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Le Donateur et la Mariée

Chapitre 1

La Nuit de Noce

Divers
Alors que le mariage se déroulait dans l’atmosphère de la fête, Tom, le marié, demanda le silence afin de faire son discours. Debout, il se lança dans un long monologue où il avait placé ici et là quelques bons mots et compliments envers sa nouvelle compagne.
  Patiente, Claire, la mariée, laissa son regard se balader parmi les convives jusqu’à croiser le regard d’Éric. Gênée, elle voulut détourner le regard mais cet homme séduisant à la carrure musclée attira son attention.
  Éric avait passé un accord avec les mariés : il avait pris en charge la totalité des frais du mariage et leur avait donné un splendide appartement. Mais en échange, pendant les premiers mois suivant le mariage, Claire ne pourrait rien lui refuser et devrait lui prodiguer toutes les faveurs sexuelles qu’il réclamerait.
  Satisfaire les désirs d’un tel étalon n’était pas non plus la chose qui angoissait le plus la jeune mariée, bien au contraire. L’idée de se retrouver avec cet homme mâture et athlétique faisait même naître en elle des sentiments qu’elle tentait de refréner avec difficulté.
  Non, ce qui la gênait plus que tout, c’était la culpabilité qu’elle ressentait vis-à-vis de son mari. Un jeune homme gentil et dévoué, mais que le manque de moyen avait contraint à accepté la proposition à contrecœur.
  Mais alors que Claire tentait de ne plus y penser, il se passa devant elle quelque chose d’invraisemblable. Discrètement, l’homme lui fit signe qu’il attendait d’elle des faveurs érotiques – là, tout de suite.
  Alors que son mari était en train de prononcer son discours, le jour de son mariage, Éric exigeait déjà son dû. Claire aurait espéré que son donateur soit plus patient, mais, constatant la colère sur son visage, elle entreprit de retirer ses sandales à talons.
Les pieds nus, rougissante, elle tenta de trouver le contact de son donateur. Ses petits pieds montèrent le long des jambes d’Éric jusqu’à atteindre son entrejambe. Sous la plante de son pied, elle sentit l’imposant membre en érection. La mine fâchée d’Éric se transforma alors en un sourire de satisfaction.
  Tremblante de honte et de gêne, Claire entreprit de frotter le membre avec ses pieds tout en souriant faussement à son mari qui s’était tourné vers elle pour lui glisser quelques compliments au milieu de son discours.
  Éric sortit alors son sexe, toujours à l’abri des regards sous la table, afin que Claire puisse le branler plus efficacement. Il était si grand ! Les pieds de Claire entreprirent alors un va et viens long et rythmé.
  Jamais elle n’aurait pensé ressentir le sexe chaud et dur d’un autre homme entre ses pieds le jour de son mariage. Les mots de son mari paraissaient lointains et flous, bien éloignés de ce qui se jouait sous cette table.
  Elle s’appliqua sans trop réfléchir, dans l’unique but de satisfaire son donateur. Si elle parvenait à le faire jouir, peut-être s’en contenterait-il ? Mais alors que Tom s’apprêtait à énoncer un poème de louange qu’il avait écrit pour Claire, Éric l’interrompit :
— Excuse-moi Tom, dit-il alors que les pieds de Claire continuaient de caresser sa verge solidement bandée, mais par chez moi, on a une tradition : lorsque le marié complimente sa femme, celle-ci doit se cacher pour ne pas assister au discours !

  Claire haussa un sourcil, se demandant ou Éric voulait en venir. Mais alors que Tom se mit à rire en trouvant cette tradition étrange, le donateur continua :
— Elle pourrait par exemple se cacher sous la table, ce sera comme si elle était absente et qu’on parlait dans son dos !
  Alors que les invités éclatèrent de rire en trouvant l’idée amusante, Claire était si perplexe qu’elle ralenti la cadence de sa masturbation.
  Tous les convives riaient et l’encourageait à se cacher sous la table. Troublée, Claire s’exécuta. Elle retira ses pieds du sexe d’Éric et se baissa jusqu’à être parfaitement dissimulée.
  Sous la table, elle aperçut les jambes des invités et surtout celles de son donateur au sommet desquelles se trouvait encore son énorme pénis en érection. Alors que Tom se lançait à nouveau dans une tirade lyrique censée représenter toutes les vertus de sa femme, Claire aperçu sous la table la main d’Éric qui lui faisait signe d’approcher. Elle savait à présent parfaitement ce qui lui restait à faire. À vrai dire, elle essayait de faire taire cette petite diablesse dans sa tête qui lui rappelait douloureusement à quel point elle en avait envie. Au son des louanges de son mari, elle approcha ses lèvres de la verge d’Éric et commença à pratiquer une fellation.
  Elle tenta de rythmer les vas et viens en fonction des réactions de don maître. Elle suça longuement et entreprit de mener l’homme vers sa jouissance.
  Elle avait grandement envie de profiter de son mariage, il fallait qu’elle parviennent à l’amener jusqu’au bout pour pouvoir passer à autre chose…
  Alors que Tom prononçait les mots « pure, charmante, fidèle » elle accéléra la cadence en craignant que les bruits de succion de plus en plus sonores ne s’entendent. Se sentant sur le point de venir, Éric saisit violemment les cheveux de Claire pour la presser sur son sexe et la forcer à sucer plus profondément.
  C’était presque finit, Claire senti que la fin était imminente. D’ailleurs, Tom était sur le point de conclure lui aussi :
— Je voudrais clôturer en remerciant l’homme sans qui tout cela n’aurait jamais put être possible…
  Éric saisit alors la tête de Claire pour l’empêcher de reculer et pour enfoncer le bout de son pénis au fond de sa gorge.
— Alors, repris Tom, je vais vous demander d’applaudir notre très bon ami, Éric, ici présent !
  Le donateur se mit alors à jouir intensément et allègrement dans la bouche de Claire, sous les applaudissements des convives qui ne se doutaient de rien.
  Rouge de honte, la mariée se sentit obligée de tout avaler et de tout nettoyer afin d’effacer les traces. Elle tenta de se recoiffer rapidement et de sortit de sa cachette, faisant renouveler les applaudissements de la foule à qui elle se força à sourire.
  Hormis le sentiment de souillure, de honte et de gêne à cause de ce qu’elle venait de faire, Claire ressentit autre chose qu’elle s’était interdite jusqu’alors. Elle ressenti de l’excitation.
  Il faut dire que comparer à son mari, un homme gentil, mais jeune maigrichon très puritain qui refusait de faire l’amour avant le mariage, et Éric de l’autre côté, il était très difficile pour Claire de ne ressentir aucun plaisir à se laisser ainsi dominer.
  Le teint halé, le corps musclé et puissant, la carrure et le charisme imposant, la force de la maturité et de la confiance en soi, il faut dire qu’elle avait dû feindre l’hésitation lorsqu’il avait proposé cet accord au jeune couple.
  Devant son mari, elle continuerait bien sûr de jouer la contrainte et l’obligation, mais ça n’était tout de même pas de sa faute si elle ressentait un profond plaisir. Et puis, Tom avait donné son accord, n’est-ce pas ?
Quelques heures plus tard...
  Après la fête, enfin dans leur chambre d’hôtel Claire et Tom se retrouvèrent sur leur somptueux lit pour profiter de leur soirée en amoureux. Tom était haletant, c’était pour lui sa première fois, et il avait tenu à se préserver pour le mariage. Claire prit alors les devants et entreprit de le déshabiller en premier, se disant qu’elle enlèverait sa robe de mariage ensuite.
  Le corps de Tom n’était pas exceptionnel, son teint légèrement pâle, mais avec un peu d’entraînement il deviendrait peut-être un bon amant. La jeune mariée entreprit de caresser son mari afin de faire naître le désir, mais lorsqu’elle lui baissa le pantalon, elle fut déçue de constater que l’érection n’était pas au rendez-vous.
  Le pénis de Tom était vraiment de taille moyenne, et Claire ne pu s’empêcher de faire la comparaison avec le membre d’Éric, qu’elle avait senti sous ses pieds et dans sa bouche quelques heures plutôt.
  Non ! C’était sa nuit de noce, elle ne pouvait pas se permettre d’avoir de telles pensées. Par respect pour Tom, elle se devait de le guider lors de leur première nuit. La première fois n’était de toute façon jamais la bonne. Mais alors que Tom tentait de se masturber pour amener l’érection, le téléphone de la chambre sonna.
  Claire répondit aussitôt :
— Allô ?— Allô, c’est Éric. Je voulais vous souhaiter encore félicitation, c’était excellente soirée !— Qui est-ce ? demanda Tom.— Vous êtes à la réception ? demanda Claire en ignorant son mari. Que faites vous ici ?— Oh, je profite juste de l’hôtel ! Après tout, c’est moi qui vous ai payé la chambre, je suis bien placé pour savoir combien l’établissement est sublime.
  Quelque chose d’incompréhensible se passa alors dans l’esprit de Claire. Savoir que ce si beau corps se trouvait non loin avait activé en elle un réflexe instinctif, à la limite de la bestialité.
— Oh mais venez donc nous rendre visite ! S’entendit-elle dire à Éric.— Quoi ? S’exclama Tom, abasourdi.— Oh, s’étonna Éric. Très bien, j’arrive dans une petite minute. Oh, et je préfère préciser : je suis conscient qu’il s’agit de votre nuit de noce. Alors vous avez tout à fait le droit d’en profiter avec votre mari. Je ne souhaite pas m’imposer.— Oh mais j’insiste ! Minauda Claire. Cela nous fera plaisir de vous voir.
  Éric salua Claire et raccrocha.
— À quoi tu joues, Claire ? Demanda Tom.
— Il s’agit de l’homme qui a payé notre mariage ! Se défendit la jeune mariée. On peut tout de même lui accorder une visite ! Ne t’inquiètes pas, ça ne sera pas long. Et puis, c’est son anniversaire aujourd’hui !
  Tom se calma et haussa les épaules :
— Oui, c’est vrai... Et si c’est juste amical…— Allez, va mettre un peignoir !
  Tom alla s’habiller alors que Claire, toujours vêtue de sa robe de mariée allégée, se prépara mentalement à la venue de son donateur.
  On sonna à la porte. La jeune femme ouvrit. Toujours aussi séduisant dans son smoking, Éric se tenait à la porte avec le plus grand des sourires.
  Il félicita les mariés avec chaleur, et Tom lui souhaita un joyeux anniversaire. Après quelques politesses, Éric fut prêt à conclure et à s’éclipser. C’est là que Claire compris qu’il ne se passerait rien.
  Où avait elle eu la tête ? Le soir de son mariage, pourquoi avoir insisté pour faire venir Éric alors que son mari l’attendait. Un mari qui avait, il fallait l’avouer, un pénis bien moins impressionnant que celui du donateur, mais c’était sa soirée aujourd’hui. La norme des choses voulait qu’elle ait un rapport avec lui le soir du mariage…
  Mais, d’un autre côté, rien n’était dans l’ordre des choses. Tom avait perdu son travail trois mois avant le mariage et était si fauché qu’il avait accepté que sa femme offre son corps à un riche donateur. Alors pourquoi ne pas commencé tout ce cirque au plus vite ?
— Pour ce qui est de notre… arrangement, dit alors Éric.
  Oh non ! Pensa Claire. Éric s’apprêtait certainement à dire qu’il n’allait pas s’imposer pour ce soir, comme il l’avait dit par téléphone ! Il fallait que Claire prenne les devants :
— Oh non ! S’écria-t-elle. Vous ne voulez tout de même pas que l’on commence ça le soir de notre nuit de noce ?
  Elle tenta de glisser à Éric un clin d’œil afin que celui-ci comprenne cet appel du pied. Puis elle s’agrippa au bras de son mari.
— Avec Tom, nous espérions vraiment pouvoir nous retrouver…
  Éric avait parfaitement compris le message. Il entreprit alors de prendre les choses en main.
— Navré, Claire, mais nous avions un accord. Et il ne me semble pas avoir convenu d’un délai. J’ai accompli ma part. Et j’attends que Tom soit à la hauteur des prestations que je lui ai fourni. Avez-vous quelque chose à objecter, Tom ?
  Claire fut sidérée de voir à quel point son mari était impuissant face à la carrure de son donateur. Il n’osa rien répondre et fit « non » de la tête.
  Éric sortit alors son sexe parfaitement bandé de son pantalon. Claire se jeta aussitôt à genoux pour le prendre en bouche. La rapidité avec laquelle elle s’était mise à la tâche sembla rendre Tom furieux. Il est vrai que rien ne l’obligeait à se dépêcher à ce point. Mais il garda une colère silencieuse face à Éric.
  Après quelques aller-retour sur le pénis de son maître, Claire masturba le sexe d’une main et se tourna vers son mari :
— Désolé, chéri. Tu sais bien qu’on a pas le choix. Alors autant faire au plus vite, comme ça on aura notre moment rien que tous les deux ! Tu sais, ce n’est pas facile pour moi…
  Attendri, Tom baissa les yeux :
— C’est ma faute, désolé, s’excusa-t-il. Je sais que tu le fais pour nous. Je t’aime…
— Moi aussi je t…
  Éric saisit les cheveux de Claire et lui enfonça son pénis dans la bouche pour la faire taire, lui arrachant un gémissement de plaisir au passage. Claire se remit à l’ouvrage avec plus d’entrain.
— Si tu veux montrer à ton mari que tu l’aimes, dit alors Éric, il ne faut pas le dire, il faut agir ! Suce-moi bien, et cela lui prouvera combien tu peux être dévouée !
  Claire se remit à sucer de plus belle, sous les yeux effaré de Tom.
— Joyeux anniversaire, patron, souhaita Claire avec une voix suave, reprenant aussitôt la verge en bouche. (Après quelques vas et viens, elle demanda en collant le bout du sexe à l’entrée de ses lèvres:) j’imagine que je n’ai pas le choix, vous allez vouloir me baiser, à présent ?
  Une expression de bonheur illumina le visage d’Éric qui n’en espérait pas tant lui-même.
— Comment ça ? S’exclama Tom. C’est tout de même notre nuit de noce ! Alors j’espérais que vous auriez tout de même l’humanité d’attendre un peu que nous ayons passé notre lune de miel !
    Réfléchissant un instant, le donateur saisit à nouveau la tête de Claire pour la forcer à sucer de plus belle avant de répondre :
— Si je comprends bien, entant qu’épou, vous estimez qu’il est de votre droit d’être le premier à faire l’amour à votre femme ? (Tom acquiesça) Mais est-ce juste selon vous ? C’est bien moi qui ai financé ce mariage, n’est ce pas à moi que doit revenir le droit d’être le premier ?
  Le sexe bandé de son maître dans la bouche, Claire jubilait intérieurement, il faut dire qu’Éric savait trouver les mots. Elle continua de pomper allègrement cet énorme pénis alors qu’il poursuivait :
— En acceptant mon accord, n’avez-vous pas renoncé à votre position fondamentale de mari ? (Tom acquiesça, impuissant) À présent, j’attends vos excuses.
— Il n’a pas tort, chéri, renchéri Claire. Il faut que l’on tienne notre parole. Excuse-toi, s’il te plaît !
  Elle reprit le sexe en bouche et continua les vas et viens.
— Je suis désolé… marmonna Tom.— Excuses acceptées ! S’exclama Éric. Venez Tom, vous allez m’aider…
  Claire cessa de sucer son maître et s’empressa de se jeter sur le lit de l’hôtel. Elle retira ses sandales, s’allongea et leva ses jambes nues au ciel.
— Voilà, Éric, c’est bien comme ça ? Demanda-t-elle d’une voix fluette et aguicheuse.
  Le donateur s’approcha de Claire et regarda Tom :
- Enlève sa culotte, dit-il en passant au tutoiement.
  Tom s’exécuta, mettant à nu l’intimité de sa femme pour l’offrir au donateur. Éric retira sa veste et déboutonna sa chemise. Lorsque Claire vit son torse délicieusement musclé et ses puissants bras, elle ne pu s’empêcher de poser ses petits pieds nus sur ce corps aux reliefs saillants afin de le palper. Elle savait qu’il avait un faible pour ses jolis pieds lisses et propres. Appréciant la caresse, Éric se masturba à l’entrée du vagin qu’il convoitait. Les pieds de claire descendirent le long des abdos marqués du donateur.

— Allez-y Éric, souffla-t-elle, pénétrez-moi vite, s’il vous plaît, je veux pouvoir me retrouver en amoureux avec Tom au plus vite !— On ne peut rien refuser à une femme amoureuse ! Ironisa Éric en adressant à Tom un sourire. Mais malheureusement, je crains que ton vagin de soit trop serré pour moi. Tom, il va falloir qu’on écarte bien ses cuisses. Mets-toi derrière elle et attrape lui bien les chevilles pendant que je la baise.
  Toujours sous le choc, Tom restait là, sans réaction.
  – Allez, Tom, s’agaça Claire en agitant ses pieds cambrés devant le visage d’Éric dans le but secret d’augmenter son excitation. On a pas toute la nuit !
  Claire sentit alors les mains tremblantes de Tom lui saisir les chevilles pour les ramener vers lui, ce qui eu pour effet de bien écarter son vagin.
  – Allez-y Éric, baisez-moi !
  Le donateur saisit fermement les cuisses de Claire et enfonça son pénis d’un seul coup. La jeune mariée gémit et ses pieds se cambrèrent de plaisir. Elle sentit des frissons dans tout son corps. C’est alors qu’il commença à aller et venir en elle. Elle le sentait si profondément et si intensément qu’elle dû se mordre les lèvres pour ne pas hurler. La culpabilité qu’elle pouvait ressentir se mêlait au plaisir intense qu’il la poussait à ne rien regretter.
  Si elle n’avait pas fait appel à Éric, à quoi aurait ressemblé sa nuit de noce ? À devoir ménager un grand enfant et à le rassurer parce qu’il n’arrive pas à bander ? Tout ça pour un homme incapable de subvenir à ses besoins à elle. Éric avait bien plus fait pour elle en un soir que Tom au court de tous ces mois où ils se sont connus. Il méritait bien plus ce vagin que lui !
  La voilà à présent qui redécouvrait le plaisir, les jambes en l’air, sauvagement pénétrée par un étalon sous l’assistance de son mari, le soir de son mariage. Elle se régalait !
— Ah au fait mon amour, suffoqua Claire après dix bonnes minutes dans cette position, par amour pour toi, il y a quelque chose de symbolique que je suis obligée de faire… (Elle retira sa bague de mariée et la posa sur le lit) Voilà, afin de bien dissocier les choses.— Je ne comprends pas, dit Tom en tenant toujours aussi fermement les chevilles de sa femme.— Comme ça, quand Éric me baise, je ne suis plus ta femme, je suis sa petite salope, tu comprends ? Comme on avait convenu. Je suis sure que cela t’aidera à bien séparer ce que je fais ici de notre vie intime. Et je sens que je ne suis pas très loin de faire jouir mon maître ! Alors je vais tout donner ! (S’adressant à Éric en gémissant :) Allez-y Éric, baisez-moi, oui ! Je suis votre petite salope, allez-y ! Tom, lâche un de mes pieds, il va le lécher, ça va l’exciter !
  Augmentant la cadence et la puissance de ses coups de boutoir pour le plus grand plaisir de Claire, Éric pris en bouche le pied qui lui était offert, et s’enivra en le dévorant.
  Dans cette position, Claire perdait la notion du temps. Les vas et viens s’enchaînaient inlassablement et elle eut plusieurs orgasmes incontrôlables. Elle ne se gêna pas pour ponctuer chacun d’eux d’un gémissement ostentatoire en s’exclamant « oh oui, je jouis ! Oh oui ! » face à un mari totalement démuni. Éric fini par jouir en elle abondamment, la pénétrant jusqu’au fond.
  Quelques minutes plus tard, Tom assis sur le côté du lit, Claire finissait de satisfaire son maître. Éric était affalé au centre du lit, et Claire nettoyait sa verge avec sa langue, allongée sur le ventre entre ses jambes. Elle cambrait au maximum son dos afin de bien faire saillir sa croupe, et agitait ses pieds en l’air à la vue d’Éric qui les regardait avec un air épuisé, comme hypnotisé.
  Il était très important pour elle de bien jouer avec ses pieds afin de maintenir cette belle érection sous sa langue. À présent, elle prodiguait à son maître une caresse lente et amoureuse, comme pour le remercier de l’avoir aussi correctement baisée. Elle couvrit le pénis de baisers et l’entoura de petits coups de langue. Elle masturba ensuite avec sa main pour pouvoir s’adresser à son mari :
— Tu vois, Tom, il est très important que tu dissocies les deux personnes que je suis. Quand je redeviendrai ta femme, il est hors de question que je te fasse une fellation, ce serait déplacé ! Mais comme je suis actuellement la petite salope de mon patron, c’est différent, tu comprends ?
  Elle reprit le sexe à pleine bouche en interrogeant son mari du regard. Voyant qu’il ne répondait pas, elle insista sans retirer le pénis de sa bouche :
– ‘u com’rends ? articula-elle en le fixant.
  Tom acquiesça.
— Je t’ai’e, mon a’our, souffla-t-elle malgré le pénis en regardant son mari droit dans les yeux.
— Allez, s’impatienta Éric. (Il sortit son pénis et se mit à jouir sur le visage de Claire) Ah ! Il est temps de se coucher ! Claire, nettoie moi tout ça, déshabille toi totalement, et viens te blottir sous la couette ! Il se peut que je me réveille dans la nuit pour te besogner encore un peu. Tom, tu vas dormir sur le canapé.
  Claire, le visage souillé, regarda son mari en mimant la tristesse :
– Désolé, mon cœur, mais je ne vais pas pouvoir remettre ma bague cette nuit…
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