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Chapitre 1

Divers
Nathan est un lycéen, brun, yeux noisette très clairs, 1m90 environ et 85 kilos de muscle, il s’entretient à la salle de sport. Sans être non plus la risée du lycée, il n’en est pas la star non plus. Il n’a jamais eu de petite copine, même s’il y a une fille dans sa classe qui lui plaît. Elie, diminutif d’Eleanor, ce n’était qu’un rêve, jusqu’à présent, d’être en couple avec elle. Mais ces rêves, qu’ils faisaient presque toutes les nuits, allaient bientôt devenir réalité. Sans être obsédé, il lui était déjà arrivé de faire des rêves érotiques, mais c’était assez soft: des douches à deux, des massages du corps, l’un contre l’autre, ou simplement être nus, dans les bras l’un de l’autre. Cette nuit là encore, il en fit un. Encore un massage doux et érotique. Ils se massent l’un l’autre, des deux côtés. Elle lui fait une fellation, lui masse les seins et lui fait un cunnilingus. Elle était vierge, tout comme dans la vraie vie, donc il n’y avait jamais eu de pénétration. Ils ne faisaient que se faire des "câlins". Lui, il caresse les seins et passe sa main entre les cuisses de sa bien-aimée, tandis qu’elle lui caresse son sexe. Puis soudain il se réveille. Il est sur le ventre, avec une érection, et il remarque qu’il a éjaculé dans son sommeil.
— Merde putain c’est dégueulasse, se dit-il.
Il prend une lingette et nettoie, s’habille, prépare ses affaires et son sac pour le lycée, et s’en va. Il fait chaud en ce moment, c’est le début officiel de l’été, donc il peut se permettre de mettre juste une chemise un peu large qui lui permet de respirer et un short, avec des tongs, et je pars pour le lycée. Quand il arrive au lycée, je reste dans le parc et à la sonnerie, je vais directement vers ma salle. Quand j’entre, il croise le si beau regard d’Elie, qui lui sourit et vient vers lui et s’assied à côté de lui, place habituellement vide.
— Salut Nate.
Nathan la regarde et lui sourit, en levant légèrement un sourcil. En effet, Nate est son surnom, mais peu de personnes, encore moins au lycée, l’appellent ainsi. Seul un surveillant, ami de longue date, et un de ses professeurs, ami d’encore plus longue date puisqu’il était son voisin quand il était tout petit, et jusqu’à ses 14 ans.
— Salut Elie, qu’est-ce que tu fais là, c’est pas au fond ta place ? — Ah bah ça fait plaisir de se savoir désirée, dit-elle l’air faussement vexée.
Puis elle rigole et lui dit:
— Mais non t’inquiète pas, j’ai demandé au prof pour venir m’assoir à côté de toi, déjà parce que tu me fais un peu de peine à être toujours tout seul, et aussi parce que mon voisin de table m’agace pour rester poli. — Encore à t’emmerder avec...— Oui, tout à fait, dit-elle en souriant.
Il se mit à rougir légèrement, mais elle le remarque.
— Nate ? ça va ?
— Oui, en fait...
Il ferme les yeux un instant, prend une grande inspiration et lui répond, en ne parvenant pas à la regarder complètement dans les yeux.
— En fait, tu m’intimides beaucoup, et ça fait 1 an et demi que je suis amoureux de toi.
Elie est touchée, elle sourit de toutes ses dents et l’embrasse sur la joue.
— Ohhh mon Nate t’es trop mignon. C’est trop gentil.
Elle met sa tête contre l’épaule et sa main sur celle de Nate. Puis se redresse et le cours peut enfin commencer, deux heures d’histoires. Tout au long du cours, Nathan se détend de plus et jette des petits regards à Elie, qui, elle aussi, les lui rend. Et même parfois, quand leurs mains se touchent, par hasard, quand Nate veut retirer sa main par réflexe, Elie parvient à lui maintenir là. Nate est gêné, car non seulement il est amoureux d’elle et donc pas très à l’aise avec elle, ayant peur de dire une bêtise, mais en plus, le copain actuel mais futur ex d’Elie les observe depuis le fond de la classe, et il a la réputation d’être violent, réputation bien en dessous de la vérité. Quand c’est la pause, les élèves sortent dans le couloir pour prendre l’air, et Nate et Elie s’enfoncent un peu dans le couloir. Nathan s’adosse contre un mur et Elie vient se coller contre lui, la tête dans son cou, ses bras autour de la taille de Nate.
— Qu’est-ce que tu fais ? demande-t-il. — Je t’apprécie, depuis longtemps. Et quand tu m’as dit tout à l’heure que je t’intimide, j’ai littéralement craqué pour toi. Je crois que je suis tombée moi aussi amoureuse de toi. Et enfin, regarde comme nous regarde Hugo. Je peux lire sa haine dans ses yeux.
Le regard plus froid, non pas envers elle mais envers Hugo, le futur ex-petit ami de sa nouvelle première copine, il dit:
— S’il vient vers nous, tu sors ton téléphone et tu filmes. En cas de soucis, la preuve qu’il m’a attaqué et que je n’ai fait que me défendre sera dans ton portable, on aura au moins ça pour nous. — Mais tu sais te battre ? Il fait une tête et demie de plus que toi et une vingtaine de kilos !
Nate sourit et la regarde dans les yeux:
— Il y a un tas de choses que tu ne sais pas sur moi.
Puis il lui fait un clin d’œil. Il baisse les yeux pour lui prendre la main et il la voit prendre son portable de sa poche de short en jean, et activer le mode caméra.
— Nathan ! hurle Hugo.
Elie se recule dans le couloir, Hugo lance son poing pour frapper Nate à l’arrière du crâne, mais celui-ci se baisse et le poing d’Hugo vient s’écraser contre le mur. Le lycéen hurle de douleur, se prend la main de l’autre, et Nate en profite pour lui donner un coup de pied latéral dans le ventre. Hugo percute l’autre mur du couloir et s’écrase au sol. Nate se retourne et voit sa copine en train de filmer. C’est parfait. Son " ennemi" du jour se relève, lance son pied pour le frapper dans les testicules, mais Nathan lui attrape la jambe au même moment, et la maintient en l’air. Hugo le frappe une, puis deux et trois fois au visage. Nate tire un coup sec sur sa jambe et celui-ci s’effondre. Le proviseur, le CPE et plusieurs surveillants arrivent pour nous séparer, moi me pousser loin de lui et lui, le relever.
— Il m’a attaqué ! dit Nathan calmement. Je n’ai fait que me défendre. — Quelqu’un peut en témoigner ? demande le proviseur.
Des élèves lèvent la main, mais surtout, Elie s’approche et dit:
— Moi aussi je peux en témoigner, mais je crois que des images valent mieux que des mots.
Elle enclenche la vidéo et tourne l’écran vers son directeur. Tout est clair, Nathan n’a très visiblement fait que se défendre et le seul coupable est Hugo.
— Rentrez chez vous pour la journée, les cours sont terminés. Demain la police viendra et vous serez tous interrogés. Eleanore, tu pourras donner ton téléphone à la gendarmerie ? Pour qu’ils aient le fichier. — Oui Monsieur, pas de problèmes.
Elle sourit, il sourit en retour, les salue d’un coup de menton et repart dans l’autre sens. Elie se tourne vers son nouvel amour, pose la main sur son visage, mais il grimace et recule légèrement le visage.
— Ouhh excuse-moi. Tu ne m’avais pas dit que tu te battais comme ça. Ça vient d’où ? — Mon père est violent. Je me suis inscrit en secret dans une salle de sport et à des cours d’arts martiaux et je me suis mis à me défendre. Maintenant il me laisse tranquille mais quand il est vraiment bourré il devient assez con que je suis plus grand et costaud que lui. D’ailleurs en parlant de ça, il ne faut pas que tu viennes chez moi. Ou alors, si tu le fais, tu mets un gros pull, un gros pantalon, et tu te rases la tête. — Quoi c’est un pervers aussi ? demande-t-elle en levant un sourcil. — C’est un doux euphémisme. Mais je te raconterai ça plus tard. Y a eu assez de malheurs, dans la journée. — Tu veux venir dormir chez moi pour la nuit ? demande Elie. — Dis donc tu ne perds pas de temps, dit Nate en la prenant dans ses bras et lui faisant des chatouilles dans le ventre. — Mais arrête ! dit-elle en rigolant, hurlant presque. C’est pas ce que tu crois. Tu as le visage en sang, et je veux raconter à mes parents et ma sœur ce qu’il s’est passé. Présenter mon chevalier servant.
Nate ne comprend pas la fin de cette phrase, mais ne relève pas. Il avait déjà remarqué que les relations dans le couple étaient tendues, mais ce qu’elle vient de dire, signifierait... non ce n’est pas possible, se dit-il. Pas si vite, pas si jeune. Ils quittent donc le lycée et rentrent ensemble chez la jeune femme. Elle a une belle maison, à l’extérieur de la ville, à trois étages et dans un immense parc. On peut même appeler ça un manoir.
— Oh merde alors ! s’exclame Nate. — Ouais, impressionnant hein ? C’est un vieux manoir qui a au moins 15 siècles. L"histoire de la famille est longue car très ancienne. — Ahhh Madame est donc une petite bourgeoooise, lui sort-il en lui faisant un clin d’œil. — Arrête de raconter des conneries, dit-elle en lui mettant un coup dans l’épaule. La preuve je suis dans ton lycée dans ce trou perdu. — Touché, dit Nate en rigolant.
Ils entrent dans la maison. Ils sont accueillis par les parents de celle-ci.
— Bonjour ma chérie. Qui est ce jeune homme ?
La mère d’Elie lui ressemble comme deux gouttes d’eau, mais elle a les yeux bleus, comparée à sa fille aux yeux verts. Mais son père lui a exactement les mêmes yeux. Elle, la mère, est blonde et pas très grande. Mais elle est belle et Nathan sait désormais d’où sa petite amie tient son si joli visage. Elle a encore une belle poitrine, en tout cas pour ce qu’il peut voir à travers son pull. Le père lui est plus grand que Nate, il est encore musclé, il semble s’entretenir régulièrement.
— C’est Nathan. Il s’est battu avec Hugo, ou plutôt l’inverse. Hugo et moi on a rompu. — Nate, je préfère que l’on m’appelle Nate. Et je précise que je n’ai fait que me défendre. — Et... vous êtes ensemble ? Tous les deux ? demande son père.
Nate n’ose pas répondre, mal à l’aise.
— Oui, on est ensemble depuis aujourd’hui. Je ne vous l’avais pas dit avant mais ça fait une semaine que Hugo et moi on a rompu. Je me suis permis d’inviter Nate pour ce soir. Je veux soigner ses plaies, et il mange et dort ici. Vous êtes d’accord ?
Les deux parents se regardent et hochent la tête.
— Merci beaucoup, dit Nate en souriant poliment. — Viens dans la salle de bain à l’étage. Y a du désinfectant et des pansements.
Elle lui prend la main et l’amène au deuxième étage, où elle a sa chambre à côté de la salle de bain. Elle pose son sac à dos et celui de Nate dans sa chambre et l’attire dans la salle de bain.
— Assieds-toi sur le bord de la baignoire, dit-elle.
Il s’exécute, elle sort du désinfectant, du coton et des pansements du placard et revient vers lui, imbibant le coton de produit et le posant délicatement sur les blessures de son homme.
— Ça va ? Je te fais pas mal ?
Il sourit.
— Non, ne t’inquiète pas.
Ils restent là un moment, en silence, puis il passe une main dans le dos d’Elie. Elle continue de le soigner, en souriant. Le soir, ils dînent, et juste après, ils montent tous les deux dans la chambre. Elle lui dit:
— Je vais prendre ma douche, à tout de suite.
Elle l’embrasse sur la bouche, et sourit.
— D’accord. Je t’attends là sagement.
Il lui rend son sourire. Elle se retourne, enlève sa robe qu’elle porte sans soutif et avec juste une culotte. Mais ce que Nate a sous les yeux l’horrifie: Elie a, dans le dos, sur les cuisses les bras et à l’intérieur des cuisses, des dizaines d’hématomes et de griffures. C’est ce qu’il craignait. Elle se faisait bien battre par son petit ami. De la véritable maltraitance. Il se demande pourquoi il n’a pas vu les bleus sur ses bras avant. Puis il se dit qu’elle est allée aux toilettes tout à l’heure et a mis un peu de temps pour revenir, en prétextant être un peu coincée au niveau des intestins. Mais elle a pu enlever le fond de teint qu’elle s’était posée sur les bras. Nate n’en revient pas. Tout ce temps où elle ne disait rien.Quand elle revient, elle est dans sa serviette. Elle est si belle. Il se lève et s’approche d’elle, la prend dans ses bras et l’embrasse à pleine bouche. Puis il la regarde dans les yeux, voyant son regard interrogateur, il lui prend son bras gauche et passe doucement sa main dessus.
— Elie, pourquoi tu ne m’as rien dit...? — Pour faire quoi ? Je n’aurais pas voulu que tu ailles lui rendre une visite et que tu l’humilies encore, même si je dois avouer que j’ai aimé ça. — Ne t’inquiète pas, je ne lui ferai rien. Il aura déjà bien assez de problèmes comme ça. Mais tu vas témoigner contre lui. Fais ça pour moi. Moi je vais prendre soin de toi. Je vais faire guérir ces égratignures, faire disparaître ces bleus. Tu seras ma princesse. Et je serai ton pri...
Elle lui pose un doigt sur la bouche, signe qu’il doit se taire. Elle enlève sa serviette et dévoile son corps de femme. C’est un petit oiseau blessé qui s’offre à lui, et il se doit de prendre soin d’elle.
— Qu’est-ce que tu fais ? — Je veux que tu prennes soin de moi dès ce soir. Je veux sentir tes mains sur mon corps, ta peau contre ma peau. Je veux une relation tendre. Je te veux, Nathan. J’ai envie de toi.
Nathan est stupéfait. Le rêve de cette nuit a bel et bien été finalement réel. Comment est-ce possible ? Elle ne faisait pas attention à lui avant ce soir, et maintenant, elle a rompu avec son copain, et elle veut coucher avec lui. Le rêve aurait-il changé le cours de sa vie ? Ou alors, ça n’a pas changé seulement le futur, mais aussi le passé. Et ce soir, il en est là. Mais Elie qui le pousse sur le lit et qui vient s’allonger nue contre lui le sort de ses pensées. Ses seins sont beaux et commencent à pointer. Il pose timidement la main dessus, ne voulant pas lui faire mal, mais elle lui prend la main et la maintient contre sa poitrine. Et de son autre main, elle défait le pantalon de Nate. Puis son caleçon. Et le membre dressé du garçon apparaît devant elle. Il est déjà en érection. Elle prend le membre en bouche et commence la fellation.
— Vas-y doucement, c’est ma première. — Ne t’en fais pas. Je vais faire doucement.
Et elle reprend le membre en bouche, produisant des bruits de succion et passant sa langue sur le bout du gland. Nate sentait que ça commençait à venir.
— Eliiiie, je crois que je vais venir.
Nate a honte, il n’aurait même pas tenu cinq minutes. Il éjacule soudain dans la bouche d’Elie, qui garde tout et avale, sans en perdre une goutte.
— Je suis désolé Elie, dit Nate qui pleure presque, sans le montrer. — Ne t’en fais pas, dit Elie, en s’essuyant la bouche. Tu auras d’autres occasions de te rattraper, mais pour l’instant, c’est à ton tour de me faire du bien.
Ils changent de position. C’est Elie qui s’allonge sur le dos et Nate qui vient mettre sa tête entre ses jambes.
— N’enfonce pas de doigt, je suis vierge. — Quoi ? Mais vous ne faisiez pas l’amour avec l’autre merde ? — Non, enfin pas par ce trou-là. Il ne voulait que m’enculer. Il n’a jamais touché à mon vagin il trouvait même dégoûtant. Du coup je me faisais du bien moi-même, en me caressant et avec mon vibro. Et en regardant du porno. — Ahh, dit Nathan entre deux coups de langue sur le clitoris d’Elie. Et quel genre de porno ? — Eh bien, dit-elle en deux soupirs de plaisir. Des vidéos de deux filles, mmmf... Deux filles et un mec, des massages coquins, des... des vidéos d’incestes.
Le plaisir montait de plus en plus, elle se caresse les seins, pince ses tétons. Lui passe sa langue encore et encore au bord du vagin et sur son clitoris qu’il suçote de temps en temps également.
— Des vidéos d’incestes ? demande Nathan. — Oui... des frères et sœurs, demi-frères et demi-sœurs, ou justes deux sœurs, ou encore des cousins cousines. Pour le reste, parents-enfants, je trouve ça dégueulasse.
Nathan se redresse, après avoir infligé un premier orgasme à Elie. Il se place, allongé, nu, à côté d’elle. Il se colle à elle et lui caresse la poitrine.
— Tu veux dire... que tu as déjà eu envie de faire ça avec quelqu’un de ta famille ? — Oui, ma grande sœur, elle a 25 ans. Une petite chatte d’enfer et des nichons qu’on boufferait volontiers. — Mhh, intéressant, dit Nathan en souriant et en l’embrassant.
Elle se redresse, se met à cheval sur lui, et présente le gland de son sexe à l’entrée de son vagin.
— Tu es sûre ? demande-t-il. — J’en ai envie, Nate. J’en ai envie, avec toi.
Il hoche simplement la tête, et elle lui sourit en retour. Elle ferme les yeux, se préparant à cette première pénétration qui peut être douloureuse, et se place sur lui, enfonçant sa bite dans sa chatte. Elle émet un petit cri, mélange de douleur et de plaisir, et ne bouge plus. Ils se regardent, et comme un accord non verbal, elle place les mains de son homme sur ses hanches, et commence les va-et-vient en effectuant comme des petits sauts sur le sexe de Nathan. L’adolescente commence à respirer de plus en plus fort, et son vagin, déjà très humide, glisse de plus en plus à mesure qu’il se contracte autour du sexe du garçon. Il émet des râles de plaisir, et elle aussi.
— Han... putain... c’est bon Nate, c’est booon !!!
Nathan accélère de plus en plus, et elle hurle presque.
— Ouii-i-i-i-i c’est bo-o-o-o-on. ENCORRE ENCORE.
Elle se couche sur lui, son sexe toujours en elle. Il place les mains sur ses fesses, et les tripote. Elle se met à l’embrasser, secouée par les va-et-vient et l’orgasme qui se présente encore à elle. Elle s’arrête, s’enlève de sur la bite de Nathan, et se place à côté de lui, dos à lui, rapprochant ses fesses du sexe du jeune homme. Il lui caresse doucement le sexe, sentant qu’il est très humide. Il rentre encore en elle, et place sa main sur ses seins, reprenant les va-et-vient, de plus en plus rapides.
— Je vais encore jouir Elie, je vais encore jouiiiir. — Oh oui vas-y, lâche tout en moiii.
Encore quelques va-et-vient, et des longs jets de sperme viennent se déverser dans son vagin. Puis il place la main sur l’épaule de sa bien-aimée, et la lui embrasse.
— Je suis désolé d’avoir tout éjaculé en toi, dit-il. — Ne t’en fais pas, dit-elle en lui faisant un clin d’œil. Je ne peux pas avoir d’enfants. En fait, je n’ai pas d’ovaires.
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