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Donnée par ma mère

Chapitre unique

Hétéro
L’histoire de ma première relation sexuelle débute sans que je le sache.
Je rentre du catéchisme. J’ai encore dû éviter les jeunes hommes du village. Je n’arrive pas à savoir si c’est une évolution sociale qu’ils cherchent ou juste une envie de profiter de mon corps. Il est vrai que je vais devoir penser au mariage. Mais celui-ci dépend de l’envie de ma mère, puisque mon père est retourné à notre créateur à tous.

Comme depuis quelques mois, je croise un homme dans la maison familiale. Il ne sert à rien de se questionner sur sa présence. Peut-être deviendra-t-il mon beau-père ou peut-être est-il intéressé pour faire de moi son épouse ? Il me dépasse facilement de deux têtes. Je lui donne 40 ans. Il porte toujours de belles tenues, preuve qu’il appartient à la noblesse.

Aujourd’hui, ma mère et lui discutent une nouvelle fois. Mais cette fois, il me parle directement. Il m’interroge sur mes activités, mon âge... Il parle de manière fort agréable. Je laisse les évènements se dérouler. A 20 ans, je ne me fais pas beaucoup d’illusions quant à mon avenir.
Plus tard, ma mère m’explique que cet homme est un lointain parent. Il organise pour nous une rencontre sociale. Donc nous irons dans sa maison de campagne, à quelques kilomètres de chez nous. Mère semble heureuse que je ne pose pas de questions. Je sais qu’il ne sert à rien de l’interroger. Elle ne me répondra pas. Je suis peut-être naïve, mais pas niaise. J’espère juste ne pas être vendue pour améliorer la situation financière de ma famille. De toute façon, je ne peux rien faire, je tombe sous l’autorité de ma mère ou du chef de famille. Je ne dois pas déshonorer mon nom.
Le quotidien continue. La date se rapproche sans que je m’en inquiète. J’en oublie même le rendez-vous.
C’est donc dans mes habits quotidiens que je regarde une automobile s’approcher de notre résidence. Mon lointain parent est fort riche pour se permettre un tel luxe. Un carrosse ou une simple calèche est un véhicule plus convenable pour des parentes pauvres et presque inconnues. Le chauffeur nous indique que c’est la voiture personnelle de Monsieur.
Je me sens agitée. Il y a quelques années, à la mort de mon père, notre situation financière s’est effondrée. Tous nos proches et chers parents détournent alors le regard, comme si nous ne nous connaissions pas.
La portière est maintenue ouverte par le chauffeur. Il est inconvenant de le faire attendre. Mère sort d’ailleurs de la maison avec un pas joyeux. Elle porte un coffret. Elle m’indique qu’il s’agit d’un cadeau de mon oncle. Elle le déclare comme une bénédiction. Nous serons en retard, si je me change maintenant. Il me faudra donc attendre d’atteindre notre destination pour m’habiller.
Le trajet me semble bien court. Il n’y a pas de calèche aux abords. Cela ne colle pas avec une réception sociale.
La résidence est immense. Je vois de nombreux domestiques qui s’affairent à leurs tâches quotidiennes. L’ambiance est calme. Pas d’excitation que je m’attends à voir lors de la préparation d’une fête.
Je suis conduite dans une très belle chambre. Ils me donnent de l’intimité pour me changer.

Mère dépose la boîte sur le lit. Elle me laisse sans un regard en arrière. Je suppose qu’elle va tenir compagnie à notre hôte, le temps que je me prépare.
J’ouvre le colis. Du papier de soie me cache la robe. Je l’enlève pour pouvoir soulever ma tenue. Je peux voir quel type de robe il s’agit. C’est le cadeau d’un homme que je connais si peu. De mon point de vue, il pourrait être un parfait étranger. Mère m’a demandé de ne porter que ce que contient le cadeau. La robe est une chose indécente. Je ne peux pas me montrer en compagnie dans ce tissu. Je la passe. Les bretelles sont très fines. Elles tiennent les bords d’un décolleté montrant franchement le creux entre mes seins. Il n’y a pas de sous-vêtement. Je me sens totalement nue, malgré ce voile totalement transparent.
J’ai honte. Je ne peux pas sortir ainsi, mais je ne peux pas non plus insulter des gens riches. Mais c’est tellement révélateur. Chacune de mes courbes est visible. Mes mamelons pointent sur mes seins imposants. Ils peuvent facilement être vus à travers le tissu. Mon ventre plat laisse le regard descendre sur la tache plus foncée entre mes cuisses. Les hommes ne verront que cela.
Si le décolleté à l’avant est profond. Celui dans mon dos est abyssal. Il descend jusqu’à la naissance de mon sillon. J’ai peur que le poids du vêtement ne dénude totalement mon fessier. Je vais devoir me tenir bien droite.
La longueur totale de la robe est bien trop courte. Elle m’arrive au-dessus des genoux. Je ne veux pas voir la réaction de ma mère face à ma robe. Elle doit pourtant savoir ce que cet homme m’a offert, puisque c’est elle qui me demande de la porter. Je dois être obéissante.
Je patiente. J’attends le retour de ma mère, mais elle ne vient pas. C’est cet homme qui entre dans la pièce. Je suis extrêmement mal à l’aise. Je me couvre la poitrine d’une main et tente de dissimuler mon entrecuisse de l’autre.
Son comportement me surprend. Il se sert un verre d’alcool comme si tout est normal. Comme si ce genre de robe est couramment porté en sa présence et en bonne société.
Je suis sur le canapé. Il est debout. Je suis hésitante. Sentant mon malaise, il s’avance pour s’asseoir. Nous sommes maintenant tous les deux sur le canapé et je ne me sens pas mieux. Il est assis à ma gauche, dans un canapé deux places. Ainsi nos corps se touchent. Mes poils se dressent. Un courant électrique traverse mon corps. Je me redresse. Porter une robe transparente en étant confinée dans une pièce avec un inconnu est une expérience... perturbante... électrisante... excitante...
Il engage la conversation sur mes passions, ce que j’aime et n’aime pas. Une conversation absurde, alors que son bras caresse mon épaule à chaque fois qu’il porte son verre à ses lèvres. En voyant mon regard sur sa bouche, il me propose une boisson. Je refuse poliment, mais face à son insistance me voici avec un liquide fortement alcoolisé dans mes mains. Je ne bois jamais. Ma mère le fait parfois. Ma gorge me brûle. Le sang me monte à la tête. Il attend que je finisse mon verre pour m’en servir un autre. Entre-temps, il en boit trois.
J’ai chaud. Ma robe me colle. Je transpire. C’est une horreur ! Tout mon corps est exposé. Mes mamelons sont clairement visibles. Ils pointent. Ils se voient particulièrement avec leur couleur plus rose que le reste de ma peau de lait. Je suis dans une situation terrible avec un inconnu où chacune de mes courbes est exposée. Je le vois me détailler.
En regardant la porte, je remarque qu’il l’a verrouillée en entrant. Je pense que ma mère a quitté la demeure. Je suis seule avec cet homme. Ses domestiques ne me viendront pas en aide. Ai-je envie de partir ou de hurler ? Je n’en suis pas certaine.
Cet homme ne s’est pas jeté sur moi. Il ne m’a pas molestée. Il aime pourtant mon corps. Il a plus du double de mon âge. Il n’est pas le type d’homme qui me plaît visuellement. Il est pourtant celui qui me permettra peut-être de quitter ma famille et de me marier. Pas forcément avec lui, mais il peut me présenter une de ses connaissances pour arranger un mariage. Je ne finirais pas alors comme beaucoup de vieilles filles. Et si ce n’est pas le cas, je connaîtrais enfin les plaisirs de la chambre.Avec sa patience, il me donne envie d’être touchée. Je veux découvrir la sensation de sa peau sur la mienne et pas seulement le frottement de son bras couvert de tissu sur ma peau nue.
Lentement, il pose sa main sur mon épaule. Il me laisse le temps de m’écarter. Il frotte doucement mon articulation. La discussion continue comme si de rien n’était. Je veux me taire, mais j’ai peur de casser l’alchimie du moment.
Ma bretelle, si fine, glisse sur le haut de mon bras. Le galbe de mon sein retient le voile. Un peu plus et je me retrouve totalement à sa merci. Les caresses continuent. Ma deuxième bretelle suit le mouvement. Il est possible de croire que je porte un bustier de voilage. Je le laisse faire ce qu’il souhaite. Ses mains parcourent la peau dénudée. Il passe doucement ses doigts sous les bretelles pour les accompagner dans leur chemin le long de mon corps. La robe glisse me révélant totalement à ses yeux.
Ses doigts voyagent. Des frissons me font trembler. Je suis anxieuse et désireuse de connaître la suite. Je protège ma poitrine de mon bras gauche.
L’atmosphère change tout de suite.
Il se fait cajoleur pour retirer ma main et lui laisser libre accès à ce qu’il convoite. Il vient se saisir de mon sein droit. Il le presse comme pour me punir. Je perds toute résistance. Il redevient doux.Alors que je suis concentrée sur son toucher de ma poitrine, je sursaute. Il a permis à sa deuxième main de se poser sur ma cuisse. Très proche de mes poils non protégés par un sous-vêtement, trop proche à mon goût. Il se rend entre mes jambes. C’est étrange, mais pas désagréable.
Rapidement, il me tire pour que je me trouve sur ses genoux. A cheval sur ses genoux, je ne tiens que par la prise qu’il maintient sur mes hanches. Son pantalon me râpe la peau. Je ne me savais pas si sensible des cuisses. Il écarte ses jambes, me forçant à étendre les miennes. Je n’ose le regarder. Son ventre se soulève plus rapidement qu’il y a quelques instants.
Une main se déplace sous mes yeux vers mes poils. Il me touche à peine. Il joue avec moi. Une forte pression appuie sur les grandes et petites lèvres intimes. Un bruit m’échappe. Je remue face à cette nouvelle sensation.
Un doigt s’introduit entre mes chairs. Il est entièrement en moi. Je me retrouve affalée sur le torse de cet inconnu auquel ma mère m’a donné. Mon visage est dans son cou. Je respire son odeur musquée. Le doigt sort et revient. Je gémis. Encouragé par mon bruit, il recommence en l’insérant aussi profondément que possible. Je le sens à chaque mouvement. C’est bon ! Comment un simple doigt peut-il faire autant de bien ? Il accélère. Je suis toute à lui.
Un pincement au niveau de ma poitrine me fait me redresser. Cette décharge sensorielle est tellement bonne qu’il me surprend une nouvelle fois quand une humidité vient enfermer le bout d’un de mes seins. Je laisse échapper des bruits qui m’étaient inconnus jusque-là. C’est la première fois qu’un homme me touche ainsi. J’ai peur de laisser sortir des bruits plus forts. Il y a des oreilles qui écoutent dans cette maison.
Il me baise avec un doigt et j’aime ça.
Je geins quand il retire tout. J’ouvre les yeux. Il me regarde. Ce qu’il voit semble lui convenir. Sans prévenir, il me soulève. Il possède une force phénoménale dans son corps pour me porter sans que cela ne semble être plus que porter une assiette. Il me pose délicatement sur le lit.
Une brume envahit ma tête. C’est certainement tout le plaisir qu’il m’a donné. Je n’ose imaginer la tête que j’ai à cet instant, alors que je le regarde ôter un à un ses vêtements. Il ne porte aucun sous-vêtement. Il est clair qu’il est là pour faire de moi une femme. Prendre mon innocence. Me faire découvrir les plaisirs de la chambre. Pour la première fois, je peux observer le sexe d’un homme. Il est dressé et peut tenir dans ma main. Il n’est pas très gros. J’ai envie de le toucher.
Il doit avoir lu dans mes pensées, car il s’approche. Il caresse son membre d’une main. Je me sens toute chaude. J’ai une humidité entre mes cuisses. Est-ce que je suis excitée ? Il s’avance toujours, tellement lentement. Il se penche pour poser ses lèvres sur les miennes. Il ne me faut que quelques secondes pour lui répondre.
Quand il me délaisse, c’est pour approcher son membre. Son outil à pisser ne sent pas fort. Il est juste devant ma bouche. Sa peau est douce quand il la passe sur mes lèvres. Il semble me demander de le prendre dans ma cavité buccale. Je l’ouvre docilement. Il s’engouffre immédiatement de toute sa longueur. Je m’étouffe. Il se retire pour me laisser reprendre ma respiration. Son odeur est bien plus prononcée quand mon nez est dans ses poils. Il entre et sort de ma bouche. Parfois il s’enfonce plus profondément, me donnant envie de vomir. Il me faut un temps pour comprendre que je peux lui donner du plaisir avec ma langue ou en contractant mes joues. Il me caresse parfois le visage. J’espère que je fais correctement les choses. Il se retire brutalement pour se jeter sur ma bouche.
Il est plus violent. Il m’agrippe la poitrine. Pendant que sa langue viole ma cavité buccale, il presse mes seins comme un paysan le ferait pour extraire le lait des mamelles d’une vache. J’ai mal, mais pas assez pour le repousser. Sa bouche descend. Il vient embrasser mon sein droit. Tout d’un coup, ses dents viennent frotter ma peau sensible. Je crie. Il vient de mordre la pointe de mon sein. Sa langue vient apaiser la douleur, mais ne fait rien contre la chaleur que je ressens. Je me tortille à chaque coup de langue comme à chaque dent qui m’érafle.
Il se désintéresse de ma poitrine pour m’écarter les jambes. Il se positionne entre elles. Son outil à pisser est luisant. Comme le doigt tout à l’heure, son bout vient appuyer sur mon intimité. Il se frotte doucement. J’ai peur que la violence le reprenne. Alors entre deux gémissements, je lui dis : “Mon oncle, vous êtes le premier.”
Un grondement sort de sa gorge. Il a l’air d’apprécier.
Il frotte toujours son outil contre mon entrée. Il donne une poussée et entre. Je me sens écartelée pour l’accueillir. J’ai l’impression qu’il est énorme et qu’il me remplit. Il oscille me permettant de comprendre que je n’en ai qu’un petit morceau en moi. D’une puissante poussée, il me pénètre complètement. J’agrippe les draps. Des larmes m’échappent. J’ai un gourdin dans mon conduit. Il me semble si gros. Il reprend ses oscillations. Il semble trouver un rythme entre ses mouvements et mes gémissements.
Nous faisons tous deux des bruits de gorge. Mais ce que j’entends le plus, ce sont nos corps qui se rencontrent. Son aine cognant contre le mien. Son sexe entrant dans ma cavité humide. Le liquide qui se répand sur nos cuisses. La chaleur de nos mouvements. Lui qui me remplit et le plaisir qu’il me donne.
Trop prise par mon plaisir, je râle quand il se retire. Je veux qu’il continue à me baiser. Il en a décidé autrement. Il est au-dessus de moi pour astiquer son pénis. Un liquide blanchâtre vient couvrir ma peau. Il s’effondre à côté de moi sur le lit.
Je suis déçue de la fin de mon plaisir. Il m’embrasse tendrement. J’ai dû faire ce qu’il fallait, car il semble satisfait. J’espère que mère n’a pas prévu de me ramener à la maison trop vite. Je veux recommencer et voir si ce liquide peut être expulsé dans mon intérieur.
Par la suite, j’ai eu la chance de vivre la vie d’une noble pendant quelques jours. Mon oncle m’a gardé une semaine, pendant laquelle il m’a donné beaucoup de plaisir. Malheureusement, le devoir l’a rappelé à la grande ville. Mère est donc venue me chercher. Notre situation s’est grandement améliorée. Ce soi-disant oncle ne m’a pas oublié. J’espère le revoir prochainement...
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