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Doriane

Chapitre 2

Lesbienne
La révélation Ma bouche se glisse vers le bas et son sexe vient à sa rencontre, mes lèvres aspirent son clitoris, elle explose instantanément dans un orgasme gigantesque qui la fait vibrer et la secoue comme un prunier. Ses mains se plaquent sur ma tête pour la bloquer contre son clitoris. Ma langue réussi à la lécher un peu, je suis médusée par le goût de sa cyprine, je n’ai jamais goûté la mienne, c’est réservé aux gouines pensais-je, je réussi à abandonner son clitoris pour aller me baffrer de son jus d’amour. Ma langue explore son sexe, goûte à ses lèvres souples et humides, à son vagin serré, à son périnée, son anus, tout me plait. Lentement Camille se détend, elle me libère la tête, la tire vers la sienne, je me retrouve allongée sur elle. Elle ouvre les yeux, ils sont magnifiques de bonheur, elle me sourit. –Merci Agathe, merci, j’ai rarement éprouvé autant de plaisir, merci.  Je regarde Doriane, elle me regarde dans les yeux et ouvre ses cuisses en grand. Je la regarde étonnée. –Et moi, je n’ai pas le droit au plaisir ?–Chérie, tu es ma sœur.–Et alors, ça s’appelle un inceste, mais ça existe, et tu vois bien que je ne peux pas me faire plaisir toute seule avec mes plâtres.–Vas-y Agathe, tu ne peux pas lui refuser ce que tu viens de me donner.–Mais c’est ma sœur, je ne peux pas.–Ok, je m’en charge, aide moi à me lever. –Ne te sens pas obligée.–Devine !! J’aide Camille à se lever, elle me demande d’amener son transat à côté de celui de Doriane, une fois en place, elle s’allonge de manière à avoir sa bouche juste au-dessus du sexe de ma fille qui a fermé les yeux et attend. Quand Camille pose sa bouche sur son pubis, elle sursaute sur son transat mais n’ouvre pas les yeux. Camille lui lèche le pubis et descend lentement vers son sexe. Je remarque que Doriane se tortille de plus en plus, elle soulève son bassin pour mieux s’offrir à sa copine. On voit que Camille est une experte, elle fait ce qu’elle veut du corps de ma fille qui se donne de plus en plus. La langue de Camille se glisse entre ses lèvres, elle descend un peu plus vers le périnée, jusqu’à sa rondelle brune. Doriane est comme une folle, elle bouge dans tous les sens, Camille la maintient sous pression sans aller au but et la faire jouir. –S’il te plait, fait moi jouir, je n’en peux plus. Camille ne bronche pas, elle continue comme si de rien n’était. Le visage de ma fille se crispe un peu, ses mains s’agrippent à sa tête, mais celle-ci continue. Au bout de quelques minutes, je vois la tête de Camille remonter vers le clitoris de Doriane, d’un seul coup, elle explose dans un gigantesque orgasme en hurlant son plaisir, tout le quartier est au courant. Son corps est secoué de spasmes de plaisir, Camille se déchaine sur son petit bouton, Doriane hurle encore plus fort son plaisir et se tait d’un seul coup. Elle est dans les vaps. Je me précipite pour la voir ouvrir les yeux et me regarder. Jamais je n’ai vu ses yeux aussi clairs et brillants, elle resplendit de bonheur, son visage est magnifique, elle tend ses lèvres à Camille qui réussit à pivoter pour poser les siennes sur sa bouche. Elles échangent un long baiser, les mains de Camille glissent sur le corps de Doriane, la droite atterri sur son clitoris qu’un doigt titille allégrement. Le vois le corps de ma fille se tendre lentement sous l’effet du baiser et du doigt, elle jouit une nouvelle fois, mais beaucoup plus calmement. Elles se séparent, Doriane me regarde. –Jamais je n’aurais pensé jouir comme ça, c’était merveilleux, aucun de mes mecs ne m’a donné tant de plaisir quand je réussissais à jouir. Camille, tu viens de me faire découvrir ma vraie sexualité.–Je l’espère bien ma chérie, mais j’aimerais aussi donner du plaisir à ta sœur, tu veux bien Agathe ?
–Comment refuser quand on voit sa sœur jouir comme ça grâce à toi, je veux bien essayer, mais pas ici, dans ma chambre, on sera mieux sur mon lit. J’aide Camille à venir dans ma chambre, je la prends par la taille pour l’aider à marcher, elle en profite pour faire balader ses mains sur mon dos et sur mes fesses, elle glisse un doigt entre elles, je suis surprise d’apprécier. Arrivées dans la chambre, J’allonge Camille sur le ventre en immobilisant sa jambe plâtrée. Je m’allonge sur le dos devant elle, mes cuisses encadrent sa tête, je me glisse le plus possible jusqu’à ce qu’elle puisse poser sa bouche sur ma vulve. –Dis donc, il est bien lubrifié ce sexe, ce sont mes poupouilles qui t’on mise dans cet état ?–Oui entre autres, maintenant, il faut que tu finisses ce que tu as commencé.–Ne t’en fais pas. Sa bouche se pose sur ma vulve, sa langue se glisse dans mon vagin, ses lèvres me massent les lèvres, je sens que je ruissèle dans sa bouche, elle me boit littéralement. Sa langue vient titiller mes lèvres, mon périnée, mon anus, ce qui déclenche une décharge électrique dans mon corps. Elle remonte sur mes lèvres, contourne mon clitoris pour venir lécher mon mont de Vénus. Un doigt entre dans mon vagin, en ressort et va se figer dans mon anus, je soulève mon bassin pour qu’il me pénètre encore plus. Elle le retire, enfonce trois doigts dans mon vagin pour aller les enfoncer dans mon anus immédiatement après. J’écarte les jambes au maximum en soulevant mon bassin, je veux qu’elle me défonce le fondement, jamais je n’ai ressenti un tel plaisir, je découvre une de mes zones érogène que j’ignorais complètement. Sa langue n’est pas en reste, elle fouille tous les recoins de mon sexe. Je suis au bord de l’orgasme, mais cette diablesse sait ce qu’elle fait, elle me maintient au bord en évitant d’aller trop loin, mon corps se tend de plus en plus à tel point que les muscles commencent à me faire mal. Je ne dis rien, je ne veux pas la forcer, mais au bout de quelques minutes, elle doit se rendre compte de mon état et remonte le long de mes lèvres pour venir m’aspirer le clitoris et le titiller avec sa langue. Mon corps explose en un milliard de feu d’artifice, je ne suis plus une entité, je suis un songe, un nuage, une onde dans l’univers. Je hurle mon plaisir, rien ne peut m’empêcher d’être cette chose merveilleuse qui me comble de bonheur. Je reviens à moi lentement, Camille me lèche la vulve, elle veut récupérer ma cyprine.  Elle se redresse et vient s’allonger à côté de moi, elle pose sa bouche sur la mienne, sa langue frappe sur mes dents, j’entrouvre ma bouche pour recevoir une langue dominatrice qui vient titiller la mienne. J’ai un premier réflexe de recul, mais ma langue répond doucement à la sienne, elles finissent par s’aimer et jouer ensemble. J’en ressens un bonheur immense, je promène une main sur son dos jusqu’à ses fesses, mon cœur s’emballe, je plaque sa bouche contre la mienne, je suis heureuse de ce baiser comme jamais je ne l’ai été. Je m’attends à recevoir sa main sur mon sexe comme avec Doriane, mais je sens le lit bouger et une bouche se poser sur mon sexe. Putain, ça ne peut être que Doriane, ma propre fille qui me bouffe le minou !!! Je veux réagir, je lâche la tête de Camille, mais elle insiste, et m’empêche de me dérober. Sa bouche reste soudée à la mienne pendant qu’une de ses mains me caresse les seins, je finis par céder et me laisse aller au plaisir à venir que je devine encore plus intense. Doriane a bien retenue la leçon de Camille, j’ai l’impression de revivre la même chose, sa langue explore tous les recoins de mon sexe en évitant soigneusement mon clitoris. Elle me titille longuement l’anus, elle a glissé ses mains sous mes fesses pour me maintenir à bonne hauteur, je sens l’orgasme monter doucement. Je réalise que je pourrais jouir rien qu’avec mon anus, il me transmet des ondes de plaisir extraordinaires. Un pouce se glisse dans mon vagin pour aller ensuite s’enfoncer dans ma rondelle. Il fait des va-et-vient rapides, il est remplacé par trois doigts regroupés en pointe, mon anus se détend. Je le sens se dilater de plus en plus, j’ai l’impression qu’il peut absorber cette main tout entière. Mais je n’en ai pas le temps, mon corps explose dans un énorme orgasme entretenu par les deux filles. Je suis dans un état second, mon corps est secoué de spasme de plaisir, je m’abandonne en plaquant Camille contre mon corps. Mes mains parcourent ses courbes en me donnant un plaisir encore inconnu. Lorsque je reviens à moi, Doriane est allongée sur mon corps, sa bouche à quelques millimètres de la mienne, je n’hésite pas, passe ma main derrière sa tête et la plaque contre ma bouche. Nos langues font connaissance et s’amusent sans retenue, je suis submergée de bonheur à sentir cette langue titiller la mienne.  La sonnette retenti, Doriane se lève et va regarder qui est là. C’est Luce qui vient aux nouvelles. Doriane lui ouvre, elle ne semble pas surprise de la trouver nue, elle a une enveloppe à la main. –Comment vas-tu ma chérie ?–Comme tu le vois, en pleine forme, je vais me baigner, tu viens ?–Bien sûr, avec cette chaleur, c’est presque une obligation, mais j’ai quelque chose à te dire, allons plutôt dans ta chambre, c’est sérieux.–Ok, suis moi, mais à poil. Luce suit Doriane en se déshabillant, elles s’enferment dans la chambre. J’en profite pour me lever et aider Camille. Nous allons vers la piscine, j’allonge Camille sur un transat et vais piquer une tête dans la piscine. Quand je sors de l’eau, je vois Doriane et Luce arriver en me regardant. Je contourne la piscine et vais vers elle. Luce vient m’embrasser. –Bonjour Agathe.–Bonjour Luce.–Agathe tu as un moment à m’accorder ?–Bien sûr Doriane, c’est si sérieux que ça ?–Oui, assez. Je me retourne vers Luce. –Tu t’occupe de Camille, elle ne peut pas aller dans l’eau, je compte sur toi pour la rafraîchir.–Pas de problème. Je suis Doriane dans le salon, elle me fait assoir et s’assoie à côté de moi.  –Agathe, tu sais que nous faisons des expériences avec Luce, en ce moment, nous travaillons sur le génome, et nous avons envoyé en Suisse plusieurs cheveux pour en avoir l’ADN. Je blêmis, je vois où elle veut en venir. –Dans le lot, il y en avait un sorti de ta brosse et un des miens, les résultats sont étonnants, voire incroyables.–Ok, je vois ce que tu veux me dire, je ne suis pas ta sœur.–Alors c’est vrai Agathe, tu es ma mère, comment est-ce possible ?–Parce que ta grand-mère ne voulait pas que tout le monde sache que j’avais eu un enfant à dix ans, c’est pour ça que tu es née en Espagne. Elle avait un petit appartement à Tarragone, nous y avons passé quinze mois où elle a fait semblant d’être enceinte, a accouché et élevé sa fille. Je n’ai pratiquement jamais quitté l’appartement, il fallait me cacher. Nous sommes rentrées en France que quand tu avais pratiquement un an, tu étais au biberon, j’étais redevenu une petite fille, personne n’a soupçonné quoi que ce soit. –Alors, maman était ma grand-mère ?–Oui, c’était ta grand-mère, c’est pour ça qu’elle n’était pas très sévère avec toi.–Et qui est mon père ?–Son deuxième mari, il m’a violé un jour où maman n’était pas là. On jouait dans la piscine, il m’a couché sur le gazon et m’a violé. Comme toujours, il m’a fait promettre de ne rien dire à maman, ce que j’ai fait bêtement. Elle ne l’a su que cinq mois plus tard, quand elle s’est inquiété de me voir grossir et m’a emmené chez le pédiatre.–Le salop, il est où maintenant ?–En prison, il y est encore pour pratiquement dix ans, il a récidivé avec une petite fille trois ans après sa sortie de prison.–Alors, comment on fait maintenant ?–Que veux-tu dire ?–Comment je t’appelle, Agathe ou maman ?–Je pense que ça paraitrait bizarre que tout à coup tu m’appelle maman, continuons comme avant.–Non, je veux t’appeler maman quand on est toutes les deux ou avec Luce. En public tu seras Agathe, ok ?–Ok ma chérie.–Tu ne peux pas savoir combien j’ai souffert de ne pas pouvoir appeler ma maman après sa mort, ça m’a manqué, et j’ai failli te demander de le faire quand j’avais onze ans, mais je n’ai pas osé. Elle me regarde, je vois ses yeux briller, elle est au bord des larmes. –Maman, tu es ma maman, j’en ai tant rêvé. Elle se jette dans mes bras et me couvre de baisers, je me laisse aller, mon cœur grossi, je suis au bord des larmes moi aussi. Enfin tout est clair, je peux aimer ma fille en tant que ma fille, plus de simagrées, nous savons l’une et l’autre quel est notre lien, je suis sa mère, elle est ma fille. J’éclate en sanglots, je ne plus pas me retenir. Doriane est encore plus câline, elle m’enlace en continuant de m’embrasser, mais je sens son corps se contracter, et quelque chose me mouiller le cou, elle pleure elle aussi. Je la serre encore plus fort dans mes bras, nous finissons par nous calmer, elle s’écarte un peu, me regarde. –Je t’aime maman, je suis si heureuse d’avoir de nouveau une maman à moi, mais cette fois, rien qu’à moi.–Merci ma chérie, tu ne peux savoir combien ça a été dur pour moi aussi.–Je m’en doute, mais pourquoi ne pas me l’avoir dit plus tôt.–J’avais trop peur de te perdre, je ne savais pas comment tu aurais pu réagir.–Dommage, mais maintenant je sais, mais il faut que je réalise une envie que j’ai depuis un certain temps.–Doriane, à quoi tu penses.–J’ai envie de m’occuper de ma copine Luce, je veux connaitre le goût de sa cyprine.–Vous n’avez jamais fait l’amour toutes les deux, pourtant, je commençais à me demander si vous n’étiez pas amantes.–Non, jamais, nous ne sommes malheureusement qu’amies, des amies très proches, mais je sens que ça va changer.–Pourquoi malheureusement ?–Parce que je crois que j’aime cette fille, elle ne quitte pas mes pensées et je ne vois pas l’avenir sans elle à mes côtés.–Tu vivrais avec une fille ?–Oui si c’est ça qui peut me rendre heureuse, ça te gênerait ?–Pas du tout ma chérie, l’important, c’est que tu sois heureuse. Nous retournons vers la piscine, et là, surprise, Luce est pratiquement allongées entre les jambes grandes ouvertes de Camille qui se tortille dans tous les sens. Elle s’occupe de son minou. Doriane me regarde et va se mettre derrière Luce, lui écarte un peu les fesses et plonge sa bouche entre elles. Luce ne réagit pas, au contraire, elle bouge un peu ses fesses pour lui faire comprendre qu’elle aime ce qu’on lui fait. La tête de Luce bouge entre les cuisses de Camille, celle-ci me regarde, elle me sourit, elle semble aux anges. Je m’approche, elle tend une main pour m’attraper la cuisse et me positionner au-dessus d’elle. Je les écarte au maximum pour m’accroupir sur sa bouche. Sa langue me titille le clitoris, elle m’agrippe les fesses pour me plaquer contre sa bouche, je sens une onde se former, je suis déjà passablement excitée par le spectacle que j’ai vu, je ne me retiens pas, je veux jouir avec elle. Je la vois se raidir, son ventre se crispe, elle se tend d’un seul coup en me mordant le sexe, ce qui déclenche mon propre orgasme. J’ai du mal à rester en équilibre, je vois Luce jouir elle aussi sous la langue de ma fille. Quand nous sommes revenues à nous, Camille se redresse pour s’assoir. –Je sens que je vais passer une super convalescence ici, merci Agathe.–De rien ma chérie, mais je vois qu’il se passe des choses bizarres ici.
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