux avant d?avaler son sexe. Sébastien fit glisser sa main dans mes cheveux et Julie se glissa en dessous de moi, pour mettre son visage entre mes jambes. Elle a posé ses mains sur mes hanches pour me pousser vers elle et a commencé à faire passer sa langue en moi. Ma main descendait peu à peu et se posait dans ses cheveux alors que Sébastien relevait les miens pour les tenir derrière ma tête. Je m?appliquais du mieux que je pouvais, faisant glisser ma langue le long de son sexe, le suçant de long en large, le prenant de côté, l?enfonçant loin dans ma bouche. De nouveau, je commençais à me laisser aller, c?était une habitude que j?avais prise depuis quelques temps. Je ne me concentrais plus sur rien, me contentant de ressentir le plaisir de la langue de Julie et du sexe de Sébastien dans ma bouche. Peu après, Sébastien jouit sur moi, se répandant sur ma poitrine alors que je tombais en arrière sur Julie. Sébastien ne voulait pas laisser Julie en reste, il se coucha sur le lit et lui intima l?ordre de ? s?empaler ? sur lui. Julie ne se fit pas prier et se jeta sur lui pour faire glisser le sexe de Sébastien dans le sien. Sébastien attrapa Julie et commença à la pénétrer et je me sentais un peu laissée pour compte. Il me fit finalement signe et m?ordonna de me mettre au-dessus de son visage. Je me plaçais donc face à Julie, un peu en avant du visage de Sébastien pour qu?il puisse me lécher à loisir. Sébastien plaça ses mains le long de mes cuisses, sur les fesses et je me penchais en avant de plaisir. Julie se penchait un peu en arrière et j?étais face à sa poitrine. Ne réfléchissant plus trop et n?agissant plus que par réflexes, je me mis à lécher la poitrine de Julie alors qu?elle entourait mon visage de ses mains pour me serrer contre elle. Elle ne tarda pas à jouir, me serra de toutes ses forces contre elle et encore une fois, je jouis de la savoir jouir.
Nous avons souvent refait l?amour tous les trois durant cette semaine, excepté un jour ou deux durant lesquels Sébastien nous laissaient à nos désirs. Durant ces moments, j?étais parfois à ses genoux pour le supplier de me faire l?amour. Michael revint finalement mais Julie devait nous quitter pour la semaine suivante. Nous avons tout les quatre fait l?amour pour dire au revoir à Julie et nos maîtres lui ont offerts de quoi s?occuper durant la semaine. Ils lui donnèrent un petit vibro. C?était quelque chose de discret qu?elle aurait pu porter n?importe où. Le départ de Julie me faisait à la fois peur et aussi un peu plaisir car je me disais que dorénavant je serais seule avec mes maîtres. C?était un plaisir car je me doutais que je serais plus facilement satisfaite mais aussi une crainte car j?avais peur qu?ils refusent de me prendre et qu?ils me laissent totalement seule avec mes désirs. Heureusement, ce ne fut pas le cas.
A peine étions-nous rentré que mes maîtres m?ordonnèrent de les sucer tous les deux. Je me suis donc accroupie et ils m?ont présenté leur sexe. J?avais déjà fait l?amour avec chacun d?entre eux mais c?était la première fois que je les suçais tous les deux en même temps. J?étais sur la pointe des pieds, jambes écartées, un sexe dans chaque main et je commençais à sucer chacun d?entre eux. Il est plus difficile de sucer deux personnes qu?une seule, il faut passer de l?une à l?autre tout en continuant à toucher l?autre. Je m?efforçais donc de prendre en bouche chacun d?entre eux à part égale et d?agiter l?autre lorsque je le laissais seul. J?essayais de prendre le rythme et de bouger ma tête en même temps que ma main mais j?ai eu du mal à m?y faire et quelque fois, je laissais glisser ma main en dehors. Je prenais alors le sexe en bouche, comme pour me faire pardonner. Quelques instants plus tard, Michael jouit sur moi. Je fermais les yeux, ouvrant la bouche et tirant la langue pour en avaler le plus possible mais il se répandait quand même sur mon visage et ma poitrine. Sébastien s?acheva à la main et m?enclin à me retourner. A peine avais-je tourné la tête qu?il se répandait lui aussi sur moi. Je léchais une dernière fois les deux sexes pour ne rien manquer. Je tombais assise et faisais glisser mes mains sur ma poitrine pour ramasser ce qu?il restait. Michael me prit alors par la main et me mena à la chambre où il me coucha sur le lit. Il m?écarta les jambes et entra en moi. J?étais surprise et poussais un cri d?étonnement et de plaisir. Il commença ses mouvements de va-et-vient alors que Sébastien me massait la poitrine. Je fermais de nouveau les yeux mais je sentais bien qu?ils étaient deux à me faire l?amour, la position des mains sur mes seins me rappelait sans cesse qu?ils étaient deux. Un peu plus tard, Michael m?attrapa aux hanches, me retourna et continua de me pénétrer. Sébastien en profita pour me présenter son sexe que j?engloutis aussitôt. J?étais seule, en train de faire l?amour avec deux garçons et je trouvais ça terriblement agréable. Michael posa ses mains sur mes fesses et accéléra le mouvement ce qui compliquait ma besogne de sucer Sébastien. Celui-ci m?attrapa la tête et me tint fermement alors qu?il me jouit en bouche. Michael se retira alors tout à coup et se répandit dans mon bas-dos. Ces deux surprises me firent atteindre l?orgasme et je recrachais une partie de ce que j?avais en bouche. Partie que je m?empressais bien vite de re-lécher sur le sexe de Sébastien. J?étais épuisée mais heureuse.
Quelques jours plus tard, mes maîtres décidèrent de me pénétrer tous les deux en même temps. Michael m?ordonna donc de me mettre à quatre pattes, en profita pour me mettre de la crème entre les fesses et entra en moi. Il agrippa ensuite mes jambes et me souleva, me tenant devant lui, les jambes très écartées. Il me fit un peu sauter sur son sexe, ce qui l?enfonça encore plus profondément et me fit pousser de petits cris. Sébastien s?était couché sur le lit et Michael m?amena à lui. Il me dirigea alors vers son sexe et le fit entrer en moi. Je pouvais sentir ces deux sexes tendus en moi, je me sentais entièrement remplie. Je relevais la tête, les yeux fermés, poussant des râles de plaisir alors que mes maîtres commençaient à remuer. Leurs mouvements n?étaient pas coordonnés et je ne savais plus trop où donner de la tête. Je sentais que j?avais du mal à respirer, n?ayant presque jamais le temps de reprendre mon souffle entre mes cris. J?avais déjà fait l?amour avec deux ? choses ? en moi mais jamais avec deux sexes et deux personnes, c?était totalement différent de ce que je connaissais et c?était cent fois mieux. Je ne tardais pas à jouir mais mes maîtres ne s?arrêtèrent pas pour autant. Je n?avais plus de souffle, l?orgasme m?avait coupé la respiration et les mouvements arythmique m?empêchaient de facilement respirer. Je commençais à remuer rapidement la tête de gauche à droite, mécaniquement, sans vraiment m?en rendre compte. Je ne me soutenais même plus et m?étais laissé affaler sur Sébastien. Mes maîtres continuèrent encore un peu, jusqu?à me faire jouir de nouveau. Et cette fois-ci, heureusement, ils s?arrêtèrent. S?ils avaient continué encore un peu, je n?aurais plus su respirer.
La semaine se termina rapidement et Julie revint parmi nous. Nous avons bien évidemment ? fêter ? son retour. Elle nous raconta alors un peu de son voyage et surtout combien ce fut dur pour elle de ne pouvoir faire l?amour. Elle nous a dis avoir souvent utiliser le vibro que nos maîtres lui avaient offert et qu?à la fin de la semaine, elle se promenait avec le vibro en elle et le branchait parfois discrètement. Son retour fut donc particulièrement ? fêter ? et je me disais que si on ? fêtait ? ainsi à chaque fois son retour, elle pouvait partir quand elle voulait.
Les vacances continuèrent ainsi encore quelques temps et je dois dire que jamais je n?avais passé de vacances aussi agréables. Je devais bien évidemment parfois m?occuper de choses différentes, comme ma famille ou mes amis, mais je n?avais en tête que le retour parmi Julie et mes maîtres.
Un jour, nos maîtres décidèrent de faire une sorte d?expérience. Je dois dire que sur le moment, je leur en ai vraiment voulu mais maintenant, je pense que c?était très intéressant et même très agréable. En fait, ils retirèrent le gode du salon et nous interdirent à Julie et à moi de nous toucher (nous-même ou l?une l?autre). Ils décidèrent aussi de ne plus nous faire l?amour. J?étais terrifiée. Sur le moment, Julie et moi nous opposions à cette idée mais nos maîtres nous rappelèrent que nous leur devions obéissance et je dois admettre que c?est à contre-coeur que j?acceptais. Jamais une semaine ne m?avait paru si longue. A peine nos maîtres nous avaient-ils exposé leur idée que je désirais faire l?amour. Mais pas moyen, je ne pouvais le faire ni avec Julie, ni avec mes maîtres ni même toute seule. Julie était aussi perturbée que moi et nous faisions tout ce que nous pouvions pour nous occuper et ne plus penser à nos désirs, bien qu?il s?agisse alors plus de besoins que de désir. Je comprenais alors que j?étais véritablement droguée au sexe, j?en avais besoin ! Il me fallait faire l?amour ! J?étais restée quelques heures sans faire l?amour et d?imaginer que je devrais tenir bien plus longtemps me rendait folle. J?ai eu beaucoup de mal à dormir ce jour-là. J?ai tenté à mainte occasion de faire l?amour avec Sébastien, avec qui je passais la nuit. Mais, bien que, à ce que j?ai pu voir, physiquement il était prêt à le faire, il refusa. J?ai alors très mal dormi, pensant à comment oublier mes désirs, mes besoins. Le lendemain fut pareil, nos maîtres refusaient toujours et Julie et moi n?avions toujours pas moyen de nous satisfaire. A la longue, je ne pensais plus qu?à ça, mais il n?était pas question que je désobéisse à mes maîtres. Ils m?avaient dit non alors je ne pouvais pas refuser. La nuit suivante fut tout aussi éprouvante, j?avais du mal à respirer et je m?imaginais sans cesse en train de faire l?amour avec quelqu?un, mimant parfois ce qu?il se passait. J?étais seule, en train de me cambrer, à pousser de petits cris, à me frotter sur le sol et pas moyen de me toucher. J?avoue avoir quelque fois laissé passer mes mains sur mes seins ou mes fesses mais j?évitais mon sexe, j?avais trop peur de craquer. Julie, elle, fut surprise en train de se doigter. Nos maîtres lui firent une simple remarque mais elle s?excusa comme si sa vie en dépendait. Cela faisait cinq jours que cela durait, je n?en pouvais plus. Je me suis jetée au pied de Sébastien et l?ai supplié de me faire l?amour. Bien évidemment, il refusa mais je continuais d?insister, je pleurais pour qu?il me fasse l?amour. Michael arriva, demandant ce qu?il se passait. Je me suis agrippée à ses jambes, l?implorant aussi de me faire l?amour. Il refusa mais Julie vint m?aider, elle pleurait, elle aussi, pour qu?ils nous fassent l?amour. Ils refusèrent de nouveau et nous laissèrent de nouveau passer une nuit face à nos besoins. Le lendemain soir, suite à plusieurs heures de larmes et de complaintes durant la journée, nos maîtres acceptèrent de le faire.
Michael s?occupa de Julie et Sébastien de moi. Il commença à me caresser lentement et à m?embrasser dans le cou. Cela ne faisait qu?augmenter mon désir, je n?en pouvais plus. Il continua à me caresser et à me toucher longuement mais il ne me prenait pas encore. Il me fallait faire l?amour, et s?il n?était pas décidé à le faire, je le motiverais. Je tombais à ses genoux et détachais son pantalon. Je n?avais pas la force de rester sur mes genoux et m?asseyais entre mes jambes. Je sortis son sexe et, devant relever la tête pour l?avoir à portée de bouche, je commençais à le lécher. Sachant que je pouvais maintenant me toucher, je commençais à me caresser la poitrine d?une main alors que l?autre s?occupait du sexe de Sébastien. J?avais la tête bien relevée et regardais Sébastien dans les yeux, le suppliant du regard de me prendre. Je n?arrivais plus à penser, je pressais mon visage contre le sexe de Sébastien, comme pour supplier ce sexe de rentrer en moi. Je tirais loin ma langue pour le savourer lorsque je le léchais. J?avais chaud, très chaud et mon souffle était court, j?étais à bout de souffle, je n?en pouvais plus. J?étais incapable de parler, je ne pouvais plus que pousser de petits cris. Je voulais supplier Sébastien de me prendre mais pas moyen de parler. Je sentis une larme couler le long de ma joue et je le regarda dans les yeux pour l?implorer. Il accepta finalement. Il me porta jusqu?au lit et me mit à quatre pattes sur celui-ci. Je me sentais cambrée comme jamais, comme pour l?inciter à me pénétrer. Il s?agrippa à mes hanches et entra en moi... C?était comme une délivrance, je poussais un cri de soulagement incroyable, tirant ma tête en arrière, fermant les yeux. Ce cri dura longtemps, je savourais le plaisir de ce sexe tendu en moi. Je l?avais attendu une semaine entière et enfin, je pouvais me laisser aller. Sébastien s?était mis à faire des aller et venue et chacun des moindres petits mouvements me procurait un plaisir sans fin. Je perdais la tête, je n?arrivais plus à penser, je ne savais plus où j?étais ni même ce que j?étais, je n?étais plus qu?une sensation, le plaisir de ce sexe en moi. J?ai joui très rapidement, cet orgasme était vraiment intense. J?ai senti ma tête tourner, je pouvais plus dire ce qui se passait, ma pensée était complètement bloquée par le bonheur. Mais j?en voulais
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